THÈME 2 (partie 2) Flashcards

1
Q

erreur d’attribution fondamentale?

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sous- estimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui

-peut se produire même si les causes externes sont évidentes

-augmente nb erreurs possibles

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2
Q

explications de l’erreur d’attribution fondamentale? (2)

A

-effet de saillance
-jugement rapide

Les 2 explications sont possibles ou les deux en même temps aussi

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3
Q

jugement rapide?

A

on prend moins d’info dans notre jugement
C’est plus facile sur le plan cognitif, c’est plus facile faire une attribution interne/dispositionnelle vs situationnelle car celle situationnelle bcp de choses à regarder dans le contexte

(bruits, meteo, chaleur) = plus difficile dans le plan cognitif

Lorsqu’on fait un jugement rapide = plus de chances de faire attributions dispositionnelles car demande moins d’effort cognitif

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4
Q

erreur d’attribution fondamentale
-étude de Jones et Harris

A

les personnes ont porté un jugement sur le réacteur sans tenir compte du contexte; obligé d’écrire un texte pour ou contre (position assignée) dans les deux dernières colonnes = erreur d’attribution fondamentale
-participants se sont laissé influencer par le contenu du texte

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5
Q

effet de saillance?

A

Une information saillante est une information qui est marquante, qui attire et retient l’attention. Cette information suscite davantage des émotions et elle est plus facilement retenue.
La saillance d’une information peut dépendre de certains aspects, notamment : - le contexte,
- le point de vue du percevant.

Ce qui est le plus remarquable a plus de chance d’être utilisé pour faire l’attribution.

*on la remarque plus que les autres, pas qu’elle est plus importante

*inhabituel dans un contexte
*les choses négatives sont plus saillantes
*point de vue du percevant; pas même interprétation, etre placer dune certaine facon peut influencer (auditif, visuel)

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6
Q

Quand qqn fait une action et quon le regarde, on a tendance a regarder la personne; elle attire plus notre attention -> plus de chance de faire quelle sorte d’attribution?
lien entre quoi et quoi?

A

une attribution dispositionnelle (interne/ sur la personne)/ le contexte devient en arrière plan

(lien de l’effet de saillance et l’erreur de l’attribution fondamentale)

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7
Q

étude de Taylor et Fiske
-Différence de point de vue
en rapport avec erreur d’attribution fondamentale
- 2 personnes dans le centre qui doivent discuter; 2 complices du chercheur -> scénario où personne se démarque par rapport à l’autre, mêmes nb darguments = discussion équivalente entre les 2

Autour = les 6 participants qui écoutent la discussion

Après 20 min, demande qui a pris le plus de place
résultats?

A

1 et 2 : disaient B
3 et 4 : disaient A
5 et 6: disaient équivalents

Quand on regarde qqn de face, elle est plus saillante pour nous; attention plus attirée vers qqn de face, voir ses gestes = plus de chance quon l’écoute et quon retienne l’information qu’elle dit

Le plus remarquable a plus de chance detre utiliser pour faire notre attribution = erreur d’attribution fondamentale

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8
Q

biais de responsabilité injustifiée?

A

Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle.

**faut qu’il y ait une victime
**biais fait par l’observateur

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9
Q

quand le biais de responsabilité injustifiée se produit davantage?

A

-si les conséquences sont graves pr la victime

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10
Q

4 explications de pourquoi un observateur fait le biais de responsabilité injustifiée?

A

1.Se rassurer elle-même, sentir que si on fait pas comme lui, une telle chose ne pourra pas m’arriver

2.Surcharge émotive ex: mère qui son enfant sest fait frappé par une auto; elle dit qu’est ce que ta pensé à traverser la rue..elle le chicane (sur le choc, surcharge émotive car inquiète -> tendance à moins bien réfléchir, notre cerveau ne peut traiter en meme temps tout/ lors dune émotion forte, notre cerveau est déjà très occupé -> moins d’énergie pour réfléchir
-sur le coup de la colère on dit des trucs moins bien réfléchis

3.Croyance en un monde juste ex: le karma

4.Biais rétrospectif; on reçoit une info nouvelle mais on a l’impression quon connaissait déjà l’info, on se dit quon aurait pu prévoir l’événement = illusion, la new info on la mémorise avec dautres infos déjà connues, on a donc l’impression qu’on la connaissait déjà
Ex; chercheur qui donne une fin différente à une guerre à 4 groupes et demande à eux s’ils auraient pu deviner avant le savoir et ils ont tous dit oui peu importe la fin
*jaurait pu savoir que ca aurait pu arriver

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11
Q

biais rétrospectif?

