RS: Plusieurs exemples Flashcards

1
Q

Qui est l’auteur qui a mené une étude concernant la RS des maladies?

A

Herztliche (1969)

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Q

(RS: maladie) Est-il juste de dire que la santé et la maladie représentent une réalité organique mais aussi sociale et psychologique?

A

Oui

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3
Q

(RS: maladie) Que fonde la réalité organique, sociale et psychologique de la santé et de la malade?

A

Une opposition entre l’individu et la société

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4
Q

(RS: maladie) Est-il juste de dire que l’opposition entre individu et société va créer les représentations des individus envers les maladies?

A

Oui

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5
Q

(RS: maladie) Est-il vrai que les individus voient toujours les termes santé et maladie comme des opposition?

A

Non, parce que pour les individus la santé aurait plusieurs dimensions qui ne renvoient pas toujours à la maladie

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6
Q

(RS: maladie) Est-il vrai que la maladie n’aurait qu’une seule dimension?

A

Non, au contraire, il y aurait plusieurs types de maladie.

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7
Q

(RS: maladie) Quels sont les plusieurs types de santé qui ont été mis en avant par Herztliche?

A
  • La santé-vie
  • Les fonds de santé
  • La santé équilibre
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8
Q

(RS: maladie) Quels sont les plusieurs types de maladie qui ont été mis en avant par Herztliche?

A
  • La maladie destructrice
  • La maladie libératrice
  • La maladie-métier
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9
Q

(RS: maladie) Dans le cadre des types de maladie, à quoi renvoie le type “maladie destructrice”?

A
  • Une inactivité des individus
  • Une dépendance face à la maladie
  • Une exclusion et une solitude des individus
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10
Q

(RS: maladie) Dans le cadre des types de maladie, à quoi renvoie le type “maladie libératrice”?

A
  • Un abandon des responsabilités

- Du temps libre pour les individus

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11
Q

(RS: maladie) Dans le cadre des types de maladie, à quoi renvoie le type “maladie-métier?”

A
  • Un apprentissage de comment vivre la maladie
  • Un préparation à lutter
  • Une installation dans la maladie
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12
Q

(RS: maladie) Quel est le constat par rapport au schéma que Herztliche met en avant dans son étude?

A

Qu’il y a clairement une opposition entre les individus et la société et que ce serait la société qui encourage la maladie.

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13
Q

(RS: maladie) A qui peuvent être utile les études dans le genre de cette qu’a mis en avant Herztliche?

A

Aux médecines, parce qu’ils vont pouvoir prendre conscience de la RS que les individus ont de la maladie et agir en conséquence.

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14
Q

(RS: MIE) Concernant les RS des maladies infectieuses émergentes (MIE), est-il juste de dire que l’enjeu social est mineur?

A

Non au contraire, l’enjeu social est très important

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15
Q

(RS: MIE) Concernant les RS des maladies infectieuses émergentes, pourquoi dit-on que l’enjeu social est majeur?

A

Parce que les RS des maladies infectieuses émergentes vont permettre d’apprendre le comportement correct à adopter face à ces dernières.

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16
Q

(RS: MIE) Que signifie la notion de “Othering”?

A

Cela renvoie à l’idée qu’on attribue aux autres l’origines des épidémies et des maladies.

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17
Q

(RS: MIE) Concernant la notion de “Othering” donner deux exemples

A
  • La grippe aviaire où on a accusé le continent Asiatique d’avoir propagé cette épidémie.
  • L’Ebola associé dans la presse GB à des stéréotypes négatifs envers les Africains
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18
Q

(RS: MIE) Concernant la notion de “Othering” peut-on aussi l’associer à la théorie du complot? Donner un exemple.

A

Oui. Par exemple, la croyance que le SIDA a été créé dans des laboratoires occidentaux exprès pour atteindre la population noire.

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19
Q

(RS: MIE) Concernant le “Othering”, qu’à mis en avant la psychologie évolutionniste ?

A

Que les individus vont toujours accuser les autres groupes parce qu’ils sont vulnérable et en accusant les autres c’est comme une technique dans “survie”

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20
Q

(RS: MIE) Concernant le “Othering”, est-ce que la psychologie évolutionniste et les théories du RS sont du même avis?

A

Non.

