Questions lectures 2 Flashcards

1
Q

Quelles sont les conclusions de l’étude sur la relation de l’enfant avec le père - activation ? (3)

A
  1. les garçons ont des scores d’activation significativement plus élevés que les filles.
  2. les enfants sous-activés ont des scores de DI significativement plus élevés que les enfants activés
  3. Plus les enfants sont activés positivement dans leur relation avec leur père, moins ils présentent de DI.
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2
Q

Comment définissent les auteurs la relation d’activation père-enfant? (3)

A
  1. lien affectif qui permet à l’enfant de s’ouvrir au monde extérieur - pôle exploration
  2. La relation d’activation permet au père de répondre spécifiquement au besoin de l’enfant d’être stimulé et de dépasser ses limites personnelles
  3. développement de sa confiance quant au risque social (relation) et physique (exploration) et quant à la nouveauté tout en respectant les limites établies par le père
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3
Q

Afin de mieux comprendre la relation d’activation père-enfant, quelles variables doivent être considérées?

A
  • le genre de l’enfant
  • l’inhibition du tempérament,
  • le taux d’anxiété,
  • pratiques parentales (nurturance and restrictiveness).
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4
Q

Qu’elle est ce processus pratiqué par les enfants : Le détournement de leurs pulsions sexuelles dans des activités autres

A

La sublimation

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5
Q

Que pourrait-il advenir de l’adulte dont la sensibilité à la zone orale a subsisté? (3)

A
  • un amateur de baisers, recherchera les baisers pervers
  • prédisposé à être buveur et fumer
  • il éprouvera le dégoût des aliments et sera sujet à des vomissements hystériques
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6
Q

Une pratique éducative populaire dans le passé pourrait mener au masochisme. De quoi s’agit-il?

A

Le châtiment corporel du fessier particulièrement peut mener à la tendance passive de la cruauté.

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7
Q

En quoi la prise de risques est-elle dévalorisée socialement?

A

il y a une tendance surprotectrice dans les sociétés occidentales :
réglementation abusive pour éviter tout accident (tolérance zéro) - reliée sans doute en partie au fait que les familles ont aujourd’hui moins d’enfants

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8
Q

Quels sont les impacts de la dévalorisation sociale de la prise de risque ? (3)

A
  • plus de blessures accidentelles = principales causes des hospitalisations chez les enfants
  • la recherche de sensations fortes chez les jeunes
  • manque : développer leur capacité de développer la réflexion autour du risque acceptable
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9
Q

Que dit Michael Lamb sur l’attachement père-enfant à travers les jeux physiques?

A

il propose l’idée que les jeux physique père-enfant contribuent au développement de l’attachement à son père surtout lorsque les jeux implique de la chaleur et du contrôle

(ça l’aide aussi surtout quand les pères s’impliquent peu dans les autres dimensions)

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10
Q

Les enfants bistratégiques seraient de quel sous-type d’activation?

A

ACTIVÉ (45% - confiant et prudent dans son exploration et obéit au parent lorsqu’il met des limites)

utilisation de l’agressivité des fois de manière modérée et dans des contextes très précis, mais d’autre part, ces enfant vont être compétents avec les autres enfants

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11
Q

La période de latence serait due à l’abandon…

A

Du complexe d’OEdipe

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12
Q

Complétez la phrase suivante : « C’est dire que la latence, moment où « le moi prend possession de son domaine » selon la formule de Winnicott (1958), s’accompagne d’une efflorescence des processus de pensée à commencer dans l’ordre des apprentissages scolaires et du développement des connaissances qui constituent, quand ils aboutissent à la réussite… »

A

, un support narcissique considérable rééquilibrant la blessure oedipienne

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13
Q

À quoi sert une autorité mesurée?

A

Elle constitue une sauvegarde pour le narcissisme de l’enfant, qui, plutôt que de se sentir impuissant ou incapable d’atteindre la perfection. Elle se confronte à des interdits protecteurs limitant et contenant sa violence.

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14
Q

À quelle période l’enfant voudrait-il savoir tout ce que font ses parents dans leur intimité de couple?

A

Phase oedipienne - développerait alors des fantasmes liées à leur sexualité, c’est-à-dire, des fantasmes de la scène originaire

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15
Q

Quels sont les 3 éléments qui permettraient à l’enfant dans la période de latence de voir la relation de ses parents de manière plus objective en reconnaissant notamment la relation exclusive, génitale et procréatrice du couple parental?

