Seance 5 - Développement et gestion des relations d'affaires Flashcards

1
Q

Quel est le facteur clé de la rétention des contacts avec la clientele ?

A

Les couts de transfert ( Les couts directs et indirects qu’un acheteur aura à payer pour aller chez un autre fournisseur.)

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2
Q

Les couts de transferts peuvent inclure certains des éléments suivants. Nommez-les :

A

Des investissements spécifiques requis dans l’usine.
Des pénalités d’annulation.
Des couts d’installation pour un nouveau fournisseur.
Des formations additionnelles requises.
Devoir trouver et évaluer un nouveau fournisseur.
Peuvent réduire les risque en ayant plusieurs fournisseurs.

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3
Q

Nommez des exemples de contexte de couts de transfert élevés:​

A

Systèmes de télécommunication​

Franchises​

Logiciels ​

Équipements et machineries adaptés à des besoins spécifiques (customized)​

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4
Q

Nommez des exemples de contexte de couts de transfert faibles:

A

Équipements et fournitures de bureaux​

Services d’impression​

Produits en vrac (nettoyage, huile, chimiques)​

Tous les produits non-différenciés: beaucoup de fournisseurs​

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5
Q

Contact extreme avec la clientele:

Perdu pour de bon. Pourquoi ?

A

Les clients sont “attachés” à ​

un système. Les coûts de ​

transfert peuvent inclure :​ (IPCFT)

  • Des investissements spécifiques​
  • Des pénalités d’annulation​

-Des coûts d’installation pour ​
un nouveau fournisseur​

  • Des formations additionnelles​
  • Trouver et évaluer un ​nouveau fournisseur
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6
Q

Contact extreme avec la clientele:

Toujours un client. Pourquoi ?

A

-Les clients peuvent assigner​

leurs achats à plusieurs ​

fournisseurs. ​

-Une période sans achat peut ​

être suivi de plusieurs achats.​

-Le client ne veut pas compter ​

sur un fournisseur unique.​

-Les fournisseurs sont en forte​

demande​

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7
Q

DEUX RAISONS POURQUOI LES ENTREPRISES DEMEURENT EN CONTACT​

A

LA RAISON NO 1 : ELLES LE DOIVENT​

Aucunes solutions de rechange, actions obligatoires​

comme des contrats, liés aux produits complémentaires​

LA RAISON no 2 : ELLES LE VEULENT​

La relation est satisfaisante de par la coopération et l’atteinte des objectifs financiers

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8
Q

POUR BATIR LA FIDÉLITÉ DU CLIENT, IL FAUT SE DÉVELOPPER UN AVANTAGE COMPÉTITIF PAR:​ Nommez les

A

Une performance supérieure​

Des produits, services et support de qualité tel que défini par le client​

Par un service distinctif et fiable

(PPS)

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9
Q

Centralisation des achats. Qu elle est la mission de l’entreprise ?

A

cumuler l’information sur les offres des producteurs​ (producteurs=manufacturier)

déterminer la structure de l’assortiment de ses catégories ​

centraliser les prévisions de ventes​

commander la marchandise des producteurs

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10
Q

Avantages de la centralisations des achats.

A

le volume de transactions avec les producteurs permet des conditions d’achats avantageuses.​

La réduction du nombre de transactions permet de réaliser des économies d’échelle au niveau des coûts fixes.​

Le nombre d’acheteurs est limité, ce qui réduit les coûts administratifs

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11
Q

Desavantage de la centralisation des achats:

A

le processus d’adoption d’un nouveau produit est long, ce qui conduit à des ventes manquées ​

offrir un assortiment identique ou unique

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12
Q

Avantages de la decentralisations des achats.

A

adaptation rapide à la clientèle locale et aux segments de produits.​

plus grande motivation pour le personnel des points de vente, si on gère chaque succursale comme centre de profit.​

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13
Q

Desavantages de la decentralisations des achats.

