Révision Intro Flashcards

1
Q
  1. À quoi correspond le concept de « système » chez Dunlop ?
A

Système des relations industriel C’est un ensemble d’éléments intégré de façon-t-elle que tout changement à l’un entraine un changement a l’autre.

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2
Q
  1. Définissez ou illustrez les différents contextes auquel réfère Dunlop : économique, technologique, politique
A

Économique : Disponibilité de la main d’œuvre, compétition vs monopole, local ou international, budget de l’entreprise

Technologique : Comment produit-on ?
Type d’industrie ?
Moyens technologiques?
Machinerie ?
Lieu de travail ?
Ex : machine utilisée pour couper l’arbre vs 50 bucherons

Politique : Pouvoir politique, qui a le plus de pouvoir ? L’état détermine le pouvoir (Wagner act), ex : covid 19/fermeture

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3
Q
  1. Selon Dunlop, tous les acteurs partagent une même idéologie. Identifiez deux des idées partagées.
A

Capitalisme; il est normal pour l’entreprise de faire du profit. .(Investisseur reçoit un retour de son investissement/intérêt)

Statut des acteurs : normal que l’employeur donne les ordres au employé

La subonination de l’employé envers son patron

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4
Q
  1. « Dunlop ne propose pas vraiment une théorie ». Qu’est-ce à dire?
A

Il s’arrête à la production des règles; il ne formule aucunes hypothèses entre les acteurs. Bref, il démontre simplement les composante du système des relations industrielles

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5
Q

a) À quoi correspond le « contexte écologique » chez Craig? Illustrez-le

A

Les ressources naturelles ont un lien direct avec les différentes composantes des systèmes de relations industrielle . Par exemple, au niveau du sous-système économique, la production de l’industrie de la construction baisse en hiver, ou encore, au niveau des procédés de conversion, il n’est pas possible de faire la grève pour les vidangeurs en été car il y a risque de contamination (il aurait une intervention de l’état). Pourtant, ces vidangeurs pourrait faire la grève en hiver puisque ce risque est absent.

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6
Q
  1. Donnez des exemples de « procédés de conversion » chez Craig
A

C’est lorsque les acteurs cherchent à traduire leurs objectifs en résultat : négociation collective, comité paritaire, grève, lock-out, arbitrage, commisions spéciales d’enquête, médiation.

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7
Q
  1. Présentez quatre hypothèses formulées par Craig.
A

La probabilité de grève augmente en situation de croissance économique soutenu et est réduite en période de recession

La probabilité de grève augmente lorsque les relations quotidienne entre les travailleurs et superviseurs sont conflictuelles.

Dans une période d’inflation, les employés ont plus de chance de demander une augmentation salariale

Au plan national, une augmentation du salaire sans l’augmentation de la productivité entrainera l’augmentation des prix du produit.

Un régime politique fédéral ou les régions ont une juridiction sur les relations de travail, encouragent un système de négo décentralisé.

Plus la période est longue entre a) le moment ou les travailleurs soumettent une demande d’accrédidation et B) au moment qu’elle est accordées, plus un employeur sera efficace dans son opposition à la syndicalisation des travailleurs

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8
Q
  1. À quoi correspond le concept de rétroaction chez Craig?
A

Les règles que l’on détermine vont influencer les composantes de l’environnement qui influence les règlement (C’est une boucle). Ex antécédant dans la convention collective vs négociation. Rétroaction : reconnait les évènements du passé pour les insérer /progresser dans le présent.

Ou encore, une augmentation salariale sans augmentation de la production aura un effet sur le marché du produit vendu par l’entreprise.

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9
Q
  1. La théorie systémique, de Dunlop ou de Craig, est déterministe
A

Le facteur décisionnel de l’humain, des individus qui peuvent faire des choix n’est pas pris en considération. En effet, malgré l’énumération d’hypothèse, elle reste déterministe.

