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Alimentation > Révision examen final! > Flashcards

Révision examen final! Flashcards

1
Q

Pourquoi le déjeuner est un repas important?

A

Le premier repas de la journée pour enfant est très important = le plein d’énergie après une nuit de jeûne. Au réveil, son cerveau et muscles ont besoin de carburant pour s’activer et faire activitésé

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Q

Nommer des trucs pour augmenter la consommation de légumes et de fruits.

A
  • Fruits/légumes surgelés ou conserves
  • Fruits séchés pendant repas
  • Collations facile à préparer pour lunch
  • Bol de fruits frais sur le comptoir
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3
Q

Comment intéresser les enfants aux légumes et aux fruits et ainsi favoriser la consommation?

A
  • Ajouter dans les céréales/yogourts
  • Mettre dans collation
  • Crudité en permanence sur au centre de la table, ajouter une trempette au besoin
  • Participation de l’enfant à la cuisine
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4
Q

Vrai ou faux. Il est possible de déterminer si un aliment est salubre (une action favorable envers l’organisme) à son odeur ou à son goût. Expliquer.

A

(Faux) Il est impossible de déterminer si un aliment est salubre à son odeur ou à son goût. En cas de doute, jetez-le! Puisqu’il peut être infester d’un parasite ou d’une bactérie située à l’intérieur.

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5
Q

Quelles sont les 4 règles à suivre pour prévenir les intoxications alimentaires? Décrivez brièvement chacune des règles.

A
  • Cuire : Faire cuire adéquatement les aliments est le meilleur moyen de s’assurer qu’ils sont propres à la consommation. La chaleur détruit les bactéries comme l’E. coli, la salmonelle.
  • Nettoyer : Nettoyer tout ce qui entre en contact avec les aliments aidera à éliminer les bactéries et à diminuer le risque d’être victime d’une maladie d’origine alimentaire.
  • Refroidir : Conserver au froid  Aliments froids Conserver au chaud  Aliments chauds pour éviter la zone dangereuse.
  • Séparer : Utiliser une planche à découper différente pour les viandes et les légumes. Un rangement adéquat permet de conserver les restes de table plus longtemps.
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6
Q

Expliquer la zone de danger.

A

La zone de danger si situe entre 4 C et 60 C. Il s’agit de la zone où les bactéries prolifèrent rapidement et peuvent provoquer une maladie d’origine alimentaire.

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7
Q

Donner quelques critères à respecter lors de l’achat d’aliments pour limiter les risques d’intoxication alimentaire.

A
  • Aliment réfrigéré ou congelé avant caisse
  • Vérifier date de péremption sur emballage
  • Séparer viande, volaille, fruits de mer des autres aliments du chariot
  • Examiner soigneusement les fruits et légumes et éviter d’acheter ceux qui sont meurtris ou abîmés.
  • Sac qui identife ceux pour la viande, ceux pour fruits et légumes
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8
Q

Qu’est-ce qu’un bon déjeuner? Nommer des exemples précis.

A
  • Des produits céréaliers à grains entiers : rôties ou bagels de blé entier, gruau
  • Des fruits : orange, banane
  • Des protéines : Lait, boisson de soya, yogourt et fromage
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9
Q

Vrai ou faux. Même en absence de faim et d’appétit, il est obligatoire de déjeuner. Expliquer.

A

(Vrai) Il faut le retarder s’il le faut jusque dans l’auto ou à la fin de s’être préparé. L’important c’est que l’enfant ait un petit quelque chose dans le ventre afin de donner du carburant à son cerveau et à ses muscles.

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10
Q

Donner des moyens concrets pour éviter le saut d’un repas, pour au moins 2 raisons nommées par les jeunes sherbrookois.

