Questions pratiques (8) Flashcards

1
Q

Quelle caractéristique principale distingue les théories contemporaines de la personnalité des théories plus classiques ?

A) Elles sont plus dogmatiques et strictes dans leur approche des concepts psychologiques.
B) Elles intègrent plusieurs traditions théoriques pour créer des modèles plus complets, opérationnalisés et applicables.
C) Elles se concentrent uniquement sur l’aspect biologique de la personnalité.
D) Elles rejettent l’influence des théories psychodynamiques et se concentrent exclusivement sur le comportement observable.

A

B) Elles intègrent plusieurs traditions théoriques pour créer des modèles plus complets, opérationnalisés et applicables.

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2
Q

En quoi le modèle de Kernberg, bien qu’inspiré de la tradition psychodynamique, se distingue-t-il des théories psychanalytiques classiques ?

A) Il est davantage axé sur des théories biologiques de la personnalité.
B) Il rejette complètement l’approche de Freud et ses théories de l’inconscient.
C) Il brise avec l’orthodoxie freudienne et s’ouvre sur des considérations plus pratiques et modernes.
D) Il ne prend en compte que les troubles mentaux sévères dans l’analyse de la personnalité.

A

C) Il brise avec l’orthodoxie freudienne et s’ouvre sur des considérations plus pratiques et modernes.

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3
Q

Selon Otto Kernberg, quel rôle jouent les objets internalisés dans la formation de la personnalité ?

A) Les objets internalisés sont des représentations précises et détaillées de l’environnement extérieur.
B) Ils servent de « blocs de base » à la formation de structures psychologiques plus complexes, telles que l’identité et la conscience.
C) Ils ne jouent aucun rôle dans la formation de la personnalité, mais sont liés uniquement à l’inconscient.
D) Ils sont responsables uniquement des comportements observables, sans rapport avec les structures internes de la personnalité.

A

B) Ils servent de « blocs de base » à la formation de structures psychologiques plus complexes, telles que l’identité et la conscience.

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4
Q

Qu’entend-on par “relation d’objet” selon la théorie de Kernberg ?

A) Une représentation uniquement cognitive d’un objet dans l’environnement, sans lien avec les émotions.
B) Un ensemble incluant une représentation mentale de soi-même, une représentation de l’objet, et l’affect qui unit ces deux représentations, formant ainsi un modèle inconscient de l’interaction avec autrui.
C) Une relation physique entre l’individu et un objet externe qui n’a aucune représentation mentale associée.
D) Un modèle de comportement explicite appris au contact de l’objet, sans lien avec la structure inconsciente de l’individu.

A

B) Un ensemble incluant une représentation mentale de soi-même, une représentation de l’objet, et l’affect qui unit ces deux représentations, formant ainsi un modèle inconscient de l’interaction avec autrui.

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5
Q

Selon Otto Kernberg, que révèle la répétition de certains comportements, tels que choisir toujours le même type de partenaire ou entrer systématiquement en conflit avec les figures d’autorité ?

A) Ce sont des actions volontaires et conscients qui dépendent entièrement des choix rationnels.
B) Cela reflète l’activation de « maquettes » ou modèles de base des relations d’objet, qui, bien qu’inconscients, persistent et se répètent dans divers contextes.
C) Cela prouve un manque d’intelligence émotionnelle et un échec à apprendre de ses expériences.
D) Cela indique des comportements pathologiques qui sont irrémédiables sans intervention médicale immédiate.

A

B) Cela reflète l’activation de « maquettes » ou modèles de base des relations d’objet, qui, bien qu’inconscients, persistent et se répètent dans divers contextes.

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6
Q

Quelles sont les caractéristiques des relations d’objet selon la théorie de Kernberg ?