A

la multiplication des centres de décision augmente les coûts administratifs

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14
Q

Utilisation de structures d’achats à deux niveaux

A

Un premier niveau très centralisé (centrale de référence) négocie les conditions de base avec les producteurs pour l’ensemble des magasins / bannières mais élabore des assortiments régionaux​

Le deuxième niveau prend des décisions d’approvisionnement plus décentralisées.LOCALE

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15
Q

Problématiques des achats ​

et pouvoir dans l’entreprise​

A

Les problématiques :​

  • « défidélisation » des consommateurs ;​
  • augmentation continue du nombre des références et réduction de leur durée de vie ;​
  • affrontement des MDD et des marques des fournisseurs​
  • partenariat MDD et PMI ;​
  • négociation des tarifs des marques nationales;​
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16
Q

Conséquence :​Problématiques des achats ​

et pouvoir dans l’entreprise​:

A

Les acheteurs, auparavant omnipotents, doivent aujourd’hui travailler dans le cadre rigoureux de la stratégie de l’enseigne MDD, en partenariat avec les PMI…​

C’est la prise de pouvoir par le marketing sur la fonction traditionnelle achat.​

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17
Q

Les centrales d’achat des enseignes alimentaires

La centralisation ou la délégation (Vrai ou faux)

A

Les distributeurs intégrés sont plus Centralisés : décisions en centrale nationale. Vrai.

Les distributeurs indépendants Délèguent plus : ​
trois niveaux de décision interactifs (magasin, centrale régionale, centrale nationale).​ Vrai.

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18
Q

Les centrales d’achat des enseignes alimentaires:

La dynamique interactive des fonctions d’achat :Nommez-les

A
  • plan de collection ;​
  • sourcing ;​
  • mix marques fournisseurs et MDD ;​
  • négociation avec fournisseurs marques ou partenaires MDD ;​
  • actualisation de la collection.
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19
Q

Vrai ou faux ?

A

La délégation permet aux indépendants une forte réactivité aux changements locaux (concurrence, clients) qui, sur le terrain, fait souvent défaut à leurs concurrents intégrés, d’où leur leadership en alimentaire (Métro face à Loblaws). Vrai,

20
Q

Définition : le merchandising

A

c’est l’ensemble des techniques permettant d’assurer la vente et la gestion des produits et des services dans les meilleures conditions. ​

21
Q

10 règles d’or du merchandising

A

 Créer un espace unique​

 Favoriser la circulation​

 Créer un climat favorable​

 Multiplier le trafic devant le linéaire​

 Montrer et aider à la prise en main​

 Informer et tout expliquer​

 Clarifier (compréhension des segments de la gamme)​

 Mettre en avant​

 Choisir les bons produits à présenter​

 Favoriser achat et réachat

22
Q

Les rôles du marchandisage​

pour le détaillant​:

Gestion​

A
  • Organiser le linéaire, les rayons​
  • Implanter le linéaire​
  • Optimiser la rotation des stocks​

Régler les problèmes de rupture​

  • Gérer les stocks, les catégories de produits​
  • Positionner les marques​
  • Évaluer la rentabilité du linéaire
23
Q

Les rôles du marchandisage​

pour le détaillant​:

Séduction​

A

Susciter l’intérêt du client​

Sécuriser et orienter le client​

Valoriser les produits​

Dynamiser le linéaire, les rayons, le magasin​

Animer les produits : démonstration, dégustation​

24
Q

Le marchandisage et la logique du client. Plusieurs facteurs influencent le marchandisage:

A

Les caractéristiques des produits : le poids, le format, la fragilité, la périssabilité et le degré de service requis influencent l’emplacement et la disposition des produits en magasin. ​

En général les clients préfèrent acheter les produits qui exigent plus de temps de réflexion et les produits lourds avant les achats routinier

25
Q

Le marchandisage et la logique du client. Plusieurs facteurs influencent le marchandisage:

La complémentarité des produits signifie:

A

La complémentarité des produits : regrouper les produits complémentaires facilite le choix des clients ​