A
  • Préparer son déjeuner la veille(grand dormeur)
  • Smoothie rafraichissant (bec sucré)
  • Un bol de céréales (Pour les pressés)
  • Un omelette au mirco-onde (Pour les becs salés)
  • Des œufs, du lait, des fruits surgelés, du beurre d’arachides ou noix, pain blé entier (Il n’y a plus rien dans le frigo)
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11
Q

Pourquoi les enfants sont-ils vulnérables à la publicité et au marketing?

A
  • Ils ont de la difficulté à faire la différence entre la réalité et la fiction. Ils ne voient pas les moyens de persuasion dans les publicités à la télévision, sur les emballages, réseaux sociaux. Ils subissent l’influence du marketing sans le savoir.
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12
Q

Pourquoi l’industrie agroalimentaire cible-t-elle les enfants?

A
  • Les géants de l’industrie agroalimentaire utilisent le marketing afin de rendre les consommateurs dépendants de la malbouffe dans le seul but de faire davantage de profits. La publicité sur les emballages est non seulement trompeuse, mais elle vise à égarer les vulnérables, comme les enfants et les plus démunies.
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13
Q

Nommer des trucs pour faire des choix éclairés sans être (trop) influencé et, outiller les jeunes.

A
  • Réduire le temps d’écran
  • Évitez d’acheter les produits avec des personnages
  • Encourager l’enfant à cuisiner avec vous et à faire l’épicerie
  • Se poser les bonnes questions, quelles sont nos réelles intentions, qu’est-ce qui nous motive à l’acheter plus qu’un autre?
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14
Q

De quelle façon doit être classée la liste des ingrédients?

A
  • En ordre décroissant, donc l’ingrédient qui est contenu en plus grande quantité est placé au début de la liste et le moins à la fin.
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15
Q

Dans le tableau de la valeur nutritive (TVN), quelles sont les pourcentages de valeur quotidienne qui permettent de déterminer si un aliment est riche OU pauvre en un nutriment?

A
  • Peu d’un nutriment si son % de la valeur quotidienne est de 5% ou moins
  • Riche d’un nutriment si son % de la valeur quotidien est de 15% ou plus
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16
Q

Un produit qui porte une allégation est nécessairement un choix plus nutritif. Vrai ou faux et explique brièvement.

A
  • Faux
    Il ne faut pas se fier aux allégations pour faire des choix alimentaires éclairés. Certaines allégations ne sont pas répertoriées par le gouvernement dont « Choix santé»
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17
Q

Expliquer les 5 règles de Marion Nestle pour choisir un aliment ou une boisson à l’épicerie.

A
  1. Éviter les aliments qui contiennent plus de cinq ingrédients (peut avoir tendance à être un aliment transformé ou ultra-transformé)
  2. Évitez les ingrédients que vous ne pouvez pas prononcer (Certains ingrédients sont ajoutés sans avoir une bonne valeur nutritive pour le corps, il se faut des répérer)
  3. Évitez les ingrédients artificiels (Des colorants ou arômes pour imiter la nature/ goût d’une framboise)
  4. Évitez les aliments qui ont des personnages sur leurs emballages (Encourage les enfants à en prendre sans avoir une bonne et réelle valeur nutritive, seul but des géants est de s’enrichir face aux vulnérables)
  5. Évitez les aliments qui ont des allégations santé (Il ne faut pas se fier aux allégations pour faire des choix alimentaires éclairés. Certaines allégations comme « choix santé » n’est pas répertorié par le gouvernement.
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18
Q

Vrai ou faux. Une personne est la principale responsable de son poids. Expliquer brièvement [lien avec le cours 3 – Image corporelle – 28 janvier 2022 – Sara Grand’Maison].

A
  • Faux
    Biologie : Hérédité, hormones, glandes, maladies, médicament, sexe, âge.
    Aspects personnels : Perfectionniste, anxiété, stress, faible estime de soi
    Facteurs environnementaux : Habitudes alimentaires et activités physiques au sein de la famille, sommeil, tabagisme
    Facteurs socioculturels : Normes de beauté, soutien, encouragement ou pressions
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19
Q

Vrai ou faux. Il est normal pour un adolescent de s’inquiéter de son poids. Expliquer brièvement.

