Thème 3 : Structure identitaire et construction de l'identité Flashcards

1
Q

Quels sont les 4 facteurs identitaire ?

A

1) Corporel : ce que je perçois de mon corps et ce que les autres perçoivent de mon corps.
2) Cognitif : ce que je pense de moi et ce que les autres pensent de moi.
3) Affectif : Ce que je ressens à propos de moi et ce que les autres ressentent de moi.
4) Conatif : Ce quei m’anime et ce qu’autrui attend de moi - ce qui m’énergise

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2
Q

Nommez certains facteurs identitaires.

A
  • Apparence
  • Caractéristiques biologiques
  • Langue
  • Religion/paroisse
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3
Q

Notre identité résulte d’une construction progressive dont les fondations se situent dans nos ________

A

Nos toutes premières années de vie

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4
Q

Une trop grande variabilité dans les attitudes et d’inconstance dans l’être de quelqu’un peut être ________

A

une pathologie

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5
Q

Quels sont les 4 structures des représentations identitaires pour organiser nos différents aspects pour avoir une image unifiée de nous-mêmes ?

A

1) Intersection
2) Dominance
3) Compartimentalisation
4) Fusion

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6
Q

Pour l’intersection nommez les :
1. Perception de soi :
2. Perception endogroupe :
3. Incohérence :
4. Complexité :

A
  1. Perception de soi : se percevoir comme une combinaison de caractéristiques
  2. Perception endogroupe : à toutes les personnes qui possèdent les mêmes caractéristiques qu’elle (A et B)
  3. Incohérence : différenciation cognitive -ignorer/séparer un ou l’autre (A ou B)
  4. Complexité : - complexe
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7
Q

Pour la dominance nommez les :
1. Perception de soi :
2. Perception endogroupe :
3. Incohérence :
4. Complexité :

A
  1. Perception de soi : une caractéristique a plus d’importance que les autres
  2. Perception endogroupe : à la caractéristique dominante
  3. Incohérence : renforcement - ignorer/séparer (ignorance + complexe)
  4. Complexité : 2/4
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8
Q

Pour la compartimentalisation nommez les :
1. Perception de soi :
2. Perception endogroupe :
3. Incohérence :
4. Complexité :

A
  1. Perception de soi : considérer qu’on est les deux, mais en fonction du contexte
  2. Perception endogroupe : varie en fonction du contexte
  3. Incohérence : isolement cognitif (différence = considérée ou séparée)
  4. Complexité : 3/4
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9
Q

Pour la fusion nommez les :
1. Perception de soi :
2. Perception endogroupe :
3. Incohérence :
4. Complexité :

A
  1. Perception de soi : considère toujours toutes les deux caractéristiques tout le temps
  2. Perception endogroupe : tout le monde qui possède un ou l’autre
  3. Incohérence : transcendance (fusion avec un critère C)
  4. Complexité : +
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10
Q

Qu’est-ce que la différenciation ?

A

Niveau de reconnaissance de l’incohérence.

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11
Q

Qu’es-ce que l’intégration ?

A

Niveau de résolution de l’incohérence.

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12
Q

Quels sont les processus qui contribuent à la construction de l’identité ? (3)

A

Processus sociocentrés
Processus égocentrées
Processus relationnels et dynamiques

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13
Q

Qu’est-ce que processus sociocentrés ?

A

Traitement des informations relatives aux groupes sociaux.
- catégorisation sociale
- auto-catégorisation

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14
Q

Qu’est-ce que les processus égocentrés ?

A

Traitement des informations relatives aux individus.
- comparaison sociale
- attribution

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15
Q

Qu’est-ce que les processus relationnels et dynamiques ?

A

Traitement de l’interaction entre l’individu et le contexte.
- diverses théories

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16
Q

Qu’est-ce que la catégorisation ?

A

Activité mentale qui consiste à organiser des éléments (catégories) dans un ensemble en fonction de critères communs.

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17
Q

Quels sont les deux étapes du processus de catégorisation ?

A

1) Élaboration des catégories
2) Utilisation des catégories

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18
Q

Qu’est-ce que comprend l’élaboration des catégories ? (3)

A

1) catégorisation basée sur le sujet : la personne décide elle-même des critères précis pour créer des catégories (ex. 50 ans = vieux)
2) catégorisation basée sur l’objet: l’objet impose les critères (ex. couleur de peau, religion)
3) catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet : la personne met les critères, mais ils sont imprécis, nécessitent une évaluation (ex. un mauvais ou un bon politicien)

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19
Q

Qu’est-ce que comprend l’utilisation des catégories ? (2)

A

l’induction
la déduction

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20
Q

Que signifie l’induction et la déduction ?