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10
Q
  1. Selon Kochan, la théorie systémique ne tient pas compte des changements dans les valeurs patronales. À quoi fait-il référence ? (Théorie stratégique),
A

1)Déclin syndical, attaque du monde patronal contre le syndicalisme. Favoriser l’individualité plutôt que le collectif : on cherche l’implication des employés concernant l’orientation de l’entreprise via différents comités, sans l’implication du syndicat.

Leadership des patrons, ils sont importants et leur avis est pris considération, culture les accepte, gestion des ressources humaines renouvellé
4)L’importance de l’état.

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11
Q
  1. Qu’est-ce qui distingue fondamentalement la théorie de Dunlop de celle de Kochan ?
A

Le recours au libre choix face à différentes options : Son approche est centré sur les différentes options possible via une réflexion venant d’un être humain ou d’un groupe d’individus. Dans sa théorie rien n’est déterminé ; il existe uniquement des options, des choix.

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12
Q
  1. Quelle est la source du conflit industriel chez Marx ?
A

Le système capitaliste lui même ; il existe une classe dominante ( l’employeur) et une classe dominé qui est exploité ( le travailleur). Donc, il s’agit d’un conflit de classe sociale.

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13
Q
  1. Pour les néo-marxistes, quel est l’enjeu majeur du conflit entre travailleurs et employeurs?
A

Le contrôle du travail (temps de Vacances, heure de pauses, heure d’entrée et sortie,productivité, production de travail)

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14
Q
  1. Résumez deux critiques que les néo-marxistes formulent-ils à l’endroit de la théorie de Marx?
A

L’intervention de l’état n’est pas prise en considération, pas prévu (Retraite QC/AE ,ect)

et les capitalistes ont des différents (ils ne pensent pas tous pareil) : il n’y a pas une seule pensée commune

. La classe moyenne : elle n’existait pas dans le temps de Marx

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15
Q
  1. Selon les théories féministes, quels enjeux ont été oblitérés dans les théories traditionnelles?
A

Les droits de la femme sur le MT , les inégalités : Une femme infirmière doit acheter son uniforme alors que les policiers non.

L’expression de soi, les sentiments. La place de la femme sur le MT (elle sont majoritairement sur le marché secondaire de l’emploi, instabilité, statuts précaire)

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16
Q
  1. Au plan du membership et des fonctions, quelles différences y a-t-il entre, d’une part, le CPQ et les Chambres de commerce du Québec et d’autre part, l’Association des entrepreneurs en construction du Québec et la Corporation des concessionnaires d’automobiles du Québec?
A

Le CPQ et les Chambres de commerce du Québec sont des organisations horizontales alors que plusieurs entrepreneurs, de divers domaines peuvent être membre. Alors que l’Association des entrepreneurs en construction du Québec et la Corporation des concessionnaires d’automobiles du Québec sont des organisations verticales/ spécialiste dans un domaine. Donc, par exemple, pour l’Association des entrepreneurs en construction du Québec, seul les entreprises du domaine de la construction peuvent être membres.

17
Q
  1. Quelles sont les fonctions des associations patronales? Comment cela se compare-t-il à l’expérience des associations patronales européennes?
A

Elles ont les mêmes fonctions ; Offrir des services aux membres. Par exemple représenter l’intérêt des patrons auprès de l’état, ou encore offrir des activités de promotions comme le salon du livre pour l’association des libraire.du Québec. Cependant les syndicats patronaux sont moins importants qu’en Europe ; ceux-ci représentent les employeurs d’un domaine X lors de la négociation collective. (ex : AECQ Construction)

18
Q
  1. Quelle différence majeure y a-t-il entre l’Association des mines de métaux du Québec et l’Association des mines de métaux d’Allemagne?
A

La négociation collective est la PREMIERE FONCTION alors que rarement en Amérique du Nord.(Négociation nationale/sectoriel) Logique du travail égale=salarier égale.