A
  • Faux
    Les adolescents se sentent souvent conscients de leur image, mais il n’est ni normal ni sain qu’ils aient honte de leur corps, qu’ils s’inquiètent constamment de leur poids ou qu’ils se sentent coupables de manger.
    L’enfant a un problème d’attitude par rapport à son poids et non son poids en tant que tel. Il s’agit probablement une situation d’intimidation. En tant qu’enseignant, on se doit d’avoir une écoute active envers ces jeunes. Il faut écouter ses préoccupations et connaitre ce qui motive le jeune à vouloir modifier son poids.
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20
Q

Comment parler à un jeune qui vous dit vouloir modifier son poids ou qui parle de régimes, de produits, services et moyens amaigrissants?

A
  • Nous devons lui parler de son attitude et conserver une écoute active s’il y a possibilité d’intimidation. Nous voulons s’assurer qu’il possède de bonnes motivations et il est n’est pas influencé par ses pairs ou les réseaux sociaux. Il doit comprendre que c’est fréquent que les jeunes se remettent en question sur le poids, c’est un fait. Toutefois, il ne faut pas être en accord sur le fait qu’il tient absolument à changer son poids, puisque cela va confirmer ses doutes et l’encourager à vouloir le changer.
21
Q

Résumer les principes de l’alimentation intuitive.

A
  • Écouter sa faim pour manger
  • Respecter tes signaux de faim et satiété
    Résumé : C’est le fait de manger quand on a faim et d’arrêter de manger qu’on a plus faim. Le fait de renouer avec le plaisir de manger avec les aliments qu’on aime sans interdit et sans se sentir coupable. Une approche qui a été créé par deux nutritionnistes américain en 1995. Pour éviter les diètes. Éviter de tomber dans l’excès.
22
Q

Définir brièvement les troubles de conduites alimentaires.

A
  • L’anorexie mentale et la boulimie
  • Les troubles de conduites alimentaires sont des perturbations caractérisées par une obsession de la nourriture, du poids et de l’apparence. Cette obsession affecte négativement la santé, les relations et la vie quotidienne. ** Pour recevoir un diagnostic de troubles de conduites alimentaires une personne doit souffrir à la fois une perturbation du comportement alimentaire et de troubles psychologiques. **
23
Q

Lister des signes et symptômes des troubles de conduites alimentaires.

A

Signes et symptômes :

  • Tendance à se mettre régulièrement au régime
  • Accès hyperphagique
  • Accès purgatif
  • Établissement de listes d’aliments bon ou mauvais
  • Tendance à inventer des prétextes pour éviter des repas.
  • Perte ou changement de poids rapide
  • Sensibilité au froid
  • Arrêt ou perturbation de la menstruation
  • Peur intense de prendre du poids
  • Anxiété accrue à l’heure du repas
24
Q

Lister des causes et les facteurs de risques des troubles de conduites alimentaires.

A
  • Pression culturelles, sociales ou familiales et émotives. Trouble de la personnalité, prédispositions génétiques et biologiques. L’abus sexuel pendant l’enfance
25
Q

Doit-on intervenir lorsque l’on soupçonne un trouble de conduites alimentaires? Si oui, comment? Si non, pourquoi?

A
  • Oui il faut intervenir en passant d’abord par une prise de conscience des comportements nuisibles liés à l’alimentation et au poids corporel. Une fois sensibilisé, la personne peut trouver ou se faire proposer de l’aide dans diverses formes.
  • Ex : Psychopédagogie, le counceling en matière de nutrition, etc.
26
Q

Expliquer brièvement les liens entre l’alimentation et le TDAH.

A
  • Certains enfants reçoivent un diagnostic de TDAH et se font prescrire des médicaments. Certes, ces médicaments ont la fâcheuse tendance d’avoir des effets secondaires dont une perte de sommeil, une diminution de l’appétit ou d’une perte de poids.
27
Q

Nommer et expliquer brièvement des astuces pour faciliter l’alimentation chez un enfant avec un TDAH.

