Secours à personnes Flashcards
L’appareil électronique qui mesure la quantité d’oxygène transportée par les globules rouges au niveau de la circulation capillaire est :
A – une canule oropharyngée
B – un ballon autoremplisseur à valve unidirectionnelle
C – une sonde d’intubation
D – un oxymètre de pouls
D – un oxymètre de pouls
Le pourcentage normal de la spO2 saturométrie pulsée en 02 se situe :
A – entre 10 et 20 %
B – entre 30 et 50%
C – entre 50 et 60%
D – entre 95 et 100%
D – entre 95 et 100%
L’oxymètre de pouls peut être mis en oeuvre par des secouristes qui lisent un résultat et le transmettent au médecin sans l’interpréter :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’oxymètre de pouls affiche :
A – la fréquence du pouls seule
B – la saturation en oxygène seule
C – la fréquence du pouls et la saturation en oxygène
C – la fréquence du pouls et la saturation en oxygène
Les aspirateurs de mucosités électriques fonctionnant grâce à un accumulateur incorporé ont une autonomie moyenne de :
A –15 min
B –1 h
C – 1 h 30
D – 2 h
C – 1 h 30
L’utilisation de canules d’aspiration oropharyngées est réservée à l’équipe médicale :
A – vrai
B –faux
B –faux
L’appareil qui permet de maintenir la bouche de la victime ouverte en plaquant la base de la langue contre le plancher de la bouche est :
A – un aspirateur de mucosités
B – un oxymètre de pouls
C – une canule de Guedel
D – une sonde nasale
C – une canule de Guedel
Après utilisation, une canule de Guedel :
A – doit être nettoyée
B – doit être nettoyée et désinfectée
C – doit être jetée car c’est un matériel à usage unique
C – doit être jetée car c’est un matériel à usage unique
La formule chimique de l’oxygène est :
A – CO
B – CO2
C — 02
D – H20
C — 02
L’oxygène est considéré comme un médicament et à ce titre doit être géré par un pharmacien :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Les bouteilles d’02 renferment de l’oxygène comprimé sous forme gazeuse à une pression de :
A – 50 bars
B – 100 bars
C – 130 bars
D – 200 bars
D – 200 bars
Le dispositif qui sert à diminuer et stabiliser la pression de l’oxygène contenu dans une bouteille s’appelle :
A – oxymètre
B – sonde
C – masque
D – détendeur
D – détendeur
Le pourcentage d’oxygène dans l’air ambiant est de :
A – 5%
B – 12 °A.
C – 21%
D– 79%
C – 21%
Introduit dans le nez, cet appareil descend jusqu’au pharynx et permet un enrichissement en oxygène de l’air inspiré. Il s’agit :
A – d’un masque dit à haute concentration
B – d’un masque simple
C – d’un masque pour aérosol
D – d’une sonde nasale
D – d’une sonde nasale
Pour permettre une oxygénation maximale chez une victime ayant une ventilation spontanée efficace, on utilise :
A – une sonde nasale
B – un masque simple
C – un masque dit à haute concentration
D – un masque pour aérosol
C – un masque dit à haute concentration
L’appareil qui permet une ventilation artificielle instrumentale pouvant prendre le relais d’un bouche-à-bouche, s’appelle :
A – sonde nasale
B – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
C – sonde d’intubation
D – un masque simple
B – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
L’appareil qui permet de ventiler une victime après intubation s’appelle :
A – ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
B – respirateur
C –oxymètre de pouls
D – sonde d’intubation
B – respirateur
Parmi ces matériels, un seul peut être mis en oeuvre par les secouristes titulaires au minimum du SAP1, lequel?
A – le respirateur artificiel
B – le ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
C – la sonde d’intubation endotrachéale
D– le masque dit à haute concentration
B – le ballon autoremplisseur à valve unique (BAVU)
La surveillance de l’activité mécanique du coeur repose sur :
A – un paramètre : la prise du pouls
B – un paramètre : la mesure de la pression artérielle
C – deux paramètres : la prise du pouls et la mesure de la pression artérielle
C – deux paramètres : la prise du pouls et la mesure de la pression artérielle
La sensation de « choc » que l’on perçoit le long du trajet d’une artère lorsque les doigts du sauveteur la compriment légèrement s’appelle :
A – le pouls
B – la pression artérielle
C – la tension
D – l’auscultation
A – le pouls
initialement, le pouls doit être recherché :
A – au niveau des grosses artères (carotide ou fémorale)
B – au niveau de l’artère radiale
C – indifféremment au niveau de n’importe quelle artère
A – au niveau des grosses artères (carotide ou fémorale)
L’appareil qui permet de mesurer la pression artérielle ‘appelle :
A – électrocardiogramme
B – électrocardiographe
C – tensiomètre
D – stéthoscope
C – tensiomètre
Lorsqu’on effectue la mesure de la pression artérielle, au tensiométre élèctronique, on obtient :
A – 1 chiffre
B – 2 chiffres
C – 3 chiffres
D – 4 chiffres
B – 2 chiffres
La prise de la tension artérielle ne s’effectue que sur ordre médical ou dans le cadre d’un protocole défini par le SSSM :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Pour écouter les bruits du coeur, de la ventilation et de la circulation, on utilise :
A – un stéthoscope
B – un électrocardiographe
C – un tensiomètre
D – un moniteur multiparamétrique
A – un stéthoscope
L’usage du stéthoscope par le secouriste n’est autorisé que pour une seule activité, laquelle?