A
  • La désexualisation des relations avec ses parents en post-Œdipe
  • l’organisation de son appareil psychique (Ça, Moi, Surmoi)
  • l’instauration du principe de réalité
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16
Q

Vrai ou Faux? L’enfant en période de latence a une certaine réticence à percevoir/concevoir ses parents comme ayant une vie sexuelle propre et active.

A

VRAI

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17
Q

Vrai ou Faux? La plupart des enfants ayant des CSP auraient des troubles de comportements extériorisés mais pas des troubles de comportements intériorisés.

A

FAUX : en ce qui concerne les troubles de comportements intériorisés, la majorité des études rapporte qu’il y a un lien entre leur présence et l’existence de CSP ou d’une fréquence des comportements sexuels plus élevée que chez ceux qui ne présentent pas de troubles de comportements intériorisés.

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18
Q

Le CSP serait en lien avec plusieurs variables familiales. Quel énoncé parmi les suivants est faux?

A. L’enfant dormirait souvent avec ses parents dans le lit conjugal
B. Le milieu familial serait plus sexualisé
C. La famille serait peu cohésive
D. Un parent ayant un historique de victimisation sexuelle

A

a. L’enfant dormirait souvent avec ses parents dans le lit conjugal

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19
Q

Quel serait le principal agent de changement chez les enfants qui ont un CSP?

A

La participation des parents

  1. Agent de changement du milieu de vie
  2. Agent de soutien et de facilitation d’application des stratégies
20
Q

Vrai ou Faux? Une histoire de victimisation sexuelle chez l’enfant est un facteur très souvent associé aux comportements sexuels problématiques.

A

VRAI

21
Q

Combien d’enfants en moyenne auraient des comportements sexuels problématiques?

a. 10%
b. 20%
c. 25%
d. 30%
e. 40%

A

b. 20%

22
Q

Quels facteurs familiaux sont reliés aux comportements sexuels problématiques chez les enfants?

A
  1. détresse psychologique d’un parent
  2. environnement familial inadéquat
  3. relation parent/enfant détériorée
23
Q

L’enfant apprendrait les rôles sexuels en regardant les autres. De quelle théorie s’agit-il?

A

La théorie de l’apprentissage social

24
Q

Que permettent les schémas de genre?

A

Ces schémas permettent ainsi à l’enfant de structurer le monde environnant, de réguler les conduites et de procurer une base pour faire des inférences et des interprétations.

25
Q

Pour les enfants d’âge préscolaire, qu’est-ce qui explique l’origine des différences entre les garçons et les filles?

A

Pour les enfants d’âge préscolaire, ce sont les causes biologiques qui sont à l’origine des différences entre les filles et les garçons (les différences corporelles, le sexe anatomique, etc.).

26
Q

Dans quel milieu l’enfant fait-il en premier l’expérimentation des différences entre les sexes?

a. les amis
b. l’école
c. la famille
d. milieu de garde

A

C. la famille

27
Q

Vrai ou Faux. Les pères s’impliqueraient davantage dans l’éducation de leurs garçons.

A

VRAI

Les pères touchent plus leurs garçons, vocalisent plus, et répondent davantage à leurs vocalisations, stimulants davantage (3 sem à 3 mois), s’implique plus dans le quotidien quand ils sont pères de garçons

28
Q

La socialisation différenciée apporterait plusieurs avantages au développement de l’enfant. Nommez-en 1.

A

Ils auraient davantage de connaissance liées au genre sur eux-mêmes que les autres que les enfants dont les parents ont des schémas de genre moins traditionnels. Ce plus haut niveau de connaissances liées au genre facilitera les interactions du jeune enfant avec ses pairs et son intégration au sein du groupe de pairs

29
Q

Vrai ou Faux. Les enfants utilisent leurs pairs de sexe masculin et leurs pairs de sexe féminin pour s’identifier en partie ou en totalité.

A

VRAI

30
Q

Vrai ou Faux. Les garçons seraient aussi flexibles que les filles quant à leur identification aux enfants de même sexe et aux enfants de l’autre sexe.

A

FAUX : - flexible que les filles

31
Q

Quelles sont les conséquences pour l’enfant qui s’identifie exclusivement aux enfants de même sexe que lui? (5

A
  1. inclusion plus faible dans les groupes de l’autre sexe
  2. moins d’amitiés (mais + du même genre)
  3. voit + négativement l’autre genre
  4. se sentent plus incluent par les jeunes de même sexe
  5. plus grande estime de soi
32
Q

Vrai ou Faux ? L’étude a démontré que les garçons veulent avoir un corps « fit » (en forme) alors que les filles préconisent d’avoir un corps mince.

A

VRAI

33
Q

Qu’est-ce qui influence davantage les idéaux corporels des garçons?

