Formateur niveau 1 Flashcards
La pédagogie provocatrice repose sur :
A — l’échange entre les acteurs.
B — la confiance, le respect et la modération
C — le retour d’information
D — une exploration menée par !es formés et le formateur
D — une exploration menée par !es formés et le formateur
Quel élément ne caractérise pas la formation pour adulte ?
A — l’adulte est là par sa propre volonté, jamais contre son gré
B — l’adulte n’apprend qu’à certaines conditions
C — l’autorité du formateur n’est jamais acquise
D — l’adulte doit avoir une motivation, soit à l’arrivée, soit au cours de la formation
A — l’adulte est là par sa propre volonté, jamais contre son gré
La pédagogie assertive renforce la dépendance entre le formateur et le formé :
A — vrai
B — faux
B — faux
Quelle affirmation est la plus conforme à l’idée du retour d’information ?
A — on ne sait jamais ce que pense notre interlocuteur
B — le récepteur du message comprend différemment notre message
C — la réponse de l’interlocuteur, valide la portée du message
D — la réponse de l’interlocuteur doit être prise en compte
C — la réponse de l’interlocuteur, valide la portée du message
La pédagogie empathique repose sur l’échange et le fait que le formateur se mette à la place du formé. Le formateur est un facilitateur :
A — vrai
B — faux
A — vrai
Les questions du formateur peuvent varier dans la forme et dans la réponse attendue :
A — vrai
B — faux
A — vrai
Parce qu’un groupe possède des énergies individuelles et collectives, il est différent de la somme des individus :
A — vrai
B — faux
A — vrai
En retournant la question au demandeur initial de façon à l’amener à répondre à sa question, le formateur fait :
A — une question relais
B — une question miroir, qui stimule la réflexion
C — une question écho, servant à désamorcer une question piège
D — une question fermée
C — une question écho, servant à désamorcer une question piège
Le formateur a pour fonction, dans un groupe, de :
A — produire des résultats, faciliter l’action de formation, et réguler les relations
B — canaliser les énergies individuelles et collectives
C — conduire les apprenants
D — manager et canaliser les énergies
A — produire des résultats, faciliter l’action de formation, et réguler les relations
Quelle action ne peut pas avoir la question directe ?
A — apaiser une discussion très animée
B — favoriser une première opinion
C — réintégrer au groupe des participants en apartés
D — faire réagir une personne sur un sujet
B — favoriser une première opinion
Une question alternative attend une réponse positive ou négative :
A — vrai
B — faux
B — faux
II est indispensable de retranscrire son exposé oral sur le support, afin que les apprenants puissent suivre :
A – vrai
B – faux
B – faux
A quoi ne peut pas servir un support pédagogique :
A – à évaluer le degré d’acquisition des connaissances
B – à mémoriser en présentant des résumés
C – à établir une démarche administrative
D – à favoriser l’esprit d’analyse des apprenants
C – à établir une démarche administrative
L’utilisation du rétro-projecteur ne doit pas me faire oublier de garder le contact avec les apprenants :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Quelle est la première zone du transparent abordée par les apprenants?
A – en haut à gauche
B – en haut à droite
C – au centre
D – à gauche
C – au centre
Quel n’est pas le rôle premier du transparent?
A – établir un dialogue avec les apprenants
B – renforcer le message
C – visualiser les idées et les informations
D – concentrer l’attention de l’auditoire
A – établir un dialogue avec les apprenants
La transmission d’un message à l’aide de deux canaux sensitifs (visuel, auditif, kinesthésique) renforce considérablement la réception d’un message :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Je ne dois pas écrire sur le transparent au cours de la présentation, il vaut mieux prévoir à l’avance ce qui doit être mentionné sur celui-ci :
A – vrai
B – faux
B – faux
Si au début de la formation, le rétro-projecteur ne fonctionne pas :
A – ce n’est pas grave, car j’ai prévu un paper-board
B – ce n’est pas possible, car j’ai vérifié au préalable son fonctionnement, je bascule sur l’ampoule de rechange, mais j’ai également prévu une autre solution
C– les apprenants ne seront certainement pas sensibles à cet incident car je compense en étant plus interactif
D – j’établirai un rapport au service de maintenance et au chef de centre sur les problèmes de matériel à disposition des formateurs
B – ce n’est pas possible, car j’ai vérifié au préalable son fonctionnement, je bascule sur l’ampoule de rechange, mais j’ai également prévu une autre solution
Un transparent doit être une synthèse, et ne présenter qu’un nombre succinct d’idées. Ainsi surcharger ce support enlève tous ses avantages éventuels :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Le travail en sous-groupe peut être utilisé pour :
A – établir des liens entre les apprenants pour rendre agréable l’ambiance du groupe
B – stimuler la réflexion, l’autonomie et la convivialité
C – travailler sur des sujets difficiles, susceptibles d’entraîner une polémique
D – séparer les individus belliqueux ou perturbateurs
B – stimuler la réflexion, l’autonomie et la convivialité
La démonstration pratique ne comporte pas la phase de :
A – justification
B – démonstration
C – découverte
D – mémorisation
C – découverte
Il est important de bien identifier son public avant de construire son exposé :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Quel moyen efficace permet d’impliquer son auditoire?