A) Les relations d’objet se forment uniquement dans l’enfance et ne sont pas modifiables à l’âge adulte.
B) Les relations d’objet sont basées uniquement sur des événements conscients et peuvent être facilement modifiées en changeant de contexte.
C) Elles débutent dans l’enfance, sont internalisées à partir du monde extérieur, et deviennent des modèles répétitifs qui organisent les comportements et l’expérience de l’individu.
D) Les relations d’objet sont des schémas stricts et fixes qui ne changent jamais, peu importe les expériences de vie ou l’âge.

A

C) Elles débutent dans l’enfance, sont internalisées à partir du monde extérieur, et deviennent des modèles répétitifs qui organisent les comportements et l’expérience de l’individu.

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7
Q

Dans la théorie des relations d’objet, quel est le rôle de l’identité chez une personne saine ?

A) L’identité est instable et varie fortement d’un contexte à l’autre.
B) L’identité est bien intégrée, stable dans le temps, flexible et réaliste, permettant une compréhension subtile des autres et une expérience de soi cohérente.
C) L’identité est complètement définie par les expériences passées et ne change jamais au cours de la vie.
D) L’identité ne joue aucun rôle dans la compréhension des autres, mais se limite à la perception du soi.

A

B) L’identité est bien intégrée, stable dans le temps, flexible et réaliste, permettant une compréhension subtile des autres et une expérience de soi cohérente.

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8
Q

Quelles caractéristiques peuvent être observées chez une personne ayant une identité “diffuse” dans un contexte pathologique ?

A) Une expérience de soi cohérente et stable, peu influencée par les contextes.
B) Une polarisation du sens de soi et des autres, une instabilité dans la description du soi, ainsi qu’une fragmentation de l’expérience subjective et un manque de cohérence interne.
C) Une identité totalement rigide et immuable, sans possibilité de changement.
D) Une compréhension réaliste et détaillée des autres, mais une perception très floue de soi.

A

B) Une polarisation du sens de soi et des autres, une instabilité dans la description du soi, ainsi qu’une fragmentation de l’expérience subjective et un manque de cohérence interne.

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9
Q

Quelle caractéristique distingue les mécanismes de défense “matures” des mécanismes de défense “immatures” ?

A) Les mécanismes de défense matures sont rigides et ne permettent pas de s’adapter, tandis que les mécanismes immatures sont flexibles et réalistes.
B) Les mécanismes de défense matures sont flexibles, adaptatifs, et permettent de minimiser la détresse psychologique, tandis que les mécanismes immatures sont inflexibles, rigides, et détachent l’individu de la réalité.
C) Les mécanismes de défense matures sont utilisés uniquement par les individus pathologiques, tandis que les mécanismes immatures sont propres à la personnalité normale.
D) Les mécanismes de défense matures sont principalement basés sur des stratégies de fuite, tandis que les mécanismes immatures favorisent la confrontation directe avec la réalité.

A

B) Les mécanismes de défense matures sont flexibles, adaptatifs, et permettent de minimiser la détresse psychologique, tandis que les mécanismes immatures sont inflexibles, rigides, et détachent l’individu de la réalité.

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10
Q

Parmi les exemples suivants, lequel illustre un mécanisme de défense immature ?

A) Refoulement : suppression de pensées anxiogènes pour les rendre inconscientes.
B) Rationalisation : justifier des comportements inadaptés pour réduire l’anxiété.
C) Déni : refuser d’admettre la réalité d’une situation stressante.
D) Sublimation : canaliser des impulsions inacceptables dans des activités socialement acceptables.

A

C) Déni : refuser d’admettre la réalité d’une situation stressante.

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11
Q

Que caractérise une personnalité saine en ce qui concerne la qualité des relations d’objet ?

A) Une personnalité saine est principalement concernée par ses propres besoins et attentes dans les relations.
B) Une personnalité saine est capable d’établir des relations dans lesquelles les besoins des autres sont pris en compte indépendamment des siens, avec une capacité à maintenir des échanges mutuellement enrichissants.
C) Une personnalité saine entretient des relations uniquement centrées sur la satisfaction personnelle, sans se préoccuper des besoins des autres.
D) Une personnalité saine ignore généralement les besoins des autres et se concentre uniquement sur l’indépendance.