A – écouter les bruits du coeur
B – écouter les bruits de la ventilation
C – écouter les bruits de la circulation
D – mesurer la tension artérielle
D – mesurer la tension artérielle
La surveillance circulatoire au moyen d’un électrocardiographe repose sur l’activité mécanique du coeur :
A – vrai
B – faux
B – faux
Une augmentation de la fréquence cardiaque s’appelle :
A – bradycardie
B – tachycardie
C – électrocardiogramme
D – électrocardiographe
B – tachycardie
L’interprétation du tracé obtenu lors d’un électrocardiogramme peut être effectuée
A – par un secouriste
B – par un secouriste formé à cet effet
C – par un secouriste, sous le contrôle d’un médecin
D — par un médecin
D — par un médecin
L’appareil électronique qui peut afficher sur un écran le tracé électrocardiographique, la pression artérielle, les fréquences respiratoire et cardiaque est un :
A – stéthoscope
B – électrocardiographe
C – moniteur multiparamétrique
D – tensiomètre
C – moniteur multiparamétrique
L’appareil qui améliore l’efficacité du MCE grâce notam-ment à une décompression thoracique active s’appelle :
A – électrocardiogramme
B – électrocardiographe
C – cardio-pompe
D – défibrillateur semi-automatique
C – cardio-pompe
L’utilisation de la cardio-pompe est réservée :
A – à tous les secouristes
B – aux secouristes formés à sa mise en oeuvre
C – aux secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – aux médecins
B – aux secouristes formés à sa mise en oeuvre
Pour le sauveteur, l’utilisation d’une cardio-pompe entraîne une fatigue moindre donc un remplacement moins fréquent qu’au cours d’un MCE classique.
A – vrai
B – faux
B – faux
L’appareil qui permet de délivrer un ou plusieurs chocs électriques externes, s’il y a indication, hors de la présence d’un médecin, est :
A – une cardio-pompe
B – un moniteur multiparamétrique
C – un défibrillateur semi-automatique
D – un cardio-défibrillateur manuel
C – un défibrillateur semi-automatique
Le défibrillateur semi-automatique peut être mis en oeuvre :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par les secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – exclusivement par les médecins
B – par les secouristes formés et habilités
Le cardio-défibrillateur manuel peut être mis en oeuvre :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par les secouristes formés, mais seulement en présence d’un médecin
D – exclusivement par les médecins
D – exclusivement par les médecins
La mise en place d’une perfusion avec abord veineux périphérique peut être réalisée :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
D – exclusivement par les médecins
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
La mise en place d’une perfusion avec abord veineux central peut être réalisée :
A – par tous les secouristes
B – par les secouristes formés et habilités
C – par un infirmier dans le cadre d’un protocole établi par un médecin
D – exclusivement par les médecins
D – exclusivement par les médecins
La composition des kits de médicaments et la décision de mise en place à bord des VSAV, est de la responsabilité :
A – du médecin-chef du SSSM
B – d’un infirmier
C – du chef d’agrès VSAV
D – du pharmacien
A – du médecin-chef du SSSM
Le garrot artériel répond à l’indication exclusive de syndrome de compression prolongée de membre avant la levée de cette compression.