A
  • Une routine stable de repas et de sommeil ainsi que la pratique d’activité physique régulière aideront l’enfant à mieux gérer son appétit et à réduire les symptômes du déficit d’attention/d’hyperactivité.
  • Mettre à profit les moments où l’enfant a faim pour lui offrir des repas soutenants. (Moment = Déjeuner ou collation en soirée)
  • Impliquer l’enfant dans la panification et préparation de sa boite à lunch.
  • Rendre boite à lunch attrayante
  • Être compréhensif et donner l’exemple
  • Développer ses goûts dans le plaisir
28
Q

Vrai ou faux. Le sucre accentue les symptômes des enfants souffrant de TDAH. Expliquer.

A
  • Faux
    Plusieurs croient que le sucre seraient en partie responsable du TDAH, mais il n’est pas possible, pour le moment, de confirmer cette hypothèse. Malgré tout, les d’enfants atteints par ce trouble rapportent fréquemment que leurs enfants présentent des symptômes plus graves après l’ingestion de friandise sucrées. Il ne faut pas non plus oublier que les aliments qui contiennent beaucoup de sucre contiennent fréquemment des colorants alimentaires, qui eux, semblent avoir un effet chez certains enfants atteints de TDAH. En bref, il n’est pas possible, pour le moment, d’affirmer que le sucre a un effet sur les comportements liés au TDAH. D’autres études sont nécessaires pour éclaircir le sujet.
29
Q

Quelle est la première étape pour comparer deux aliments ou lorsque l’on consulte le TVN?

A

En fait, la première étape est de comparer les portions pour ensuite savoir si tu peux comparer les produits entre eux et avec ce que tu manges. Parfois, il faut un peu de mathématique. Si la portion dans le tableau du produit A est de 2 biscuits, dans le tableau du produit B de 4 biscuits ou que tu manges la rangée, il te faudra faire un peu de mathématique pour comparer ou connaitre les quantités que tu manges vraiment.

30
Q

Le tableau de la valeur nutritive permet toujours de connaître le contenu en nutriments d’un aliment. (Vrai ou faux)

A

En fait, c’est faux. Si tu regardes l’étiquette du produit et le tableau de valeur nutritive présenté dans le guide de lecture, tu verras qu’il est indiqué 0 g trans et pourtant, il y a du shortening dans les ingrédients. Il y a des règles d’arrondissement qui font que le tableau ne dit pas toujours tout tout tout.

31
Q

Vrai ou faux. Il est recommandé de faire des interventions préventives de groupe sur le poids, les régimes ou les produits, services et moyens amaigrissants. Expliquer brièvement.

A

En fait, il faut éviter des interventions “préventives” de groupes qui pourrait avoir effet pervers (voir dernières dispos du dernier cours). Il faut plutôt axer nos interventions de groupe sur les saines habitudes de vie et agir individuellement, si besoin, en fonction des informations proposées dans les lectures.

32
Q

Objectif SMART avec un exemple pour chaque lettre

A

S : Spécifique = Augmenter la consommation de légumes et fruits
M : Mesurable = Deux fois plus de collation en fruits et légumes
A : Atteignable = Chez 70% des élèves
R : Relevant = Mesure consommation des fruits et légumes
T : Temporel = Entre le mois de mai et juin

33
Q

Pour quelle section du modèle logique devons-nous se servir de l’objectif SMART?

A

Objectifs d’apprentissage spécifiques aux activités

34
Q

À la diapo 9 du cours cours 8, identifier chaque lettre de l’objectif SMART.

A
35
Q

Enjeux alimentaire chez les jeunes

Nomme des exemples environnementaux et individuels

A

Environnementaux :

  • Environnement alimentaire scolaire
  • Repas en famille et sans écran
  • Publicités alimentaires
  • Normes/pressions sociales

Individuels :

  • Carie
  • Connaissances alimentaires (nutritionnelles)/habiletés culinaires
  • Routine alimentaire
  • Allergies alimentaire
36
Q

Expliquer pourquoi agir en lien avec l’alimentation saine en milieu scolaire?

