Questionnaire module 3 Flashcards
Vrai ou faux.
L’analphabétisme comporte des coûts pour les personnes peu alphabétisées, mais n’entraîne pas de coûts économiques et sociaux pour l’ensemble de la société.
Faux
Vrai ou faux.
Au Québec, les adultes analphabètes peuvent s’alphabétiser dans plusieurs endroits, notamment par le biais des groupes populaires d’alphabétisation et par le réseau des commissions scolaires.
Vrai
Vrai ou faux.
Les analphabètes complets sont incapables de lire la plupart des documents écrits courants, ils ne reconnaissent que les éléments de base, soit leur permis de conduire ou l’étiquette d’un mode d’emploi. Ce groupe comprend aussi les gens souffrant d’incapacités intellectuelles.
Vrai
Vrai ou faux.
La pauvreté est à la fois une cause et une conséquence de l’analphabétisme.
Vrai
Vrai ou faux.
Il est impossible d’établir des liens entre l’analphabétisme, le chômage, les accidents du travail et les problèmes de santé.
Faux
Vrai ou faux.
Entre 2012 et 2020, la proportion de Québécois qui peinent on de la difficulté à comprendre un texte complexe serait passée de 53,2 % à 47,8 % en partie en raison du remplacement des générations plus âgées par une cohorte de jeunes plus scolarisés.
Vrai
Vrai ou faux.
L’intervention auprès des familles est un bon moyen de prévenir l’analphabétisme. Organiser des activités d’éveil à la lecture, assurer l’accès à des services spécialisés et renforcer les liens famille-école-communauté sont des actions qui permettent d’agir en prévention.
Vrai
Vrai ou faux.
Il n’y a aucun lien entre l’analphabétisme et les difficultés scolaires vécues au primaire.
Faux
Vrai ou faux.
Les compétences en littératie et en numératie sont plus élevées chez le groupe des 16 à 24 ans que chez les autres groupes. Cela s’explique par le fait que ces derniers sont toujours à l’école ou viennent tout juste de terminer leur scolarisation.
Faux
Vrai ou faux.
L’omniprésence des technologies et du numérique n’a pas d’effet sur le besoin de littératie ou de numératie des personnes sur le marché du travail
Faux
Comment peut-on reconnaître une personne analphabète?
A. Elle trouve souvent des prétextes pour lire les documents à la maison.
B. Elle préfère mémoriser des renseignements plutôt que de les noter.
C. Elle éprouve de la difficulté quant à la perception du temps et de l’espace.
D. Elle exprime difficilement des idées simples ou des concepts abstraits.
E. Tous les éléments qui précèdent sont des indices révélateurs d’analphabétisme.
E. Tous les éléments qui précèdent sont des indices révélateurs d’analphabétisme.
Il existe différentes interventions en alphabétisation; l’atelier Autobiographie permet aux jeunes analphabètes de :
A. Briser leur isolement.
B. Prendre conscience qu’ils ont des connaissances, entre autres, de l’écrit.
C. Porter un regard critique sur leurs capacités à développer leur autonomie.
D. Se transformer.
E. Tous ces éléments décrivent bien les bienfaits de l’atelier autobiographique.
E. Tous ces éléments décrivent bien les bienfaits de l’atelier autobiographique.
Voici une série de constats concernant l’alphabétisation au Québec.
Trouvez l’intrus:
A. Au début du XXe siècle, le taux d’analphabétisme est très bas au Québec.
B. Le développement de l’alphabétisation a démarré avec la Révolution tranquille.
C. Dans les années 1979, l’alphabétisation s’est surtout développée au sein d’un réseau d’organismes populaires.
D. Au début des années 1980, le milieu scolaire commence à s’intéresser à l’alphabétisation en tant que telle.
A. Au début du XXe siècle, le taux d’analphabétisme est très bas au Québec.
Dans l’enquête du PEICA, le domaine de la littératie compte 6 niveaux. À quel niveau cette personne se situe-t-elle?
Madame X est en mesure de faire le lien entre le texte et l’information dans un texte comportant au moins deux informations. Elle peut faire des inférences de faible niveau, mais elle ne parvient pas à séparer des informations hors sujet de celles qui sont correctes.
A. Inférieur au niveau 1
B. Niveau 1
C. Niveau 2
D. Niveau 3
E. Niveau 4
F. Niveau 5
C. Niveau 2
Dans l’enquête du PEICA, le domaine de la numératie compte 6 niveaux. À quel niveau cette personne se situe-t-elle?
Monsieur Y est en mesure d’effectuer des opérations mathématiques simples qui ne comprennent qu’une seule étape comme compter ou classer ou reconnaître des représentations graphiques simples. Il peut effectuer des opérations mathématiques (ex. 15 x 10 = ), mais est incapable de repérer une erreur dans un tableau de données ou un graphique.
A. Inférieur au niveau 1
B. Niveau 1
C. Niveau 2
D. Niveau 3
E. Niveau 4
F. Niveau 5
B. Niveau 1