Incendie niveau 2 Flashcards
La combustion qui se caractérise par des phénomènes lumineux presque nuls, peu d’élévation de température et une absence de flammes est appelée :
A – combustion vive
B – combustion lente
C – combustion spontanée
D – auto-combustion
B – combustion lente
La température minimale à laquelle un liquide combustible émet suffisamment de vapeurs pour former avec l’air une atmosphère inflammable s’appelle :
A – point d’ignition
B – point d’auto-ignition
C– point éclair
D – point de combustion
C– point éclair
Le rayonnement est un mode de propagation par :
A – transmission de chaleur
B – déplacement de substances solides en combustion
C – déplacement de liquides en combustion
D – conduction
A – transmission de chaleur
La température à laquelle un mélange gazeux combustible peut s’enflammer spontanément sans la présence de flammes est appelée’:
A– point d’ignition
B – point d’auto-ignition
C – point éclair
D – point de combustion
B – point d’auto-ignition
Le compartimentage et l’encloisonnement au moyen de murs ou portes coupe-feu constituent des mesures destinées à :
A – éviter l’éclosion des incendies
B – éviter la panique
C – éviter la propagation
D – éviter les courants d’air
C – éviter la propagation
L’explosion est une forme de combustion spontanée pour des corps contenant un excès d’oxygène et au sein desquels se produit une rupture d’équilibre :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Le mode de transmission de la chaleur dans la masse du matériau de proche en proche sans transfert de matière est un mode de propagation par :
A – rayonnement
B – conduction
C – convection
D – diffusion
B – conduction
La malveillance ou la négligence rentre dans les causes d’incendie :
A – humaines
B – naturelles
C – énergétiques
D – écologiques
A – humaines
La température minimale à laquelle un mélange combustible de gaz et d’air s’enflamme en présence d’une flamme avec persistance de flammes s’appelle :
A – point d’ignition
B – point d’auto-ignition
C – point éclair
D – point d’auto-combustion
A – point d’ignition
Le transfert de chaleur par le mouvement de l’air est un mode de propagation par :
A – rayonnement
B – conduction
C – convection
D – diffusion
C – convection
Lorque le produit extincteur prive le foyer d’oxygène, on parle de procédé d’extinction par :
A – refroidissement
B – souffle
C – étouffement
D – inhibition
D – inhibition
Lorsque l’eau absorbe de la chaleur pour élever sa température et pour se vaporiser, on dit qu’elle agit :
A – par soufflage
B – par étouffement
C – par dispersion
D — par abaissement de la température
D — par abaissement de la température
Les feux de liquides ou solides liquéfiables sont des feux de :
A – classe A
B – classe B
C – classe C
D – classe D
B – classe B
On considère que l’action de la mousse à bas foisonnement commence à se faire sentir dès que la couche atteint :
A – 2 à 3 cm
B – 5 à 10 cm
C – 10 à 15 cm
D – 30 à 50 cm
C – 10 à 15 cm
Une mousse dont le coefficient de foisonnement est de 500 à 1 000 est une mousse :
A – bas foisonnement
B – moyen foisonnement
C – haut foisonnement
D – standard
C – haut foisonnement
On considère que la toxicité et les dégâts provoqués par la poudre sont pratiquement nuls :
A – vrai
B – faux
A – vrai
La norme européenne EN/2 définit :
A – quatre catégories de feux baptisées 1, 2, 3, et 4
B – quatre catégories de feux baptisées A, B, C, et D
C – quatre classes de feux baptisées 1, 2, 3 et 4
D – quatre classes de feux baptisées A,B,C,D
D – quatre classes de feux baptisées A,B,C,D
Les feux de classe D sont des feux de :
A – matériaux solides
B – liquides ou solides liquéfiables
C – métaux
D – gaz ou vapeurs
C – métaux
L’agent extincteur recommandé pour les feux de classe A est :
A – l’eau
B – la mousse
C – la poudre
D – le sable ou le ciment
A – l’eau
La plupart des fourgons pompe tonne sont équipés de dispositifs permettant la production de mousse :
A – bas foisonnement
B – moyen foisonnement
C – haut foisonnement
D – standard
A – bas foisonnement
Les sapeurs-pompiers utilisent le plus souvent des explosimètres :
A – automatiques transportables
B – automatiques à poste fixe
C – manuels portatifs
D – manuels à postes fixes
C – manuels portatifs
Lorsque dans un local, le mélange air-gaz a dépassé la limite supérieure d’explosivité :
A – le risque d’explosion est maximal
B – le mélange est trop pauvre en gaz pour qu’il y ait risque d’explosion
C – le risque d’explosion va apparaître pendant la ventilation du local
D – le risque d’explosion est minimal
C – le risque d’explosion va apparaître pendant la ventilation du local
Le risque d’explosion est maximal lorsque le mélange air-gaz dans un volume :
A – est inférieur à la LIE
B – est compris entre la LIE, et la LSE
C – est supérieur à la LSE
D – est à 50/50
B – est compris entre la LIE, et la LSE
Sur une intervention présentant un risque d’explosion (fuite de gaz…), une de ces manoeuvres doit être évitée : laquelle?