A

B) Une personnalité saine est capable d’établir des relations dans lesquelles les besoins des autres sont pris en compte indépendamment des siens, avec une capacité à maintenir des échanges mutuellement enrichissants.

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12
Q

Dans le contexte des relations d’objet, quelle capacité est essentielle à une personnalité normale ?

A) La capacité à entretenir des relations unilatérales où un seul des partenaires reçoit des bénéfices.
B) La capacité à maintenir des relations marquées par l’indépendance totale, sans nécessiter de soutien émotionnel mutuel.
C) La capacité à apprécier et se soucier des besoins de l’autre, tout en maintenant des relations équilibrées et réciproques.
D) La capacité à maintenir des relations superficielles basées sur des échanges matériels plutôt que sur une compréhension émotionnelle.

A

C) La capacité à apprécier et se soucier des besoins de l’autre, tout en maintenant des relations équilibrées et réciproques.

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13
Q

Quel caractéristique distingue le fonctionnement moral chez une personne saine par rapport à une personne antisociale ou narcissique ?

A) Une personne saine a une boussole morale stable, intégrée et flexible, tandis qu’une personne antisociale ou narcissique manque de cette boussole morale et n’éprouve pas de remords.
B) Une personne saine refuse de suivre ses valeurs personnelles, tandis qu’une personne antisociale ou narcissique suit des valeurs rigides et immuables.
C) Une personne saine est constamment influencée par des valeurs externes, tandis qu’une personne antisociale ou narcissique rejette toute forme de morale.
D) Une personne saine se concentre uniquement sur ses propres besoins, tandis qu’une personne antisociale ou narcissique accorde plus d’importance aux besoins des autres.

A

A) Une personne saine a une boussole morale stable, intégrée et flexible, tandis qu’une personne antisociale ou narcissique manque de cette boussole morale et n’éprouve pas de remords.

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14
Q

Le fonctionnement moral chez une personne saine se caractérise par :

A) Des valeurs rigides et imposées par la société, sans possibilité d’adaptation ou d’évolution.
B) L’absence totale de système de valeurs, sans idéaux personnels.
C) Un investissement constant, flexible et intégré envers des valeurs et idéaux personnels, pleinement internalisés.
D) Des valeurs qui changent rapidement en fonction des situations, sans cohérence ni stabilité.

A

C) Un investissement constant, flexible et intégré envers des valeurs et idéaux personnels, pleinement internalisés.

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15
Q

Selon Kernberg, quel est l’impact de l’épreuve de la réalité sociale chez les individus organisés au niveau borderline ?

A) Ils sont capables de lire parfaitement les signaux sociaux et de réagir avec tact dans des contextes relationnels.
B) Ils éprouvent des difficultés à lire les signaux sociaux, à comprendre les conventions sociales et à réagir adéquatement dans des interactions relationnelles.
C) Ils ont une perception claire et réaliste des conventions sociales, mais leur environnement social est peu réactif à leurs comportements.
D) Ils sont totalement déconnectés de la réalité manifeste, mais n’ont aucune difficulté à interagir socialement.

A

B) Ils éprouvent des difficultés à lire les signaux sociaux, à comprendre les conventions sociales et à réagir adéquatement dans des interactions relationnelles.

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16
Q

Comment l’épreuve de la réalité diffère-t-elle entre les individus sains, ceux organisés au niveau névrotique, et ceux au niveau psychotique ?

A) Les individus sains ont des distorsions importantes dans la perception de la réalité, tandis que les individus psychotiques perçoivent la réalité de manière claire et précise.
B) Les individus sains sont bien connectés à leur environnement et n’ont pas de difficultés sociales, tandis que les individus psychotiques présentent des distorsions perceptuelles de la réalité manifeste.
C) Les individus sains et névrotiques ont une capacité identique à interagir avec leur environnement social, mais les individus psychotiques ont une vision idéalisée de la réalité.
D) Les individus psychotiques ont des interactions sociales faciles, mais sont incapables de percevoir la réalité de manière objective.