A – vrai
B – faux
B – faux
La formation aux activités de premiers secours en équipe est destinée :
A – au grand public
B – uniquement aux membres d’une équipe de secours professionnels
C – aux membres d’une équipe de secours
C – aux membres d’une équipe de secours
La formation de base, destinée au grand public, permettant à son titulaire de faire face à une détresse vitale sans matériel particulier, est :
A – le PSC1
B – le PSE
C – le SAP1
D – le SAP2
A – le PSC1
Le pré-requis pour se présenter au brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA) est :
A – le PSC1
B – l’ASSR
C – le PSE
D – le SAP2
C – le PSE
La qualification obligatoire pour être admis dans une équipe structurée appelée à collaborer aux secours organisés sous le contrôle des autorités publiques est :
A – le PSC1
B – l’ASSR
C – le PSE
D – le SAP2
C – le PSE
Le PSE fait partie des formations:
A - destinées aux grand public
B - destinées aux équipiers secouristes
C- spécialisées
D - des formateurs
B - destinées aux équipiers secouristes
Pour surveiller les lieux de baignade ouverts gratuitement au public, aménagés et autorisés, il faut être titulaire :
A – du PSC1
B – du PSE
C – du BNSSA
D – du BNMPS
C – du BNSSA
Le brevet national d’instructeur de secourisme fait partie des formations :
A – destinées au grand public
B – destinées aux équipiers secouristes
C – spécialisées
D – des formateurs
D – des formateurs
L’aptitude à dispenser les formations des moniteurs des premiers secours est sanctionnée par :
A – le BNMPS
B – le BNIS
C – le BNPIS
D – l’AFCPSAM
B – le BNIS
Les compétences techniques, pédagogiques et docimologiques nécessaires à l’enseignement des premiers secours sont acquises au cours.de la formation du :
A – BNMPS
B – BNIS
C – BNPIS
D – BNSSA
A – BNMPS
Déterminer l’aptitude des candidats à l’emploi de sapeur-pompier et contrôler annuellement cette aptitude sont les missions :
A – d’un médecin sapeur-pompier
B – d’un infirmier sapeur-pompier
C – d’un titulaire du brevet national d’instructeur de secourisme
D – du chef du corps départemental de sapeurs-pompiers
A – d’un médecin sapeur-pompier
Les règles du respect du secret médical sont définies par :
A – le serment d’Hippocrate
B – le règlement opérationnel du SDIS
C – le code de déontologie médicale et le serment d’Hippocrate
D – le serment d’Hippocrate et le règlement opérationnel
C – le code de déontologie médicale et le serment d’Hippocrate
La décision d’aptitude ou d’inaptitude au service des personnels est une donnée protégée par le secret médical :
A – vrai
B – faux
B – faux
L’identité de la victime est un élément qui doit être mentionné dans le bilan transmis par radio :
A – vrai
B – faux
B – faux
En ce qui concerne le dossier médical des sapeurs-pompiers :
A – le commandement y a accès ponctuellement, à sa demande
B – une décision de justice ne peut pas ordonner sa divulgation
C – il ne peut être communiqué aux intéressés que par l’intermédiaire d’un médecin
D – tous les personnels de la DDSIS peuvent en prendre connaissance
C – il ne peut être communiqué aux intéressés que par l’intermédiaire d’un médecin
L’encéphale et la moelle épinière sont appelés :
A – système nerveux
B – système nerveux central
C – système nerveux périphérique
D – système nerveux végétatif
B – système nerveux central
Le système qui permet l’adaptation de l’organisme
à son environnement en faisant appel aux fonctions supé
rieures de l’être humain (intelligence, psychisme) s’ap-pelle :
A – système nerveux cl
B – système nerveux végétatif
C – système nerveux de la vie de relation
D – système nerveux central
C – système nerveux de la vie de relation
L’étude et le traitement des comportements
« anormaux » s ‘appellent :
A – philosophie
B – psychologie
C – psychisme
D – psychiatrie
D – psychiatrie
Le fonctionnement automatique de l’organisme
(respiration, fréquence cardiaque, pression artérielle…) est assuré par :
A – le système nerveux végétatif
B – le système nerveux de la vie de relation
C – le système nerveux périphérique
D – le système nerveux central
A – le système nerveux végétatif
Des convulsions, l’inconscience puis une raideur généralisée suivie de mouvements saccadés, accompagnés de perte d’urine ou de morsure
de la langue, sont les symptômes :
A – d’un traumatisme crânien
B – d’une intoxication médicamenteuse
C – d’un accident vasculaire cérébral
D – d’une crise d’épilepsie
D – d’une crise d’épilepsie
Une diminution de la force ou de l’amplitude d’un mouvement musculaire est provoquée par :
A – la lésion d’un nerf moteur
B – la lésion d’un nerf sensitif
C la section de la moelle épinière
A – la lésion d’un nerf moteur
La paralysie de tous les organes situés en dessous de la lésion traduit :