A

Il s’agit d’un environnement favorable et propice à l’adoption de saines habitudes alimentaires. Les jeunes font face à plusieurs enjeux alimentaires au niveau environnementale et personnel qui doivent être contournés ou adaptés. À l’école, c’est l’occasion de développer des compétences personnelles envers l’alimentation. C’est un endroit qui peut permettre aux jeunes de faire des choix alimentaires sains et de travailler sur de bonnes routines alimentaires.

37
Q

Nommez les deux axes d’intervention en alimentation en milieu scolaire et décrivez brièvement des actions à privilégier pour bien agir.

A

Axes :

  • Offrir des milieux sains, bienveillants et sécuritaire
  • Développer les compétences personnelles et sociales du jeune

Action à privilégier :

  • Offrir des aliments ainsi que des boissons ayant de hautes valeurs nutritive et en quantité/variété suffisantes et accessibles économiquement.
  • Permettre aux jeunes de faire choix alimentaires sains et développer relation saine avec les aliments
38
Q

Décrire les principes d’une offre alimentaire saine en milieu scolaire, en s’inspirant de la vision de la saine alimentation. Discuter de l’offre alimentaire à la cafétéria, lors d’évènements spéciaux et de campagnes de financement.

A

Offre alimentaire à la cafétéria :

  • Faible coût
  • Haute valeur nutritive aliments/boissons en fonction portion
  • Variété
  • Facilement accessible (Eau gratuit avec fontaine)

Évènements spéciaux et campagnes de financement :

  • Offrir des recettes nutritives avec une présentation différente ou des noms amusants ( Ex: Halloween, potage de broccoli = purée de zombie)
  • Offrir les aliments de faible valeur nutritive en plus petite quantité ou combiné avec des aliments plus nutritifs.
  • Impliquer jeunes en les faisant cuisiner leur propre sandwich ou salade repas à partir d’ingrédients frais et sains.
39
Q

Comprendre la problématique de l’environnement alimentaire bâti autour de l’école (restauration, dépanneurs) et les solutions en milieu scolaire.

A

Problématique :

  • Publicités alimentaires –> produits transformés ou ultratransformé
  • Normes et pressions sociales
  • Restaurant doit être reconnu comme étant des aliments d’exception à faible valeur nutritive. Ils se doit d’être consommé très rarement sur votre calendrier.

Solutions en milieu scolaire :

  • Prix concurrentiel
  • Aliment au quotidien
  • Promouvoir accès à l’eau en tout temps
  • Soutenir l’aménagement d’aires de repas conviviales
  • Reviser l’information concernant les boissons et retirer les boissons sucrées
  • Assurer la présence d’une ressource de soutien en nutrition accessible aux écoles pour adapter ou réviser leurs pratiques, activités ou communications en nutrition
40
Q

Nommer des conseils concrets pour faire de meilleurs choix aux restaurants.

A
  • Demandez grains entiers
  • Remplacez les frites par des fruits ou des légumes
  • Commencer le repas avec une entrée de légumes
  • Évitez les aliments fris ou panés
41
Q

Expliquez les raisons d’exclure les récompenses alimentaires à l’école et nommez des alternatives.

A

Raisons d’exclure :

  • Augmentation de l’attrait de l’aliment souvent peu nutritif
  • Encouragent à manger pour se récompenser et non par faim = perte des signaux
  • Contredisent les messages de saine alimentation enseigné à l’école
  • Peuvent mener comportement alimentaires restrictifs et compulsifs
Alternatives:
- Privilèges 
Ex: s'asseoir avec ses amis, premier dans la file, marcher midi avec enseignant, annonce intercom
- Marques de reconnaissance
Ex: Mots, certificats
- Activités de groupe
Ex: Sortie culturelle, dégustations
- Jeux éducatifs
Ex: Jeux de cartes, corde à danser
- Matériel scolaire
Ex: Crayon, marqueur
42
Q

Nommer les conséquences pour un jeune d’être en situation d’insécurité alimentaire.

