Relations amoureuses, la sexualité et les enjeux associés Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une tâche développementale?

A

C’est ce que la société croit qu’on devrait être capable de faire à une certaine période.

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2
Q

Nommes six caractéristiques des relations amoureuses à l’adolescence?

A
  • Les jeunes vont y accorder de plus en plus d’importance à une relation exclusive avec un partenaire amoureux (passe moins de temps avec ses autres relations pour passer plus de temps avec).
  • Réactive les modèles d’attachement
  • Relation de couple des parents peut être un modèle qui influence al qualité des relations intimes
  • Elles se distinguent radicalement des relations à l’enfance (éveil sexualité+découverte sentiments intenses et nouveau/amour et passion)
  • Contribue développement intimité et identité
  • Tendance à inclure des relations sexuelles
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3
Q

Lecture diapo 14

A
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4
Q

Comment se distingue une relation platonique d’une relation amooureuse?

A

Relations amoureuses : présence de liens étroits réciproques entre 2 personnes.

Relations platoniques : amitiés avec des pairs de l’autre sexe, sans qu’il y ait de passion ou d’attirance.

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5
Q

Pourquoi les relations platoniques sont importantes?

A

Fonctions importantes dans le développement amoureux des jeunes : permettre l’accès aux façons de faire et de penser des pairs de l’autre sexe ; favoriser la rencontre d’éventuels partenaires amoureux.

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6
Q

Qu’apprenent les adolescents dans leur relations amoureuses (4)?

A

▪ L’intimité

▪ Le soutien mutuel

▪ La négociation des besoins de chacun

▪ La conciliation entre la recherche d’intimité et l’affirmation de leur autonomie personnelle

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7
Q

Qu’est-ce que la théorie triangulaire de l’amour?

A

Théorie proposée par Sternberg qui dit que les relations amoureuses ont trois composantes:

  • La passion: Attirance, désir intense d’être constamment avec l’autre (sexualité, excitation)
  • Intimité: Partagés des pensé et sentiments mutuels (respect, confiance, soutien, communication)
  • Engagement: Maintien de l’intimité et passion pendant un temps = plupart des couples décident de s’engager dans relation exclusive (fidélité, loyauté, responsabilité)
  • pas nécessairement d’engagement durable = plus tard dans la vie.
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8
Q

Comment évolue les relations amoureuses avec l’âge?

A

▪ Avec l’âge : augmentation de la prévalence et de la durée des relations.

▪ Ados plus jeunes → frontière plus floue entre les relations amoureuses et non amoureuses.

▪ Ados plus âgés → amélioration des capacités à maintenir une relation intime.

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9
Q

Qu’est-ce qui peut influencer les différences entre les jeunes dans leurs relations amoureuse (3)?

A

▪ Âge de début (« précoces » vs « tardifs ») : maturation pubertaire précoce, recherche de sensations fortes, extraversion.

▪ Minorités sexuelles et de genre : fréquentations amoureuses souvent avec des partenaires de différents genres.

▪ Culture : acceptation sociale (dans certaine culture = pas accepter d’avoir relation a l’adolescence).

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10
Q

Quels sont les bénéfices d’une relations amoureuse (3)?

A

▪ l’intimité (expression d’émotions et de sentiments).

▪ la sexualité (satisfaire le besoin émergent d’expression sexuelle dans un contexte amoureux).

▪ l’autonomie (favorisant l’individuation et l’affirmation d’un soi séparé au sein de l’intimité du couple doit être capable de se développer comme un être unique en dehors de sa relation).

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11
Q

Quels sont les effets négatif associés aux relations amoureuses à l’adolescence?

A

▪ les ruptures (pouvant susciter d’intenses émotions de perte et de deuil… jusqu’aux symptômes dépressifs).

▪ les conflits (nuisibles ou bénéfiques, selon comment ils sont gérés → ex. : compromis vs évitement).

▪ la violence (ex. : agressions, coercition, etc.).

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12
Q

Comment les différents contextes sociaux (3) influencent les relations amoureuses (3-4-2)?

A

Parents:
Leur style d’attachement (base affective),
gestion des conflits (utilisation de stratégies similaires),
structure familiale (expérience amoureuse et perceptions quant aux relations)

Pairs:
Cliques/groupe mixte (apprendre à interagir avec l’autre sexe)
Qualité d’amitié (Capable de bien discuter avec les amis= généralisable relation amour)
Autonomie (capacité exprimer pdv)
Violence (lien intimidation et agressivité envers partenaires)

Culture et média:
Valeurs culturelles/restrictions parentales (âge première relation amoureuse)
Médias sociaux et internet (entreprendre de maintenir une relation amoureuse, accéder à du matériel à du caractère sexuelle)

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13
Q

Vrai ou faux:
1. Il y a autant de fille que de garçons qui ont des relations sexuelles avant 14 ans.

