QCM général Flashcards

1
Q
  1. Qu’est-ce que l’observation empirique ?
A

• observation ou expérience forfuite (par hasard) à l’origine de toute démarche scientifique.

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2
Q
  1. Qu’est-ce que l’expérimentation ?
    • méthode ________ par excellence, permet d’analyser les conduites des individus dans une situation totalement ________, ________ et ________.
    • intervention ________ de l’expérimentateur, ________ systématique des conditions expérimentales autorisant des conclusions en termes de causalité.
A
  • méthode SCIENTIFIQUE par excellence, permet d’analyser les conduites des individus dans une situation totalement PROVOQUEE, CONTROLEE et MANIPULEE.
  • intervention MAXIMALE de l’expérimentateur, MANIPULATION systématique des conditions expérimentales autorisant des conclusions en termes de causalité.
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3
Q
  1. Qu’est-ce que l’enquête ?
    • méthode se situant entre l’________ et l’________, méthode interrogative. L’enquêteur provoque la situation, il y a verbalisation.
    • situation paradoxe : l’enquêteur tente d’obtenir des réponses ________ (comme dans l’observation) en répondant à un ________ ________ (comme dans l’expérimentation).
A
  • méthode se situant entre l’OBSERVATION et l’EXPERIMENTATION, méthode interrogative. L’enquêteur provoque la situation, il y a verbalisation.
  • situation paradoxe : l’enquêteur tente d’obtenir des réponses SPONTANEE (comme dans l’observation) en répondant à un QUESTIONNAIRE PLANIFIE (comme dans l’expérimentation).
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4
Q
  1. Qu’est-ce que l’observation directe ?
    • être témoin des ________ ________ d’individus ou de groupes dans les ________ ________ de leurs activités ou de leurs résidences sans en modifier le ________ ordinaire.
    • objectif : ________ et ________ de toutes les composantes de la vie sociale s’offrant à la perception de l’observateur.
A
  • être témoin des COMPORTEMENTS SOCIAUX d’individus ou de groupes dans les LIEUX MEMES de leurs activités ou de leurs résidences sans en modifier le DEROULEMENT ordinaire.
  • objectif : RECUEIL et ENREGISTREMENT de toutes les composantes de la vie sociale s’offrant à la perception de l’observateur.
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5
Q
  1. Quelles sont les 4 tâches de l’observateur en situation ?
A
  • être sur place parmi les personnes observées et s’adapter à ce milieu.
  • observer le déroulement ordinaire des événements.
  • enregistrer ceux-ci en prenant des notes ou par tout autre moyen.
  • interpréter ce qu’il a observé et rédiger un compte rendu.
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6
Q
  1. Quelles sont les deux options parmi lesquelles le chercheur doit choisir pour l’observation ?
    • l’observation ______ _______.
    • observation _________.
A
  • l’observation A DECOUVERT;

* observation INCOGNITO.

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7
Q
  1. Qu’est-ce que l’observation participante ?
    a) développée dans les études des sociétés dites primitives : le chercheur s’immerge au sein de la population étudiée
    b) choix de la suppression de la distance acteur / observateur
    c) risque : le chercheur peut devenir trop semblable à ce qu’il veut étudier, perdre avec la distance la capacité d’étonnement
    d) le chercheur reste distant par rapport à ce qu’il observe
A

a) développée dans les études des sociétés dites primitives : le chercheur s’immerge au sein de la population étudiée
b) choix de la suppression de la distance acteur / observateur
c) risque : le chercheur peut devenir trop semblable à ce qu’il veut étudier, perdre avec la distance la capacité d’étonnement