  • Pour la psychologie évolutionniste, les individus accusent l’autre groupe pour une question de survie.
  • Pour les théories du RS, les individus accusent les autres afin de se rassurer eux-même. Et d’autres variables que la survie entre en compte
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21
Q

(RS: MIE) Est-il vrai que les attitudes face aux maladies et aux infections peuvent mener à des attitudes racistes?

A

Oui, en effet, les attitudes faces aux maladies et aux infections peuvent conduire à des attitudes racistes envers les autres groupes (étrangers, par ex.)

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22
Q

(RS: MIE) Qu’essaie de mettre en avant l’étude sur la grippe porcine menée par Wagner-Egger?

A

Il essaie de voir l’attitude (représentation) des individus envers divers collectifs.

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23
Q

(RS: MIE) Dans l’étude concernant la grippe porcine, quels sont les collectifs qu’on peut dénombrer?

A
  • Les pays (p.ex. Mexique=
  • Les ONG (p.ex. ONU)
  • Les hôpitaux
  • Les médecins
  • Les Etats
  • Les gouvernements
  • Les industries (publiques et privées)
  • Les médias
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24
Q

(RS: MIE) Dans l’étude concernant la grippe porcine, comment les individus procèdent à la qualification des divers collectifs?

A

En les qualifiant, soit positivement, soit négativement

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25
Q

(RS: MIE) Dans l’étude concernant la grippe porcine, suite à la qualification, quels sont les 3 rôles attribués aux collectifs que l’on peut distinguer?

A
  • Les “sauveurs” (p.ex. les médecins)
  • Les “victimes” (p.ex. les individus démunis)
  • Les “méchants” (p.ex. les industries privées)
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26
Q

(RS: MIE) Dans l’étude concernant la grippe porcine, à quel type de mécanisme renvoie la catégorisation (qualification) faite par les individus?

A

L’objectivation

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27
Q

(RS: MIE) Dans l’étude concernant la grippe porcine, plus précisément les 3 rôles attribués aux collectifs, pourquoi cela renvoie au mécanisme d’objectivation?

A

Les individus vont rendre les choses abstraire concrète. En effet, ils font classifier des choses inconnues (par exemple industries privées) dans des choses connues (rôle de méchant)

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28
Q

(RS: Intelligence) Quels sont les quelques auteurs que l’on peut citer par rapport aux RS de l’intelligence?

A
  • Poeschl
  • Sternberg et al.
  • Mugny et Carigati
  • Bourdieu et Passeron
  • Monteil
  • Leslie et al.
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29
Q

(RS: Intelligence) Sur quoi porte l’étude sur les RS de l’intelligence de Poeschl?

A

Cette étude porte que la comparaison de l’intelligence des êtres humains et des animaux

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30
Q

(RS: Intelligence) Concernant l’étude de Poeschl, décrire l’étude.

A
  • Un 1er groupe commence par caractériser l’intelligence des humains et ensuite celle des animaux.
  • Un 2ème groupe commence para caractériser l’intelligence des animaux oui celle des humains
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31
Q

(RS: Intelligence) Concernant l’étude de Poeschl, est-il vrai que l’ordre des questions (humain-animal ou animal-humain) vont influencer les caractéristiques données?

A

Oui. Si on commence par poser les questions animaux-humains, on va catégoriser les humains comme plus cognitifs. Alors quand on commence par humain-animaux, il y a pas une grande différence, entre les humains et les animaux au niveau cognitif.

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32
Q

(RS: Intelligence) Concernant l’étude de Poeschl, est-il juste de dire que les RS sont statiques?

A

Non, au contraire, l’étude permet de bien montrer que les RS peuvent être un processus dynamiques et peuvent changer en fonction du contexte (puisque l’ordre des questions ne donnent pas les mêmes résultats)

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33
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al. quels sont les 3 “parties” de son étude?

A
  • La définition de l’intelligence
  • La différence entre expert et non-expert
  • La différence entre soi et autrui (comment on évalue l’intelligence)
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34
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la définition de l’intelligence, que va-t-il demander aux individus?

A

Les individus doivent faire une liste des comportement caractéristiques de plusieurs types d’intelligence:

  • L’intelligence
  • L’intelligence académique
  • L’intelligence pratique (de tous les jours)
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35
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la définition de l’intelligence, quels sont les 3 types d’intelligence que les individus doivent définir?