  1. Les jeunes ayant des relations sexuels précoces ont autant de partenaire sexuels que les autres.
  2. Malgré l’acceptation grandissante des minorités sexuelles et de genre au Canada, les membres de la communauté LGBTQ+ peuvent être l’objet de discrimination.
A
  1. Vrai
  2. Faux, ils ont tendance à en avoir plus.
  3. Vrai
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14
Q

Quels facteurs influencent l’âge à la première relation sexuelle (7-2) ?

A

Âge précoce:
Puberté précoce, pauvreté, faible performance scolaire, manque d’ambition, abus sexuel ou négligence parentale, modèle familial ou culturel d’expériences sexuelles précoces.

Retarde l’âge des premières relations:
Les relations chaleureuses avec les parents et les activités familiales régulières.

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15
Q

Comment se manifeste l’expression de la sexualité et pourquoi?

A

Baisers, touchers, masturbation mutuelle → pratiques moins engageantes sur le plan affectif et moins risquées pour la santé et les conséquences sociales.

Relations sexuelles: La curiosité, la pression des pairs et
l’insistance du partenaire.

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16
Q

Quels sont les enjeux associés au comportements sexuels des jeunes?

A

Comp. à risque:
ITSS, grossesse précoce.

Autre: homophobie/transphobie (minorité)
Hypersexualisation
Pornographie
Sextage
Violence dans les fréquentation

17
Q

Quels sont les caractéristiques des grossesse précoce (4)?

A

1- A diminué au Qc, + un problème dans pays en développement (mariage forcée, manque accessibilité de contraception).

2- Facteurs de risque: résistance à la contraception, relations non protégées, mythes en lien aux pratiques sexuelles, immaturité cognitive (prise de risques), pauvreté et faible niveau de scolarisation.

3- Conséquences négative:
- Bébé : prématurité, risque accru de complications à l’accouchement et de mort infantile, difficultés scolaires et problèmes de santé plus tard dans la vie.
- Mère : risque accru d’abandonner l’école et de vivre des grossesses répétées.

18
Q

Comment on a vu l’homosexualité dans l’histoire?

A

▪ Jusqu’en 1973 → considérée comme une pathologie dans le DSM.
▪ En 1992 → disparue de la classification des maladies de l’OMS.
▪ Débat quant aux origines : culture vs nature…

19
Q

Qu’est-ce que l’homophobie et la transphobie?

A

Homophobie : sentiment de peur et d’aversion éprouvé envers les personnes d’orientation homosexuelle et qui génère de la discrimination à leur égard. Elle peut se manifester par le rejet, le mépris, le harcèlement psychologique et la violence.

Transphobie : rejet des personnes transgenres.

20
Q

Quels sont les impacts de l’hypersexualisation dans plusieurs sphères de la société (Mode, publicité, domaine artistiques, média) (3)?

A

▪ Banalisation d’attitudes et conduites sexualisées.

▪ Accent mis sur la séduction.

▪ Conséquences chez les jeunes → altération de leur perception face aux relations, à l’amour, à la sexualité, etc.; comportements sexuels précoces.

21
Q

Comment l’évolution des médias influence la sexualité (2)?

A

▪ Les relations sexuelles occasionnelles avec les « cyberconnaissances » fugaces sont devenues plus courantes grâce aux sites de rencontre en ligne.

▪ Informations et images à caractères sexuel sont plus facilement accessibles (ex. : pornographie).

22
Q

Qu’est-ce que la pornographie?

A

Ce sont des images ou vidéos produites par des professionnels ou par des utilisateurs destiné à provoquer de l’excitation sexuelle chez le spectateur.

Il met souvent l’accent sur les organes génitaux et est majoritairement consommées par l’internet, donc est facilement accessible au jeune

23
Q

Quels sont les impacts de la pornographie sur les attitudes et comportements sexuels (8)?