A

Fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle. Ceci nous amène, entre autres, à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé.
->contribue au biais de responsabilité injustifiée

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12
Q

biais de complaisance?

A

Tendance à attribuer nos succès et bons comportements à des facteurs dispositionnels (internes) et nos échecs et mauvais comporte- ments à des facteurs situationnels (externes).

Succès = facteurs dispositionnels (internes)
Échecs = facteurs situationnels (externes)

*biais commis par un acteur, quand on se juge soi-même
*très lié à notre estime de nous-même, pour garder notre estime, adaptatif = bien de le faire mais ya des limites

*Personnes dépressives et qui ont une basse estime ne le font pas; meme quand ça va bien disent que cest leur faute

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13
Q

explications du biais de complaisance? (4)

A

Pour protéger notre estime de soi.
Pour faire bonne impression aux autres.
Influence de nos attentes.
Influence du biais égocentrique jumelé à une perception positive de soi (liés à la mémoire).

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14
Q

influence de nos attentes -explication biais de complaisance?

A

*Influence de nos attentes: explication uniquement quand on s’attendait à réussir
Ex: pense réussir son exam de math, si il réussit, il s’attendait à réussir donc ce quil pensait est arrivé -> attribution interne (si résultat correspond à ce qu’il pensait, cest interne car ce quil pensait est interne)
Si échec, ne correspond pas à ses attentes de départ internes, donc l’explication doit être externe selon eux = mauvais jumelage cognitif

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15
Q

Influence du biais égocentrique jumelé à une perception positive de soi (liés à la mémoire).
-explication du biais de complaisance?

A

*Biais égocentrique + perception positive de soi peut mener à biais de complaisance (les deux combinés)
-Biais égocentrique: on a l’impression qu’on en a fait plus que les autres dans une activité avec d’autres personnes -> impact sur mémoire
-se produit car plus facile se rappeler les choses quon a fait, que les choses que l’autre a fait (elle se voit le faire, mais elle a moins retenu les choses de lautre car pas vu)
-perception positive de soi: lié à l’estime/ dans notre mémoire, on veut plus se rappeler les choses positives qu’on a fait -> impact sur mémoire

Quand on fait quelque chose de positif, om a plus tendance a dire que cest grâce à nous vs négatif = négatif car on se rappelle plus ce qui vient de ns meme et de positif

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16
Q

biais égocentrique?

A

Biais qui amène un individu à exa- gérer dans ses souvenirs la part qu’il a pris dans des activités collectives

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17
Q

étude de Bergquist
-biais de complaisance
-questions sur comport. bons pr environnement
-ensuite participants donnaient leur avis sur fréquence comport chez leurs amis, leurs concitoyens et eux mm
résultats? +lié à quel autre biais?

A

De manière générale, les participants se perçoivent comme étant plus respectueux de l’environnement que les autres. Ils ont des convictions exagérées quant à leur propre contribution à l’atténuation des changements climatiques.
Cette perception est observée chez : - 86% des participants en Inde,
72% des participants au Royaume-Uni,
64% des participants aux États-Unis,
51% des participants en Suède.
*les participants se perçoivent comme étant plus respectueux de l’environnement que les autres
-lié au biais égocentrique ici/ tu te rappelles plus de tes propres bonnes actions, plus d’exemples de soi-même

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18
Q

autohandicap?

A

Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès.

-fait par un acteur
-l’excuse est donnée AVANT l’action au cas qu’il y ait échec
-Si la personne échoue, elle peut dire: je vous l’avais dit/ si elle réussi: jai réussi malgré que j’aille mal à la main (son excuse de départ) -> va pouvoir se valoriser

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19
Q

2 types d”autohandicap?

