Quiz 5 Flashcards
En quoi le philanthrocapitalisme se distingue-t-il de la philanthropie traditionnelle ?
A. Son approche capitaliste visant à obtenir des taux d’intérêts élevés
B. Son approche “business” de reddition de compte et qui vise à obtenir des résultats concrets
C. Son approche globale qui vise à régler des problèmes de gestion publique dans le monde
D. Son approche stratégique d’affaires visant à éviter des risques trop élevés dans les investissements
B. Son approche “business” de reddition de compte et qui vise à obtenir des résultats concrets
Rétroaction :
Référence: Voir les deux textes sur le philanthrocapitalisme
L’investissement socialement responsable (ISR) sélectionne ses investissements sur la base de critères ESG. Ces critères font référence :
A. Aux choix environnementaux, sociaux et gouvernementaux des pays émetteurs
B. Aux orientations environnementales, sociales et de gouvernance démocratique des pays concernés
C. Aux meilleures pratiques environnementales, sociales et de gouvernance des émetteurs
D. Aux pratiques écologiques, sociales et de gouvernance des entreprises multinationales
C. Aux meilleures pratiques environnementales, sociales et de gouvernance des émetteurs
Rétroaction :
Référence : “Les différentes formes d’ISR” et “La notation extra-financière”, dans Novethic
Le “niveau optimal de pollution” peut être défini :
A. Comme le niveau à partir duquel les coûts marginaux pour réduire l’impact sur l’environnement deviennent supérieures à la réduction des coûts associés aux dommages causés à l’environnement
B. Comme le niveau à partir duquel les investissements environnementaux d’une entreprise sont rentables et inférieurs aux coûts potentiels associés à la dépollution
C. Comme le niveau supérieur d’investissement qu’une entreprise peut faire pour réduire ses impacts environnementaux et démontrer un niveau de pollution acceptable
D. Comme le niveau maximal de pollution qu’une entreprise peut générer afin de respecter les réglementations environnementales en vigueur
A. Comme le niveau à partir duquel les coûts marginaux pour réduire l’impact sur l’environnement deviennent supérieures à la réduction des coûts associés aux dommages causés à l’environnement
Rétroaction :
Référence : Boiral (2004). “Environnement et économie: une relation équivoque”
Le modèle économique classique s’inscrit dans une approche :
A. “Gagnante-gagnante”
B. “Gagnante-perdante”
C. Contingente
D. D’analyse de coûts des investissements
B. “Gagnante-perdante”
Rétroaction :
Référence : Boiral (2004)
A propos d’une entreprise comme Suncor Energy, L’approche “sélection ESG” des meilleures pratiques environnementales, sociales et en matière de gouvernance conduirait à :
A. Ne pas investir dans Suncor car elle pratique l’exploitation des sables bitumineux
B. À investir dans Suncor car cette entreprise cherche à réduire ses émissions de gaz à effet de serre
C. Ne pas invsetir dans Suncor car elle fait partie du secteur extractif
D. À investir dans Suncor car elle a de meilleures pratiques que les autres entreprises qui exploitent des sables bitumineux
D. À investir dans Suncor car elle a de meilleures pratiques que les autres entreprises qui exploitent des sables bitumineux
Rétroaction :
Référence: Les différents textes sur l’investissement responsable
“Les performances de l’ISR”. (s.d.), dans Novethic, [En ligne], 1p.
“Les différentes formes d’ISR”. (s.d.), dans Novethic, [En ligne], 1p.
Parmi les éléments suivants, quels sont les facteurs qui peuvent être considérés comme contingents et contextuels de l’efficience environnementale d’une entreprise industrielle ?
A. L’efficacité, les normes et réglements en vigueur, les technologies disponibles
B. L’efficacité des procédés, la volonté des dirigeants, les considérations économiques (coûts-avantages)
C. Les critères économiques, les performances des concurrents, le niveau de pollution permis par les lois
D. La mobilisation des employés, les choix technologiques, les performances environnementales actuelles et visées
D. La mobilisation des employés, les choix technologiques, les performances environnementales actuelles et visées
Rétroaction :
Référence : Boiral (2004)
Pour viser un développement durable, il est souhaitable que les entreprises entreprennent des actions environnementales qui :
A. Soient subordonnées à des considérations économiques afin d’assurer leur développement à long terme
B. Soient “gagnantes-gagnantes” dans tous les cas sur la base d’une analyse “coûts-avantages”
C. Soient “gagnantes-perdantes”, car les investissements environnementaux sont toujours rentables à plus ou moins long terme
D. Concilient les objectifs économiques et des considérations environnementales et sociales
D. Concilient les objectifs économiques et des considérations environnementales et sociales
Rétroaction :
Référence : Boiral (2004) - en conclusion
Lesquelles parmi les services ci-dessous sont des “types de services écosystémiques” selon l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire:
A. Transports B. Approvisionnement C. Régulation D. Services après vente E. Information F. Culturels G. Symboliques
B. Approvisionnement
C. Régulation
E. Information
Rétroaction :
Voir le texte d’Ouranos
Pourquoi peut-on dire que les conséquences économiques des actions environnementales n’obéissent pas à une relation linéaire simple ?
Référence : Boiral (2004)
En quoi les perceptions de l’environnement des approches “gagnant-gagnant”, “gagnant-perdant” et “services écosystémiques” diffèrent-elles? Illustrez avec un exemple d’entreprises
Boiral, O. (2004). “Environnement et économie : une relation équivoque”, VertigO : La revue en sciences de l’environnement, vol. 5, no 2, sept., p.1-8.
Ouranos (2013). “L’évaluation économiques des biens et services écosystémiques dans un contexte de changements climatiques”, p.19 à 25
Dans son texte, Grammond rappelle que les écarts de revenu aujourd’hui au Canada sont comparables à ceux de la Grande Dépression. Parmi les solutions proposées dans les textes de la séance, laquelle vous semble la plus intéressante? Justifiez.
Grammond, S. (2012). “Le printemps des actionnaires. La rémunération des patrons suscite les foudres des investisseurs”. La Presse, 9 juin, 3 p.
Allaire, Y. (2012). “Le noeud gordien de la rémunération des dirigeants”. 29 mai, 2 p.