Questions sur le livre obligatoire - Intra Flashcards
Avant-propos: Pourquoi la psychologie évolutionniste ne peut reconstituer la phylogénèse des comportements humains?
Pour retracer la phylogenèse d’un comportement humain, il faut appliquer la méthode comparée aux espèces de primates vivants en tenant compte du degré d’apparentement génétique entre les espèces et de l’environnement dans lequel chacune a évolué.
Le problème avec cette discipline est qu’elle se limite à la période qui a commencé il y a 1,8 million d’années (début de la vie de chasseurs-cueilleurs chez les humains: Tooby et Cosmides, 1990) jusqu’à il y a 10,000 ans (l’émergence de l’agriculture et la sédentarité), sans prendre en considération le fait que nous avons eu un ancêtre commun avec les chimpanzés il y a environ 5,4 millions d’années. (p. XI-XII)
Avant-propos: En quoi la notion d’adaptation diffère entre la psychologie/psychiatrie et les perspectives évolutionnistes?
La psychologie et la psychiatrie considèrent comme étant problématiques les traits jugés indésirables par la société ou les traits qui affectent le bonheur et le fonctionnement de l’individu au quotidien dans son environnement social et physique immédiat. Mais selon les perspectives évolutionnistes, un trait est considéré adaptatif s’il permet la survie et la reproduction, et ce indépendamment des souffrances vécues par les individus. (p. XII)
Avant-propos: Quelle est la différence entre la valeur sélective et la valeur sélective globale?
La valeur sélective (fitness) constitue le nombre de descendants produits directement par un individu, alors que la valeur sélective globale (inclusive fitness) inclut en plus les descendants produits par les apparentés, une certaine proportion de gènes étant partagée par des individus apparentés. (p. XII)
Inclusive fitness includes direct fitness and indirect fitness. Direct fitness is when an individual behaves in ways that increase their own fitness, whereas indirect fitness is when an individual behaves in ways that increase the fitness of others that carry the same genes.
Ch1: Quelle est l’idée de base de la théorie de l’histoire de vie?
La théorie des traits d’histoire de vie vise à expliquer les variations individuelles observées au niveau des caractéristiques de vie majeures des organismes. Tout organisme vivant doit répartir le potentiel énergétique global disponible au cours de son existence entre les 3 principales fonctions vitales: la défense de son intégrité, la croissance et la reproduction. (p.3)
Ch1: Quelles sont les traits respectifs d’une stratégie de reproduction lente et d’une stratégie rapide?
Une stratégie lente sera caractérisée par un début plus tardif des relations amoureuses et sexuelles, des relations moins nombreuses, mais plus stables dans le temps et une descendance également moins nombreuses, mais bénéficiant d’un investissement parental plus important. L’investissement parental augmente à la fois les chances de survie des enfants en leur procurant les ressources nécessaires pour combler les besoins de base. C’est une stratégie qualitative qui favorise la condition des descendants et permet de maximiser la transmission des gènes de l’individu à long terme. (p.3-4)
Une stratégie rapide sera caractérisée par des relations amoureuses et sexuelles précoces et davantage de partenaires, un développement pubertaire accéléré et une descendance plus nombreuses, mais un investissement parental limité. C’est une stratégie quantitative, qui tend à favoriser la transmission du patrimoine génétique à court terme. (p.3)
Ch1: À quels comportements humains la stratégie quantitative est-elle associée chez l’humain, et pourquoi?
Une stratégie quantitative est souvent corrélée à une tendance accrue à la prise de risque, à davantage d’actes d’agression et à l’implication dans les conflits, voire dans les activités illégales. Certaines des caractéristiques comportementales considérées comme relevant de troubles du comportement pourraient constituer l’expression d’une stratégie quantitative. Cela explique par l’étroite relation entre ces traits et la compétition entre l’individu du même sexe pour l’accès aux partenaires pour la reproduction. (p.4)
Ch1: Quelle est la meilleure stratégie reproductive (qualitative ou quantitative)?