A
  • L’intelligence
  • L’intelligence académique
  • L’intelligence pratique (de tous les jours)
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36
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la définition de l’intelligence, quels sont les constats qu’il a pu mettre en avant?

A
  • L’intelligence est très corrélée à l’intelligence académique et l’intelligence pratique (si on en a un, on a les 3)
  • Plus on trouve de comportement concernant l’intelligence, plus on en trouve concernant l’intelligence académique et l’intelligence pratique
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37
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la définition de l’intelligence, que se passe-t-il quand on demande aux individus s’‘ils possèdent les comportement les plus cités?

A
  • Plus les individus prétendent être intelligent, ils disent être plus intelligent académiquement mais moins au sens pratique.
  • L’intelligence est dès lors plus associée avec le niveau académique que le niveau pratique
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38
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “expert vs. non-expert”, que va-t-il demander aux sujets de l’étude?

A

Il va demander de citer des éléments caractéristiques de l’intelligence d’un côté à des “experts” et de l’autre côté, à des “non-experts” (individus naïfs).

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39
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “expert vs. non-expert”, à quelle conclusion arrive Sternberg?

A
  • Les “experts” listent des caractéristiques plus de l’intelligence académiques
  • Les “non-experts” listent des caractéristiques plus de l’intelligence pratique
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40
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “expert vs. non-expert” à quel mécanisme des RS cela renvoie?

A

L’ancrage, parce qu’il y a une différenciation entre les deux groupes - “experts” et “non-experts” - selon leurs savoirs antérieurs.

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41
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “soi vs. autrui”, que va-t-il demander aux sujets?

A
  • Premièrement de se juger eux-mêmes par rapport à leur propre intelligence.
  • Deuxièmement de sujet l’intelligence de quelqu’un d’autre (une connaissance)
42
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “soi vs. autrui”, à quelle conclusion arrive Sternberg?

A

Qu’il y a une forte corrélation entre les 3 types d’intelligence quand les individus se jugent eux-mêmes, ce qui n’est pas le cas quand ils jugent autrui (corrélation moins marquée)

43
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Sternberg et al., plus précisément concernant la partie sur les “soi vs. autrui”, pourquoi y a-t-il une plus forte corrélation entre les 3 types d’intelligence quand les individus se jugent eux-même?

A

Parce que les individus, quand ils se jugent, ils ont une définition unidimensionnelle de l’intelligence. Donc, soit on se juge intelligent dans tous les domaines, soit on se juge non-intelligent dans tous les domaines.
Alors quand c’est pour autrui, on peut les juger intelligence au sens pratique, mais non tant au sens académique.

44
Q

(RS: Intelligence) Que vont mettre des auteurs tels que Mugny et Carigati en avant, par rapport à l’intelligence?

A

L’intelligence n’existe pas, c’est une construction sociale et culturelle qui sert uniquement à accentuer la discrimination et les inégalités sociales

45
Q

(RS: Intelligence) Pour des auteurs tels que Mugny et Carigati, que serait.il nécessaire afin d’éviter la discrimination due à l’intelligence?

A

Il serait nécessaire de prendre en compte plusieurs types d’intelligence

46
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Mugny et Carigati, que vont-il faire à proprement faire?

A

Ils vont interroger divers sujets: étudiants, parents, enseignants, futurs enseignants. A partir de là, ils font effectuer une analyse factorielle (9 facteurs)

47
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Mugny et Carigati, que représentes les 9 facteurs utilisé dans l’analyse?

A

Les facteurs peuvent être considérer comme des principes organisateurs de l’intelligence avec lesquels les gens peuvent être d’accord ou non.

48
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Mugny et Carigati, citer quelques uns des 9 facteurs utilisé pour l’analyse factorielle.

A
  • Théorie des inégalités naturelles et du don

  • Conformisme ou intelligence sociale
  • Relativisme de l’intelligence (groupe, classe, etc.)
  • Prototype cybernétique de l’intelligence (ordinateurs)
  • Fonction adaptative de l’intelligence (intelligence pratique)
  • L’intelligence comme héritage familial
  • Fonction différenciatrice de l’école (création de la discrimination)
  • Intelligence et personnalité
  • Echec et maître (influence des enseignants sur l’échec)
49
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Mugny et Carigati, à quelle conclusion arrivent-ils?