Présenter les pâtes alimentaires près des sauces favorisent l’achat complémentaire

26
Q

Les rôles du marchandisage​

pour le client:

A

—Source d’informations​

Pour faire sa sélection, le client a besoin d’informations sur les produits et sur leur emplacement dans le magasin (promotions, affichage des prix, signalisation, etc.)​

—–Composante de l’expérience client​

La disposition et la présentation des produits, le regroupement des catégorie de produits, la circulation en magasin et l’accessibilité de la marchandisage facilitent l’expérience au point de vente​

27
Q

Les trois vecteurs de performance du marchandisage​

A
  1. Presentation
  2. Rotatation
  3. Profit
28
Q

Les emplacements stratégiques

A

comment les produits sont placer dans l’epecerie influence l’achat chez les clients

29
Q

Les niveaux de présentation

A

la hauteur placer du produit en magasin —> l indice de vente optimale 1,90 m

30
Q

Définition de la GPC (gestion par categorie):

A

La gestion des produits et des marques dans leurs catégories respectives, telles des unités d’affaires stratégiques, en fonction des besoins changeants des consommateurs et des exigences spécifiques des clients majeurs, afin d’améliorer l’offre consommateur tout en augmentant les ventes et les profits.​.

31
Q
Le category management 
Le CM (gestion par famille) consiste à :​
A
  • diviser l’offre en familles constituées de produits répondant à un même besoin consommateur global (ex. : jus de fruits) ;​
  • gérer chaque famille comme un tout, du besoin consommateur à l’achat (et non l’inverse, comme dans l’achat traditionnel).​
32
Q

La mise en place du category management rencontre deux difficultés majeures:

A

la constitution des familles, changements et interchangeabilité des produits ;​

la structure organisationnelle : le CM intégrant des fonctions différentes, voire antinomiques (achat, marketing…), nécessite une remise à plat de l’organisation de la centrale

33
Q

Vrai ou Faux.

A

Malgré ces difficultés, le category management, qui répond mieux aux besoins des clients, est appliqué ponctuellement, entre autres pour les MDD, fondées par nature sur l’intégration marketing, l’achat venant ensuite.​

34
Q

Le processus d’affaires de la GPC:

A

Fournisseur : Ventes —Marketing

Detaillant: Approv. et MEM—–Magasins

35
Q

Les détaillants doivent désormais augmenter le niveau de loyauté des consommateurs. Comment ?

A

Marque privée​

Programmes de fidélisation​

Gestion de l’offre

36
Q

En conclusion,

Baisse de profit GESTION PAR CATÉGORIE suite a :

A
  • Déflation ou​ stagflation
  • Croissance des ​marques privée
  • Concentration​ accrue
  • Concurrence entre​ Réseaux mêmes ​catégories
  • Plus de joueurs
37
Q

Perspective du détaillant: Gérer le panier total :

A
  • Les catégories représentent des unités d’affaires stratégiques​
  • Fixe les prix, le mix produits et les promotions en fonction du rôle des catégories​
  • Emphase sur la profitabilité du panier total
38
Q

Perspectives du détaillant: Ancien role VS Nouveaux role .

A
  • ANCIEN ROLE
  • Le volume était maître​

​-Ventes grossiste plutôt que consommateurs​

  • Dépenses Trade, Prix​High / Low​
  • Annonces circulaires​
  • NOUVEAU ROLE

Le vente au consommateur est maître​

Maintenir – réduire les prix​

Améliorer les profits​

Meilleure collaboration fournisseur - distributeur​

39
Q

COMPARASIONT DES ATTENTES

A

**Détaillant​

-Veut vendre le moins cher….et acheter au meilleur prix​


-Veut faire sa propre stratégie de mise en marché​

-Pense catégorie, panier total​

-Veut attirer les consommateurs dans le magasin avec des bons prix (et des loss-leader)​