L’avantage conféré par une stratégie qualitative ou quantitative en termes de transmission des gènes varie en fonction de l’environnement.
Dans un environnement stable, une stratégie qualitative constitue un investissement énergétique plus rentable. Une stratégie qualitative peut apporter un plus grand bénéfice en termes de valeur sélective globale si elles sont utilisées seulement au moment où l’individu sera le plus à même de subvenir aux besoins de l’enfant et d’augmenter ses chances de survie et de reproduction. Avoir peu de descendants qui auront chacun une plus grande probabilité de se reproduire, car ils auront bénéficié d’un investissement parental plus important est donc souvent plus avantageux que le fait d’avoir de nombreux descendants qui se reproduiront peu.
Néanmoins, on s’attend à ce qu’une stratégie quantitative soit plus avantageuse dans un environnement instable. (p.5)
Ch1: Peut-on considérer le tempérament comme étant inné? Expliquez.
Le tempérament reflète majoritairement la part innée de la personnalité de l’individu. Il s’agit donc du terrain basale de l’individu, d’origine biologique et modelé au fil des générations par l’adaptation aux environnements ancestraux successifs. Ce terrain basale agit sur le développement de la personnalité en interaction avec le milieu, l’éducation, et les interactions sociales. (p.7)
Ch1: Quel est le postulat central du modèle proposé?
Le postulat central du modèle est que l’environnement rencontré dès l’enfance influence et influencera en interaction avec le tempérament, les relations de l’individu avec autrui. Dans un premier temps, avec ses parents, ensuite, avec ses pairs, et finalement, à l’adolescence et à l’âge adulte, avec ses partenaires amoureux ou sexuels potentiels. (p. 7-8)
Ch1: Décrivez les deux types de stratégies quantitatives et ce qui les déclenche dans l’environnement.
Les deux types de stratégies quantitatives sont le type vigilant et le type insensible.
Le type vigilant se développe par les individus pour se protéger des dangers et menaces qu’ils perçoivent dans leur environnement physique et social. On s’attend à ce que ces individus développent des problèmes extériorisés et intériorisés. Ce serait favorisé par un environnement physique dangereux et/ou un environnement social et familial hostile, ainsi que par un tempérament de forte affectivité négative.
Le type insensible regroupe les individus caractérisés par une faible réponse au stress. Ils sont impulsifs, antisociaux, excessivement téméraires et parfois agressifs. Ils développent ce type de stratégies suite à une situation de stress extrême. On l’observe de manière plus précoce, dans les environnements modérément stressants, à cause des prédispositions génétiques. (p.12 et 14)
Ch1: Expliquez la sélection fréquente-dépendante dans le cas de la stratégie indirecte (troubles intériorisés).
La stratégie indirecte est associée à davantage de troubles intériorisés et les personnes présentant des troubles intériorisés (anxiété sociale) sont généralement perçues par les autres comme moins attirantes. Elles sont désavantagées dans la compétition pour l’accès aux partenaires.
La stratégie indirecte pourrait se maintenir dans la population par sélection fréquence-dépendante. Dans un environnement dans lequel la majorité des individus développent une stratégie de compétition agressive, il peut se créer une escalade de la compétition, augmentant les risques liés à celle-ci.
Si le coût de la compétition devient trop important, les individus minoritaires qui vont éviter ce coût pourront finalement être avantagés. L’anxiété sociale, caractérisée par une peur intense du regard des autres et un repli sur soi, pourrait avoir évolué comme un mécanisme pour limiter les dangers d’une compétition avec autrui perçue par l’individu comme trop coûteuse et au-dessus de ses propres capacités.
Ch2: Quelle est la différence entre la peur et l’anxiété?