A

Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une tâche.
-on prévient les autres avant que ca arrive (que ca soit vrai ou pas)

Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de participer à une tâche.
-plus problématique, on se crée vraiment des obstacles pr vraiment pas réussir, bcp chez ceux avec peu d’estime/ pour pas perdre la face, préfère se mettre ds une situation qui va expliquer leur échec ex: se blesser avant une compétition donc réussi pas et dit cest normal car il était blessé
(études chez sportifs de haut niveau ou chez les enfants vs la pression de leurs parents) -> mécanisme pour éviter de perdre la face

20
Q

explications autohandicap
(2)

A

Pour protéger notre estime de soi.
Pour faire bonne impression aux autres.

21
Q

différence acteur-observateur
-l’acteur a plus tendance à faire quel genre d’attribution? et l’observateur?

A

L’observateur a plus tendance a faire des attributions dispositionnelles
L’acteur a plus tendance à faire des attributions situationnelles

22
Q

étude de Hansen, Kimble, Biers
-2 personnes qui se connaissaient pas, doivent discuter 5 min, le chercheur leur a attribué un rôle 1.amical 2.lautre agir pas amical
4 groupes; 2 amical ensemble, 2 non amical, 1 des 2 rôles

Après le 5 min, doivent faire 2 évaluations: trait amical pour l’autre et eux-même

résultats + 2 explications?

A

Quand on porte le jugement sur lautre personne, si non amical, plus tendance à dire non amical et si amical, plus tendance a dire amical (juste 5 min pr former un jugement)
Quand on s’évalue nous-mêmes, ils jugent que généralement on est amical peu importe le groupe auquel il était assigné (plus d’informations, plus que 5 min, on sait que ds la vie on est plus amical)

Explications:
-différence de perspective: entre observateur et acteur; quand on observe qqn, quest ce qui est plus saillant, cest lautre personne (raisons dispositionnelles car lautre est plus saillant (la personne)) vs quand on se juge soi-mm, on se voit pas, on voit l’environnement donc en temps qu’acteur, on a des explications situationnelles davantage

-quantité d’infos disponibles qui joue; plus d’infos sur nous-mm que sur les autres, quand on interprète nous mm, on est plus nuancé

23
Q

étape: intégration de l’information?
-3 approches?

A

Informations combinées ensemble pour former une image de la personne
3 processus d’intégration; les 3 sont testés et validés

1.Approche GESTALTIQUE
2.Approche ASSOCIATIONNISTE
3.Approche COGNITIVE

24
Q

approche gestaltique
-théorie de la gestalt (général)

A

-Les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments.
-le tout est plus grand que la somme de ses parties
-développée pour comprendre nos perceptions en premier
-Notre cerveau est équipé pour faire rapidement un tout, une image globale cohérente
-Le tout va être plus cohérent
-Le cerveau faire de la cohérence rapidement meme avec des éléments qui semblent pas aller ensemble

25
Q

Approche gestaltique
-Études de Asch -Étude 1
Liste de traits donnés, décrit une personne -> doivent dire à quel point le trait dans l’autre liste décrit la personne

A

Les résultats varient selon la liste de départ; perception de la générosité dépend vrm

Plus de différences entre les 2 premières listes vs les autres

26
Q

Approche gestaltique
-Études de Asch -Étude 2
2 groupes qui reçoivent une liste, mêmes traits mais en ordre inversé

A

Réponses varient; perception change selon ce quon connait déjà
groupe 2 est perçu bcp moins heureux; les memes traits dans la liste mais les plus + sont à la fin

27
Q

études de Asch -conclusions générales

A

Il y a une interaction entre les traits observés. (études 1 et 2)

Certaines caractéristiques de la cible ont un plus grand impact que d’autres dans le processus de formation d’impression. Un effet de centralité est observé. (étude 1)

L’ordre de présentation des caractéristiques influence notre perception globale. Un effet de primauté est observé. (étude 2)

28
Q

effet de centralité?

A

Les informations auxquelles nous accordons plus d’importance influencent davantage le sens donné aux autres informations reçues.

29
Q

effet de primauté?