A
  • la croissance
  • le développement
  • augmente risque maladie santé mental
  • diminution reussite scolaire
43
Q

Décrire le partage des responsabilités appliqué au contexte de repas scolaire et donner des exemples concrets et des conseils pour chacune des responsabilités.

A

Quoi ? = Les parents –> Contenu dans la boite à lunch
Actions favorables sur le quoi :
- Accompagner celui qui n’aime pas un de ses repas
- Éviter d’interdire de manger un aliment de son repas
- Ne pas dichotomiser
- Partager aux parents des idées pour la boite à lunch/collations
- Encourager enfant conception de la boite à lunch

Quand, où, comment ? = L’école

  • Micro-ondes (Comment)
  • Réduire bruit et distractions (Comment)
  • Aménagement optimal (Où)
  • Table de pique nique (Où)
  • Choisir horaire propice pour les signaux de faim (Quand)

Combien ? = Enfant –> écoute ses signaux de faim et de satiété
- Aider les enfants à respecter leurs signaux

44
Q

Nommer et expliquer les conseils spécifiques à favoriser lors de la réalisation
d’interventions en lien avec l’éducation alimentaire dans les écoles.

A
  • Favoriser le plaisir, l’expérimentation et la découverte : manipuler, sentir,
    préparer et goûter.
  • Insister sur le fait qu’une alimentation saine est constituée d’une variété
    d’aliments et privilégie la consommation d’eau. Les aliments de valeur
    nutritive élevée doivent y occuper une place importante tant sur le plan de la
    fréquence que de la quantité
  • Qualifier les aliments de façon positive. Éviter la dichotomisation des aliments
    (comme « bon », « mauvais », « permis » ou « interdit »).
  • Encourager l’écoute et le respect des signaux de faim et de satiété.
  • Axer les interventions sur l’adoption/maintien de SH et non sur le poids.
  • Utiliser d’autres moyens que les aliments ( ex.: activité spéciale) pour
    récompenser ou punir (négocier avec) les jeunes.
45
Q

Nommer des compétences à développer et des exemples de notions en lien avec l’éducation alimentaire chez le jeune. (7) Essaie de faire des exemples

A
  • Exercice de choix éclairés en matière d’habitudes de vie
  • Connaissance de soi
  • Gestion des influences sociales
  • Adoption de comportements prosociaux
  • Gestion des émotions et du stress
  • Engagement social
  • Demande d’aide
46
Q

Citer des thématiques à aborder à l’école et être en mesure de les associer au niveau
scolaire (primaire ou secondaire) le plus applicable ainsi qu’aux enjeux alimentaires.

A

Alimentation
Alcool, drogues, jeux de hasard et d’argent (secondaire)
Activité physique
Infections
Sommeil
Santé buccodentaire
Santé environnementale
Santé mentale
Sexualité (y compris les ITSS) (secondaire)
Tabac (secondaire)
Traumatismes non intentionnels (Primaire et secondaire)
Violence (y compris la violence dans les relations amoureuses et agression sexuelle) (secondaire)

47
Q

Expliquer des effets négatifs possibles à la suite d’une intervention en alimentation.

A
48
Q

Nommer et expliquer les éléments-clés de la promotion de la saine alimentation en
milieu scolaire.

A
  • Tout au long de l’année
  • Des arguments convaincants
  • Avoir un discours positif
  • Apprendre comment ajouter des aliments nutritifs dans son assiette
  • Offrir des aliments en cohérence avec notre discours
  • Éviter de faire un lien entre l’alimentation et l’apparence ou le poids
49
Q

L’offre d’aliments nutritifs

A

Les quatre P

Alimentation (6 decks)

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