19
Q
  1. Qu’est-ce qu’un syndicat patronal?
A

Organisation qui représente le coté partronal lors des négociations des conditions de travail (ex : Construction)

20
Q
  1. Définissez les trois types de syndicalisme :
A

1) SYNDICALISME DE MÉTIER : groupe des travailleurs exerçant un même métier .2) SYNDICALISME INDUSTRIEL : groupe des travailleurs d’un même employeur, sans égard à leur métier : Épicier Métro, … aux É-U : Congres of Industrial Organizations et 3) SYNDICALISME TERTIAIRE : cols blancs, industries de services, secteur public

21
Q
  1. La Fédération autonome de l’enseignement groupe tous les enseignants du primaire de l’Outaouais et de Montréal; de quel type de syndicalisme s’agit-il?
A

syndicalisme de métier car il s’agit d’un quart de métier pour plus qu’un employeur.

22
Q
  1. Expliquez le rôle des É-U et de l’Église catholique dans le développement du syndicalisme québécois
A

Ils ont amené le syndicalisme au Québec ; les USA et l’église ont créé les premiers syndicats. D’ailleurs, ces premiers syndicats vont servir de modèle pour les syndicats Québécois. De plus, l’église à donner sa crédibilité aux syndicats puisqu’elle était influente dans la belle province. Le CTCC, cherchait d’abord à trouver un terrain d’entente et utilisait la grève en dernier recours, L’AFLCIO, la centrale syndicale américaine, à servit de modèle à ;a FTQ tant au niveau philosophique soit obtenir le plus possible de l’employeur et au niveau de structure soit réunir les syndicats de métier et industriels)

23
Q
  1. Qu’en est-il du taux de syndicalisation au Québec? Comment cela se compare-t-il aux taux aux É-U et en Europe?
A

Le Québec est mis chemin entre les pays très syndiqué et les pays qui sont peu syndiqué. En effet, le taux de syndicalisation est de 40% au Québec alors qu’il est de plus 50% en Suède. Aux États-Unis il est en bas de 10%, ce qui explique la différente entre le qc et les usa c’est l’importance du secteur public

24
Q
  1. Quels secteurs d’activité économique sont plus syndiqués?
A

Secteur publique dans son ensemble, la construction et le secteur des mines.

25
Q
  1. Qu’enseignent les données statistiques eu égard à la propension des travailleurs à se syndiquer ?
A

Les tendances lourdes : 1) La taille de l’entreprise : plus elle est grande, plus il y a de chances que ces employés soit syndiqué.2) Le secteur ; certains secteur sont plus enclin d’être syndiqué. Par exemple, dans des secteurs comme la manufacture, la construction et les mines, les chances d’être syndiqué sont beaucoup plus nombreuses qu’un employé dans le domaine tertiaire. ).3) Le situation des employés ; ont-ils des postes permanents ? Finalement, 4) secteur publique ou non. Également, il y a des facteurs subjectifs :lorsque les employés se sentent atteint dans leurs dignités. Par exemple, un employeur qui décide de changer l’horaire subitement sans demander l’avis de l’employé.

26
Q
  1. Dans un discours prononcé à Paris en 1938, un leader syndical a dit : « Bien sûr, Hitler, doit être arrêté; ce qu’il a fait à l’Est est immoral, les Tchèques et les Polonais doivent retrouver leur liberté ! Mais il ne faut pas que le gouvernement de la France s’engage dans la voie militaire, il faut user - voire abuser - des méthodes diplomatiques. Il faut que notre gouvernement fasse des alliances avec les autres pays démocratiques. Mais pas la guerre ! ». Quelle fonction ce leader fait-il assumer au syndicalisme ?
A

Socio-politique

27
Q
  1. Quelle est l’importance des syndicats indépendants au Québec?
A

2 ieme en importance : 440 000 membres, ils sont la deuxième catégorie la plus importante de la province.Principalement du secteur public.

