Quiz 8 Flashcards
Le permis social d’exploitation c’est avant tout:
A. Pourvoir à la fourniture de biens matériels dans les communautés où l’entreprise opère
B. L’acceptation par les collectivités locales des entreprises et de leurs projets
C. Le document officiel qui certifie de l’acceptation d’une entreprise et de son projet par les collectivités au sein desquelles elle opère
D. Une démarche qu’il faut entreprendre dès la fin des projets pour s’assurer qu’ils seront bien acceptés par les communautés locales
B. L’acceptation par les collectivités locales des entreprises et de leurs projets
Dans le texte de Krichewsky, quel est l’aspect le plus radical de la critique de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) qui est mis en lumière à travers le fait que la fiscalité ne soit pratiquement jamais évoquée dans les questions de RSE?
A. La RSE ne couvre pas tous les problèmes que peuvent générer les entreprises
B. La RSE est une ruse de certaines entreprises pour neutraliser les États et leurs capacités d’action
C. Le RSE ne s’intéresse pas aux situations dans lesquelles les intérêts des entreprises et des autres acteurs de la société sont en conflit
D. Les questions qui n’impliquent pas des parties prenantes ne sont pas prises en compte par la RSE
La RSE est une ruse de certaines entreprises pour neutraliser les États et leurs capacités d’action
Rétroaction :
Krichewsky, D. (2012). “Les limites de la responsabilité sociale des firmes”. Le Monde, 4 déc., 2 p.
Pour éviter le “greenwashing” ou écoblanchiment, l’information diffusée par les entreprises concernant leurs produits doit être:
A. Vraie
B. Vraie et prouvée
C. Complète, précise, accessible, co-construite avec les parties prenantes, et de bonne foi
D. Complète, précise, vraie, pertinente, parcimonieuse, et appuyée par des preuves
E. De bonne foi, vraie, vérifiable, validée par les autorités compétentes et légales
D. Complète, précise, vraie, pertinente, parcimonieuse, et appuyée par des preuves
Références : vidéo “TerraChoice - The Six Sins of Greenwashing”. Canada AM. Dans You Tube. (5 min.) & Thibaudeau, M. (2012). “Produits nettoyants. Cinq mises en garde sur l’écoblanchiment”. Le Soleil, 2 juin, 1 p.
La norme ISO 26000 présente des lignes directrices sur :
A. La responsabilité sociétale des organisations
B. La gestion des parties prenantes
C. La légitimité sociale des organisations
D. Le développement durable
A. La responsabilité sociétale des organisations
Référence : Groupe ISO. “Responsabilité sociétale - Découvrir ISO 26000”. 8 p.
Lequel des énoncés ci-dessous au sujet d’ISO 26000 est vrai?
A. Comme toutes les normes ISO, ISO 26000 découle d’un besoin de marché: développer une compréhension commune de la RSE
B. ISO 26000 est une norme certifiable
C. ISO 26000 est la norme internationale de RSE produite par les organisations gouvernementales internationales
D. ISO 26000 est destinée aux entreprises privées
A. Comme toutes les normes ISO, ISO 26000 découle d’un besoin de marché: développer une compréhension commune de la RSE
Rétroaction :
Référence : Groupe ISO. “Responsabilité sociétale - Découvrir ISO 26000”. 8 p.
Dans quelle perspective s’inscrit l’approche de la valeur partagée développée par Porter et Kramer ?
A. Approche contingente
B. Gagnante-gagnante
C. Gagnante-perdante
D. Économique classique
B. Gagnante-gagnante
En quoi l’approche de la RSE présente-elle souvent un aspect utilitariste ?
A. Les activités réalisés sont utiles aux diverses parties prenantes
B. Les entreprises investissent stratégiquement dans la RSE en évaluant les avantages et les coûts des activités
C. La RSE est utile pour les entreprises, car elle leur procure une légitimité sociale
D. Les motivations pour mettre en place des actions de RSE sont liées aux aspects managériaux et éthiques
B. Les entreprises investissent stratégiquement dans la RSE en évaluant les avantages et les coûts des activités
Rétroaction :
Référence : Krichewsky (2012). “Les limites de la responsabilité sociale des firmes”.
Selon vous, quels sont les avantages et les limites de la norme ISO 26000 pour la gestion du développement durable? Sur la base de ces avantages et limites, à quels types d’entreprises recommanderiez-vous l’utilisation d’ISO26000? Pourquoi?
Votre réponse :
Nombre de mots : 36/300
Elle définit comment les organisations peuvent et doivent contribuer aux développement durable, mais elle ne donne pas de démarche à suivre précise, puisque chaque entreprise est différente et doit créer son propre cheminement pour y parvenir.
Réponse suggérée :
Réf. : Groupe ISO. “Responsabilité sociétale - Découvrir ISO 26000”. 8 p.
Sur la base des lectures de la séance, quelles sont les limites de la responsabilité sociale des entreprises (RSE)?
Réponse suggérée :
Référence: Krichewsky 2012, Lafay 2012, et aussi les différents textes sur le Greenwashing.
En vous basant sur les lectures obligatoires de la séance, donnez des exemples d’attentes de parties prenantes qui sont contradictoires entre elles. Comment concilier ces attentes contradictoires ? Quelles attentes faut-il privilégier ?
Réponse suggérée :
Question de synthèse sur cette séance. Des exemples peuvent être trouvés dans la plupart des textes de la séance.
Quelle est la signification du “greenwash” (écoblanchiment) et pourquoi ce concept est-il souvent utilisé pour critiquer les politiques et les pratiques de développement durable ?
Votre réponse :
Nombre de mots : 25/300
Le greenwashing est un procédé de marketing ou de relations publiques utilisé par une organisation afin de se donner une image de responsabilité écologique trompeuse.
Réponse suggérée :
Plusieurs textes portent sur cette problématique. Voir par exemples : Thibaudeau (2012) et la vidéo de TerraChoice
Pourquoi les entreprises recherchent-elles la légitimité (l’acceptabilité) sociale ? Quels avantages concrets peuvent-elles en tirer ?
Votre réponse :
Nombre de mots : 58/300
Les citoyens et les parties prenantes prennent de plus en plus conscience des enjeux économiques, environnementales et sociales. De ce fait, il est de plus en plus important pour les entreprises de s’adapter pour préserver ou acquérir cette légitimité sociale. Elle continuera à être rentable et conccurrente dans son domaine, et ne perdra pas de clientère ou d’associés.
Réponse suggérée :
Plusieurs textes touchent à cette problématique dans cette séance. Ex. Jackson (2003), Barbe (2012), CPEQ (2012) et vidéo de Bergeron (2009)
Quels sont les fondements de la théorie des parties prenantes ? Et quelles sont les principales différentes entre les “shareholders” et les “stakeholders” ?
Votre réponse :
Nombre de mots : 0/300
Aucun texte n’a été saisi.
Réponse suggérée :
Référence : ‘Shareholders’ = actionnaires; ‘stakeholders’ = parties prenantes, groupes d’intérêts concernés par les opérations d’une entreprise, Réseau entreprise et développement durable (2010)
Dans le cadre d’un engagement communautaire tel que présenté dans le texte du REDD de la séance, associez les formes d’engagement ci-dessous aux différentes approches (« positions ») de l’entreprise :
Réponse suggérée :
Engagement transactionnel – « Redonner à la communauté en y investissant »
Engagement transformationnel – « S’intégrer dans communauté pour renforcer ses capacités et son pouvoir »
Engagement transitionnel – « Créer des ponts et s’engager dans la communauté »
Source : Texte du REDD