A
  • Une représentation que les élèvent “brillants” le sont dans toutes les branches, au contraire de l’élève “médiocre”
  • Il y a un écart important entre les élèves “brillants” et les élèves “médiocre” dans les disciplines plus difficiles (maths ou langue), comme si l’élève “médiocre”, était toute façon beaucoup moins bon que l’élève “brillant”
50
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude que va conduire Mugny et Carigati, les facteurs utilisés au sein de l’étude peuvent être associé à quel autre mécanisme?

A

L’objectivation, on va rendre l’intelligence (notion abriter) concrète (au travers des facteurs)

51
Q

(RS: Intelligence) Que mettent des auteurs tels que Bourdieu et Passeront en avant par rapport à l’intelligence?

A

Que l’habitus de classe va être un avantage pour les enfants de classe supérieur parce qu’il est plus concordant avec ce que demande l’école. Dès lors, les enfants de classe populaire vont moins bien réussir et vont finir par s’attribuer la cause de leur échec.
Cela renvoie directement à un instrument de justification des inégalités sociales et scolaires.

52
Q

(RS: Intelligence) Résumer brièvement l’étude menée par Monteil.

A

Dans une première situation, il va prendre deux groupes:

  • Le 1er, il ne précise pas qui sont les bons élèves (sans comparaison)
  • Le 2ème, il précise qui sont les bons élèves (comparaison)

Dans une deuxième situation, il va ajouter la condition deus nouvelles conditions:

  • Visibilité: précision avant le cours qu’il y aura une évaluation à la fin
  • Anonymat: on ne dit pas au début qu’il y a une évaluation, les élèves l’apprennent qu’à la fin
53
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude de Monteil sur l’intelligence. à quelles conclusions arrive-t-il?

A
  • Dans la première situation, que même sans préciser qui sont les bons, ces dernières réussissent tout de même mieux-
  • Dans la deuxième situation, quand il y a une évaluation à la fin (visibilité), la différence entre ceux qui réussissent ou non est encore plus marquée.
54
Q

(RS: Intelligence) Dans la 2ème étude de Monteil sur l’intelligence, à quoi va-t-il s’intéresser?

A

Il s’intéresse aux différences encore ceux qui réussissent ou non en fonction de différentes disciplines:

  • Maths
  • Biologie
  • Histoire et géographie
  • Travail manuel et technique
55
Q

(RS: Intelligence) Dans la 2ème étude de Monteil sur l’intelligence, à quelle conclusion arrive-t-il concernant la réussite en fonction de différentes discipline?

A

Il y a une inversion des tendances dès qu’il y a une évaluation (visibilité). Par exemple, en maths, ceux qui réussissaient en condition non-évaluation, sont en échec.

56
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude de Leslie et al. sur l’intelligence, à quoi s’intéresse l’auteur?

A

Les auteurs vont s’intéresser aux disciplines qualifiées de “brillantes” et essayer de voir par quel type d’individus elles sont représentées.

57
Q

(RS: Intelligence) Dans l’étude de Leslie et al. sur l’intelligence, quels constats peut-on avancer?

A
  • Les disciplines “brillantes” sont mois représentées par des femmes et afro-américains
  • Ces disciplines “brillantes” renvoie à un type de représentation qui perpétue les inégalités sociales, on valorise plus les disciplines représentées par les groupes majoritaire (hommes et blancs)
58
Q

A quel autre type de “mécanisme” peut renvoyer l’objectivation?

A

A la métaphore

59
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al. à quoi vont s’intéresser les auteurs?

A

Ils vont poser un certain nombre de questions aux individus sur les spermatozoïdes et l’ovule pour voir sur les stéréotypes sociaux de genre influence la représentation sociale du biologique.

60
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al., résumé brièvement le processus de l’étude.

A
  • Interrogation de deux groupes: (1) individus libéraux; (2) individus conservateurs
  • Les individus vont ‘être confronter à des affirmations qui sont soit métaphoriquement sexuelles ou non-métaphoriquement sexuel.
61
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al., quel est le premier constat auquel arrivent les auteurs?

A
  • Les conservateurs sont plus sexistes que les libéraux.

- Le spermatozoïde est toujours considéré étant plus fort/grand/etc. que l’ovule

62
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al., que font-il faire lors de la deuxième étape de l’étude?

A

Ils vont demander aux sujets de qualifier les spermatozoïdes et l’ovule à partir d’une liste d’adjectifs (p.ex. chaud/froid, passif/actif, faible/fort, etc)

63
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al., plus précisément la deuxième étape de qualification, à quels résultats arrivent les auteurs?