A

1) induction : quand on essaye de dire dans quelle catégorie dans quelle catégorie appartient quelqu’un
2) déduction : se servir d’une catégorie pour décrire une personne
(les deux processus sont inverses)

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21
Q

Qu’est-ce qu’un stéréotype ?

A

Croyance qu’une personne entretient à propos des caractéristiques des membres d’un groupe. Ils peuvent êtres positifs, négatifs, ou neutres.

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22
Q

Qu’est-ce que la différence entre les catégories et les stéréotypes ?

A

Les catégories concernent les groupes de personnes
Les stéréotypes concernent des informations à propos des gens qui se ressemblent.

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23
Q

Lors de la catégorisation sociale, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes ______ et de _______.

A

1) assimilation
2) différenciation

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24
Q

Qu’est-ce que l’assimilation ?

A

Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe.

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25
Q

Qu’est-ce que la différenciation ?

A

Accentuation des différences entre les individus appartenant à des groupes distincts.

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26
Q

La combinaison de l’accentuation et la différenciation amène les gens à percevoir à tort que les membres de l’exogroupe sont _________ de ceux de l’endogroupe.

A

très différents

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27
Q

Le processus de catégorisation appliqué à soi peut se dérouler à trois niveaux, lesquels ?

A

1) Niveau supra ordonné : l’individu se catégorise comme être humain, il réalise des comparaison entre l’espèce humaine et d’autres espèces

2) Niveau intermédiaire : l’individu catégorise comme membre d’un groupe ; il réalise des comparaisons intergroupes. (surtout lorsque identités sociales)

3) Niveau subordonné : l’individu se catégorise comme une personne singulière ; il réalise des comparaisons interpersonnelles et des comparaisons intragroupes (surtout interpersonnelle)

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28
Q

Qu’est-ce que la dépersonnalisation ?

A

Perception de l’individu comme étant un exemplaire d’une catégorie sociale ; qui possède les traits stéréotypiques qui définissent son endogroupe. (peut être - ou +)

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29
Q

Qu’est-ce que l’unicité ?

A

Perception de l’individu comme étant un être unique ; qui possède un ensemble de caractéristiques qui lui est propre et qui n’est partagé par personne d’autre. (peut être + ou -)

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30
Q

Qu’est-ce que la catégorisation croisée ?

A

Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales.

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31
Q

Qu’est-ce que la catégorisation multiple ?

A

Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories - donne l’impression que l’endogroupe est plus grand, réduit les risques de préjugés.

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32
Q

Qu’est-ce que la comparaison sociale ?

A

En l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évaluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres.

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33
Q

Qu’est-ce que la comparaison ascendante ?

A

Se comparer à des personnes que nous jugeons supérieures à soi.

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34
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients de la comparaison ascendante ?

A

Avantage : les gens supérieurs peuvent servir de modèle qu’on veut atteindre
Inconvénient : atteinte à notre estime de nous

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35
Q

Qu’est-ce que la comparaison descendante ?

A

Se comparer à des personnes que nous jugeons inférieures à soi.

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36
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients de la comparaison descendante ?

A

Avantage : Bon pour l’estime
inconvénient : mauvais pour la motivation, ne pas vouloir s’améliorer

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37
Q

La théorie des processus de comparaison sociale postule que “qui se ressemble s’assemble”. Si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit _________ au cours du temps.

A

s’accentuer

38
Q

Il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses ________ et ________ personnelles.

A

1) opinions
2) aptitudes

39
Q

À l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence comme terme de comparaison ceux dont __________

A

l’opinion ou l’aptitude est plus proche que de notre opinion ou aptitude.

40
Q

La tendance à se conformer à autrui décroit à mesure ________ la différence entre soi et cet autre.

A

augmente

41
Q

Trop de divergence intragroupe mène à ________

A

la pression à l’uniformité

42
Q

Selon la théorie des comparaisons sociales, que se produit-il s’il n’y a pas de moyens objectifs non sociaux d’évaluer nos opinions et aptitudes?

A

l’individu va chercher un point de comparaison pertinent

43
Q

Selon la théorie des comparaisons sociales, que se produit-il si on ne peut pas se comparer avec les opinions et aptitudes des autres ?

A

l’individu éprouve de la difficulté à se définir.

44
Q

À l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence comme terme de comparaison ceux dont l’opinion ou l’aptitude est ______ de notre opinion ou aptitude.

A

plus proche

45
Q

Quels sont les 3 options lorsqu’il y a pression à l’uniformité.