-Veut limiter le nombre de produits​

-Veut développer sa marque privée

*****Fournisseur​

-Veut maximiser sa rentabilité, tout en développant ses parts de marché​

-Veut faire appliquer sa stratégie de marque​

  • Pense marque​
  • Veut bien, en autant que ça ne coûte pas cher, ni que ça abîme l’image de la marque​

-Veut avoir le maximum de produits​

-Veut développer Sa Marque

40
Q

Pourquoi comprendre le détaillant ?​

A

Pour savoir comment le convaincre​

Pour gagner dans le réseau de distribution​

Pour comprendre ses besoins​

Pour voir venir ses besoins​

Pour être adapté​

Pour développer des produits qui seront référencés​

POUR ACCÉDER AU MARCHE

41
Q

GPC 5 ETAPES

A

A) Analyse détaillée d’une catégorie incluant les marques, formats, saveurs. Cette étude inclus une évaluation sur le rendement des produits dans le marché total ainsi qu’à l’intérieur de l’entreprise.​

b) Développement d’une stratégie globale pour la catégorie ( marge de profit, positionnement vis-à-vis la concurrence, rencontrer les besoins de consommation des clients.​
c) Discussions avec un partenaire/fournisseur dans la planification de la catégorie.​
d) Transfert de la stratégie de la catégorie ( a) + b) ) dans le logiciel (Apollo-Space Man etc..) afin de permettre à l’entreprise de mettre à exécution sa stratégie au niveau des tablettes. ​
e) Évaluation continue de la catégorie afin de s’assurer que les objectifs de la catégorie sont atteints.

42
Q

GPC –Types d’informations* requis à l’interne:​

A
  • Code à Barre (UPC)​
  • Dimension des produits (hauteur, largeur, poids, etc..).​
  • Nombre de produits par caisse.​
  • Ventes en unité des produits au détail (en promotion vs régulier).*​
  • Marges de profits requises par produit au détail.*​
  • Rotation requise du produit au détail.*​
  • Nombre de “Facing par produit”.*​
  • Positionnement physique en tablette (1ère tablette, centre).​
  • Données sur les ventes des produits pour le marché total.*
43
Q

GPC —Difficultés pour un grand nombre de distributeurs:​

A
  • Intégrer une nouvelle méthode de gestion à l’intérieur de l’entreprise.​
  • Avoir accès à des données du réseau de ventes au détail.(POS).​
  • Être en mesure de gérer une gestion par catégorie par magasin.​
  • Accéder à des informations sur le rendement du marché au niveau régional/local.​
  • L’intégration de données qualitatives sur le consommateur par magasin.​
  • Obtenir un appui de tous les détaillants indépendants.​
  • La responsabilité d’absorber le coût des changements physiques au niveau des catégories pour le réseau de détaillant.
44
Q

L’avantage pour le manufacturier/producteur à simpliquer dans la gestion par catégorie?

A
  • Offre son expertise au niveau de la catégorie au distributeur/détaillant.​
  • Ajoute une connaissance sur le comportement du consommateur vis-à-vis la catégorie. Cette information est coûteuse et n’est pas toujours disponible au distributeur/détaillant.​
  • Une façon de se rapprocher de son distributeur/détaillan
45
Q

Le désavantage du manufacturier/producteur. ?

A
  • Dans bien des cas le manufacturier n’a pas accès aux informations sur les activités de ses concurrents par distributeur/détaillant ce qui rend la tâche d’offrir des recommandations sur la catégorie très difficile.
46
Q
  1. AQui bénéficie de l’utilisation de la gestion par catégorie? ​
  2. Au niveau de l’investissement relié à la gestion par catégorie (personnel & coût en informatique) ? Le distributeur/détaillant ou le manufacturier / producteur?​
    - À qui appartient les tablettes? Au détaillant ou au manufacturier/producteur?​
    - Qui serait le plus susceptible à avoir accès aux données de ventes par magasin? Le distributeur/détaillant ou le manufacturier/producteur
A
  1. a Le fournisseur (paye le mon cher)
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