SSH-2 Economie Flashcards
Quelle est la part dans les dépenses de santé des soins hospitaliers ( dispensés dans les établissements publiques (80%) et privés (20%)) ?
45%
Quelle est la part dans les dépenses de santé des soins ambulatoires (médecins (50%), auxiliaires médicaux, dentistes, analystes, cures thermales)
25%
Quelle est la part dans les dépenses de santé des médicaments ?
22%
Quelle est la part dans les dépenses de santé des Prothèses ?
6%
Quelle est la part dans les dépenses de santé des transports ?
2%
22) A propos du chômage :
A. Il est défini, selon le Bureau International du Travail, comme l’absence de travail pour une personne de plus de 15 ans, disponible pour travailler et recherchant activement un emploi.
vrai
22) A propos du chômage :
B. Il est mesuré par le taux de chômage.
vrai
22) A propos du chômage :
C. C’est un concept très ancien, indépendant de la notion de salariat.
faux
22) A propos du chômage :
D. Sa mesure est une source de discussions.
vrai
23) Selon la pensée de l’économiste Adam Smith :
A. La division du travail permet d’augmenter l’efficacité de la production.
vrai
23) Selon la pensée de l’économiste Adam Smith :
B. Le capital est une condition de la division du travail.
vrai
23) Selon la pensée de l’économiste Adam Smith :
C. Une économie en expansion augmente l’emploi.
vrai
23) Selon la pensée de l’économiste Adam Smith :
D. La croissance conduit à un chômage d’adaptation.
faux
24) Les dépenses de santé augmentent parce :
A. La population vieillit.
vrai
24) Les dépenses de santé augmentent parce :
B. L’éducation sanitaire contribue à augmenter les dépenses de santé.
vrai
24) Les dépenses de santé augmentent parce :
C. La sensibilisation individuelle et collective aux problèmes de santé s’accroît.
vrai
24) Les dépenses de santé augmentent parce :
D. L’assurance maladie et les assurances complémentaires financent les dépenses.
vrai
25) A propos de la régulation des dépenses de santé :
A. L’Etat est légitime pour intervenir car les marchés sont inefficaces.
vrai
25) A propos de la régulation des dépenses de santé :
B. Seule une assurance pour tous à des conditions de prime et de couverture indépendantes de l’état de santé peut assurer le traitement équitable des assurés.
vrai
25) A propos de la régulation des dépenses de santé :
C. La remontée du plafond de la sécurité sociale est un exemple d’application d’une logique redistributive.
vrai
25) A propos de la régulation des dépenses de santé :
D. L’aléa moral est le fait qu’un individu assuré a moins tendance à éviter le sinistre.
vrai
26) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
Le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes, si on ne fait pas de vaccination, est de :
A. 0 €.
faux
26) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
Le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes, si on ne fait pas de vaccination, est de :
B. 35 000 €.
faux
26) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
Le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes, si on ne fait pas de vaccination, est de :
C. 350 000 €.
faux
26) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
Le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes, si on ne fait pas de vaccination, est de :
D. 385 000 €.
vrai
27) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.27) Problème 2 : On décide de mener la campagne de vaccination. Le coût de cette
intervention plus le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes est alors de :
A. 1000 €.
faux
27) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
27) Problème 2 : On décide de mener la campagne de vaccination. Le coût de cette
intervention plus le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes est alors de :
B. 131 000 €.
vrai
27) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
27) Problème 2 : On décide de mener la campagne de vaccination. Le coût de cette
intervention plus le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes est alors de :
C. 132 000 €.
faux
27) Problème 2 : Soit une population de 1000 adultes, touchée par une maladie infectieuse épidémique bénigne. A chaque épidémie 70% de la population est atteinte sauf si plus de 50% des personnes sont protégées par le vaccin. Dans ce cas, 40% seulement des personnes non protégées sont atteintes. Le vaccin est efficace à 100%. 60 % des gens sont prêts à se faire vacciner.
Coûts de l’intervention :
Campagne d’information : 1.000C ;
- Vaccin : 47 € de vaccin + 23 € de consultation médicale ;
Coût de la maladie ;
- 5 jours d’arrêt de travail à 100€/jour en moyenne et en considérant que toute la population travaille ;
50 € de prise en charge thérapeutique en moyenne (médicaments + consultation médicale), et l’on considère que tous les malades se font soigner.
27) Problème 2 : On décide de mener la campagne de vaccination. Le coût de cette
intervention plus le coût de la maladie, pour une population exposée de 1000 personnes est alors de :
D. 158 500C.
faux
21) Les besoins suivants sont des besoins primaires :
A. l’alimentation.
vrai
21) Les besoins suivants sont des besoins primaires :
B. le logement.
vrai
21) Les besoins suivants sont des besoins primaires :
C. l’habillement.
vrai
21) Les besoins suivants sont des besoins primaires :
D. la culture.
faux
22) Le rôle des institutions financières ou des banques peut être de :
A. créer de la monnaie.
vrai
22) Le rôle des institutions financières ou des banques peut être de :
B. collecter de l’épargne.
vrai
22) Le rôle des institutions financières ou des banques peut être de :
.
