Thème 2 : Impression et attribution Flashcards

1
Q

Quelles sont les étapes de la formation d’impressions ?

A
  1. Observations: recueillir informations (apparence, comportement, contexte)

=> 1ère possibilité: jugement rapide qui résulte à la formation directe d’une impression

=> sinon on continue aux prochaines étapes:

  1. Attribution: porter une interprétation selon les informations recueillies =>
  2. Disposition : caractéristiques de la personne observées

4.Intégration: processus qui sert à combiner les dispositions pour former image globale
=> 5. Impression

  1. Biais confirmatifs: se présentent lorsque l’observateur a des croyances ou préjugés/ servent à garder les croyances intactes lorsque les impressions ne correspondent pas aux croyances/préjugés
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2
Q

Pourquoi dit-on que les premières impressions sont très importantes ?

A

Car elles influencent la façon dont les autres traitent les informations reçues sur une personne => influencent prochaines impressions

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3
Q

Quelle est la conclusion de l’étude sur la rapidité de la formation d’une impression ?

A

Que les participants aient eu un temps illimité ou limité

=> les participants ont les mêmes premières impressions

Pas besoin de beaucoup de temps pour se former une impression

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4
Q

Selon les théories évolutionniste et cognitive, pourquoi sommes-nous autant rapides pour se former des impressions ?

A

1, Évolutionniste: afin de repérer rapidement les sources de danger pour assurer la survie

  1. Cognitif: le cerveau s’est développé en conséquence : des parties de notre cerveau sont équipées pour réagir rapidement en présence d’un stimulus négatif (amygdale) et positif
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5
Q

Quelle est l’influence de l’apparence physique sur les impressions ?

A
  • Apparence = premier et des fois seul indice pour se former une impression
    => influence aussi notre attitude

*Nous avons des idées préconçues

*Beauté amène attentes positives

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6
Q

Comment sont perçus généralement les hommes avec vs sans barbe ?

A

Avec barbe: perçu comme étant plus masculin, plus matures, plus dominants, plus courageux

Domaine du travail, les hommes pas de barbe/rasés sont plus avantagés: donne impression de discipline

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7
Q

Autres que l’apparence physique, quels autres éléments peuvent avoir de l’influence lors de la formation d’une impression ?

A
  • Les comportements
  • Les expressions non verbales
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8
Q

Selon les études, quelles sont les six familles d’états émotionnels universels qui résultent de l’évolution de l’espèce humaine ?

A
  • Colère
  • Peur
  • Dégout
  • Joie
  • Tristesse
    => émotions de “Inside Out”
  • Surprise
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8
Q

Quelles sont les perceptions accordées selon de le regard ..

Regard maintenu ?
Regard fuyant ?
Regard fixe et soutenu ?
Regard vers le bas ? Nuance ?

A

Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.

Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide.

Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.

Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis.

=> Nuance: Aspect culturel: dans certaines cultures notamment asiatique, éducation => baisse des yeux : respect des figures d’autorité

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8
Q

Que peut permettre le contexte ?
Comment peut-il aider ?

A

Le contexte permet parfois de mieux situer l’émotion/nous aide à interpréter

MAIS dans certains cas, le contexte peut induire en erreur

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9
Q

Qui suis-je ?

Jugement (inférence) porté sur une personne, une situation, un événement.
Interprétation personnelle de la réalité.

A

Attribution

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10
Q

Quels sont les deux types d’attribution concernant envers qui l’attribution est posée ?

A

Attribution de l’observateur ou hétéro-attribution : attribution envers/pour les autres

Attribution de l’acteur ou auto-attribution : envers soi-même

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11
Q

Quels sont les 3 types d’attribution ayant chacun des buts particuliers?

A

Attributions causales (Pourquoi?)
But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.

Attributions dispositionnelles
(Qui est?)
But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir.

Attributions de responsabilité
But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit.

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12
Q

Quels sont les 2 types de théories d’attribution et quelle est leur utilité ?

A

Théories de l’Attribution : Servent à comprendre le processus qui mène à l’attribution

Théories attributionnelles: servent à comprendre les conséquences suite à l’attribution

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13
Q

Quelles sont les deux causes possibles pour expliquer les comportements ?

A

Peut être fait par observateur (envers les autres) ou acteur (envers soi)

Cause interne, dispositionnelle ou reliée à la personne : cause est la personne = c’est de ma faute / c’est de sa faute

Cause externe, situationnelle ou reliée au contexte : cause est la situation

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14
Q

Quelles sont les 3 conditions pour pouvoir utiliser la théorie des inférences correspondantes ?

A
  1. Il faut que ce soit une attribution dispositionnelle (on se questionne sur la personne)
  2. Il faut que ce soit une attribution faite par un observateur (on ne peut pas l’utiliser pour se questionner sur nous-mêmes)
  3. Seulement pour 1ère impression (peu d’informations)
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15
Q

À quoi sert la théorie des inférences correspondantes ?

A

Pour comprendre ce qui se passe dans la tête d’une personne pour faire attribution

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16
Q

Quelles sont les étapes d’une formation d’une attribution selon la théorie des inférences correspondantes ?