A

1) Changer pour faire comme les autres
2) Tenter de changer les autres pour qu’ils nous ressemblent.
3) Trouver un point de ressemblance

46
Q

Pourquoi certains disent que les aptitudes ne peuvent pas débouché sur un état d’équilibre ?

A

Il existe un mouvement unidirectionnel vers le haut - une tendance à vouloir toujours faire mieux = pas de repos social

47
Q

La pression à l’uniformité dans un groupe dépend de (2 choses)

A

1) L’importance du groupe pour l’individu
2) La pertinence de l’opinion ou l’aptitude pour le groupe

48
Q

Qu’est-ce que l’accent sur la différence (théorie Lemaine).

A

La référence à autrui conduit à la différenciation lorsqu’elle fait peser sur une menace sur l’identité.

49
Q

Comment la restauration de cette identité se fait (théorie accent sur la différence) ?

A

À travers la recherche de la différence, de l’altérité, de la création puis de l’accentuation de l’hétérogénéité.

50
Q

Expliquez le processus de différenciation.

A

1) L’individu se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité)

2) Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de se sentir et agir.

3) Tentative de faire reconnaitre et de faire accepter ces nouveaux critères

4) Tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable : tentative de substituer l’ordre ancien un ordre nouveau

51
Q

Selon les théories sur les processus relationnels et dynamiques de Grotevant, qu’est-ce qui détermine la probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire ?

A

L’interaction entre :
- les caractéristiques individuelles
- les facteurs contextuels
- les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines

52
Q

Nommez des caractéristiques individuelles qui influencent l’identité.

A
  • estime de soi
  • contrôle de soi
  • résilience
  • l’ouverture
  • capacités cognitives
  • identité actuelle
53
Q

Expliquez le caractère transactionnel du processus (Grotevant)

A

Le contexte influence continuellement la personne en développement, et la personne influence continuellement le contexte dans lequel elle évolue.

54
Q

Quels sont les 3 styles de traitement de l’info, selon Berzonsky)

A
  1. Style orienté vers l’information
  2. Style orienté vers la norme
  3. Style orienté vers la personne

L’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu.

55
Q

Expliquez l’articulation entre similitude et différence, selon le modèle de la conformité supérieure.

A

Pour un ensemble d’individus défini, il existe en général une importante tendance de chacun à affirmer qu’il est lui-même plus conforme aux normes en vigueur dans cet ensemble que ne le sont les autres personnes.

56
Q

Quels sont les éléments du processus de conformité supérieure de soi ?

A
  1. L’individu tend à se valoriser face aux autres.
  2. Il y a un conflit entre ;
    le désir de plaire
    la volonté de préserver son identité personnelle
  3. Il n’y a qu’une seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres normes sociales.
57
Q

Qu’est-ce que l’attribution ? (Weiner)

A

Jugement (inférence) porté sur un évènement : interprétation personnelle de la réalité.

58
Q

Une attribution peut être faite : (2 éléments)

A

pour soi-même : attribution de l’acteur ou auto-attribution

pour autrui : attribution de l’observateur ou d’une hétéro-attribution

59
Q

Selon les théories de l’attribution, l’acteur à d’abord tendance à se juger lui-même à partir de ce qu’il voit : le _______ en premier, le ________ en second.

A

1) contexte
2) lui-même

60
Q

Selon les théories de l’attribution, l’observateur à tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voir : __________ en premier, le ________ en second.

A

1) l’acteur en premier
2) le contexte

61
Q

Nommez les 3 dimensions causales des attributions (Weiner).

A

1) Lieu de causalité (origine de la cause)
(interne - externe ; très subjectif)

2) Contrôle (degré avec lequel la cause peut être affecté par la volonté) (contrôlable-incontrôlable)

3) Stabilité (possibilité pour la cause de varier dans le temps) (stable-instable)

62
Q

Qu’est-ce que le biais de complaisance ?

A

Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes. (on le fait pour soi)

63
Q

Qu’est-ce que l’erreur d’attribution fondamentale ?

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous-estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui. (critique que l’on reçoit des autres)

64
Q

Qu’est-ce que le biais de responsabilité injustifiée ?

A

Tendance à porter le blâme à la victime.

65
Q

Qu’est-ce que la croyance en un monde juste ?

A

Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qui lui arrive.

66
Q

Qu’est-ce que l’autodépréciation ?

A

La personne émet, sincèrement ou non, des jugements défavorables à son propre égard.

67
Q

Qu’est-ce que la résignation acquise ?

A

Réponse apprise résultante de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, à fuir ou éviter.

68
Q

Quelles sont les 2 façons de faire du favoritisme endogroupe ?

A

1) quand les autres valorisent l’endogroupe
2) en dévalorisant l’exogroupe

69
Q

Qu’est-ce que l’erreur d’attribution ultime ?