28
Q
  1. Caractérisez chacune des centrales syndicales au Québec.
A

FTQ , ;la plus grande centrale du Québec, principalement au privé.(gros secteur économique privé), créer par le mouvement syndical américain. 2 ieme plus importante , la CSN (principalement public), 3ieme en importances : CSQ (regroupe essentiellement les enseignants du primaire et secondaire, voulait devenir le syndicat de la fonction publique,sans succès).CSD (privé,textile)

29
Q
  1. Quelles sont les deux grandes fonctions syndicales?
A

Fonction économique (améliorer les conditions de travail, négociation) et la fonction socio-politique (transformer la société, programme indemnisation, pression sur l’état, nationalisation des services

30
Q
  1. Syndicat local, fédération syndicale, centrale syndicale : pour chacune de ces structures, décrivez sa composition, ses fonctions et son rapport aux objectifs syndicaux
A

Le syndicat local :
Premier lieu d’identification, rassemblement des travailleurs
Lieu de formulation des demandes et des priorités syndicales (priorités des employés)
Lieu de décision concernant les stratégies de négociation (comment on négocie, grève ?)
Refus/acceptation de projet de CC
Débats qui seront traité dans les instances supérieures
Lieu d’élection des dirigeant du syndicat local
Lieu de décision quant au budget dy syndicat local ( aucune possibilité de profit)

Fédération syndicale :
D’abord conçue pour la négociation collective : recherche sur les problèmes du secteur d’activité,
Suite au recherche , il conseil le syndicat local : sur les enjeux de le négociation collective, priorité (ex :salaire vs fond de pension vs SST)
Lieu d’expertise quant à l’organisation locale : assemblées des membres, grève et piquetage, information aux membres)
Responsable du recrutement syndical.

Centrale syndicale :
Représente le syndicat aurprès des autorités publiques, met de la pression pour le changement social.
Exceptionnellement, il peut négocier pour la fédération syndicale, notamment si les négociations n’avancent pas depuis plusieurs mois, années.

31
Q
  1. Quels défis se posent aujourd’hui au mouvement syndical?
A

Le taux de syndicalisation baisse depuis plusieurs décennies ; le syndicat ne croît plus et une organisation qui ne croit plus est mené à mourir. D’abord, la mondialisation amène de la pression sur la négociation favorisant les employeurs (main d’œuvres moins chère ailleurs). Deuxièmement, la structure des syndicats sont adaptés aux grandes entreprises ; la majorité des employés travail pour de très petite entreprise (5 employés et moins). De plus, les employeurs mobilisent leurs employés : travail d’équipe, amélioration des tâches, évolution de carrière ; un employé satisfait ne cherchera pas à se syndiquer.

32
Q
  1. Résumez le débat entre Smith et Keynes sur le rôle de l’État dans l’économie et le marché du travail et notamment sur le rôle de l’État en période de récession
A

Smith croit en une économie autonome, autorégulatrice ( la main invisible) ; en période de chômage les salaires baisse et les employeurs embauchent davantage car les salaire sont bas et l’emploi reprend. Keynes amène une nuance ; en période de chômage, il est faux que les employeurs embauchent car ce n’est pas nécessaire ; ils ne vont pas dépenser davantage pour de la main d’œuvre non requise car les salaires sont moins chers. En effet, il y a moins de consommateur car il ne travaille pas ; ils ont moins d’argent à dépenser ce qui ralentit l’économie davantage. Bref, il s’agit d’une spirale négative sans fin, un cercle vicieux une récession et l’état doit intervenir. Toujours selon Keynes, l’état est le seul acteur qui a le pouvoir de restaurer l’économie en investissant dans les infrastructures : route, aéroport, universités bref la création d’emploi qui va amener de la richesse. Attention , investir n’est pas dépenser (ex : donner des chèques à tout le monde, dépense)

33
Q
  1. Résumez le débat entre Smith et Keynes sur le rôle de l’État dans l’économie et le marché du travail et notamment sur le rôle de l’État en période de récession
A

Smith croit en une économie autonome, autorégulatrice ( la main invisible) ; en période de chômage les salaires baisse et les employeurs embauchent davantage car les salaire sont bas et l’emploi reprend. Keynes amène une nuance ; en période de chômage, il est faux que les employeurs embauchent car ce n’est pas nécessaire ; ils ne vont pas dépenser davantage pour de la main d’œuvre non requise car les salaires sont moins chers. En effet, il y a moins de consommateur car il ne travaille pas ; ils ont moins d’argent à dépenser ce qui ralentit l’économie davantage. Bref, il s’agit d’une spirale négative sans fin, un cercle vicieux une récession et l’état doit intervenir. Toujours selon Keynes, l’état est le seul acteur qui a le pouvoir de restaurer l’économie en investissant dans les infrastructures : route, aéroport, universités bref la création d’emploi qui va amener de la richesse. Attention , investir n’est pas dépenser (ex : donner des chèques à tout le monde, dépense)