A – n’engager que le personnel nécessaire convenablement protégé
B – faire subir à la situation une modification brusque (courant d’air involontaire)
C – utiliser les moyens de ventilation antidéflagrants de préférence en aspiration
D – reconnaître tous les locaux où le gaz a pu s’infiltrer (caves, sous-sols).
B – faire subir à la situation une modification brusque (courant d’air involontaire)
lI n’a pas été démontré qu’un de ces éléments pouvait avoir de l’influence sur la lecture d’une mesure effectuée par un explosimètre :
A — les produits chlorés
B — les fumées d’incendie
C — les produits sulfureux
D — les poussières
B — les fumées d’incendie
Lorsqu’une atmosphère renferme dans certaines proportions un gaz susceptible de provoquer une explosion au contact d’une flamme, elle est dite :
A — explosive
B — explosible
C — détonante
D — dangereuse
A — explosive
En cas de découverte d’un engin de guerre explosif, le chef d’agrès :
A — récupère l’engin et le ramène à la gendarmerie
B — déplace l’engin pour fe mettre en sécurité
C — interdit tout déplacement de l’engin et fait alerter le service du déminage de la sécurité civile
D — recouvre l’engin d’une protection
C — interdit tout déplacement de l’engin et fait alerter le service du déminage de la sécurité civile
Un explosimètre indique :
A — le pourcentage de gaz dans l’air
B — le pourcentage de limite supérieure d’explosivité (LSE)
C — le pourcentage de limite inférieure d’explosivité (LIE)
D — le pourcentage de CO2 dans l’air
C — le pourcentage de limite inférieure d’explosivité (LIE)
Une de ces actions n’a pas d’utilité pour un chef d’agrès confronté à une fuite de gaz de ville située en amont du barrage général de l’immeuble : laquelle?
A — demander l’intervention de GDF
B — manoeuvrer le barrage général de l’immeuble
C — reconnaître tous les locaux où le gaz a pu s’infiltrer
D — renforcer les mesures de sécurité
B — manoeuvrer le barrage général de l’immeuble
Le refroidissement brutal d’une bouteille de gaz comprimé surchauffée peut provoquer son explosion :
A — vrai
B — faux
A — vrai
En ce qui concerne l’attaque d’un feu de cave, un seul de ces principes est exact : lequel?