C. financer des prêts.
vrai
22) Le rôle des institutions financières ou des banques peut être de :
D. collecter des impôts et taxes.
faux
23) Pour l’analyse micro-économique :
A. l’individu ne compte pas.
faux
23) Pour l’analyse micro-économique :
B. l’individu peut avoir un comportement irrationnel.
faux
23) Pour l’analyse micro-économique :
C. l’individu est hédoniste.
vrai
23) Pour l’analyse micro-économique :
D. les comportements des groupes sont essentiels.
faux
24) A propos de l’économie de la santé en France :
A. la demande de santé est théoriquement infinie.
vrai
24) A propos de l’économie de la santé en France :
B. une partie des dépenses de santé est socialisée.
vrai
24) A propos de l’économie de la santé en France :
C. les dépenses de santé sont régulées par le marché.
faux
24) A propos de l’économie de la santé en France :
D. une partie des dépenses de santé est prise en charge par les individus.
vrai
25) L’intervention de l’Etat sur l’offre de soins passe entre autres par :
A. le contrôle du volume de l’offre.
vrai
25) L’intervention de l’Etat sur l’offre de soins passe entre autres par :
B. les autorisations administratives, par exemple pour l’ouverture de lits hospitaliers.
vrai
25) L’intervention de l’Etat sur l’offre de soins passe entre autres par :
C. l’interdiction d’installation des médecins dans les zones à haute densité médicale.
faux
25) L’intervention de l’Etat sur l’offre de soins passe entre autres par :
D. la fixation centralisée des tarifs.
vrai
26) Les études coût-efficacité :
A. visent à relier les coûts d’une action médicale à ses conséquences exprimées en unité physique.
vrai
26) Les études coût-efficacité :
B. sont adaptées à l’évaluation de programmes publics.
vrai
26) Les études coût-efficacité :
C. peuvent avoir des coûts mesurés en unités non monétaires.
faux
26) Les études coût-efficacité :
D. permettent de hiérarchiser les programmes les plus efficaces.
vrai
Les études coût-utilité :
A. permettent d’évaluer un résultat comportant des effets multiples.
vrai
Les études coût-utilité :
B. imposent la mesure de la qualité de vie.
vrai
Les études coût-utilité :
C. peuvent conduire à des difficultés éthiques.
vrai
Les études coût-utilité :
D. prennent en compte une dimension temporelle.
vrai
16) Les agents économiques sont, entre autres caractéristiques :
A. doués de raison.
vrai
16) Les agents économiques sont, entre autres caractéristiques :
B. dotés de connaissances et de compétences.
vrai
16) Les agents économiques sont, entre autres caractéristiques :
C. libres d’utiliser leurs ressources.
vrai
16) Les agents économiques sont, entre autres caractéristiques :
D. capables de calcul.
vrai
17) L’analyse micro-économique :
A. s’attache à repérer les dépenses les plus petites.
faux
17) L’analyse micro-économique :
B. place l’individu au centre de l’analyse.
vrai
17) L’analyse micro-économique :
C. considère que l’individu est de nature hédoniste.
vrai
17) L’analyse micro-économique :
D. considère que l’individu est utilitariste.
vrai
18) Le rôle de l’Etat dans la régulation de l’économie de la santé :
A. est essentiel, car les marchés sont inefficaces.
vrai
18) Le rôle de l’Etat dans la régulation de l’économie de la santé :
B. repose, entre autres, sur la capacité de l’Etat à légiférer.
vrai
18) Le rôle de l’Etat dans la régulation de l’économie de la santé :
C. permet d’éviter d’avoir à réguler l’offre de soins.
faux
18) Le rôle de l’Etat dans la régulation de l’économie de la santé :
D. passe exclusivement par des décisions budgétaires.
faux
19) L’évaluation médico-économique consiste à comparer et mettre en relation avec les coûts qu’ils engendrent :
A. un ou des actes.
vrai
19) L’évaluation médico-économique consiste à comparer et mettre en relation avec les coûts qu’ils engendrent :
B. une ou plusieurs pratiques.
vrai
19) L’évaluation médico-économique consiste à comparer et mettre en relation avec les coûts qu’ils engendrent :
C. un ou des médicaments.
vrai
19) L’évaluation médico-économique consiste à comparer et mettre en relation avec les coûts qu’ils engendrent :
D. un ou des programmes de dépistage.
vrai
20) Parmi les acteurs suivants quels sont ceux qui peuvent être engagés dans les études d’évaluation médico-économique ?