A
  • Les spermatozoïdes sont toujours qualifiés selon le 2ème adjectif, qui est toujours un adjectif “dominant” (p.ex passif/actif)
  • Dans la représentations sociales de individus (libéraux et conservateurs) les spermatozoïdes sont dominants par rapport à l’ovule, dans la mesure où ils se bases sur les représentations sociales de genre
64
Q

Concernant l’étude de la RS de la conception de Wagner et al., plus précisément la deuxième étape de qualification, à quel type de mécanisme des RS cela renvoie?

A

L’objectivation dans la mesure où les individus vont rendre concret au travers des adjectifs

65
Q

Qui est l’auteur qui a mené une étude sur les RS du manger?

A

Lahlou

66
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, comment a procédé l’auteur?

A

Il a pris dans le dictionnaire tous les mots associés à “manger”. A partir de là il a établi deux niveaux

  • Niveau 1: les définitions de tous les mots associé à “manger”
  • Niveau 2: les définitions de tous les mots associés aux mots du niveau 1
67
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, que va-t-il faire avec l’ensemble des mots qu’il a pris dans le dictionnaire?

A

Il va créer un arbre de classification afin de regrouper les mots qui sont cités ensemble. Cet arbre de classification permet de mettre en avant 6 qui se démarquent

68
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, quelles sont les 6 classes qui se démarquent dans l’arbre de classification?

A
  • Désir (p.ex. faim)
  • Prendre (p.ex. toucher)
  • Nourriture (p.ex. pain)
  • Repas (p.ex. restaurant)
  • Vivre
  • Remplir

Mais les 4 premiers sont les principales

69
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, que va-t-il faire dans une deuxième phase de la recherche?

A

Il va essayer d’établir une comparaison entre les définitions du dictionnaire et les associations de mots faites par des individus (RS)

70
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, plus précisément la phase de la comparaison entre les définitions du dictionnaire et les RS des individus, à quel résultats arrive-t-il?

A

Les associations de mots établies par les individus, donc leurs représentations sociales du “manger” sont assez proche avec les résultats mis en avant par les définitions du dictionnaire

71
Q

Concernant l’étude sur les RS du manger de Lahlou, à quel type de mécanisme des RS cela renvoie-t-il?

A

Objectivation dans la mesure où:

(1) Classification des mots en fonction d’un logiciel qui permet de rendre plus concret “manger”
(2) Associations de mots des individus qui permet de rendre plus concret “manger”

72
Q

Concernant l’étude de Bourdieu sur la distinction, à quel mécanisme des RS cela renvoie-t-il?

A

A l’ancrage parce qu’on fait une analyse des représentations sociales en fonction de la position sociales ou encore du métier.

73
Q

Concernant l’étude de Bourdieu sur la distinction, à quoi s’intéresse-t-il plus précisément?

A

A la distinction des goûts en fonction du capital économique et du capital social.

74
Q

Concernant l’étude de Bourdieu sur la distinction, , que peut-on mettre en avant?

A

Les individus n’ont pas les mêmes goûts ou rapport à la culture en fonction de leur position sociale. Par exemple, un grand patron n’aura pas les mêmes intérêts culturels qu’un professeurs

75
Q

Est-il vrai de dire que la mémoire sociale et la mémoire flash renvoient aux mêmes dimensions? Pourquoi?

A

Non, parce que:

  • La mémoire sociale: la manière dont on se souvient des évènements collectifs
  • La mémoire flash: se souvenir de ce qu’on faisait lors d’un évènements marquant (p.ex. 11.09.01)
76
Q

Concernant les RS de la mémoire sociale, qui sont les auteurs qui se sont intéressés à ce sujet?

A

Pennebaker, Paez et Deschamps

77
Q

Résumer brièvement l’étude sur les RS de la mémoire sociale de Pennebaker, Paez et Deschamps

A

Les auteurs vont demander à des individus de différents pays de citer des événements importants des 1000, 100 et 10 dernières années.

78
Q

Concernant l’étude sur les RS de la mémoire sociale de Pennebaker, Paez et Deschamps, à quel mécanisme des RS renvoie le fait de citer les événements importants des 1000, 100 et 10 dernières années?

