Secours à personnes Flashcards
L’appareil électronique qui mesure la quantité d’oxygène transportée par les globules rouges au niveau de la circulation capillaire est :
A – une canule oropharyngée
B – un ballon autoremplisseur à valve unidirectionnelle
C – une sonde d’intubation
D – un oxymètre de pouls
D – un oxymètre de pouls
Le pourcentage normal de la spO2 saturométrie pulsée en 02 se situe :
A – entre 10 et 20 %
B – entre 30 et 50%
C – entre 50 et 60%
D – entre 95 et 100%
D – entre 95 et 100%
L’oxymètre de pouls peut être mis en oeuvre par des secouristes qui lisent un résultat et le transmettent au médecin sans l’interpréter :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’oxymètre de pouls affiche :
A – la fréquence du pouls seule
B – la saturation en oxygène seule
C – la fréquence du pouls et la saturation en oxygène
C – la fréquence du pouls et la saturation en oxygène
Les aspirateurs de mucosités électriques fonctionnant grâce à un accumulateur incorporé ont une autonomie moyenne de :
A –15 min
B –1 h
C – 1 h 30
D – 2 h
C – 1 h 30
L’utilisation de canules d’aspiration oropharyngées est réservée à l’équipe médicale :
A – vrai
B –faux
B –faux
L’appareil qui permet de maintenir la bouche de la victime ouverte en plaquant la base de la langue contre le plancher de la bouche est :
A – un aspirateur de mucosités
B – un oxymètre de pouls
C – une canule de Guedel
D – une sonde nasale
C – une canule de Guedel
Après utilisation, une canule de Guedel :
A – doit être nettoyée
B – doit être nettoyée et désinfectée
C – doit être jetée car c’est un matériel à usage unique
C – doit être jetée car c’est un matériel à usage unique
La formule chimique de l’oxygène est :
A – CO
B – CO2
C — 02
D – H20
C — 02
L’oxygène est considéré comme un médicament et à ce titre doit être géré par un pharmacien :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Les bouteilles d’02 renferment de l’oxygène comprimé sous forme gazeuse à une pression de :
A – 50 bars
B – 100 bars
C – 130 bars
D – 200 bars
D – 200 bars
Le dispositif qui sert à diminuer et stabiliser la pression de l’oxygène contenu dans une bouteille s’appelle :
A – oxymètre
B – sonde
C – masque
D – détendeur
D – détendeur
Le pourcentage d’oxygène dans l’air ambiant est de :
A – 5%
B – 12 °A.
C – 21%
D– 79%
C – 21%
Introduit dans le nez, cet appareil descend jusqu’au pharynx et permet un enrichissement en oxygène de l’air inspiré. Il s’agit :
A – d’un masque dit à haute concentration
B – d’un masque simple
C – d’un masque pour aérosol
D – d’une sonde nasale
D – d’une sonde nasale
Pour permettre une oxygénation maximale chez une victime ayant une ventilation spontanée efficace, on utilise :
A – une sonde nasale
B – un masque simple
C – un masque dit à haute concentration
D – un masque pour aérosol
C – un masque dit à haute concentration
L’appareil qui permet une ventilation artificielle instrumentale pouvant prendre le relais d’un bouche-à-bouche, s’appelle :
A – sonde nasale
B – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
C – sonde d’intubation
D – un masque simple
B – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
L’appareil qui permet de ventiler une victime après intubation s’appelle :
A – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
B – respirateur
C –oxymètre de pouls
D – sonde d’intubation
B – respirateur
Parmi ces matériels, un seul peut être mis en oeuvre par les secouristes titulaires au minimum du SAP1, lequel?
A – le respirateur artificiel
B – le ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
C – la sonde d’intubation endotrachéale
D– le masque dit à haute concentration
B – le ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
La surveillance de l’activité mécanique du coeur repose sur :
A – un paramètre : la prise du pouls
B – un paramètre : la mesure de la pression artérielle
C – deux paramètres : la prise du pouls et la mesure de la pression artérielle
C – deux paramètres : la prise du pouls et la mesure de la pression artérielle
La sensation de « choc » que l’on perçoit le long du trajet d’une artère lorsque les doigts du sauveteur la compriment légèrement s’appelle :
A – le pouls
B – la pression artérielle
C – la tension
D – l’auscultation
A – le pouls
initialement, le pouls doit être recherché :
A – au niveau des grosses artères (carotide ou fémorale)
B – au niveau de l’artère radiale
C – indifféremment au niveau de n’importe quelle artère
A – au niveau des grosses artères (carotide ou fémorale)
L’appareil qui permet de mesurer la pression artérielle ‘appelle :
A – électrocardiogramme
B – électrocardiographe
C – tensiomètre
D – stéthoscope
C – tensiomètre
Lorsqu’on effectue la mesure de la pression artérielle, au tensiométre élèctronique, on obtient :
A – 1 chiffre
B – 2 chiffres
C – 3 chiffres
D – 4 chiffres
B – 2 chiffres
La prise de la tension artérielle ne s’effectue que sur ordre médical ou dans le cadre d’un protocole défini par le SSSM :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Pour écouter les bruits du coeur, de la ventilation et de la circulation, on utilise :
A – un stéthoscope
B – un électrocardiographe
C – un tensiomètre
D – un moniteur multiparamétrique
A – un stéthoscope
L’usage du stéthoscope par le secouriste n’est autorisé que pour une seule activité, laquelle?