La peur est une émotion de base, alors que l’anxiété est plutôt conceptualisée comme une association cognitive qui fait le pont entre l’émotion de base qu’est la peur, l’événement déclencheur, le sens donné à cet énervement et la réponse de l’individu à cet événement. Alors que la peur fait appel à une réponse de danger immédiat, l’anxiété peut se manifester devant un danger imaginaire ou encore réel mais anticiper.
Ch2: Quelles sont les quatre réponses comportementales adaptatives possibles face à un danger?
Lutte
Fuite
Évanouissement
Immobilité
Ch2: Que signifie la phrase « l’anxiété serait un système de réponse peu coûteux qui protège contre des dangers potentiellement coûteux »?
Cela signifie qu’il est préférable de vivre plusieurs fausses alarme d’anxiété qui sont inconfortables et dérangeantes que de ne pas répondre à une véritable crise et de subir les conséquences graves comme la mort.
Ch2: Expliquez le système de détection de la menace que représente l’anxiété, tel que présenté par Nesse Et Bateson.
La théorie présente une équation dans laquelle le seuil de réponse optimal est fonction de la probabilité que la menace soit réellement présente dans l’environnement et du niveau individuel de vulnérabilité. Donc une personne avec un trouble anxieux aurait un seuil de réponse faible, pour plusieurs raisons, à la fois individuelles, comme tempérament, ou liées à l’environnement, comme le fait de vivre dans un milieu hostile.
Ch2: Selon une perspective évolutionniste, pourquoi les femmes vivent plus d’anxiété, tout particulièrement à partir de l’adolescence?
La différence entre les sexes dans l’anxiété pourrait être attribuables à un niveau de menace plus élevé dans la vie des femmes que des hommes. Aussi, elles sont plus vulnérables face à la menace, particulièrement lorsqu’elles portent un enfant. Il est intéressant de noter que les troubles anxieux apparaissent typiquement à l’adolescence au moment où la reproduction devient possible.
Ch2: Pourquoi certaines peurs se développent très rapidement sans expérience traumatisante, semblent souvent irrationnelles et sont particulièrement résistantes à l’extinction?
Les êtres humains sont biologiquement « préparés » à acquérir la peur de certains objets ou situations qui ont déjà le potentiel de mettre en péril la survie de notre espèce.
Ch2: Quelles sont les caractéristiques du module de peur selon Öhman et Mineka?
1) la peur est sélective(associé à des stimuli ayant déjà constitué une menace durant l’évolution)
2) La peur est automatique (elle survient en l’absence de stimuli)
3) La peur est « encapsulée »(résistante aux influences cognitives conscientes)
4) La peur fait appel à des circuits neuronaux spécifique façonnés par l’évolution.
Ch2: Comment l’anxiété sociale est-elle vue par les perspectives évolutionnistes?
Les perspectives évolutionnistes voient l’anxiété social comme une forme d’anxiété liée à la compétition, accentuée dans les situations sociales dans lesquelles les individus voudraient augmenter ou défendre leur statut social, c’est-à-dire, leur attrait ou leur réputation, aux yeux des autres.
Ch2: En quoi l’anxiété sociale a à la fois une fonction adaptative et non adaptative?
Dans un premier cas, elle permet d’être attentifs aux normes sociales et de se méfier des autres qui pourraient constituer une menace. Dans le second cas, elle interfère avec la compétition pour les ressources sociales et empêche de créer des alliances utiles. Elle peut aussi avoir un impact sur le succès reproducteur.
Ch2: En quoi l’anxiété sociale a à la fois une fonction adaptative et non adaptative?
Dans un premier cas, elle permet d’être attentifs aux normes sociales et de se méfier des autres qui pourraient constituer une menace. Dans le second cas, elle interfère avec la compétition pour les ressources sociales et empêche de créer des alliances utiles. Elle peut aussi avoir un impact sur le succès reproducteur.