A
  1. Observation
    => L’observateur observe effets et actions
  2. Analyse
    => l’observateur se pose des questions
  3. Choix (obligation …)
    Attentes sociales (est-ce que c’est le genre de comportement qu’on s’attend, normes sociales?)
    => pour savoir si le comportement/attribution est réellement interne ou est externe
  4. Si attribution interne, on poursuit processus : Réponse à l’attribution
    Trouver cause
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17
Q

Qui suis-je ?

Conséquence /effet qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne aurait pu faire.

A

Effet distinctif

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18
Q

Quels sont les effets de la présence de plusieurs effets distinctifs dans la formation d’une attribution ?

A

Plus difficile de faire attribution, car plusieurs raisons peuvent expliquer choix

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19
Q

Quelles sont les 3 conditions pour utiliser la théorie de la covariation ?

A
  1. Attribution causale: pourquoi l’événement est arrivé
  2. Attribution faite par acteur ou par observateur
  3. Prend beaucoup d’informations pour pouvoir se référer à cette théorie
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20
Q

Quelles sont les 3 dimensions d’information de la théorie de la covariation ?

A

Consensus: semblable aux comportements des autres ?

Faible: si la personne est la seule à faire ce comportement
Élevé: plusieurs personnes font ce comportement

Distinction: seulement dans certaines situations vs d’autres ?

=> entité : le comportement est lié à quoi/fait par rapport à quoi ? Toujours dans la question
Faible: Pas seulement pour l’entité observée, mais plusieurs autres
Élevé: Uniquement par rapport à l’entité (comportement distinct)

Constance: on compare l’entité avec elle-même dans le temps (fréquence)
Élevé: Comportement revient souvent
Faible: comportement est rare

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21
Q

Que faisons-nous s’il manque des informations dans l’une des dimensions de la théorie de la covariation ?

A

On comble avec inférence

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22
Q

Quelles sont les 3 attributions possibles avec la théorie de la covariation ?

A

À la personne:
Si le consensus est faible.
Autrement dit, la personne est la seule à faire ce comportement.

À l’entité:
Si la distinction est élevée.
Autrement dit, la personne a un comportement particulier avec cette entité.

Aux circonstances:
Si la constance est faible.
Autrement dit, la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité.
À plus d’un de ces facteurs.

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23
Q

Quelle approche suis-je ?

Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs.

A

Approche pragmatique

24
Q

Quel est le principe de la théorie de l’économie cognitive ?

A

Répondre rapidement à une question sans aller dans les détails, en utilisant des raccourcis mentaux

Grâce à la présence d’un lien de cause à effet (avant)

et aux indices confirmatifs (après)

25
Q

Quelle est cette approche ?

Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la catégorisation, etc.

A

Traitement de l’information

26
Q

Quelles sont les 3 dimensions de la théorie de la motivation à l’accomplissement ?

A

Selon point de vue de la personne

Lieu de causalité: interne ou externe

Contrôle: à quel point l’individu a le contrôle (contrôlable ou incontrôlable)

Stabilité: stable ou instable

27
Q

Quelles sont les conséquences cognitives d’un succès vs d’un échec selon la théorie de la motivation à l’accomplissement ?

Sur quelle dimension se basent les conséquences cognitives ?

A

Se basent sur la stabilité

Succès : cause stable => attentes positives => augmentation motivation

Échec: cause stable => attentes négatives => diminution motivation

28
Q

Quelles sont les conséquences affectives d’un succès vs d’un échec (contrôlable vs incontrôlable) selon la théorie de la motivation à l’accomplissement ?

Sur quelle dimension se basent les conséquences affectives ?

A

Succès : cause interne contrôlable ou non => fierté et augmentation SE => augmentation motivation

Échec :
1. cause interne et contrôlable => culpabilité => augmentation motivation

  1. cause interne et incontrôlable => honte et diminution ES = diminution motivation
29
Q

Qui suis-je ?

État psychologique qui résulte de la venue fréquente d’événements désagréables perçus comme incontrôlables par la personne qui les vit, et menant à des états émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires.

A

Résignation acquise,apprise / impuissance acquise,apprise / incapacité acquise, apprise

30
Q

Qu’est-ce qu’un biais d’attribution ?

A

Tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec les principes théoriques usuels.

31
Q

Quels sont les types d’erreur / de bais d’attribution lorsque l’attribution est faite par l’observateur ?

A
  • Erreur d’attribution fondamentale
  • Biais de responsabilité injustifiée
32
Q

Quels sont les types d’erreur / de bais d’attribution lorsque l’attribution est faite par l’acteur ?

A
  • Biais de complaisance.
  • Autohandicap
33
Q

Quel biais / erreur suis-je ?

Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sous- estimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui.

Automatiquement la faute de la personne

A

Erreur d’attribution fondamentale

34
Q

Quelles sont les explications derrière l’erreur d’attribution fondamentale ?

A

Effet de saillance.

Jugement rapide.