A. La culture du sport
B. Les médias
C. La pression des autres garçons
D. Vouloir plaire aux filles

A

A. La culture du sport

c’est cette culture sportive qui a façonné leurs idéaux corporels se rapportant à la condition physique et la musculature.

34
Q

Au milieu de l’enfance, des différences individuelles quant à l’identité de genre sont repérables de manière stable. Identifiez-en 3.

A
  1. une typicité de genre ressentie
  2. un contentement de genre
  3. une pression ressentie pour la différenciation des genres
35
Q

Comment résumeriez-vous les résultats de l’étude concernant le lien entre l’attachement et le sentiment de correspondre au genre typique de notre sexe?

A

Il y a un lien NÉGATIF entre l’attachement préoccupé et la typicité du genre chez tous les enfants et un lien NÉGATIF en l’attachement évitant et la typicité du genre chez les enfants BLANCS. En effet, un attachement insécure entraverait la typicité du consentement ressenti chez les enfants.

36
Q

Comment résumeriez-vous les résultats de l’étude concernant le lien entre l’attachement et la satisfaction concernant sa catégorie de genre?

A

Il y a un lien NÉGATIF entre l’attachement préoccupé et la satisfaction de genre chez tous les enfants et un lien NÉGATIF en l’attachement évitant et la satisfaction de genre chez les enfants BLANCS. En effet, un attachement insécure entraverait la typicité du consentement ressenti chez les enfants.

37
Q

Qu’est-ce que le dessin d’enfant

A

Le dessin d’enfant est un message. Langage spontané, c’est un acte libre. Il parle, raconte et explique tout ce que l’enfant ne peut pas formuler verbalement. Son langage et son étude procurent des renseignements précieux aux parents, aux éducateurs et à tous ceux qui désirent comprendre l’enfant, être plus près de lui pour mieux le guide

38
Q

Comment devrait-on accueillir le dessin de l’enfant?

A

On doit bien l’accueillir, avec de l’intérêt parce qu’un regard négligent ou le désintérêt peuvent le blesser profondément

39
Q

Les couleurs dans le dessin de l’enfant ont-elles une signification? Expliquez votre réponse.

A

oui, des significations psychologiques. L’enfant utilise les couleurs pour communiquer ses besoins dans ses dessins, au même titre qu’il dessine pour exprimer son inconscient.

En effet, certaines couleurs nous attirent ou suscitent chez nous la répulsion. Chaque couleur a un contenu affectif et émotionnel, les couleurs font réagir notre système nerveux.

40
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : jeux essentiellement sensori-moteurs et stéréotypé

A
  • État autistique : production mentale vraiment rudimentaire, sinon inexistante
41
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : jeu de bataille avec une récompense

A
  • enfant œdipien : manifeste dans son jeu son projet de conquête du parent
42
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : mise en scène d’un/des personnage‧s qu’il attaque immédiatement

A
  • période anaclitique de bas niveau

comme une manière d’exprimer sa colère à l’endroit de la figure maternelle, celle qui a été ou est tenu responsable du manque de soins et d’affection dont il a souffert

43
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : cherche a changer le jeu en joute avec le thérapeute

A
  • zone anaclitique de haut niveau (phallique)

manière à trouver l’occasion de renflouer son estime de lui-même mal assurée, sa considération pour lui-même fort défaillante.

44
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : jeu abondant en péripéties, mais qui ont ni queue, ni tête, sans logique

A
  • Confusionnel (schizophrénie)

au gré des suggestions sensorielles fournies par l’environnement ou provenant de l’intérieur (autosensuelles)

45
Q

Dites le niveau de développement et le sens du jeu : mise en place d’un jeu qui trahira la quête d’une relation exclusive avec la figure maternelle

A
  • zone anaclitique médiane

le désir d’être celui qui est le plus aimé de sa part et le désir d’écarter ou de voir disparaître les rivaux
(reconnaissance du parent, amour)

46
Q

Que signifie la phrase suivante : « Le symptôme, un messager qu’il faut respecter »

A

Le symptôme est le messager d’un cris protestataire ou d’un appel à l’aide qui est souvent reliés à un désir inavouable. Il faut donc respecter le symptôme afin de pouvoir le décortiquer, l’interpréter et comprendre le message qu’il porte pour aider réellement l’enfant.

47
Q

Certains parents s’inquiètent du fait que l’intervenant de leur enfant n’ait pas lui-même d’enfant. Quelle est la position de l’auteur là-dessus?

A

Même s’il reconnaît l’avantage d’avoir des enfants, il considère que d’autres capacités du thérapeute sont plus importante comme la capacité à repérer où l’enfant se trouve dans son développement