A. les mutuelles.
vrai
20) Parmi les acteurs suivants quels sont ceux qui peuvent être engagés dans les études d’évaluation médico-économique ?
B. les juges.
faux
20) Parmi les acteurs suivants quels sont ceux qui peuvent être engagés dans les études d’évaluation médico-économique ?
C. les sociétés savantes.
vrai
20) Parmi les acteurs suivants quels sont ceux qui peuvent être engagés dans les études d’évaluation médico-économique ?
D. les avocats.
faux
16) Le chômage est :
A. défini par le bureau international du travail comme l’absence de travail pour une personne de plus de 15 ans disponible pour travailler et recherchant activement un emploi.
vrai
16) Le chômage est :
B. mesuré par un taux.
vrai
16) Le chômage est :
C. relié à la notion de salariat.
vrai
16) Le chômage est :
D. dit frictionne! lorsqu’il est lié au temps de recherche d’un nouvel emploi.
vrai
17) Les dépenses de santé :
A. augmentent depuis cinquante ans moins vite que le PIB.
faux
17) Les dépenses de santé :
B. sont inférieures, en France, à 10% du PIB.
faux
17) Les dépenses de santé :
C. sont du même ordre de grandeur par rapport au PIB en France et aux Etats-Unis.
faux
17) Les dépenses de santé :
D. sont pour la plus grande partie, en France, directement à la charge des ménages.
faux
18) L’Etat régule les dépenses de santé en :
A. limitant l’offre.
vrai
18) L’Etat régule les dépenses de santé en :
B. instituant des tarifs.
vrai
18) L’Etat régule les dépenses de santé en :
C. incitant les assurances complémentaires à laisser à la charge des assurés une petite partie des dépenses.
vrai
18) L’Etat régule les dépenses de santé en :
D. définissant annuellement un objectif national des dépenses d’assurance maladie.
vrai
19) L’évaluation médico-économique peut porter sur :
A. une campagne de vaccination.
vrai
19) L’évaluation médico-économique peut porter sur :
B. le dépistage systématique d’une maladie.
vrai
19) L’évaluation médico-économique peut porter sur :
C. des réseaux de soins.
vrai
19) L’évaluation médico-économique peut porter sur :
D. des dispositifs médicaux.
vrai
20) Les études coûts-bénéfices :
A. visent à mettre en relation les coûts d’une action médicale avec ses conséquences mesurées en années de vie.
faux
20) Les études coûts-bénéfices :
B. peuvent poser des questions éthiques sur ce qu’est la valeur de la vie.
vrai
20) Les études coûts-bénéfices :
C. permettent par exemple, de comparer le bénéfice économique de la dialyse rénale par rapport à la greffe rénale.
vrai
20) Les études coûts-bénéfices :
D. visent à répondre à des questions portant sur l’allocation de ressources en santé.
vrai
16) Un agent économique peut être :
A. Un ménage.
vrai
16) Un agent économique peut être :
B. Une entreprise.
vrai
16) Un agent économique peut être :
C. Une administration.
vrai
16) Un agent économique peut être :
D. Une banque.
vrai
17) Dans le circuit économique :
A. On échange des flux monétaires contre du travail.
vrai
17) Dans le circuit économique :
B. On échange des biens non marchands contre des impôts.
vrai
17) Dans le circuit économique :
C. Les banques reçoivent l’épargne des ménages.
vrai
17) Dans le circuit économique :
D. L’Etat ne produit des biens non marchands que vers les ménages.
faux
18) Les études coûts-bénéfices :
A. Visent à relier les coûts d’une action médicale à ses conséquences exprimées en unités monétaires et non monétaires.
faux
18) Les études coûts-bénéfices :
B. Ne posent jamais de difficultés éthiques.
faux
18) Les études coûts-bénéfices :
C. Posent des difficultés techniques.
vrai
18) Les études coûts-bénéfices :
D. Conduisent par exemple à déterminer le coût d’un préjudice.
vrai
19) L’ONDAM :
A. Veut dire Organisation Nationale De l’Assurance Maladie.
faux
19) L’ONDAM :
B. Comprend 7 sous-objectifs.
faux
19) L’ONDAM :
C. Comprend un sous-objectif « assurance dépendance ».
faux
19) L’ONDAM :
D. A toujours été respecté depuis sa création.
faux
20) Concernant la régulation des dépenses de santé :
A. Elle^s’appuie sur une forte capacité du système à s’autoréguler.
faux
20) Concernant la régulation des dépenses de santé :
B. L’Etat joue un rôle majeur dans cette régulation.
vrai
20) Concernant la régulation des dépenses de santé :
C. Il y a des tentatives pour introduire une régulation par les acteurs.
vrai
20) Concernant la régulation des dépenses de santé :
D. Elle nécessite des systèmes d’information justes et reconnus.
vrai