Ch3: Chez nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, la fréquence de stresseurs absolus, présentant une menace pour leur vie, était probablement plus grande qu’aujourd’hui puisqu’ils vivaient dans un environnement plus adverse. La plupart des stresseurs auxquels nous faisons face aujourd’hui sont davantage psychologiques et ils exigent une interprétation individuelle des variables situationnelles qui devront être perçues comme étant stressantes afin de provoquer une réponse de stress. Quelles sont les quatre grandes composantes d’un stress psychologique ?
- La nouveauté
- L’imprévisibilité
- La menace de l’égo
- Faible sens de contrôle
Ch3: La théorie de la disparité évolutive suppose un fossé entre le contexte environnemental qui a favorisé l’émergence de certains traits et le contexte dans lequel ils s’actualisent aujourd’hui. Dans cette optique, une réponse de stress exagérée est vue comme mal adaptée et les individus ayant des phénotypes fortement réactifs seraient mésadaptés.
Donnez un élément suggérant que le SRS ne serait pas juste un système hérité de nos ancêtres et mal adapté au milieu dans lequel nous vivons aujourd’hui.
Il est vrai que des enfants présentant un haut niveau de stress souffraient d’un plus haut taux de maladies respiratoires que les enfants du même
milieu ayant une plus faible réactivité, mais que parallèlement ils ont constaté que les enfants plus réactif avec un niveau faible de stress
étaient par contre en meilleur santé. De ce fait, une forte réactivité était dans ce cas associée aussi bien à une condition de santé défavorable qu’à une condition de santé favorable.
Ch3: Comment une forte réactivité au stress peut-elle être maintenue par la sélection naturelle?
Par le biais de la variabilité génétique, il serait utile pour une population non agressive (type colombe) de maintenir une forte réactivité au stress, car cela leur permettrait d’être plus attentif au changement dans leur environnement pouvant amener plus de flexibilité dans leur choix de réponse comportementale en optimisant le rapport coût/bénéfice de ces rapports face à un environnement changeant
Faucon: attaque pour sa nourriture
Colombe: fuit si elle voit un adversaire
Colombe + Colombe = soit la première arrivé prend la nourriture ou elles se la partage (sans conflit)
Colombe + Faucon = le faucon gagne la nourriture sans conflit
Faucon + Faucon = combat 1 chance sur 2 de gagner ou de subir les dommage
Des stratégie évolutivement stables vont donc soutenir la variabilité du SRS.
Ch3: Qu’entend-t-on par enfants orchidées et enfants pissenlits?
Les enfants orchidées désignent ces enfants plus sensibles au contexte, dont la survie et le développement dépendent des soins que l’environnement leur apporte. Les enfants pissenlit décrivent les enfants qui s’adaptent et se développent, quelles que soient les circonstances environnementales, tout comme le pissenlit semble prospérer, quel que soit le type de sol, l’ensoleillement ou l’humidité de l’environnement.
Ch3: L’homme et la femme présentent des activations cortisolaires significativement plus élevées dans des contextes différents. Quels sont-ils?
L’homme présente des activations cortisolaires significativement plus élevées que les femmes dans des tâches axées sur la performances ( probablement en lien avec la peur de perdre son statut social). Les femmes montrent des activations cortisolaires significativement plus importantes quand il s’agit d’une tâche mettant en jeu le rejet social.
Ch3: Le système biologique du stress (SBS) serait un mécanisme d’adaptation conditionnelle, régulant le développement de stratégies alternatives d’histoires de vie. Vrai ou faux?
Vrai
Ch3: Le modèle de calibration adaptative (MCA) prédit l’existence de 4 profils types. Lequel correspond à une stratégie d’histoire de vie extrêmement rapide caractérisée par une faible empathie et coopération, de l’impulsivité, des prises de risques compétitifs et une plus grande probabilité de comportements antisociaux.
Le profil impassible
Ch4: En quoi consiste l’hypothèse de la navigation sociale et quelles en sont les limites comme modèle explicatif de la dépression post-partum?