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8
Q
  1. Quelles sont les 4 formes d’observation participante ?
    • 1. Le participant observe 2. L’observateur participe 3. Participation totale 4. Simple observateur
    a) _____ _____ : les activités de l’observateur en tant que telles sont totalement cachées. Le chercheur de terrain est ou devient un membre à part entière d’un groupe constitué, partageant ainsi des informations secrètes ignorées des personnes extérieures.
    b) _____ _____ _____ : les activités d’observation du chercheur ne sont pas complètement dissimulées, mais cachées ou soumises à ses activités de participant. Ce rôle peut limiter l’accès à certaines informations et en particulier à celles tenues pour secrètes. Il aura du mal à établir une communication dépassant ce qui se dit publiquement. Dans son compte rendu final, le chercheur qui a occupé cette position est tenu de respecter le caractère secret ou confidentiel des informations recueillies en accord avec les personnes.
    c) _____ _____ : les activités de l’observateur sont rendues intentionnellement publiques dès le début et plus ou moins encouragées publiquement par les personnes étudiées. Il peut ainsi avoir accès à une grande diversité d’informations et même à des secrets si l’on sait qu’il les garde et qu’il en respecte le caractère confidentiel. Il pourrait en principe bénéficier du maximum de liberté pour recueillir l’information, mais seulement aux prix d’une contrainte maximale sur le contenu de son compte rendu. Il est tenu de respecter la liberté qui lui a été donnée et de s’en tenir au contrat de confidentialité qu’il a passé.
    d) _____ _____ : implique une large gamme de rôles dans lesquels, à une extrémité, l’observateur se cache derrière un miroir sans tain, éventuellement équipé d’une camera sonore et, à l’autre, ses activités, sont connues d’un groupe “hypothétique” dans lequel par “consensus” il n’y a “ni secrets”, “ni quoi que ce soit de sacré”. On ne trouve pas spontanément de tels groupes dans la société, mais on s’approche de cette forme et de ce fonctionnement dans les groupes expérimentaux où l’observateur a un rôle formel comme dans les situations créées dans les laboratoires de dynamique de groupe.
A
  1. Quelles sont les 4 formes d’observation participante ?
    • 1. Le participant observe 2. L’observateur participe 3. Participation totale 4. Simple observateur
    a) PARTICIPATION TOTALE : les activités de l’observateur en tant que telles sont totalement cachées. Le chercheur de terrain est ou devient un membre à part entière d’un groupe constitué, partageant ainsi des informations secrètes ignorées des personnes extérieures.
    b) LE PARTICIPANT OBSERVE : les activités d’observation du chercheur ne sont pas complètement dissimulées, mais cachées ou soumises à ses activités de participant. Ce rôle peut limiter l’accès à certaines informations et en particulier à celles tenues pour secrètes. Il aura du mal à établir une communication dépassant ce qui se dit publiquement. Dans son compte rendu final, le chercheur qui a occupé cette position est tenu de respecter le caractère secret ou confidentiel des informations recueillies en accord avec les personnes.
    c) L’OBSERVATEUR PARTICIPE : les activités de l’observateur sont rendues intentionnellement publiques dès le début et plus ou moins encouragées publiquement par les personnes étudiées. Il peut ainsi avoir accès à une grande diversité d’informations et même à des secrets si l’on sait qu’il les garde et qu’il en respecte le caractère confidentiel. Il pourrait en principe bénéficier du maximum de liberté pour recueillir l’information, mais seulement aux prix d’une contrainte maximale sur le contenu de son compte rendu. Il est tenu de respecter la liberté qui lui a été donnée et de s’en tenir au contrat de confidentialité qu’il a passé.
    d) SIMPLE OBSERVATEUR : implique une large gamme de rôles dans lesquels, à une extrémité, l’observateur se cache derrière un miroir sans tain, éventuellement équipé d’une camera sonore et, à l’autre, ses activités, sont connues d’un groupe “hypothétique” dans lequel par “consensus” il n’y a “ni secrets”, “ni quoi que ce soit de sacré”. On ne trouve pas spontanément de tels groupes dans la société, mais on s’approche de cette forme et de ce fonctionnement dans les groupes expérimentaux où l’observateur a un rôle formel comme dans les situations créées dans les laboratoires de dynamique de groupe.
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9
Q
  1. Quelles sont les trois étapes de l’observation directe ?
    a) ______ ______ ______ : observation d’un phénomène identique à celui que l’on veut étudier. Pas d’orientation précise, le but est de révéler le plus d’information possible liée aux phénomènes / comportements étudiés.
    b) ______ ______ ______ : de manière empirique, doivent correspondre aux comportements constituant le phénomène observé :
    * elles sont ______ (définies par rapport à un même critère)
    * ______ (permettant de classer chacun des comportements observés)
    * ______ (ne se chevauchant pas)
    * ______ (correspondant aux objectifs de la recherche)
    * ______ (définition opératoire précise)
    c) ______ ______ ______ : plusieurs observateurs utilisent la grille pour le même phénomène et comparent leurs résultats
A