A

B) Les individus sains sont bien connectés à leur environnement et n’ont pas de difficultés sociales, tandis que les individus psychotiques présentent des distorsions perceptuelles de la réalité manifeste.

17
Q

Quel facteur contribue à rendre la personnalité plus pathologique et proche d’un trouble de la personnalité, selon la description donnée ?

A) La capacité à adapter rapidement son comportement aux circonstances.
B) L’extrême flexibilité des traits de personnalité et leur capacité à s’adapter à différentes situations.
C) L’augmentation de la rigidité des traits de personnalité, rendant l’individu incapable de s’adapter, même lorsqu’il en a conscience.
D) L’incapacité de reconnaître ses traits de personnalité et leur impact sur ses relations avec les autres.

A

C) L’augmentation de la rigidité des traits de personnalité, rendant l’individu incapable de s’adapter, même lorsqu’il en a conscience.

18
Q

Lorsque la rigidité des traits de personnalité devient extrême et affecte gravement le fonctionnement quotidien d’un individu, cela peut entraîner :

A) Une meilleure capacité à se conformer aux attentes sociales et à interagir efficacement avec les autres.
B) Une souffrance significative et constante, affectant gravement la vie personnelle et sociale de l’individu, ce qui peut conduire à un trouble de la personnalité.
C) Un comportement parfaitement adapté à toutes les situations, sans cause de souffrance personnelle.
D) Une faible sensibilité aux besoins des autres et une forte tendance à ignorer les conventions sociales.

A

B) Une souffrance significative et constante, affectant gravement la vie personnelle et sociale de l’individu, ce qui peut conduire à un trouble de la personnalité.

19
Q

Quel élément caractérise le fonctionnement d’une personnalité organisée au niveau névrotique ?

A) Une identité fragmentée et instable, avec des relations superficielles et peu réciproques.
B) Une rigidité extrême dans les comportements et une incapacité de s’adapter aux situations, ce qui mène à des troubles de la personnalité.
C) Une identité consolidée et bien intégrée, des relations d’objet profondes et réciproques, mais une difficulté à agir conformément à des règles internes rigides.
D) Une incapacité à comprendre les règles morales, avec des comportements impulsifs et une épreuve de la réalité déformée.

A

C) Une identité consolidée et bien intégrée, des relations d’objet profondes et réciproques, mais une difficulté à agir conformément à des règles internes rigides.

20
Q

Quelle caractéristique décrit le mieux une personnalité borderline de haut niveau ?

A) Une identité bien définie et stable, avec des relations d’objet profondes et réciproques, et un fonctionnement moral cohérent.
B) Une identité diffuse et une tendance à cliver les relations, en alternant rapidement entre idéalisation et dévalorisation des autres, avec un fonctionnement moral inconsistant.
C) Une rigidité extrême des traits de personnalité, mais une épreuve de la réalité sociale intacte, sans aucune difficulté à s’adapter aux situations sociales.
D) Un fonctionnement moral rigide, une identité forte et intégrée, et une capacité à maintenir des relations d’objet stables et équilibrées.

A

B) Une identité diffuse et une tendance à cliver les relations, en alternant rapidement entre idéalisation et dévalorisation des autres, avec un fonctionnement moral inconsistant.

21
Q

Quelle caractéristique décrit le mieux une personnalité borderline de bas niveau ?

A) Une identité stable et bien définie, avec des relations d’objet réciproques et un fonctionnement moral cohérent.
B) Une identité extrêmement diffuse et pathologique, marquée par des changements rapides influencés par l’environnement, des relations principalement exploitantes, et des déficits moraux importants.
C) Une identité solide et peu influencée par l’environnement, avec une boussole morale très développée et une épreuve de la réalité intacte.
D) Des changements identitaires lents et progressifs, une capacité d’empathie profonde, et une stabilité émotionnelle dans les relations interpersonnelles.