A – une lésion d’un nerf moteur
B – une lésion d’un nerf sensitif
C – une section de la moelle épinière
A – une lésion d’un nerf moteur
Un accident vasculaire cérébral est la rupture ou l’obstruction d’un vaisseau qui irrigue l’encéphale :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Une perte de connaissance prolongée et durable s’appelle :
A – accident vasculaire cérébral
B – coma
C – épilepsie
B – coma
La moelle épinière est située dans la colonne vertébrale; elle passe au milieu des vertèbres :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Quelle est la première des trois étapes nécessaires pour assurer la fonction respiratoire :
A – la respiration cellulaire
B – la ventilation
C – la circulation
D – la respiration
B – la ventilation
L’appareil ventilatoire est constitué d’éléments osseux et cartilagineux, de muscles et :
A – des poumons et de la cage thoracique
B – des poumons, des plèvres et des voies aériennes
C – de la cage thoracique et des voies aériennes
B – des poumons, des plèvres et des voies aériennes
La colonne vertébrale à l’arrière, les côtes latéralement et le sternum à l’avant forment :
A – l’appareil ventilatoire
B – les voies respiratoires
C – la cage thoracique
D – la respiration
C – la cage thoracique
Le muscle plat, puissant qui sépare le thorax de la cavité abdominale s’appelle :
A – le diaphragme
B – le sternum
C – le muscle abdominal
D – le muscle accessoire de la ventilation
A – le diaphragme
Les échanges gazeux entre l’air et le sang s’effectuent au niveau :
A – des voies aériennes supérieures
B – des alvéoles pulmonaires
C – des plèvres
D – de la trachée artère
B – des alvéoles pulmonaires
Les centres de commande automatique du système ventilatoire sont situés :
A – dans le bulbe rachidien
B – au niveau des voies aériennes supérieures
C – dans la trachée artère
D – au carrefour aéro-digestif (le pharynx)
A – dans le bulbe rachidien
La fréquence ventilatoire moyenne d’un nouveau-né est de :
A –12 à 20 mouvements par minute
B – 30 mouvements par minute
C – 40 mouvements par minute
C – 40 mouvements par minute
La présence de liquide dans les alvéoles pulmonaires s’opposant aux échanges entre l’air alvéolaire et le sang s’appelle :
A – obstruction des voies aériennes supérieures
B – pneumothorax
C – oedème aigu du poumon (OAP)
C – oedème aigu du poumon (OAP)
Le préalable indispensable à toute évaluation de la fonction respiratoire est :
A – chiffrer la fréquence ventilatoire
B – libérer [es voies aériennes
C – évaluer l’amplitude des mouvements ventilatoires
D – apprécier le rythme de la ventilation
B – libérer [es voies aériennes
Toute déchirure de la plèvre entraîne :
A – une obstruction des voies aériennes
B – une désolidarisation du poumon et de la cage thoracique
C – une défaillance cardiaque
D – un oedème aigu du poumon (OAP)
B – une désolidarisation du poumon et de la cage thoracique
La fréquence ventilatoire d’un adulte est de :
A – 12 à 20 mouvements par minute
B – 30 mouvements par minute
C – 40 mouvements par minute
D – 60 mouvements par minute
A – 12 à 20 mouvements par minute
Tout coma, quelle qu’en soit la cause
(traumatisme crânien, intoxication, maladie), peut perturber la commande nerveuse de
la ventilation et entraîner une détresse ventilatoire :
A – vrai
B – faux
A – vrai
La pratique immédiate de la ventilation artificielle s’impose en présence d’une pause ventilatoire supérieure ou égale à :
A – 2 secondes
B – 5 secondes
C – 10 secondes
D – 20 secondes
C – 10 secondes
La présence de sueurs en l’absence de fièvre ou d’efforts peut témoigner d’un excès de gaz carbonique dans le sang :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Lorsqu’il se trouve du sang entre les deux feuillets de la plèvre, on parle de :
A – pneumothorax
B – hémothorax
C – oedème aigu du poumon (OAP)
B – hémothorax
Dans le système circulatoire, les canalisations semi-rigides et élastiques qui partent toujours du coeur s’appellent :
A – les artères
B – les veines
C – les capillaires
A – les artères
Le système qui assure le transport et la distribution des gaz (oxygène et gaz carbonique), des aliments et des éléments nécessaires à la vie s’appelle :
A – système nerveux
B – système circulatoire
C – système ventilatoire
D – système locomoteur
B – système circulatoire
Les éléments du sang responsables, lors d’un saignement, de la formation du caillot sanguin, première étape de la coagulation, sont :
A – les globules rouges
B — les leucocytes
C – les globules blancs
D – les plaquettes sanguines
D – les plaquettes sanguines
Les leucocytes sont les :
A – globules rouges
B – globules blancs
C – plaquettes sanguines
B – globules blancs
La substance qui donne leur couleur aux globules rouges, qui fixe l’oxygène et en permet le transport s’appelle :
