Questionnaire module 5 Flashcards
Vrai ou faux.
Des projets visant la sécurité alimentaire constituent un moyen efficace de réduire l’intensité de la pauvreté en permettant aux personnes démunies d’élargir les choix alimentaires à leur portée tout en conservant leur dignité.
Vrai
Vrai ou faux.
Les projets concernant le transport n’ont pas d’impacts dans la lutte contre la pauvreté.
Faux
Vrai ou faux.
L’empowerment n’est pas un état, mais bien un processus qui permet d’acquérir un meilleur pouvoir d’agir sur soi-même et sur son environnement.
Vrai
Vrai ou faux.
Le programme des Centres de formation en entreprise et récupération (CFER) répond bien aux principes d’intervention en milieux défavorisés puisqu’il est basé sur un partenariat avec la communauté; en effet, ce programme est fondé sur la collaboration avec des entreprises contribuant au développement durable (par exemple, des entreprises de récupération).
Vrai
Vrai ou faux.
Il n’existe aucun lien entre l’empowerment et l’enrichissement de l’expérience parentale.
Faux
Vrai ou faux.
Les recherches ont démontré que la durée de l’intervention au préscolaire n’avait aucun impact sur le développement des enfants et de la maturité scolaire.
Faux
Vrai ou faux.
Un bon moyen de favoriser la réussite scolaire est de préparer les jeunes enfants à l’apprentissage scolaire (ex: favoriser l’implantation de programmes de prévention favorisant l’éveil à la lecture et à l’écriture auprès des familles vivant en milieux défavorisés).
Vrai
Vrai ou faux.
Dans le cadre de l’intervention auprès des élèves du préscolaire, il n’est pas nécessaire d’ajuster ou d’adapter les actions en tenant compte du contexte dans lequel elles s’actualisent.
Faux
Vrai ou faux.
Pour favoriser la réussite de tous en milieux défavorisés, les pratiques adoptées en classe et dans l’école doivent reposer sur certains fondements, notamment croire en l’éducabilité de tous et croire en notre capacité d’agir sur l’apprentissage.
Vrai
Qui suis-je?
Cette intervention permet d’aider l’élève dans le développement de son identité et de mettre en évidence les liens entre les apprentissages disciplinaires et les réalités du monde du travail.
A. Le programme CFER
B. L’approche orientante
C. Le programme Une école montréalaise pour tous
D. La stratégie d’intervention Agir autrement
B. L’approche orientante
Complétez. ______________ Se définit par la capacité de l’individu à faire face à une difficulté ou à un stress important, de façon non seulement efficace, mais aussi susceptible d’engendrer une meilleure capacité de réagir plus tard à une difficulté.
A. Capital social
B. Prévention
C. Autonomisation
D. Résilience
E. Intervention précoce
D. Résilience
Complétez. La notion ______________ fait référence à la possibilité pour les personnes de mieux contrôler leur vie et d’être des agentes et agents de changement de leur propre développement. Elle nécessite une analyse systématique du milieu et la prise en considération des personnes désirant agir leur pouvoir. Cette approche orientera la conception des activités définies dans les différents plans d’action des écoles participantes.
A. de résilience
B. d’intervention précoce
C. de capital social
D. d’autonomisation
E. de prévention
D. d’autonomisation
À quel niveau de prévention le programme suivant se situe-t-il ?
Ce programme de nutrition prénatale aide les femmes enceintes (celles qui sont à risque étant donné leur faible revenu, leur mode de vie, etc.) à bien se nourrir et à surveiller leur santé et leur poids. Les enfants qui naissent avec un déficit pondéral risquent de rencontrer de nombreuses difficultés de développement, ce qui les rend encore plus vulnérables face à la négligence et à la violence. Un tel programme est un bon exemple de :
A. Prévention primaire
B. Prévention secondaire
C. Prévention tertiaire
B. Prévention secondaire
À quel niveau de prévention le programme suivant se situe-t-il ?
Le but du programme Vers le pacifique est de prévenir la violence par la promotion des conduites pacifiques. Ce programme s’adresse tant aux petits de 4 ans et 5 ans, qu’aux enfants de niveau primaire et aux élèves du secondaire. Les objectifs et les activités sont proposés spécifiquement en fonction du niveau des enfants et des jeunes. Ce programme permet de prendre une part active dans la résolution des situations conflictuelles. Ce type de programme est un bon exemple de :
A. Prévention primaire B. Prévention secondaire C. Prévention tertiaire
A. Prévention primaire
À quel niveau de prévention le programme suivant se situe-t-il ?
Les programmes de formation parentale ont pour but d’aider les familles des enfants qui sont en danger d’être maltraités ou négligés ; on constate des déficiences dans la manière dont les parents s’occupent des enfants. L’une des méthodes les plus couramment utilisées pour corriger la situation consiste à offrir aux parents des programmes de formation et de soutien. Par exemple, les mères et leurs enfants participent en groupe à un programme de jour… Travailleurs sociaux et auxiliaires familiales font équipe. L’intervention prend un caractère très concret. Le personnel fait la démonstration des tâches quotidiennes à remplir et des soins à donner à l’enfant. On prépare un repas, on le sert, et on fait une sortie. Pendant que les enfants font la sieste, les mères participent à un groupe d’entraide, animé par un travailleur social. La discussion porte sur les questions que soulèvent les parents : méthodes d’éducation, affirmation de soi, relations humaines. On discute ouvertement de sexualité et d’éducation afin de prévenir les situations d’abus sexuel… Tous les mois, on établit des objectifs individuels avec chaque parent; ces objectifs portant aussi bien sur la vie personnelle que sur l’éducation des enfants ».
A. Prévention primaire B. Prévention secondaire C. Prévention tertiaire
C. Prévention tertiaire