A

Les premières informations reçues sont mieux retenues et elles influencent le sens donné aux informations obtenues par la suite.

30
Q

Approche associationniste
-selon cette approche, processus d’intégration?

A

-on évalue séparément chacune des caractéristiques et après on les combine dans un tout

31
Q

Approche associationniste
-règle de la moyenne pondérée par Anderson

A

Chaque caractéristique est évaluée selon sa PRÉSENCE et selon l’IMPORTANCE

Ensuite, les résultats de ces évaluations individuelles sont additionnés et, enfin, le résultat de cette addition est divisé par le nombre de caractéristiques (calcul de la moyenne).

Chacune des caract est évaluée séparément, divisé par nb de caract

Valeur = présence (objectif)
Poids = importance (subjectif)

32
Q

Facteurs influençant le poids accordé à chacun des traits
-approche associationniste/ règle de la moyenne pondérée

A

La source de l’information:
vient de la personne quon observe, commentaire de qqn d’autre,../ plus on fait confiance à la source, plus on va accorder de poids à l’information

La valence de l’information:
fait référence à une évaluation + ou - / on accorde plus de poids aux informations négatives (on veut pas les avoir, ca nous dérange plus)

La normalité de l’information:
plus de poids aux infos inhabituelles dans notre jugement/ lien avec la saillance (choses inhabituelles sont plus saillantes)

La séquence des informations recueillies:
accorde plus de poids aux premières informations reçues = effet de primauté (comme dans approche gestaltique)

33
Q

Approche cognitive; processus d’intégration selon cette approche?

A

-Strictement associée au fonctionnement de notre mémoire
-différents groupements faits par notre mémoire qui nous apportent graduellement vers un tout

1.quand on rencontre qqn pour la première fois, on accumule des infos (info 1,2,3,4,5,6)
-dans notre mémoire, différentes stratégies pour retenir info; une = faire des groupements pour faire un seul élément = plus simple
2.On retient juste le trait général
3.Permet de former une impression initiale, si on continue à accumuler des informations, on va avoir bcp de traits en tête, notre cerveau fait un nouveau regroupement avec les traits généraux pr former une impression globale
4.Impression globale est très générale, pas tant descriptible en mots; en général une bonne personne, sympathique qui vient de différents traits qui viennent de petits détails

34
Q

exactitude des impressions
-en général, on est comment?

A

On est assez exactes en général mais on a des biais donc on peut faire des erreurs

En général, on est assez bons

35
Q

exactitude des premières impressions
-facteurs qui aident à en former plus exactes que d’autres

A

Les indices visuels venant de la personne observée (caractéristiques physiques, tenue vestimentaire, comportements et expressions non verbales)

Le fait que certains traits de personnalité s’accompagnent de comportements particuliers

Les propos exprimés verbalement par la personne

Notre volonté à être exact

Notre connaissance des risques d’erreur

L’utilisation de stratégies mentales efficaces

36
Q

tenir compte du contexte
exactitude globale vs exactitude circonscrite

A

Exactitude globale:
Lorsque nous portons un jugement général sur une personne, indépendamment du contexte dans lequel nous l’observons, il peut arriver que notre jugement soit exact ou non.
Mais le risque de se tromper est plus élevé parce que la personne peut être différente selon le contexte dans lequel elle se trouve.

Exactitude circonscrite:
Lorsque nous évaluons une personne en lien avec un contexte précis, il y a plus de chances que notre jugement soit exact.

donc Éviter les généralisations si juste vu dans un contexte

37
Q

quelle type d’erreur on est susceptible de commettre en faisant une exactitude globale?

A

erreur d’attribution fondamentale

38
Q

ajout de nouvelles informations sur première impression?