A – hématie
B – hémoglobine
C – leucocyte
D – plasma
B – hémoglobine
Dans le système circulatoire, les canalisations très fines qui permettent les échanges au niveau des alvéoles pulmonaires et des cellules sont :
A – les artères
B – les veines
C – les capillaires
C – les capillaires
Les cellules du sang qui sont les éléments du système « défenseur » de l’organisme sont :
A – les globules rouges
B – les globules blancs
C – les plaquettes sanguines
D – le plasma
B – les globules blancs
Les hématies sont :
A – !es artères
B – les globules blancs
C – les globules rouges
D – les plaquettes sanguines
C – les globules rouges
La fréquence du pouls chez un nouveau-né est de :
A – moins de 60 battements par minute
B – 60 à 80 battements par minute
C – 100 battements par minute
D –130 à 140 battements par minute
D –130 à 140 battements par minute
La contraction du muscle cardiaque s’appelle :
A – systole
B – diastole
C – tension artérielle
D – tachycardie
A – systole
La circulation pulmonaire est aussi appelée :
A – électrocardiogramme (ECG)
B – petite circulation
C – grande circulation
B – petite circulation
La circulation sanguine accessible à l’examen pour le secouriste (pouls) est la :
A – grande circulation
B – petite circulation
C – circulation pulmonaire
A – grande circulation
Le pouls doit être recherché initialement au niveau :
A – du coeur
B – des grosses artères (carotide, fémorale)
C – d’artères plus petites et plus périphériques (radiale)
B – des grosses artères (carotide, fémorale)
Lorsque le sang s’écoule en dehors de l’organisme,
que l’hémorragie est visible (plaie), on parle de :
A – hémorragie externe
B – hémorragie extériorisée
C – hémorragie interne
A – hémorragie externe
Lorsque chaque fibre musculaire cardiaque se contracte isolément, qu’il n’y a plus de contraction simultanée donc plus de fonction pompe du coeur, on parle de :
A – bradycardie
B – tachycardie
C – fibrillation ventriculaire
D – arrêt cardiaque
C – fibrillation ventriculaire
60 à 80 battements par minute sont une fréquence de pouls normale chez :
A – un nouveau-né
B – un jeune enfant
C – un adulte
C – un adulte
On dit que le pouls est « filant » lorsque :
A – il est irrégulier
B – il est facilement perçu
C – il est rapide et mal frappé
C – il est rapide et mal frappé
Lorsqu’un vaisseau sanguin est sectionné et que le sang s’écoule en dehors du vaisseau, il s’agit :
A – d’une thrombose
B – d’une tachycardie
C – d’une hémorragie
D – d’une bradycardie
C – d’une hémorragie
Le temps de recoloration cutanée (après une pression au niveau d’un ongle ou du front) qui témoigne de la pression sanguine dans les capillaires doit normalement être inférieur à :
A – 2 secondes
B – 5 secondes
C – 10 secondes
A – 2 secondes
Une fréquence trop rapide du rythme cardiaque
est appelée :
A – extrasystole
B – bradycardie
C – tachycardie
C – tachycardie
Les os dont les trois dimensions (longueur, largeur, épaisseur) sont à peu près égales sont appelés :
A – os longs (tibia, fémur)
B – os courts (tarse, vertèbres)
C – os plats (omoplate)
C – os plats (omoplate)
Dans l’organisme humain, il existe environ :
A 100 os
B– 150 os
C – 200 os
D – 300 os
C – 200 os
Les vertèbres cervicales sont au nombre de :
A – 4
B – 5
C – 7
D – 12
C – 7
La colonne vertébrale est formée de :
A – 7 vertèbres
B – 12 vertèbres
C – 20 vertèbres
D – 33 vertèbres
D – 33 vertèbres
Lorsqu’une articulation s’est déboîtée, on parle de :
A – fracture
B – luxation
C – entorse
D – hémorragie
B – luxation
Lequel de ces os ne fait pas partie de la cage thoracique :
A – le sternum
B – les côtes
C – l’omoplate
D – les vertèbres dorsales
C – l’omoplate
Le système ostéo-musculaire qui permet à l’homme de se tenir debout et d’effectuer des mouvements est constitué par :
A – les os et les articulations
B – les os et les muscles
C – les os, les articulations et les muscles
C – les os, les articulations et les muscles
Le radius est un os :
A – du bras
B – de l’avant-bras
C – de la cuisse
D – de la jambe
B – de l’avant-bras
Les membres inférieurs se rattachent :
A – à la cage thoracique
B – à la ceinture scapulaire
C – à la ceinture pelvienne
C – à la ceinture pelvienne
niveau des articulations mobiles, les parties des os en contact les uns avec les autres sont revêtues de synovie ou liquide synovial :
A – vrai
B – faux
B – faux
Les vertèbres lombaires sont au nombre de :
A – 4
B – 5
C – 7
D – 1 2
B – 5
Le péroné est un os :
A – de la cuisse
B – de l’avant-jambe
C – de l’avant-bras
B – de l’avant-jambe
Les 8 os du poignet forment :
A – le carpe
B – les métacarpes
C – le tarse
D – les métatarses
A – le carpe
