sociocognitif Flashcards

1
Q

conception de l’être humain behaviourisme vs sociocognitif

A

behaviourisme= etre humain passif. Complètement controlé par les renforcements et punitions de l’environnement. il ne peut pas faire ses propres choix

sociocognitive= etre humain peut faire ses propres choix et se créer des objectifs. quand il les atteint, il s’auto renforce. le fait d’etre capable d’atteindre ses propres objectifs renforcie le sentiment d’auto-efficacité. (sentiment detre capable de faire un comportement dans une certaine situation

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2
Q

donc pour behaviourisme, les humains font des comportements pour recevoir des recompenses de l’extérieur (comportement vient de source externe)

pour le socio-cognitf, les humains font des comportements pour atteindre leurs objectfs et recevoir de l’auto-renforcement. (comportement vient de source interne) mais aussi externe

A
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3
Q

qu’est-ce que cet exemple démontre ? j’ai un attente envers mes capacité de piloter un avion

A

auto-efficacité. savoir qu’on est compétent pour atteindre un certain objectif

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4
Q

qu’estce-qui augmente vs réduit notre sentiment d’auto-efficacité

A

atteindre des objectifs dans le passé augmente notre sentiment d’auto efficacité

ne pas atteindre d’aobjectifs le diminue

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5
Q

4 sources d’informations de l’auto-efficacité. ( sur quoi on se base pour se dire qu’on est confiant ou non en nos capacitées)

A

l’atteinte de cibles de performances: ecq on a atteint ou pas atteint des objectifs dans le passé

les expériences vicarantes: le fait de voir les autres performer augmente notre niveau de confiance (si ils peuvent je peux aussi) surtout si ces personnenes nous ressemblent) le fait de voir les autres échouer réduit notre confiance. les models sont donc important. ils nous donnent des façon aussi de bien performer. ex: je vois papa cuisiner et mtn je suis bon pour cuisiner

La persuasion verbale: Ça consiste simplement à rappeler aux gens qu’ils ont la capacité de réaliser ce qu’ils veulent (i.e. les encouragements), ce qui peut
améliorer l’efficacité personnelle. Toutefois, pour que la persuasion verbale soit efficace, elle doit être réaliste.

L’activation physiologique ou émotionnelle: Plus on se sent calme, plus notre sentiment auto-efficacité est grand; plus notre niveau de stress est élevé, plus notre
auto-efficacité est faible. Autrement dit, plus on ressent de la peur, de l’anxiété ou de la tension dans une situation donnée, moins on se sent capable d’y faire face

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6
Q

Conditions pour développer l’auto-efficacité (En lien avec les 4 sources ci-dessus)

A
  1. Exposer les gens à des expériences de réussite par le biais d’objectifs atteignables.
  2. Exposer les gens à des modèles (semblables) qui réussissent (apprentissage par observation: vicariant).
  3. La motivation verbale encourage les gens à croire qu’ils ont la capacité de réussir.
  4. Renforcer l’activation physiologique par le biais d’un régime alimentaire sain, la réduction du stress et l’exercice physique augmente la force, l’endurance et
    la capacité à faire face.
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7
Q

selon la théorie sociocognitive, quel est la principale cause des comportements

A

la cognition (pensées)

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8
Q

nomme une liste de chose que nos cognitions peuvent influencer

A

nos émotions, notre comportement, nos motivations, notr environnement

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9
Q

donnne un exemple qui explique comment la cognition peut influencer l’environnement d’une personne

A

je pense (cognition) au fait que je suis broke donc je me met en colère (émotions) ce qui rend les gens autour de moi craintif et me fuient (environnement)

jai pensé au fait que chui broke et mtn les gens me fuit.

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10
Q

behaviouriste= environnement amene à comportement

sociocognitif cognition amene à comportement

A
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11
Q

quels sont les deux causes des pathlogies selon cette théorie

A

cognition/pensées dysfonctionnelles
ex: je me dit que je suis un moins que rien = je suis dépressif

apprentissage inadapté
en observant mon grand frere j’apprend à tuer des gens= je suis un psychopate

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12
Q

selon bandura, comment se fait la majorité de notre apprentissage

A

par l’observation des autres

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13
Q

selon bandura, ecq l’apprentissage nécessite un renforcement direct

A

non, on apprend majoritairement en observant les autres se faire renforcer ou punir après avoir fait des comportement

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14
Q

Renforcement vicariant

A

Renforcement vicariant: Augmentation de la fréquence de certains comportements, qui se produit en voyant d’autres personnes récompensées pour
les mêmes actions (c’est-à-dire par l’apprentissage en observant les récompenses reçues par les autres).