Différence de point de vue

35
Q

Qu’est-ce que l’effet de saillance ?

A

Une information saillante est une information qui est marquante, qui attire et retient l’attention. Cette information suscite davantage des émotions et elle est plus facilement retenue.

36
Q

Quel biais suis-je ?

Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle.

A

Biais de responsabilité injustifiée

37
Q

Quelles sont les explications du biais de responsabilité injustifiée ?

A

Assurance quant à l’impossibilité que ça nous arrive.

Surcharge émotive qui nuit à la réflexion.

Croyance en un monde juste.

Biais rétrospectif.

38
Q

Qu’est-ce que le biais rétroactif ?

A

Fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle. Ceci nous amène, entre autres, à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé.

39
Q

Qui suis-je ?

Tendance à attribuer nos succès et bons comportements à des facteurs dispositionnels (internes) et nos échecs et mauvais comporte- ments à des facteurs situationnels (externes).

A

Biais de complaisance

40
Q

Quelles sont les explications du biais de complaisance ?

A

Pour protéger notre estime de soi.

Pour faire bonne impression aux autres.

Influence de nos attentes.

Influence du biais égocentrique jumelé à une perception positive de soi (liés à la mémoire).

41
Q

Qui suis-je ?

Biais qui amène un individu à exa- gérer dans ses souvenirs la part qu’il a pris dans des activités collectives.

=> on se souvient plus ce que nous on a fait et ce qui est positif

A

Biais égocentrique

42
Q

Qu’est-ce qu’un mauvais jumelage cognitif ?

A

pas de lien automatique entre les attentes et les résultats, explique biais de complaisance

43
Q

Qui suis-je ?

Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès.

A

Autohandicap

44
Q

Quels sont les 2 types d’autohandicap ?

A

Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une tâche.

Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de participer à une tâche.

45
Q

Quelle théorie suis-je ?

Selon cette théorie, les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments.

Notre cerveau est équipé pour former un tout cohérent avec les infos disponibles

A

Théorie de la Gestalt

46
Q

Quel est le principe de base de la théorie de la Gestalt ?

A

Le tout est plus grand que la somme de ses parties.

47
Q

Quels sont les 2 effets observés dans les études de Asch ?

A

Effet de centralité : Les informations auxquelles nous accordons plus d’importance influencent davantage le sens donné aux autres informations reçues.

Effet de primauté : Les premières informations reçues sont mieux retenues et elles influencent le sens donné aux informations obtenues par la suite.

48
Q

Qu’est-ce que l’approche associationniste d’Anderson ?

A

Règle pondérée : Chaque caractéristique est évaluée selon sa présence (valeur) et selon l’importance (poids) qui lui est accordée.

49
Q

L’approche d’Anderson est un peu le contraire de quelle approche ?

A

On évalue séparément/individuellement les caractéristiques et on les combine ensuite dans un tout
=> un peu contraire de Gestalt

50
Q

Facteurs influençant le poids (importance) accordé(e) à chacun des traits selon l’approche d’Anderson ?

A

La source de l’information : crédibilité, confiance = + poids à l’info venant de la source

La valence de l’information : on accorde plus de poids aux infos négatives pour les éviter

La normalité de l’information: on accorde plus de poids aux infos inhabituelles

La séquence des informations recueillies : on accorde plus de poids aux premières infos

51
Q

En quoi consiste l’approche cognitive ?

A

Fait des groupes d’informations semblables

52
Q

Quels sont les 2 types d’exactitudes ?

A

Exactitude globale : jugement général sur une personne, c’est-à-dire indépendamment du contexte
=> erreur d’attribution fondamentale

Exactitude circonscrite : Lorsque nous évaluons une personne en lien avec un contexte précis
=> + de chance que ce soit exact

53
Q

Quel type de biais confirmatif suis-je ?

Tendance à chercher, interpréter et créer les informations qui supportent les croyances existantes.
=> on porte attention uniquement aux informations qui confirment

A

Confirmation d’hypothèse

54
Q

Quel type de biais confirmatif suis-je ?

Tendance à discréditer les informations qui contredisent les croyances existantes et à réinterpréter les faits de manière à confirmer ces croyances.

=> on est attentifs à toutes les infos, celles qui ne confirment pas les croyances, on les réinterprète en faveur des croyances

A

Persistance des croyances

55
Q

Quel type de biais confirmatif suis-je ?

Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre personne l’amènent à adopter certains comportements qui, eux, amènent l’autre personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.

A

Prophétie qui s’autoréalise

56
Q

Quelles sont les 3 étapes de la prophétie qui s’autoréalise ?

A
  1. Croyances du percevant
  2. Comportement du percevant envers la cible
  3. Comportement de la cible envers le percevant
    => confirme croyances du percevant
57
Q

Qu’est-ce que la théorie de la covariation ?

A

théorie qui explique l’attribution par la perception d’un lien entre le comportement et la cause avec laquelle il varie systématiquement dans le temps.

58
Q

Quel est le style attributionnel d’événements négatifs pour une personne en résignation acquise ?

A

Interne
Stable
Global