Une victime polytraumatisée présente 2 lésions traumatiques ou plus dont l’une au moins peut (directement ou par ses répercussions sur les fonctions vitales) entraîner la mort :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Une lésion de la capsule articulaire ou des ligaments,
sans déboîtement de l’articulation, s’appelle :
A – luxation
B – entorse
C – fracture
D – épanchement
B – entorse
Le crâne est une « boîte » formée par la soudure de :
A – 2 os
B – 5 os
C – 8 os
D – 10 os
C – 8 os
La ceinture scapulaire est formée par :
A – les omoplates et le sternum
B – les omoplates et les clavicules
C – les clavicules et les côtes
D – !es clavicules et les vertèbres dorsales
B – les omoplates et les clavicules
Les muscles, dont le fonctionnement n’est pas soumis
à la volonté, sont les muscles :
A – striés
B – lisses
C – contractiles
B – lisses
Lorsqu’un os est brisé, il s’agit :
A – d’une entorse
B – d’une luxation
C – d’une fracture
C – d’une fracture
Le coccyx est formé par cinq vertèbres sacrées soudées entre elles :
A – vrai
B – faux
B – faux
Des cellules identiques s’associent pour former :
A – un tissu (osseux, cutané, nerveux)
B – un organe (os, peau, nerf)
C – un appareil (locomoteur, cardio-circulatoire)
D – un système
A – un tissu (osseux, cutané, nerveux)
L’absorption de matières (sucre, graisses, vitamines),
leur transformation en éléments assimilables
et le rejet de déchets sont assurés par :
A – le système nerveux
B – le système endocrinien
C – le système digestif
D – le système locomoteur
C – le système digestif
Le système endocrinien sécrète :
A – des anticorps
B – des cellules sanguines
C – des hormones
D – du glucose
C – des hormones
Lequel de ces systèmes n’est pas considéré comme un système « vital » ?
A – le système nerveux
B – le système respiratoire
C – le système locomoteur
D – le système cardio-circulatoire
C – le système locomoteur
Des organes regroupés dans un ensemble fonctionnel forment :
A – un tissu
B – un appareil ou système
C – une cellule
B – un appareil ou système
Le système qui puise l’oxygène dans l’air ambiant et le conduit au niveau des alvéoles pulmonaires s’appelle :
A – système respiratoire ou ventilatoire
B – système cardio-circulatoire
C – système nerveux
D – système endocrinien
A – système respiratoire ou ventilatoire
La respiration :
A – est synonyme de ventilation
B – n’englobe que la ventilation et le transport
de l’oxygène
C – englobe la ventilation, le transport de l’02
et la consommation de [‘oxygène par la cellule
C – englobe la ventilation, le transport de l’02
et la consommation de [‘oxygène par la cellule
Véritable centre opérationnel, il contrôle toutes les activités de notre corps et permet la communication avec l’environnement. Il s’agit :
A – du système nerveux
B – du système respiratoire
C – du système cardio-circulatoire
D – du système digestif
A – du système nerveux
Le système qui transporte l’oxygène de l’alvéole pulmonaire à la cellule où il sert aux réactions d’oxydation s’appelle :
A – système respiratoire
B – système cardio-circulatoire
C – système locomoteur
D – système digestif
B – système cardio-circulatoire
Système de transport et de distribution, il est aussi un système régulateur de la température de l’organisme :
A – le système cardio-circulatoire
B – le système digestif
C – le système respiratoire
D – le système locomoteur
A – le système cardio-circulatoire
Son dysfonctionnement est responsable de la stérilité, il s’agit :
A – du système nerveux
B – du système urinaire
C – du système génital
D – du système respiratoire
C – du système génital
Les hormones sont sécrétées par le système endocrinien composé de glandes disséminées dans l’organisme :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’augmentation des besoins en oxygène lors
d’un effort passe par une augmentation des fréquences respiratoire et ventilatoire dépendantes de la sécrétion d’une hormone qui s’appelle :
A – la thyroïde
B – le glucose
C – l’adrénaline
D – l’insuline
C – l’adrénaline
Le système immunitaire qui permet au corps humain de se défendre contre la pénétration de germes repose sur :
A – les globules rouges
B – les globules blancs
C – l’insuline sécrétée par le pancréas
B – les globules blancs
Des anomalies du fonctionnement des cellules musculaires peuvent être à l’origine d’une augmentation de la température du corps entraînant un
dysfonctionnement du cerveau :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Deux points rouges espacés de 6 à 10 mm, accompagnés de douleur et d’un gonflement qui peut s’étendre à tout le membre, évoquent :
A – une morsure de mammifère
B – une morsure de serpent
C – une piqûre d’hyménoptère
D – un contact avec une méduse
B – une morsure de serpent
En cas de contact avec une méduse, la conduite