A — attaquer généralement dans le sens opposé au tirage
B — privilégier l’emploi de moyens de ventilation en refoulement
C — mettre en place des moyens d’éclairage
D — le foyer découvert, mener l’extinction avec les procédés habituels (eau, mousse)
D — le foyer découvert, mener l’extinction avec les procédés habituels (eau, mousse)
La défense de point sensible appartient aux tactiques de lutte contre un feu de forêt dites :
A — offensives
B — défensives
C — de soutien
D — d’assaut
B — défensives
L’attaque par percée de flancs appartient aux tactiques de lutte contre un feu de forêt dites :
A — offensives
B — défensives
C — de soutien
D — d’assaut
A — offensives
Au cours des opérations de lutte contre un feu de combles, la création d’exutoires :
A — est une mesure à réaliser rapidement et impérativement
B — ne peut pas entraîner d’embrasement généralisé
C — ne doit être effectuée que lorsque les moyens d’extinction sont établis et alimentés
D — est à effectuer une fois l’extinction terminée
C — ne doit être effectuée que lorsque les moyens d’extinction sont établis et alimentés
La lutte contre un feu de cave nécessite l’utilisation coordonnée de moyens:
A - de sauvetage, d’exploration et d’extinction
B - d’exploration, de ventilation, d’éclairage et d’extinction
C - de sauvetage et d’extinction
D - de désenfumage et de sauvetage
B - d’exploration, de ventilation, d’éclairage et d’extinction
Un de ces éléments n’a pas d’incidence majeure sur la rapidité de propagation d’un feu de forêt : lequel ?
A — la nature des essences implantées
B — les formes générales du terrain
C — la force et la direction du vent
D — l’altitude
D — l’altitude
La manoeuvre qui consiste à attaquer un feu de forêt en rétrécissant le front de flammes puis à fixer la tête avec les moyens de renfort s’appelle :
A– attaque directe de front
B – attaque par les flancs
C – attaque par percée de flancs
D – attaque arrière
B – attaque par les flancs
La tactique qui consiste à « attendre » un feu de forêt en s’appuyant sur des éléments naturels favorables appartient aux tactiques dites :
A – offensives
B – défensives
C – de soutien
D – d’assaut
B – défensives
Un feu de végétaux qui concerne la couverture végétale (herbes, pousses, arbrisseaux…) entre dans la catégorie des :
A – feux de terre
B – feux au sol ou courants
C – feux de cimes
D – feux d’humus
B – feux au sol ou courants
L’attaque d’un feu de forêt se décompose en :
A – deux phases: fixer, maîtriser
B – trois phases : fixer, maîtriser, éteindre
C – quatre phases : fixer, maîtriser, éteindre, surveiller
D – cinq phases : fixer, maîtriser, éteindre, surveiller et quitter les lieux
B – trois phases : fixer, maîtriser, éteindre
Le risque principal rencontré lors d’un incendie de véhicule de tourisme équipé au GPL est :
A – la toxicité des fumées
B – un pouvoir fumigène important
C – l’explosion du gaz inflammable lié à la rupture du réservoir
D – un fort dégagement calorifique pouvant propager l’incendie par rayonnement
C – l’explosion du gaz inflammable lié à la rupture du réservoir
Une de ces caractéristiques ne s’applique pas aux feux de classe C : laquelle?
A – un fort dégagement calorifique
B – un danger potentiel d’explosion
C – un pouvoir fumigène élevé ou très élevé
D – un dégagement de vapeurs toxiques dans certains cas
C – un pouvoir fumigène élevé ou très élevé
Une de ces caractéristiques ne s’applique pas aux feux de matières plastiques : laquelle?