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15
Q

Punition vicariante

A

Diminution de la fréquence de certains comportements, qui se produit à la suite de l’observation d’autres personnes punies pour
les mêmes actions (par exemple, par apprentissage en observant les punitions reçues par d’autres)

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16
Q

nomme un autre aspect de l’autoefficacité

A

le sentiment d’auto-efficacité se traduit pas la capacité
d’un individu à agir sur sa vie pour obtenir ce qu’il souhaite. (pcq il a confiance en ces capacités dans plusieurs aspects de sa vie donc il a le feeling quil a controle de sa vie)

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17
Q

déterminimse réciproque

A

(1)le comportement, (2) les influences de l’environnement et (3) les facteurs personnels internes (i.e. les croyances, lespensées, les préférences, les attentes et les perceptions de soi) sont tous reliés. un peu amener à l’autre c’est donc réciproque

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18
Q

cela est un exemple de quoi
Exemple: Un enfant qui n’aime pas l’école et s’en plaint régulièrement (i.e. pensées, croyances) peut agir de manière à déranger la classe (comportement);
les enseignants et autres élèves vont réagir à ce comportement déplaisant (i.e. réaction de l’environnement), ce qui renforce le sentiment d’aversion de
l’élève envers l’école (ce qui crée ultimement un environnement hostile.).

A

déterminisme réciproque

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19
Q

nomme un application pratique de l’approche socio-cognitive

A

thérapie cognitive comportemental.
combine cognition (sociocognitive) et comportement (behaviourisme)

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20
Q

lien entre l’auto-efficacité et la dépression

A

mauvais sentiment d’auto efficacité = pensées négatives sur nos capacités et mauvaise viison du future, ce qui amene à dépression

Exemple de la dépression: Une faible perception de l’efficacité personnelle est également liée au trouble dépressif. Par exemple, si vous pensez que
vous n’avez pas la capacité ou les aptitudes pour atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés, et si vous avez du mal à vous défaire des pensées
négatives qui accompagnent ces croyances négatives d’incompétences (« Je ne suis pas à la hauteur de mes attentes, et je ne vais jamais l’être »),
alors vous avez graduellement acquis une impression que l’avenir est sans espoir (i.e. la formule parfaite pour développer un trouble de type
dépressif). Important aussi, si une personne qui manque de confiance en soi sur le plan relationnel ou social, et qui ne croit pas qu’elle peut
développer les relations et obtenir le soutien des autres nécessaires pour acquérir le sentiment que la vie est satisfaisante, elle sera hautement à
risque de développer un trouble dépressif

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21
Q

à quoi amene un haut niveau d’efficacité personnelle (autoefficacité)

A

En revanche, les personnes ayant un niveau élevé d’auto-efficacité croient qu’elles peuvent faire face efficacement aux
événements et aux situations de la vie (c’est-à-dire qu’elles ont le sentiment d’avoir un contrôle personnel). Comme elles s’attendent à pouvoir surmonter
efficacement les obstacles de la vie, elles sont plus à même de persévérer dans ce qu’elles ont à faire. Ces personnes ont plus confiance en leurs capacités et
doutent moins d’elles-mêmes que les personnes ayant un faible sentiment d’efficacité personnelle. Elles considèrent les difficultés comme des défis plutôt
que des menaces, et recherchent activement de nouvelles situations. En résumé, une auto-efficacité élevée réduit la peur de l’échec, augmente les
aspirations personnelles, améliore les capacités de résolution de problèmes et favorise la pensée analytique (en plus d’augmenter les sentiments de
bonheur et de promouvoir la santé mentale et physique !)