A

B) Une identité extrêmement diffuse et pathologique, marquée par des changements rapides influencés par l’environnement, des relations principalement exploitantes, et des déficits moraux importants.

22
Q

Qu’est-ce qu’un « schéma »?

A) Un modèle purement cognitif qui représente la manière dont nous traitons les informations externes, sans lien avec les émotions ou les sensations corporelles.
B) Une mémoire constituée de sensations corporelles, d’émotions, de cognitions, de tendances à l’action et de souvenirs narratifs, qui influence notre comportement, nos pensées et nos émotions.
C) Un souvenir conscient et explicite de notre histoire personnelle, sans l’influence de l’inconscient ou des émotions.
D) Un ensemble de croyances rigides et figées qui n’évoluent pas au fil du temps.

A

B) Une mémoire constituée de sensations corporelles, d’émotions, de cognitions, de tendances à l’action et de souvenirs narratifs, qui influence notre comportement, nos pensées et nos émotions.

23
Q

Selon Jung, quels types de schémas sont particulièrement problématiques dans la construction de la personnalité ?

A) Les schémas positifs, agréables et adaptés, qui facilitent un fonctionnement optimal dans l’environnement.
B) Les schémas conscients, bien intégrés, qui permettent une interaction harmonieuse avec l’environnement social.
C) Les schémas inadaptés, particulièrement ceux établis tôt dans la vie, qui mènent à un dysfonctionnement et entravent l’adaptation à l’environnement.
D) Les schémas qui concernent uniquement les souvenirs narratifs et ne sont pas associés aux émotions ou aux sensations corporelles.

A

C) Les schémas inadaptés, particulièrement ceux établis tôt dans la vie, qui mènent à un dysfonctionnement et entravent l’adaptation à l’environnement.

24
Q

Les schémas précoces inadaptés (SPI) sont caractérisés par plusieurs éléments. Lequel des suivants est incorrect concernant les SPI ?

A) Ils sont toujours traumatiques et résultent exclusivement d’expériences très douloureuses.
B) Ils sont considérés comme vitaux pour la personne, souvent perçus comme essentiels à sa survie psychologique.
C) Ils reposent sur des perceptions infantiles et adolescentes, souvent imprégnées d’une logique infantile.
D) Les SPI sont de nature dimensionnelle, ce qui signifie qu’ils peuvent se manifester à des degrés différents selon les situations et les individus.

A

A) Ils sont toujours traumatiques et résultent exclusivement d’expériences très douloureuses.

25
Q

Quel est le facteur clé qui distingue un SPI grave d’un SPI moins grave ?

A) Le type d’expériences traumatiques vécues par la personne dans son enfance.
B) La capacité de la personne à reconnaître consciemment tous ses schémas et à les contrôler.
C) Le nombre de schémas précoces inadaptés présents et leur fréquence d’activation dans diverses situations.
D) La tendance à répéter les schémas uniquement dans des situations sociales très spécifiques et rares.

A

C) Le nombre de schémas précoces inadaptés présents et leur fréquence d’activation dans diverses situations.

26
Q

Parmi les expériences suivantes, laquelle n’est pas un type d’expérience menant à l’élaboration des schémas précoces inadaptés (SPI) ?

A) La frustration des besoins, où les besoins de l’enfant ne sont pas satisfaits de manière adéquate.
B) L’excès de satisfaction des besoins, où les besoins de l’enfant sont trop satisfaits, empêchant une adaptation réaliste à l’environnement.
C) L’identification sélective à des personnes significatives qui ne possèdent pas de SPI, en imitant des comportements adaptatifs.
D) La traumatisation, y compris les violences physiques et psychologiques, qui entraîne des schémas pathologiques.

A

C) L’identification sélective à des personnes significatives qui ne possèdent pas de SPI, en imitant des comportements adaptatifs.