A – écouter les bruits du coeur
B – écouter les bruits de la ventilation
C – écouter les bruits de la circulation
D – mesurer la tension artérielle
D – mesurer la tension artérielle
La surveillance circulatoire au moyen d’un électrocardiographe repose sur l’activité mécanique du coeur :
A – vrai
B – faux
B – faux
Une augmentation de la fréquence cardiaque s’appelle :
A – bradycardie
B – tachycardie
C – électrocardiogramme
D – électrocardiographe
B – tachycardie
L’interprétation du tracé obtenu lors d’un électrocardiogramme peut être effectuée
A – par un secouriste
B – par un secouriste formé à cet effet
C – par un secouriste, sous le contrôle d’un médecin
D — par un médecin
D — par un médecin
L’appareil électronique qui peut afficher sur un écran le tracé électrocardiographique, la pression artérielle, les fréquences respiratoire et cardiaque est un :
A – stéthoscope
B – électrocardiographe
C – moniteur multiparamétrique
D – tensiomètre
C – moniteur multiparamétrique
L’appareil qui améliore l’efficacité du MCE grâce notam-ment à une décompression thoracique active s’appelle :
A – électrocardiogramme
B – électrocardiographe
C – cardio-pompe
D – défibrillateur semi-automatique
C – cardio-pompe
L’utilisation de la cardio-pompe est réservée :
A – à tous les secouristes
B – aux secouristes formés à sa mise en oeuvre
C – aux secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – aux médecins
B – aux secouristes formés à sa mise en oeuvre
Pour le sauveteur, l’utilisation d’une cardio-pompe entraîne une fatigue moindre donc un remplacement moins fréquent qu’au cours d’un MCE classique.
A – vrai
B – faux
B – faux
L’appareil qui permet de délivrer un ou plusieurs chocs électriques externes, s’il y a indication, hors de la présence d’un médecin, est :
A – une cardio-pompe
B – un moniteur multiparamétrique
C – un défibrillateur semi-automatique
D – un cardio-défibrillateur manuel
C – un défibrillateur semi-automatique
Le défibrillateur semi-automatique peut être mis en oeuvre :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par les secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – exclusivement par les médecins
B – par les secouristes formés et habilités
Le cardio-défibrillateur manuel peut être mis en oeuvre :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par les secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – exclusivement par les médecins
D – exclusivement par les médecins
La mise en place d’une perfusion avec abord veineux périphérique peut être réalisée :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
D – exclusivement par les médecins
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
La mise en place d’une perfusion avec abord veineux central peut être réalisée :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
D – exclusivement par les médecins
D – exclusivement par les médecins
La composition des kits de médicaments et la décision de mise en place à bord des VSAV, est de la responsabilité :
A – du médecin-chef du SSSM
B – d’un infirmier
C – du chef d’agrès VSAV
D – du pharmacien
A – du médecin-chef du SSSM
Le garrot artériel répond à l’indication exclusive de syndrome de compression prolongée de membre avant la levée de cette compression.
A – vrai
B – faux
B – faux
La formation aux activités de premiers secours en équipe est destinée :
A – au grand public
B – uniquement aux membres d’une équipe de secours professionnels
C – aux membres d’une équipe de secours
C – aux membres d’une équipe de secours
La formation de base, destinée au grand public, permettant à son titulaire de faire face à une détresse vitale sans matériel particulier, est :
A – le PSC1
B – le PSE
C – le SAP1
D – le SAP2
A – le PSC1
Le pré-requis pour se présenter au brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA) est :
A – le PSC1
B – l’ASSR
C – le PSE
D – le SAP2
C – le PSE
La qualification obligatoire pour être admis dans une équipe structurée appelée à collaborer aux secours organisés sous le contrôle des autorités publiques est :
A – le PSC1
B – l’ASSR
C – le PSE
D – le SAP2
C – le PSE
Le PSE fait partie des formations:
A - destinées aux grand public
B - destinées aux équipiers secouristes
C- spécialisées
D - des formateurs
B - destinées aux équipiers secouristes
Pour surveiller les lieux de baignade ouverts gratuitement au public, aménagés et autorisés, il faut être titulaire :
A – du PSC1
B – du PSE
C – du BNSSA
D – du BNMPS
C – du BNSSA
Le brevet national d’instructeur de secourisme fait partie des formations :
A – destinées au grand public
B – destinées aux équipiers secouristes
C – spécialisées
D – des formateurs
D – des formateurs
L’aptitude à dispenser les formations des moniteurs des premiers secours est sanctionnée par :
A – le BNMPS
B – le BNIS
C – le BNPIS
D – l’AFCPSAM
B – le BNIS
Les compétences techniques, pédagogiques et docimologiques nécessaires à l’enseignement des premiers secours sont acquises au cours.de la formation du :