A – le regard
B – les gestes
C – la voix
D – l’attitude
A – le regard
Un exposé comporte sept étapes : présentation de l’objectif, phase de découverte, phase démonstrative, phase d’application et :
A – synthèse, conclusion et développement
B – conclusion, évaluation et ouverture
C – synthèse, évaluation et conclusion
D – ouverture, développement, synthèse et conclusion
C – synthèse, évaluation et conclusion
Il faut laisser travailler les sous-groupes seuls pour ne pas briser leur autonomie durant leurs réflexions :
A – vrai
B – faux
B – faux
Par quelle réflexion commence la construction d’un exposé pédagogique?
A – se demander à qui s’adresse l’exposé en étudiant la situation pédagogique
B – déterminer le plan à adopter
C – analyser et réfléchir à l’objectif recherché par le directeur de stage
D – déterminer le nombre de parties qu’il devra comporter
A – se demander à qui s’adresse l’exposé en étudiant la situation pédagogique
Une fois l’exposé proprement dit fini, il n’est pas toujours nécessaire de conclure. C’est souvent ressenti par les apprenants comme un alourdissement inutile de l’exposé :
A – vrai
B – Faux
B – Faux
Je dois corriger un défaut ou une erreur dès leur apparition :
A – vrai
B – faux
A – vrai
La démonstration pratique entraîne souvent de mauvais comportements, elle est à utiliser avec parcimonie pour les sapeurs-pompiers
A – vrai
B – faux
B – faux
L’apprentissage d’un adulte passe par quatre phases : l’incompétence inconsciente, l’incompétence consciente, la compétence consciente et :
A – la conscience de ce qu’il y a des choses qu’il ignore
B – l’inconscience de ce qu’il ignore
C – la maîtrise pratique de ce qu’il sait
D – la connaissance intégrée et le geste réalisé sans s’en rendre compte
D – la connaissance intégrée et le geste réalisé sans s’en rendre compte
L’évaluation formative est effectivement impérative à la fin d’une formation pour valider les acquisitions de l’apprenant :
A – vrai
B – faux
B – faux
Le scénario pédagogique n’est pas :
A – un fil rouge, une ossature à la formation
B – constitué d’un objectif général, et d’objectifs intermédiaires et spécifiques
C – un document qui doit rester assez ouvert pour laisser le formateur s’adapter
D – un mode d’emploi rigoureux, à suivre à la lettre
D – un mode d’emploi rigoureux, à suivre à la lettre
L’évaluation comporte des pièges, tel que l’objectivisme absolu (seul le résultat compte), l’autoritarisme (juger sans se justifier), le piège du technicien (seule la technique compte), ou
A – l’ivresse interprétative, vouloir savoir tout sur tout
B – l’interprétation divine, donner un sens aux résultats arbitrairement
C – le jugement incompétent, juger sans avoir les compétences requises
D – l’absolu réglementaire, vouloir appliquer la réglementation sans discernement
A – l’ivresse interprétative, vouloir savoir tout sur tout
L’objectif général repose sur un délai, un public et 3 verbes d’action :
A – vrai
B – faux
B – faux
L’évaluation sert aussi au formateur à évaluer s’il atteint ses objectifs de formation :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’objectif spécifique doit répondre à quatre conditions : être univoque, formuler en comportements observables, préciser les conditions de réalisation et mentionner les critères de réussite du groupe :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Quel type d’évaluation n’est pas utilisé?
A – l’évaluation diagnostique, qui évalue les pré-requis avant le début du stage
B – l’évaluation formative, pour ajuster et adapter la formation en cours
C – l’évaluation quantitative, pour évaluer la somme des connaissances
D – l’évaluation certificative, hors de l’apprentissage, atteste de la qualification
C – l’évaluation quantitative, pour évaluer la somme des connaissances
Pour utiliser l’évaluation formative, il est nécessaire de :
A – ne pas donner de jugements en l’air
B – faire un commentaire en justifiant et en donnant des axes d’amélioration
C – être arbitraire
D – valoriser l’apprenant en n’insistant pas sur ses erreurs
B – faire un commentaire en justifiant et en donnant des axes d’amélioration
L’objectif général doit définir des connaissances, des techniques ou méthodes, des comportements selon l’objectif recherché :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’évaluation a un rôle social. Elle doit donc être utilisée avec prudence et rigueur :
A – vrai
B – faux
A – vrai
L’évaluation formative est un outil pour :
A – le formateur
B – le formé
C – les deux
D – ni l’un, ni l’autre
C – les deux