A

▪ Les jeunes ont une image génitale et irréaliste de la sexualité

▪ Pensent qu’ils doivent tout faire, que tous les comportements vus sont la norme

▪ Ressentent le besoin de « s’instrumenter » pour être des « masters du sexe »

▪ S’interrogent sur les relations sexuelles et sur leur identité

▪ Risquent d’être anxieux ; éprouvent de l’inquiétude ; ne se sentent pas à la hauteur

▪ Ont des relations sexuelles précoces ; adoptent des comportements sexuels non sécuritaires

▪ Se conforment aux messages véhiculés dans la pornographie (ex. : vision stéréotypée de la sexualité masculine → fréquence des
relations sexuelles, nombre de partenaires, etc.)

▪ Deviennent « accro » à la pornographie et finissent par ne plus vouloir avoir des relations sexuelles dites « normales »

24
Q

Qu’est-ce que le sextage?

A

Utilisation d’une messagerie texte ou multimédia pour créer, transmettre ou échanger des textos, des photos ou des vidéos à caractère sexuel ou sexuellement explicites.

Phénomène de plus en plus courant chez les jeunes.

25
Q

Quels sont les conséquences possibles du sextage?

A

Que les sextage soient partagé sans le consentement de la personne.

= Criminel et les jeunes oublie cet aspect (avoir photo d’un mineur = pornographie juvénile)

= Conséquences graves pour la victime (Estime de soi, réputation, suicide)

26
Q

Qu’est-ce que la violence dans les relations entre les jeunes? Qui touche-t’elle plus? Que peut-on faire pour améliorer la situation?

A

Tout comportement pouvant porter atteinte à l’intégrité physique, psychologique ou sexuelle de l’autre.
Ex. : insultes, menaces, agressions physiques, contacts sexuels non désirés, relations sexuelles forcées, etc.

Elle touche plus les filles (subissent et en infligent plus)

Importance d’éduquer sur le consentement

27
Q

Quelles sont les caractéristiques de la violence dans le couple selon l’étude de Cortens?

A

▪ Différentes formes de violence (psychologique, physique, sexuelle).

▪ Hors ligne ou en ligne (ex. : contrôle, harcèlement).

▪ Multiples conséquences sur la santé + risque accru de re-victimisation à l’âge adulte (violence entre partenaires intimes).

▪ Certains jeunes sont plus à risque d’en être touchés (ex. : jeunes marginalisés).

28
Q

Quels étaient les buts de l’étude de Cortens?

A

▪ Examiner la prévalence de la violence subie et perpétrée dans les fréquentations/relations amoureuses, au cours des 12 derniers mois, chez des adolescents canadiens (3 formes mesurées : physique, psychologique, cyberviolence).

Explorer les différences entre les jeunes en ayant subi ou perpétré et ceux n’en ayant ni subi ni perpétré, sur le plan des indicateurs reliés à la marginalisation sociale.

29
Q

Quels sont les résultats de Cortens?

A

Les jeunes non-binaires font plus de violence et en subissent plus que les filles et les garçons.
Les filles vivent plus de violence psychologique que les garçons.

30
Q

Qui sont les jeunes plus susceptibles de subir de la violence?

A

▪ Jeunes plus âgés
▪ Filles et non-binaires
▪ Vivant dans une famille monoparentale
▪ Faible revenu
▪ Insécurité alimentaire

31
Q

Qui sont les jeunes plus susceptible de perpétrer de la violence?

A

▪ Jeunes plus âgés
▪ Non-binaires
▪ Provenant d’une minorité ethnique
▪ Immigrants (1re ou 2e génération)
▪ Faible revenu
▪ Insécurité alimentaire

32
Q

Quels sont les deux profils de victimes?

A

Victimes seulement ou agresseurs-victimes.

33
Q

quels sont les sorte de violence les plus répandue chez les jeunes?

A

La violence psychologique est la forme de violence subie la plus répandue chez tous les jeunes (filles, garçons et non-binaires), suivie par la cyberviolence.

34
Q

Que prédit la marginalisation sociale?

A

Facteur de risque qui prédit la violence dans les relations amoureuses des jeunes.

▪ Ex. : les jeunes vivant dans la pauvreté (insécurité alimentaire, faible revenu) ou ceux vivant de la transphobie (non-binaires), du sexisme (filles), du racisme (minorité ethnique), ou de la xénophobie (immigrants) sont plus à risque de subir de la violence.

35
Q

Qu’est-ce qui s’avère prioritaire concernant la violence dans les relations?

A

La prévention de la violence dans les fréquentations et relations amoureuses des jeunes, ainsi que de ses multiples conséquences sur leur santé et leur bien-être s’avère prioritaire.