34
Q
  1. Les gouvernements de Québec, de Toronto et d’Ottawa ont adopté diverses mesures au cours des dernières années, en réaction à diverses situations Associez chacune des mesures suivantes aux différents rôles de l’État dans l’économie et le monde du travail.
A

a) Conscient du manque de main d’œuvre dans le domaine des services sociaux, le gouvernement de l’Ontario a créé un programme spécial de bourses pour amener les jeunes étudiants à s’engager dans ce type de programme d’étude Planifier et prévoir la main-d’œuvre (déterminer les besoins futures de l’état)
b) Le gouvernement du Québec a imposé la distanciation sociale et le port du masque pour tous les travailleurs des entreprises dé-confinées. Déterminer les règlements et normes du travail.
c) Pour compenser les pertes subies par les cinémas - qui pourront ouvrir, mais sans pouvoir vendre pop-corn et autres produits - Québec a annoncé un programme spécial de subvention pour ces entreprises. Financement des entreprises.

35
Q
  1. Les gouvernement du Québec et de la Colombie-Britannique ont créé des institutions pour s’occuper des enfants de 0-5 et ainsi permettre aux mères de retourner sur le marché du travail : comment l’OCDE classerait-elle cette politique ?
A

C’est une mesure active : il s’agit d’abolir un obstacle (la garde de l’enfant) pour atteindre le marché du travail, offrir du travail aux handicapés, personnes éloignées du MT, SQ, subvention salariale.

36
Q
  1. État résiduel, état-providence, état néo-libéral; de quoi s’agit-il?
A

L’état résiduel : ‘’l’État réduit’, l’intervention de l’état au minimum. Ses interventions : La protection de la sécurité physique des citoyens et de la propriété privée, financement de la construction d’infrastructures essentielles au fonctionnement de le nation (ex :chemins de fer, port) et assurer la protection de l’économie locale.

L’état providence : L’intervention de l’état est plus importante ; on favorise la classe moyenne en redistribuant la richesse en soutenant le pouvoir d’achat.

État néo-libéral (1980) : réduction des services; l’état participe toujours mais il délègue certaines responsabilités au secteur privé et en sous-traitance, sans nécessairement donner les ressources. Le but de cette mesure : réduire le déficit de l’état.

37
Q
  1. Les associations syndicales et patronales québécoises siègent au conseil d’administration de la CNESST, de la Caisse de dépôt et placement du Québec, de la Régie des rentes du Québec, etc. Quel concept rend compte de cette pratique?
A

Néo-Corpotariste.

38
Q
  1. « Les avis divergent quant à la portée de l’action de l’État ». Évaluez cette affirmation.
A

Il y a différentes philosophies quant au rôle de l’état, différentes familles politiques concernant l’action de l’état. Par exemple, André Petit sur la LSST qui exige des comités sur la santé/sécurité au travail, les petites et moyennes entreprises (50% de la main d’œuvre) ‘n’ont pas les ressources, en conséquence elle n’ont pas lieu en pratique pour les petite et moyenne entreprise. La LNT offre la base de négociation pour les syndiqués ; ils cherchent à avoir mieux, de meilleur conditions :meilleur salaire que les normes, meilleur régime de retraite que la base de la LNT. Cela accroit l’écarte de richesse entre les syndiqués et non-syndiqués.
Dans certains cas, la loi n’est pas respecté.
Les mesures d’état rapporte comme les cpe.
Taxes sur les cigarettes pour réduire le cancer du poumon dans la population.
Très large, le role de l’état, dominant, omni-présent,significatif, aucun limite sur la porté de l’état.