à tenir est de :
A – rincer à l’eau douce
B – rincer à l’eau de mer
C – frotter avec du sable
D – nettoyer à l’aclool
B – rincer à l’eau de mer
L’allergie est une réaction de l’organisme qui,
au contact d’éléments étrangers, libère des substances toxiques pouvant entraîner une altération grave de la ventilation et de la circulation :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Une piqûre d’hyménoptère (abeille, guêpe, frelon) est habituellement bénigne :
A – si elle est localisée dans la bouche ou la gorge
B – même s’il y en a plusieurs
C – si le sujet est allergique
D – si elle est isolée
D – si elle est isolée
En ce qui concerne les interventions pour secours à personnes, on parle d’« enfant » de la naissance
à la fin de la croissance soit :
A – vers 12 ans
B – vers 14 ans
C – vers 16 ans
D – vers 20 ans
C – vers 16 ans
La laryngite est chez le nourrisson une maladie grave
pouvant provoquer une détresse respiratoire :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Un nouveau-né devient très vite hypothermique. Pour lutter contre le refroidissement, il faut :
A – le frictionner
B – l’envelopper dans une couverture isothermique
C – l’envelopper dans des linges chauds
B – l’envelopper dans une couverture isothermique
Pour lequel de ces matériels, l’utilisation n’est pas adaptée à l’enfant?
A – la canule de Guedel
B – le cardio-pompe
C – le ballon auto-remplisseur (BAR)
B – le cardio-pompe
Sur un nourrisson, comment se pratique le massage cardiaque externe?
A – il se pratique avec les mêmes méthodes que sur un adulte
B – la compression exercée doit comprimer le thorax d’environ 10% de son épaisseur
C – la fréquence de compression doit être d’environ
80 par minute
D – la compression est réalisée avec la pulpe de 2 doigts
D – la compression est réalisée avec la pulpe de 2 doigts
Lorsqu’on pratique la ventilation artificielle sur un
enfant, le volume insufflé doit être égal :
A – au poids de l’enfant x 2
B – au poids de l’enfant x 3
C – au poids de l’enfant x 5
D – au poids de l’enfant x 10
D – au poids de l’enfant x 10
La fréquence de la ventilation artificielle
sur un enfant de 5 à 10 ans doit être environ de :
A – 40 cycles par minutes
B – 35 à 25 cycles par minutes
C – 25 à 20 cycles par minutes
D – 15 cycles par minutes
C – 25 à 20 cycles par minutes
Pour une femme qui accouche pour la première fois, le temps entre la rupture de la poche des eaux et la dilatation complète de l’utérus est de :
A -30 min à 1 h
B – environ 1 h
C – 2 à 6 h
D – 5 à 8 h
D – 5 à 8 h
L’utérus est un muscle creux formé de fibres musculaires lisses dont la contraction est indépendante de la volonté et qui contient le foetus prêt à naître :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Lorsque l’enfant est né, les contractions utérines
cessent, puis reprennent pour expulser le placenta. Normalement, la durée de cette interruption est de :
A – 1 à 2 min
B – 5 à 15 min
C – 30 min à 1 heure
D – plus d’une heure
B – 5 à 15 min
Chez une femme ayant déjà accouché au moins une fois, le temps entre la rupture de la poche des eaux et la dilatation complète de l’utérus est beaucoup plus court :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Parmi les indices d’intoxication, les troubles du rythme et de la fréquence cardiaque sont des signes de :
A – détresse neurologique
B – détresse cardio-circulatoire
C – troubles de la thermorégulation
D – détresse ventilatoire
B – détresse cardio-circulatoire
Des troubles du comportement (agitation, prostration,
hallucinations) sont les signes d’une détresse :
A – neurologique
B – ventilatoire
C – cardio-circulatoire
A – neurologique
On désigne sous le terme d’électrotraumatisme :
A – les lésions engendrées par l’onde de choc d’une explosion
B – la compression intense et prolongée de masses musculaires
C – les lésions provoquées par un accident électrique
C – les lésions provoquées par un accident électrique
On appelle blast :
A – les lésions engendrées par l’onde de choc d’une explosion
B – l’action de la foudre sur le corps humain
C – l’introduction de substances toxiques dans l’organisme
A – les lésions engendrées par l’onde de choc d’une explosion
Dans une explosion, la transmission de l’onde de pression au niveau de la cage thoracique est responsable :
A – d’une rupture des tympans
B – des lésions des alvéoles pulmonaires
C – des lésions au niveau du foie ou de la rate
B – des lésions des alvéoles pulmonaires
On présente les victimes d’explosions comme étant des :
A – 2 B (Brûlé, Blessé)
B – 3 B (Brûlé, Blessé, Blasté)
C – 4 B (Brûlé, Blessé, Blasté, Bouleversé)
C – 4 B (Brûlé, Blessé, Blasté, Bouleversé)
Certaines lésions peuvent apparaître, sur
une victime, plusieurs heures après l’explosion.