A – ils possèdent un pouvoir calorifique important
B – leur pouvoir fumigène est élevé ou très élevé
C – ils sont susceptibles de s’enflammer spontanément au contact de l’air
D – leur combustion dégage de nombreux gaz toxiques
C – ils sont susceptibles de s’enflammer spontanément au contact de l’air
Un étiquetage spécial signale, sur l’emballage, la toxicité des pesticides. Les substances très toxiques portent l’indication :
A – attention
B – poison
C – danger
D – risque
B – poison
Les feux de peintures, vernis, huiles sont des feux de :
A – classe A
B – classe B
C – classe C
D – classe D
B – classe B
Ces feux peuvent être assimilés à des feux de sous sols car ils nécessitent souvent des reconnaissances pénibles, longues, difficiles ou dangereuses :
A – les feux d’aéronefs
B – les feux de bateaux, navires
C – les feux de camion citerne
D – les feux de trains
B – les feux de bateaux, navires
Le réservoir de GPL qui équipe les véhicules de tourisme peut atteindre une pression de :
A – 5 bars
B –10 bars
C –15 bars
D – 20 à 25 bars
C –15 bars
Le sable sec, la terre meuble et le ciment constituent des agents extincteurs à utiliser pour les feux :
A – de classe A
B – de classe B
C – de classe C
D – de classe D
D – de classe D
Un étiquetage spécial signale, sur l’emballage, la toxicité des pesticides. Les substances faiblement toxiques portent l’indication :
A – attention
B – poison
C – danger
D – risque
A – attention
Les canalisations en polyéthylène utilisées par GDF pour la distribution basse et moyenne pression s’enflamment et se détruisent à une température proche de :
A – 50°C
B – 130°C
C – 500 °C
D –1 000°C
B – 130°C
Certains produits, en poudre ou en copeaux, de cette classe de feux sont susceptibles de s’enflammer spontanément au contact de l’air. Il s’agit de produits de :
A – classe A
B – classe B
C – classe C
D – classe D
D – classe D
L’agent extincteur à utiliser sur un feu de classe C est :
A – l’eau
B – la mousse
C – la poudre polyvalente
D – le sable sec, la terre meuble, le ciment
C – la poudre polyvalente
Face à un incendie de véhicule de tourisme, le chef d’agrès doit, tant que le cloute n’est pas levé sur l’alimentation au GPL du véhicule, établir un périmètre de sécurité :
A– de 5 à 6 m
B – d’une dizaine de mètres
C– de 50 à 100 m
D – d’au moins 200 m
C– de 50 à 100 m
Le réservoir de GPL qui équipe les véhicules utilitaires peut atteindre une contenance de :
A – 50 litres
B – 100 litres
C – 200 litres
D – 500 litres
C – 200 litres
Le moyen le plus fiable pour s’assurer qu’un véhicule de tourisme en feu n’est pas équipé au GPL consiste à :
A – engager un binôme bien protégé au plus près du véhicule pour identifier l’installation
B – repérer la marque distinctive que ces véhicules portent sur la plaque d’immatriculation
C – transmettre le numéro d’immatriculation au CODIS qui contacte les services de police
D – il n’y a aucun moyen : les précautions maximales doivent toujours être prises
C – transmettre le numéro d’immatriculation au CODIS qui contacte les services de police
Le débit de mousse nécessaire à l’extinction d’un feu d’hydrocarbures s’exprime :
A – en épaisseur de mousse par mètre carré
B –en volume de mousse par mètre carré et par minute
C – en épaisseur de mousse par mètre carré et par minute
D – en litres de solution moussante par mètre carré et par minute
D – en litres de solution moussante par mètre carré et par minute
Le mode de transport des hydrocarbures le plus souvent utilisé sur de courtes distances en particulier en zones urbanisées est par :
A – camions-citernes
B – wagons-citernes
C – péniches
D – oléoducs
A – camions-citernes
Pour mener l’attaque au plus près du foyer, le chef d’agrès doit faire progresser les porte-lance sous ses ordres à l’intérieur des cuvettes de rétention :
A – vrai
B – faux
B – faux
Les hydrocarbures :
A – se présentent exclusivement sous une forme liquide, le pétrole
B – n’existent que sous forme de gisements gazeux
C – peuvent se présenter sous forme liquide, gazeuse ou solide
D – sont les produits que l’on obtient par raffinage
C – peuvent se présenter sous forme liquide, gazeuse ou solide
En cas de sinistre dépassant les limites d’un dépôt d’hydrocarbures, le préfet peut déclencher :
A – un plan de secours spécialisé (PSS)
B – un plan d’opération interne (P01)
C – un plan d’urgence interne (PUI)
D – un plan particulier d’intervention (PPI) ou le plan ORSEC