A

Première impression a tendance à rester longtemps

Première impression, si ya juste une caract qui est pas en accord vs plusieurs récoltées, on ne change pas complètement notre façon de voir la personne

*événement particulier pr changer complètement notre impression initiale

Plus le percevant a l’opportunité de recueillir de nouvelles informations sur la personne observée, plus il peut clarifier son impression (développement de son concept de la personne)

Par contre, si les nouvelles informations ne concordent pas avec l’impression initiale, le percevant peut éprouver de la difficulté à adapter son impression, parce que cela exige un effort cognitif plus grand. Il en résulte que l’impression initiale a tendance à demeurer intacte.

même si l’impression initiale change, ce n’est généralement qu’en partie ou de manière graduelle

39
Q

Biais confirmatifs; en général?
-nommer les 3

A

Si l’impression qu’il a ne correspond pas à des préjugés/croyances qu’on avait, ca se peut qu’on se dise qu’on s’est trompés -> certaines personnes ont de la misère avec ça; quand ca correspond pas, ils vont tenter de l’expliquer, ils utilisent des biais confirmatifs

1.confirmation d’hypothèse
2.persistance des croyances
3.prophétie qui s’autoréalise

40
Q

biais confirmatif
1.confirmation d’hypothèse

A

Tendance à chercher, interpréter et créer les informations qui supportent les croyances existantes.

41
Q

biais confirmatif
2.persistance des croyances

A

Tendance à discréditer les informations qui contredisent les croyances existantes et à réinterpréter les faits de manière à confirmer ces croyances.

42
Q

biais confirmatif
3.prophétie qui s’autoréalise

A

Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre personne l’amènent à adopter certains comportements qui, eux, amènent l’autre personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.

43
Q

confirmation d’hypothèse vs persistance des croyances?

A

-dans la confirmation, on a une croyance, on va chercher des indices qui confirment nos croyances (on porte attention uniquement aux infos qui les confirment)

-persistance des croyances: on tient compte de tt les informations, celles qui confirment ou pas, celles qui ne confirment pas on va les réinterpréter pour que nos croyances restent correctes

44
Q

étude de Chapman -exemple confirmation d’hypothèse
-cas présentés à des psychologues avec un dx d’énoncé et après montre le dessin fait par le patient
-effets/résultats?

A

Les participants surestiment la fréquence des signes présents dans le dessin en fonction de la problématique du patient.

Par exemple, lorsqu’ils savent qu’ils jugent un paranoïaque, ils trouvent davantage de gros yeux dans les dessins; quand ils pensent que le patient est préoccupé par sa masculinité, ils trouvent davantage de larges épaules et de musculature développée.

Cet effet s’avère très résistant aux données contradictoires, puisque, en présence de rapports qui témoignent du contraire, les participants ne corrigent pas leurs conclusions et continuent à se baser sur leurs théories.

45
Q

Étude de Darley et Gross
-exemple de persistance des croyances
-petite fille présentée, 2 groupes de participants (attentes faibles vs élevées selon Anna qui joue dans un vidéo + description de sa famille) haut niveau de scolarité, haut niveau de stimulation vs le contraire

Elle avait une performance moyenne dans les 2 cas réellement mais interpréter selon les participants
Si pas vue avant, groupes contrôles

A

Si vue avant, ils ont interpréter la performance selon leurs croyances de départ/ interprétations affectées par croyances de départ

-Les participants ont interprété la performance d’Hannah en fonction de leurs croyances initiales (c.-à-d. leurs attentes).

Cette étude montre que lorsque les gens ont une croyance sur quelque chose, ils peuvent interpréter les nouvelles informations pour aller dans le même sens que leur croyance.

les groupes qui l’avaient pas vu, pas bcp de différences entre attentes faibles et élevées

46
Q

exemple prophétie qui s’autoréalise
Laura soupçonne que sa nouvelle collègue de bureau est une personne grincheuse, snob et égocentrique.
Laura évite alors de lui parler. Elle lui dit à peine bonjour
En retour, sa collègue ne se sent pas appréciée et, pour éviter les regards et commentaires négatifs de Laura, elle préfère rester à l’écart.
Laura interprète l’attitude de sa nouvelle collègue comme une confirmation de ses soupçons, sans réaliser qu’elle en est la cause.

A

Cest à cause des comportements du percevant que les comportements de lautre vont venir confirmer ses croyances

faut que les 3 liens soient fait; si un pas présent, cest pas ça

1.croyances du percevant
2.impact sur comportement du percevant envers la cible
3.impact sur comport de la cible envers le percevant
4.cela vient confirmer les croyances du percevant