Ce sont essentiellement des lésions :
A – auriculaires
B – osseuses et musculaires
C – pulmonaires
D – organiques
C – pulmonaires
Le « crush syndrome » est :
A – le résultat des lésions engendrées par l’effet de souffle d’une explosion
B – la compression intense et prolongée
de masses musculaires
C – l’introduction de substances toxiques
dans [‘organisme
B – la compression intense et prolongée
de masses musculaires
On estime que le syndrome de compression doit être redouté chaque fois qu’une victime reste coincée et comprimée plus de :
A – 30 minutes
B – 1 heure
C – 2 heures
D – plusieurs heures
B – 1 heure
En présence d’un syndrome de compression :
A – plus la durée de compression est grande, plus les
risques sont grands à [a levée de la compression
B – la médicalisation n’est pas systématique
C – on peut lever la compression avant la
médicalisation de la victime
A – plus la durée de compression est grande, plus les
risques sont grands à [a levée de la compression
L’action de détruire des micro-organismes (bactéries, virus) présents dans un local, sur une surface, au niveau d’une plaie, s’appelle :
A – le nettoyage
B – [a désinfection
C – la décontamination
B – [a désinfection
Lors de toute intervention de secours à personne, le port des gants à usage unique :
A – est laissé à l’appréciation du chef d’agrès
B – est recommandé
C – doit être systématique
C – doit être systématique
Les matériels à usage unique (pansements, emballages) :
A – doivent être désinfectés
B – peuvent être jetés dans n’importe quelle poubelle
C – doivent faire l’objet d’un recueil dans
des conteneurs spécifiques
C – doivent faire l’objet d’un recueil dans
des conteneurs spécifiques
L’opération visant à éliminer les agents ou les effets d’une contamination microbienne, chimique, etc., s’appelle :
A – le nettoyage
B – la désinfection
C – la décontamination
C – la décontamination
L’ensemble des moyens individuels ou collectifs visant à préserver ou favoriser la santé est la définition de :
A – l’entretien sanitaire
B – le secourisme
C – l’hygiène
D – l’infection
C – l’hygiène
Il existe un numéro européen unique d’appel
des secours (sapeurs-pompiers, police,
aide médicale urgente). Il s’agit du :
A – 15
B – 1 7
C – 1 8
D – 112
D – 112
En France, lorsqu’on compose le 112, on aboutit presque toujours
A – au CTA des sapeurs-pompiers
B – au centre de régulation du SAMU
C – au centre opérationnel de la gendarmerie
D – à la préfecture
A – au CTA des sapeurs-pompiers
Le numéro d’appel du SAMU est le :
A – 1 5
B – 1 7
C – 18
A – 1 5
Le CRRA est le centre de réception et de régulation des appels :
A – des sapeurs-pompiers
B – de la police
C – de la gendarmerie
D – du SAMU
D – du SAMU
Le médecin régulateur du SAMU peut décider d’envoyer les sapeurs-pompiers en cas de carence d’autres moyens de transport sanitaire :
A – vrai
B – faux
A – vrai
La décision d’orientation de la victime vers un centre hospitalier en fonction de son état est du ressort :
A – du chef d’agrès VSAV
B – du CODIS
C – du médecin régulateur du SAMU
C – du médecin régulateur du SAMU
Tout VSAV ayant pris en charge une victime
doit transmettre un bilan au CRRA et au CODIS :
A – vrai
B – faux
B – faux
Pour le SAMU, l’organisme chargé de recevoir et traiter les appels s’appelle :
A – CTA
B – CRRA
C – CODIS
D – COG
B – CRRA
S’il estime qu’ils sont les plus adaptés à la nature de l’appel, le médecin régulateur du SAMU peut décider
d’envoyer des moyens sapeurs-pompiers :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Lorsqu’un particulier demande les secours en composant le 15, son appel est reçu :
A – à la police
B – chez les sapeurs-pompiers
C – au SAMU
C – au SAMU