D – un plan particulier d’intervention (PPI) ou le plan ORSEC
Les vapeurs d’hydrocarbures :
A – sont généralement plus lourdes que l’air
B – ne peuvent pas se mélanger avec l’air pour former un mélange inflammable
C – exercent dans une enceinte fermée une pression indépendante de la température
D – ne peuvent pas s’accumuler dans les parties basses et y séjourner faute de ventilation
A – sont généralement plus lourdes que l’air
Les zones où des gaz ou vapeurs combustibles peuvent apparaître au cours du fonctionnement normal des installations d’un dépôt d’hydrocarbures sont :
A – les zones du type 1
B – les zones du type 2
C – les zones de type A
D – les zones feux classées
A – les zones du type 1
Pour obtenir l’extinction d’un feu d’hydrocarbures, il faut entretenir un débit de mousse :
A – inférieur au débit critique
B – égal au débit critique
C – supérieur au débit critique
C – supérieur au débit critique
Le débit exprimé en litres de solution moussante par mètre carré et par minute nécessaire à l’extinction d’un feu d’hydrocarbures est appelé :
A – débit critique
B – taux d’application
C – taux de foisonnement
D – taux de concentration
B – taux d’application
Le plan d’opération interne (P01) d’un dépôt d’hydrocarbures est établi par :
A – le préfet
B – l’exploitant
C – le service départemental d’incendie et de secours
D – la direction départementale de l’équipement (DDE)
B – l’exploitant
Dans l’attaque d’un feu d’hydrocarbures, la phase d’extinction n’est entreprise que lorsque tous les moyens sont mis en oeuvre pour assurer sa conduite :
A – pendant au moins 10 min
B – pendant au moins 15 min
C – pendant au moins 20 min
D – pendant au moins 30 min
C – pendant au moins 20 min
Les cuvettes de rétention d’un dépôt pétrolier doivent avoir un volume au moins égal à celui du plus gros réservoir contenu et :
A – à la moitié de la capacité totale de tous les bacs de la cuvette
B – à la capacité totale de tous les bacs de la cuvette
C – au tiers de la capacité totale de tous les bacs de la cuvette
D – aux trois quarts de la capacité totale de tous les bacs de la cuvette
A – à la moitié de la capacité totale de tous les bacs de la cuvette
Le moyen de transport des hydrocarbures qui présente statistiquement le plus de risques est le transport par :
A – camions-citernes
B – wagons-citernes
C – péniches et pétroliers
D – oléoducs
A – camions-citernes
Le travail préparatoire effectué pour chaque dépôt d’hydrocarbures pour faire face à un incendie à l’intérieur du dépôt fait l’objet :
A – d’un plan de secours spécialisé (PSS)
B – d’un plan d’opération interne (P0I)
C – d’un plan d’urgence interne (PLJI)
D – d’un plan particulier d’intervention (PPI)
B – d’un plan d’opération interne (P0I)
Dans l’attaque d’un feu d’hydrocarbures, la phase de temporisation consiste à contenir l’incendie dès le début du feu de cuvette avec un taux d’application :
A – égal à la moitié du taux d’application nécessaire à l’extinction
B – égal au tiers du taux d’application nécessaire à l’extinction
C – égal au taux d’application nécessaire à l’extinction
D – supérieur de moitié au taux d’application nécessaire à l’extinction
A – égal à la moitié du taux d’application nécessaire à l’extinction
On ne suspecte pas spontanément la présence et l’utilisation de radio-éléments dans une de ces activités : laquelle ?
A – hôpital
B – cabinet médical
C – atelier de réparation automobile
D – établissement de recherche
C – atelier de réparation automobile
En fonction de leur état dans des conditions normales de température et de pression, les produits chimiques peuvent être classés :
A – en produits liquides exclusivement
B – en produits gazeux exclusivement
C – en produits solides, liquides ou gazeux
D – en produits solides exclusivement
C – en produits solides, liquides ou gazeux
Pour les sapeurs-pompiers en intervention, le risque d’irradiation :
A – est identifiable par une odeur caractéristique
B – est identifiable par une fumée âcre
C – ne peut être indiqué que par des appareils de mesure
D – est identifiable par l’émission de vapeurs chaudes
C – ne peut être indiqué que par des appareils de mesure
En cas d’incendie dans des locaux contenant des produits radioactifs, il est recommandé de limiter l’emploi de l’eau :
A – vrai
B – faux
A – vrai
Le sarin et le gaz moutarde sont classés parmi les produits chimiques particulièrement
A – explosibles
B – comburants
C – toxiques
D – corrosifs
C – toxiques