A

Une composante désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est l’inverse qui se produit.

70
Q

Quels sont les deux processus à la base du développement de l’identité, selon Breakwell.

A

1) assimilation-accomodation
2) évaluation

71
Q

Expliquez l’assimilation-accomodation de Breakwell.

A

Assimilation : absorption d’informations nouvelles dans la structure de l’identité (faire ses expériences)

Accomodation : réfère à l’ajustement qui se produit dans la structure existante pour placer cette info. (comparé à ce que je connais déjà)

72
Q

Expliquez l’évaluation de Breakwell.

A

elle implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité.

73
Q

Qu’est-ce que le style orienté vers l’info ( Berzonsky) ?

A

La personne explore activement et évalue l’information pertinente avant de s’engager. (lien avec assimilation-accomodation)

74
Q

Qu’est-ce que le style orienté vers la norme ( Berzonsky) ?

A

La personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle.

75
Q

Qu’est-ce que le style orienté vers la diffusion ( Berzonsky) ?

A

La personne tend à retarder et à faire trainer les choses jusqu’à ce que des valeurs hédonistes dans la situation immédiate lui dictent une voie de comportement. (la personne ne pense pas beaucoup à elle-même, sauf si elle pense que ça va lui apporter qulquechose).

76
Q

Que disent Kunnen et Bosma des processus ?

A

Nature itérative du processus : le développement de l’identité est un enchainement de transactions : le même mécanisme se répète encore et encore, de telle façon que le développement à long terme est déterminé par une séquence de processus à court terme.

77
Q

Les changements dans la personne ou le contexte peuvent conduire à des changements dans les engagements.

A
78
Q

Qu’est-ce que la représentation personnelle ?

A

Image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes et intergroupes.

79
Q

Quels sont les 3 types de représentation identitaire ?

A

Personnelle
Sociale
Collective

80
Q

Qu’est-ce que la représentation personnelle ?

A

Image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes et intergroupes.

81
Q

Quelles 3 réflexions que les chercheurs ont porté quant à la représentation personnelle.

A

1) Comment se forme une telle structure
2) Comment sont organisés les informations en mémoire ?
3) Quels sont les rôles de la représentation personnelle dans le traitement de l’information sur soi

82
Q

Quelles sont les étapes de la formation de la représentation personnelle de la naissance à l’âge adulte.

A
  1. Age préscolaire : caractéristiques observables - corps
  2. Âge primaire : compétences - se comparer selon les habiletés
  3. Pré-ado : relations à autrui - changements physiques
  4. Adolescence : englobe tout - relations amoureuses, avenir, etc.
83
Q

Quels sont les utilités des représentations personnelle ?

A
  1. valorisation de soi
  2. vérification : confirmer
  3. la qualité de l’évaluation de soi
  4. l’amélioration de soi
84
Q

Qu’est-ce que la représentation sociale ?

A

Image que la personne a des catégories sociales et des groupes sociaux.

85
Q

Qu’est-ce que l’élaboration sociocognitive ?

A

Réflexion sur les connaissances acquises dans les relation sociales. (réflexion approfondie)

86
Q

Les représentations sociales sont liées à (2 concepts).

A

1) aux asymétries des positions sociales
2) aux croyances partagées par les membres d’un groupe

87
Q

Quelles 3 dimensions affectent surtout le niveau hiérarchique des positions sociales ?

A
  1. Le capital économique
  2. Le capital culturel (connaissances, habiletés et capacités des individus)
  3. Le genre (personnalité féminine = émotionnel et personnalité masculine = cognitif plutôt que homme/femme)
88
Q

Le niveau hiérarchique affecte ________ et __________ des différents individus du groupe.

A

1) degré de pouvoir
2) d’influence des différents individus du groupe

89
Q

Quels sont des croyances partagées ?

A

L’environnement social ne se résume pas seulement à des individus et à des groupes sociaux. Il est aussi peuplé d’objets sociaux qui influencent les individus et les groupes qui y adhèrent.

90
Q

Qu’est-ce qu’un objet social ?

A

Représentation partagée par plusieurs personnes. (Ex. américains et port d’armes)

91
Q

Quelles sont les les diverses fonctions pour notre adaptation ?

A
  • Susciter des prises de positions communes ou divergentes
  • Jouer un rôle d’affirmation et de distinctivité d’un groupe
  • réguler l’identité
92
Q

Qu’est-ce que la représentation collective ?

A

Ensemble des savoirs produits par une société dans sa globalité. (Ex. les gens d’Amérique du Nord sont plus pour la démocratie) - caractère transversal qui traversent une société