A

L’objectivation

79
Q

Concernant l’étude sur les RS de la mémoire sociale de Pennebaker, Paez et Deschamps, à quoi les auteurs vont-ils s’intéresser lors d’une deuxième étape de la recherche?

A

Les auteurs essaient d’analyser les événements importants cités en fonction de différents pays/contextes (par exemple, Japon, USA, Espagne)

80
Q

Concernant l’étude sur les RS de la mémoire sociale de Pennebaker, Paez et Deschamps, plus précisément sur les différences en fonction des pays/contexte, à quel des RS mécanisme cela revoie-t-il?

A

L’ancrage, parce que les représentations, ici la mémoire sociale varie en fonction des pays.
Par exemple, dans les 100 dernières années, tous les pays citent la WWII alors que l’Espagne cite la guerre civile espagnole

81
Q

Dans les représentations sociales, à quoi renvoie “la zone muette”?

A

La zone muette renvoie au fait que sur des sujets sensible (p.ex. le racisme) les individus ne vont jamais être totalement honnête lorsqu’ils sont interrogés. Ils vont dire ce qui est bon de dire, mais pas ce qu’ils pensent réellement.

82
Q

Concernant la zone muette des RS, les auteurs Guimelli et Deschamps se sont intéressé à la représentation des gitants, comment se déroule leur étude?

A
  • Ils commencent par demander aux étudiants ce qu’ils pensent eux des gitans (“contexte normal”)
  • Ils demandent ensuite à ces mêmes étudiants, selon eux, ce qu’ils pensent que les français pensent des gitans (“contexte de substitution”)
83
Q

Concernant la zone muette des RS, plus précisément l’étude menée par Guimelli et Deschamps, quel mécanisme des RS utilisent-ils pour percevoir la représentation des individus?

A

L’objectivation parce qu’ils vont demander aux individus de faire une association de mot par rapport au terme “gitan”

84
Q

Concernant la zone muette des RS, plus précisément l’étude menée par Guimelli et Deschamps, qu’arrivent-ils à mettre en avant?

A
  • Quand les deux contextes sont mélangés (normal et substitution), les gitans sont vus positivement
  • Quand on regarde séparément les mots cités, on peut voir que dans “le contexte de substitution”, les représentations sont bien plus négatives
85
Q

Concernant la zone muette des RS, plus précisément l’étude menée par Guimelli et Deschamps, quels sont les deux interprétations possibles quant à leur étude sur la représentation des gitans?

A
  • Les étudiants pourraient être moins racistes que les français en général
  • Les étudiant n’osent pas dire ouvertement ce qu’il pensent réellement des gitans, alors ils le font dans le “contexte de substitution” en prétendant que ce sont les autres qui sont négatifs envers les gitans
86
Q

Concernant les RS polémiques, quels sont les deux auteurs qui ont mené une étude portant sur une publicité polémique de Benetton?

A

De Rosa et Smith

87
Q

Concernant les RS polémiques, plus précisément l’étude portant sur une publicité de Benetton menée par De Rosa et Smith, comment ces derniers ont-ils conduit l’étude?

A
  • Ils demandent aux individus de juger positivement ou négativement les images publicitaires utilisées par Benetton
  • Ils demandent ensuite de juger la marque Benetton positivement ou négativement
88
Q

Concernant les RS polémiques, plus précisément l’étude portant sur une publicité de Benetton menée par De Rosa et Smith, quels constats mettent-ils en avant?

A

Il y a une certaine ambivalence dans la mesure où même si l’image de la publicité est jugée négativement, la marque sera jugée positivement.

89
Q

Concernant “l’effet Mozart”, à quoi ce sont intéressés les chercheurs Bangerter et Heath?

A

A la propagation de l’information à partir de sources scientifiques. Ils ont essayé de voir l’importance accordée à “l’effet Mozart” au sein des médias. On peut voir que les médias lui accordent plus de l’importance lorsqu’une étude sur “l’effet Mozart” est publiée.

90
Q

Concernant “l’effet Mozart”, plus précisément la propagation de l’information, est-il vrai de dire qu’avec le mécanisme de rumeur, les études scientifiques se déforment selon l’utilisation qui peut en être faite?

A

Oui, par exemple, dans le cas de “l’effet Mozart”, il y a une déformation en fonction de l’utilité que ça aurait pu être pour la rués site scolaire. La rumeur a établi que les enfants écoutant du Mozart réussiraient mieux, alors que l’étude scientifique ne parle pas du tout de ça initialement

91
Q

Concernant les RS des théories du complots, quels sont les étapes de l’étude?