22
Q

qu’est-ce que la spécifité situationnelle

A

cela signifie que nos comportements changent d’une situations à l’autre (contrairement à la théorie des big five selon l’approche sociocognitve nos comportements peuvent bcp changer d’ue situation à l’autre. selon cet approche, ce qui détermine nos comportement dans une certaine situation, c’est nos attentes par rapport à cette situation. ex: je m’apprette à piloter un avion mais je ne suis âs confiant et je mattend à crache. mon comportement est donc que je part en courant. dans un autre situation, je m’apprette à jouer au soccer et je suis confiant et m’attent à performer donc mon comportement est que je me rend au terrain de soccer

23
Q

empreintes comportementales

A

comment une personne agis dans une certaine situation.
ex: une personne timide va tjs agir de façon retirée dans une situation sociale en raision de ses attententes envers la sitation (peur)

24
Q

EXPLIQUE LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE ENTRE LA THÉORIE SOCIOCOGNITIVE ET LA THÉORIE DES TRAITS

A

LA STABILITÉ DU COMPORTEMENT. Selon SOCiocogn, ca change plus d’une situation à l’autre

25
Q

EXPLIQUE LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE ENTRE LA THÉORIE BEHAVIOURISTE ET SOCIOCOGNITIVE

A

le comportement a effectivement des influences externes mais aussi est influencer et réguler par nos croyances et pensées qu’on a sur nous meme

26
Q

les 5 aspects qui structurent notre comportement

A

1.Attente de résultats (instrumentalité): Dans quelle mesure puis-je espérer un résultat spécifique si
j’adopte ce comportement?
2. Attente d’auto-efficacité: Dans quelle mesure suis-je confiant de pouvoir produire tel comportement ?
3. Objectifs personnels: Dans quelle mesure cet objectif m’est-il important?
4. Normes d’auto-évaluation: Dans quelle mesure ai-je atteint les critères de réussite que je me suis fixés ?
5. Compétences et habiletés: Ai-je ce qu’il faut comme compétences, aptitudes et habiletés (les savoirs et
les savoir-faire) pour atteindre de manière réaliste mon objectif ?
* Point final: Les composantes interagissent et s’influencent mutuellement!!!!!!!!

27
Q

pk notre comportement change D’une situation à l’autre

A

pcq nos croyances et attentes (5 aspects) changent d’une situation à l’autre

28
Q

comment les 5 éléments qui structurent notre comportement foncitonnent entre eux

A

ils sont interreliés. un peu causé l’autre

29
Q

qu’est-ce que l’autorégulation

A

c’est le fait de controler ou motiver son comportement grace à autopunition et autorenforcement

30
Q

lien entre autorenforcement et motivaiton

A

si j’atteind critère de performance, je suis fière de moi (autorenforcement) ce qui me motive à continuer à avoir ce comportement

31
Q

ecq nos critères de performances sont tjs précis

A

non, parfois flou et parfois on se base sur les autres pour créer les notre. cependant ca peut etre nocif si on prend une base de critère d’une personne plus compétente que nous. ex: je me dis que je dois bench au moins 3000 lb pcq j’ai vu un bodybuilder se set ce goal la

32
Q

qu’est ce qui amene à la perception d’un soi positif

A

atteindre souvent nos critères de performances et deonc autorenforcement et donc meilleur comportement

33
Q

modelage

A

La modelage (i.e. apprentissage vicariant, apprentissage par observation, ou apprentissage social = tous des synonymes) implique l’apprentissage par
l’observation du comportement d’autres personnes et de ses conséquences pour elles (super important), et est responsable de la grande majorité de l’apprentissage
humain.

34
Q

pk ecq un comportement peut être appris de façon indirecte avec l’apprentissage vicarant

A

car on peut se représenter mentalement le comportement et la conséquence( punition ou renforcement vicarant) observé pour s’y référer plus tard

35
Q

ceci est un exemple de quoi

un enfant qui développe une peur des chiens après avoir observé un frère ou une sœur montrer des
signes de peur envers un chien particulier (que l’enfant a également vu).

A

apprentissage vicariant émotionnel

36
Q

cause des psyhpathologie

A

croyances inadaptées et irréalistes (critères de performances trop élevées par exemple

37
Q

comment soigner pathologies

A

reconstruction cognitive

38
Q

albert ellis

A

(on est pas à la hauteur)

on a des croyances irationnelles. 1) on les identifie. 2) on les questionne en faisant un test de réalité. ex: j’ai comme pensée irrationnelle que je dois tjs etre parfait. je le test donc à la réalité ex: ecq j’ai vrm besoin d’avoir un score parfait à mon exmen pour avoir une bonne job dans le futur. réponse: NON

39
Q

Aaron BECK

A

(chui une crisse de marde)

3 aspect:

-triade cognitive négative: mauvaise vision de soi, du monde et du futur

-mauvais schéma de soi. ex: mon schéma de moi entant que frere est que jsuis un trou de cul. mon shéma de moi entant qu’étudiant est que chui stupide

-erreurs de logique: ex: mon ami me regarde pas dans les yeux so il me déteste forcement

-erreurs de logique

40
Q

cette personne dans sa thérapie focus sur le fait d’enlever les penser/croyances irréalistes

A

ellis

41
Q

cette personne focus sur le fait d’ajouter de meilleurs croyances

A

bandura

42
Q

cibles précises

A

on focus sur ce qu’on peut travaillé MAINTENANT. donc pensés irréalistes par exemple

43
Q

alliance

A

le thérapeutre et le patient prennent ensemble des décisions sur meilleurs facons a adopter

44
Q

pk il est important que le client aie un role actif dans la thérapie

A

car c’est à lui de nommer et identifier ses pensées nocives pour que le thérapeutre puisse l’aider à les éliminer ou les changer

aussi car c’est en faisant des actions et en ayant de petites victoires qu’on peut augmenter le sentiment d’autoefficacité

45
Q

Éléments clés des approches cognitives-comportementales:

A

Cibles d’intervention précises: On parle ici des cognitions et des comportements identifiés comme problématiques. Les cibles
sont actuelles (i.e. dans l’ici et maintenant = ex. des croyances inadaptées que l’individu a présentement) et non passées.

  1. Démarche structurée et de courte durée: On parle ici de l’application d’une méthode thérapeutique structurée et concrète
    (i.e. par le biais d’une série d’étapes d’intervention bien définies qui ont des objectifs précis – ex. Identifier les croyances,
    mettre les croyances à l’épreuve au moyen de tests de réalité, modifier les croyances, etc.), et étalée sur un nombre de
    séances thérapeutiques plus limitées (15-20 séances).
  2. Collaboration thérapeute-client: Les objectifs de travail, et les moyens pour les atteindre, proviennent du motif de
    consultation du client (sur quoi le client veut travailler) et sont formulés de manière collaborative. On parle donc d’un
    partenariat client-thérapeute.
  3. Rôle actif du client dans la démarche: On parle donc ici de l’engagement du client et la participation active de celui-ci dans
    son processus de traitement (ex. tâches à accomplir, autoréflexion active, etc.). En étant engagé et en participant au
    processus de traitement, le client développe un sentiment de prise de contrôle sur son avenir. Aussi, l’atteinte des objectifs
    fixés par le client favorise le développement d’un sentiment d’auto-efficacité
46
Q

nomme et explique deux Techniques en lien avec l’apprentissage vicariant que bandura utilise pour la thérapie

A

Modelage: Une technique de la thérapie comportementale dans laquelle le client observe une ou plusieurs personnes (i.e.
des modèles) qui exécutent un comportement souhaité ou efficace.

  • Participation guidée (ou maîtrise guidée): La participation ou maîtrise guidée est une méthode thérapeutique qui consiste à
    aider les clients à améliorer leur sentiment d’efficacité personnelle (i.e. leur perception ou croyance qu’une tâche peut
    être accomplie) dans le but d’augmenter leur motivation et leur désir de tenter et d’accomplir des tâches de plus en plus
    difficiles (que les clients ont du mal à accomplir). Cette technique est la base de l’application pratique des thérapies
    comportementales.
  • Essentiellement, c’est le thérapeute qui guide le client dans l’exécution d’une tâche, ce qui permet au client de
    développer une expérience de maîtrise face à la tâche (ce qui aura pour effet de hausser son sentiment d’efficacité
    personnelle, entre autres.)
47
Q

dans l’approche de bandura qu’est-ce qu’on veut dire par Focaliser sur l’apprentissage de tâches précises, que l’on vise à maintenir dans le temps et à généraliser.

A

le patient doit etre capable d’appliquer ces tâches à d’autre situaition. ex: différentes especes de serpents.

48
Q

autorégulation=> critères de performance=> autorenforcement si réussi et autopunition si échoue=> le cumulatif de tout ca amène à une image de soi positive ou négative

A
49
Q

Focalise sur l’apprentissage de tâches précises, que l’on vise à maintenir dans le temps et à généraliser.

A
50
Q

quel est la façon principale dont on apprend selon cette théorie

A

l’apprentissage vicariant