A – BNMPS
B – BNIS
C – BNPIS
D – BNSSA
A – BNMPS
Déterminer l’aptitude des candidats à l’emploi de sapeur-pompier et contrôler annuellement cette aptitude sont les missions :
A – d’un médecin sapeur-pompier
B – d’un infirmier sapeur-pompier
C – d’un titulaire du brevet national d’instructeur de secourisme
D – du chef du corps départemental de sapeurs-pompiers
A – d’un médecin sapeur-pompier
Les règles du respect du secret médical sont définies par :
A – le serment d’Hippocrate
B – le règlement opérationnel du SDIS
C – le code de déontologie médicale et le serment d’Hippocrate
D – le serment d’Hippocrate et le règlement opérationnel
C – le code de déontologie médicale et le serment d’Hippocrate
La décision d’aptitude ou d’inaptitude au service des personnels est une donnée protégée par le secret médical :
A – vrai
B – faux
B – faux
L’identité de la victime est un élément qui doit être mentionné dans le bilan transmis par radio :
A – vrai
B – faux
B – faux
En ce qui concerne le dossier médical des sapeurs-pompiers :
A – le commandement y a accès ponctuellement, à sa demande
B – une décision de justice ne peut pas ordonner sa divulgation
C – il ne peut être communiqué aux intéressés que par l’intermédiaire d’un médecin
D – tous les personnels de la DDSIS peuvent en prendre connaissance
C – il ne peut être communiqué aux intéressés que par l’intermédiaire d’un médecin
L’encéphale et la moelle épinière sont appelés :
A – système nerveux
B – système nerveux central
C – système nerveux périphérique
D – système nerveux végétatif
B – système nerveux central
Le système qui permet l’adaptation de l’organisme
à son environnement en faisant appel aux fonctions supé
rieures de l’être humain (intelligence, psychisme) s’ap-pelle :
A – système nerveux cl
B – système nerveux végétatif
C – système nerveux de la vie de relation
D – système nerveux central
C – système nerveux de la vie de relation
L’étude et le traitement des comportements
« anormaux » s ‘appellent :
A – philosophie
B – psychologie
C – psychisme
D – psychiatrie
D – psychiatrie
Le fonctionnement automatique de l’organisme
(respiration, fréquence cardiaque, pression artérielle…) est assuré par :
A – le système nerveux végétatif
B – le système nerveux de la vie de relation
C – le système nerveux périphérique
D – le système nerveux central
A – le système nerveux végétatif
Des convulsions, l’inconscience puis une raideur généralisée suivie de mouvements saccadés, accompagnés de perte d’urine ou de morsure
de la langue, sont les symptômes :
A – d’un traumatisme crânien
B – d’une intoxication médicamenteuse
C – d’un accident vasculaire cérébral
D – d’une crise d’épilepsie
D – d’une crise d’épilepsie
Une diminution de la force ou de l’amplitude d’un mouvement musculaire est provoquée par :
A – la lésion d’un nerf moteur
B – la lésion d’un nerf sensitif
C la section de la moelle épinière
A – la lésion d’un nerf moteur
La paralysie de tous les organes situés en dessous de la lésion traduit :
A – une lésion d’un nerf moteur
B – une lésion d’un nerf sensitif
C – une section de la moelle épinière
A – une lésion d’un nerf moteur
Un accident vasculaire cérébral est la rupture ou l’obstruction d’un vaisseau qui irrigue l’encéphale :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Une perte de connaissance prolongée et durable s’appelle :
A – accident vasculaire cérébral
B – coma
C – épilepsie
B – coma
La moelle épinière est située dans la colonne vertébrale; elle passe au milieu des vertèbres :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Quelle est la première des trois étapes nécessaires pour assurer la fonction respiratoire :
A – la respiration cellulaire
B – la ventilation
C – la circulation
D – la respiration
B – la ventilation
L’appareil ventilatoire est constitué d’éléments osseux et cartilagineux, de muscles et :
A – des poumons et de la cage thoracique
B – des poumons, des plèvres et des voies aériennes
C – de la cage thoracique et des voies aériennes
B – des poumons, des plèvres et des voies aériennes
La colonne vertébrale à l’arrière, les côtes latéralement et le sternum à l’avant forment :
A – l’appareil ventilatoire
B – les voies respiratoires
C – la cage thoracique
D – la respiration
C – la cage thoracique
Le muscle plat, puissant qui sépare le thorax de la cavité abdominale s’appelle :
A – le diaphragme
B – le sternum
C – le muscle abdominal
D – le muscle accessoire de la ventilation
A – le diaphragme
Les échanges gazeux entre l’air et le sang s’effectuent au niveau :
A – des voies aériennes supérieures
B – des alvéoles pulmonaires
C – des plèvres
D – de la trachée artère
B – des alvéoles pulmonaires
Les centres de commande automatique du système ventilatoire sont situés :
A – dans le bulbe rachidien
B – au niveau des voies aériennes supérieures
C – dans la trachée artère
D – au carrefour aéro-digestif (le pharynx)
A – dans le bulbe rachidien