A
  • Mesurer 3 indicateurs en fonction de soi et d’autrui avec l’association de mot: (1) complet, (2) conspiration, (3) théorie du complot
  • Qualification soit positivement soit négativement des association de mots (la qualification va dépendre de si oui ou non l’individu croit aux théories du complot)
92
Q

Concernant les RS des théories du complots, quels sont les constats que les auteurs ont pu mettre en avant?

A
  • Par rapport à soi, il y a une différence entre les Français et les Suisse, parce que les associations de mots ne sont pas les mêmes
  • Par rapport à autrui, il y a aussi une différence entre les Français et les Suisses, mais aussi une différence entre homme et femme qui se crée
93
Q

Concernant l’étude des RS de la crise économie menée par Leiser et al., que tente de mettre en avant les auteurs?

A

Ils essaient de voir la manière dont les individus vont expliquer les crises économiques. Les individus ont le choix entre 4 éléments de réponse:

  1. Expliquer par les théories classiques de l’économie
  2. Expliquer par l’accusation du gouvernement
  3. Expliquer par la théorie de la conspiration
    d. Expliquer par la main invisible (négative)
94
Q

Concernant l’étude des RS de la crise économie menée par Leiser et al., à quels constats global arrivent-ils?

A
  • Les individus expliquent surtout les crises économiques par l’effet de la main invisible.
  • Bien que les réponses par pays sont plus au moins les mêmes, on peut voir une légère variations (p.ex en CH on explique bcp moins par la conspiration qu’aux USA ou en Israël)
95
Q

Concernant l’étude des RS de la crise économie menée par Leiser et al., est-il vrai de dire qu’il y a surtout deux dimensions d’explication qui sont mises en avant? Si oui, lesquels?

A

Oui:

  • Explication par les théories classique de l’économie
  • Explication par les autres éléments de réponses (gouvernement, conspiration et main invisible) ce qui renvoie à une vision “anti-système” où il n’y aura jamais de consensus
96
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, à quel mécanisme de RS avons-nous à faire? Pourquoi?

A

A l’ancrage parce qu’on va se baser sur des théories se se développent au sein d’un groupe à propos d’autrui qui apparaissent au travers de théories anciennes.
Ce sont des théories qui sont enracinées dans les pratiques des individus.

97
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, que va-t-elle mettre en avant?

A
  • Il y a une distinction entre deux types de patient: (1) les arriérés mentaux; (2) la dégénérescence.
  • La distinction se fait à partir de la distinction entre (1) maladie du cerveau; (2) maladie des nerfs qui va finir par créer 3 types de malades mentaux.
98
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, quels sont les 3 types de patients qu’elle a pu mettre en avant dans son étude?

A
  • L’innocent: arriéré dont le cerveau ne s’est pas développer, pas dangereux
  • Le gars des cabanons: absence de signe comportementale, méchant, et déviant
  • Le maboul: comportements incohérents, détraquement nerveux léger
99
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, est-il juste de dire que les représentions sociales des maladies mentales vont faire que les familles du village vont adopter des pratiques envers les patients? Donner des exemples.

A

Oui, il va y avoir une séparation entre le famille et le patient, par exemple, ne pas laver les vêtements ensemble, ne pas dormir dans la même maison, etc.

100
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, quels sont les métaphores utilisées dans les RS du “malade du cerveau”?

A
  • Les repères: sale, timide et peureux
  • Comme un enfant (l’innocent)
  • Les traitements se font par la punitions et les récompenses (douceur)
101
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, quels sont les métaphores utilisées dans les RS du “malade des nerfs”?

A
  • Les repères: agité, tordu et imprévisible
  • Comme un animal (le fou mentale) ou comme un adulte tordu (le maboul)
  • Les traitements se font par la privation, l’enfermement ou les flatterie.
102
Q

Concernant l’étude des RS de la maladie mentale menée par Jodelet, cette dernière a pu mettre en avant deux “nouveaux” types de malade mentaux, lesquels sont-ils?

A
  • Le fou mental: pas de signe visible, regard et comportement sournois, délinquant potentiel, détraquent nerveux
  • L’épileptique: problème de nerfs, marqué par des crises violentes et effrayantes.