L’hypothèse de la navigation sociale propose que par le biais de la rumination et de la motivation sociale, la dépression (ainsi que la dépression post-partum) sert à résoudre les problèmes de nature sociale. Cependant l’hypothèse ne parvient pas à rendre compte de certains aspects comportementaux de la dépression post partum tels que le désintérêt la diminution des soins à l’égard du nourrisson et des autres enfants de la fratrie. Aussi, les ruminations cognitives qui accompagnent la dépression post-partum sont le plus souvent caractérisée par un désintérêt de l’enfant, des pensées récurrentes de nature violente et une perte d’intérêt envers les autres enfants de la famille.
Ch4: Comment l’hypothèse de la négociation explique la perte d’intérêt de la mère pour son nourrisson?
La dépression post-partum serait donc une réaction face à un bris ou de la perception d’une inégalité dans un contrat social implicite avec le conjoint et l’entourage de la mère.
Ch4: Expliquez le modèle de la diathèse de Nettle et dites ce qui serait associé à des niveaux différents de névrotisme.
La dépression s’expliquerait par des prédispositions génétiques qui sont en interaction avec des facteurs de l’environnement. Les individus dépressifs seraient situés à l’extrémité d’une courbe de distribution normale de réactivité émotionnelle. Les variations du trait névrotique seraient à l’origine tant une vulnérabilité à certains facteurs de stress sociaux qu’à certains bénéfices liés à une plus grande réactivité émotionnelle.
Ch4: La théorie de la disparité évolutive appliquée à la dépression post-partum indique un lien entre l’absence ou la cessation de l’allaitement et les symptômes dépressifs. Donnez deux explications y étant reliées.
La concentration élevée de rétinoïdes dans le lait est associée à des troubles cognitifs et des troubles de l’humeur comme la dépression. La cessation précoce de la lactation qui résulterait de fait de ne pas allaiter stimulerait sur le plan hormonal, psychologique et physiologique la perte de l’enfant, ce qui déclencherait potentiellement une dépression post-partum.
Ch4: Partant du concept d’exaptation, l’auteur considère les symptômes dépressifs comme la défaillance d’une adaptation plus générale, celle des émotions. Expliquez.
La notion d’exaptation se définit comme un organe ou un caractère dont l’usage ou les manifestations actuelles sont dissociées des raisons pour lesquelles celui-ci à initialement été sélectionné. Donc le système limbique et les émotions générées par celui-ci auraient évolué pour remplir des fonctions relatives au renforcement positif avec la satisfaction et les comportements de retrait, par exemple avec la peur. Bien que ce système n’ait jamais été sélectionné sur la base de sa capacité à produire des symptômes dépressifs, le concept d’exaltation permet de comprendre que cela n’est pas nécessaire pour voir ce type de symptômes émerger aujourd’hui.
Ch5: Qu’est-ce que la stratégie de défaite involontaire (SDI) et quelle serait sa fonction?
Les états de dépression, d’anxiété et d’irritabilité constituent les composantes émotives des patrons de comportement nécessaires au maintien des hiérarchies de dominance dans les groupes sociaux. L’aspect involontaire correspond au déclenchement automatique provoqué par la défaite et l’aspect stratégique fait écho à la programmation génétique liée à la perception d’une défaite inévitable. Cette stratégie a pour fonction de réduire les blessures ou les décès en entraînant la soumission ou la fuite.
Ch5: Qu’est-ce qui amène la désactivation de la SDI?
L’acceptation de la défaite
Ch5: Comment peut-on expliquer qu’une défaite importante peut engendrer une première dépression clinique, tandis que des rechutes ultérieures peuvent être déclenchées par des pertes plus mineures?
Cela s’explique par le phénomène appeler amorçage ce terme signifie que, si la SDI a été amorcée dans le passé, une petite quantité de stimulation sera ensuite nécessaire pour produire la même force de réaction.
Ch5: Quelle est la principale limite de la théorie de la compétition sociale?
La théorie de la compétition sociale de la dépression ne prend pas en considération la dépression post-partum ou celle associée au deuil.