a) OBSERVATION PREALABLE LIBRE : observation d’un phénomène identique à celui que l’on veut étudier. Pas d’orientation précise, le but est de révéler le plus d’information possible liée aux phénomènes / comportements étudiés.
b) ELABORATION DES CATEGORIES : de manière empirique, doivent correspondre aux comportements constituant le phénomène observé :
* elles sont HOMOGENES (définies par rapport à un même critère)
* EXHAUSTIVES (permettant de classer chacun des comportements observés)
* EXCLUSIVES (ne se chevauchant pas)
* PERTINENTES (correspondant aux objectifs de la recherche)
* OBJECTIVES (définition opératoire précise)
c) TESTER LES CATEGORIES : plusieurs observateurs utilisent la grille pour le même phénomène et comparent leurs résultats

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10
Q
  1. Qu’est-ce que la grille de Bales ?
    a) _________________________
    b) ___________________________
    c) observateur : note la ________ (affective, centrée sur le travail), la ________ (positive, négative) et la ________ (centrée sur soi, autrui …) de l’intervention
    d) classification des interventions parmi 12 catégories : 6 concernent les interventions centrées sur le ________ ________ ________, 6 autres sur les ________ interpersonnelles, socio-affectives. Dans chacun des 2 domaines, 3 catégories permettent de décrire des aspects ________ de l’intervention et 3 autres des aspects ________.
A

a) outil d’analyse quantitative des relations interindividuelles et de la dynamique de groupe permettant de réaliser une typologie des interactions verbales
b) Outil d’analyse qualitative des relations interindividuelles et de la dynamique de groupe permettant de réaliser une typologie des interactions verbales
c) observateur : note la PORTEE (affective, centrée sur le travail), la VALEUR (positive, négative) et la NATURE (centrée sur soi, autrui …) de l’intervention
d) classification des interventions parmi 12 catégories : 6 concernent les interventions centrées sur le TRAVAIL EN COURS, 6 autres sur les relations interpersonnelles, socio-affectives. Dans chacun des 2 domaines, 3 catégories permettent de décrire des aspects POSITIFS de l’intervention et 3 autres des aspects NEGATIFS.

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11
Q
  1. Qu’est-ce que le journal ou carnet de bord ?
    • les notes _____ : décrivent les lieux, les impressions, les interactions sociales
    • les _____ personnelles : gardent la trace du déroulement précis de l’enquête et des rapports entre l’observateur et les enquêtés
    • les _____ _____ : même si elles sont provisoires et pas encore fondées sur l’exploitation systématique des notes recueillies, fournissent une première approche
    • les _____ _____ : indiquent les choses à éviter, à ne pas faire, la façon dont il faut se comporter le lendemain, les choses à observer
A
  • les NOTES DESCRIPTIVES : décrivent les lieux, les impressions, les interactions sociales
  • les REFLEXIONS personnelles : gardent la trace du déroulement précis de l’enquête et des rapports entre l’observateur et les enquêtés
  • les NOTES D’ANALYSE : même si elles sont provisoires et pas encore fondées sur l’exploitation systématique des notes recueillies, fournissent une première approche
  • les NOTES PROSPECTIVES : indiquent les choses à éviter, à ne pas faire, la façon dont il faut se comporter le lendemain, les choses à observer
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12
Q
  1. Quelles sont les trois phases de l’entretien non directif ?
    • _____ _____
    - l’interviewé cherche d’abord à évacuer ses préoccupations antérieures et à se concentrer sur le thème de l’entretien
    - il commence généralement en émettant des idées convenues qui lui permettent d’alimenter facilement son discours et d’évacuer le stress
    - l’interviewer doit l’encourager à avancer afin qu’il ne s’enferme pas dans un discours conversationnel (stéréotypé) par des interventions brèves exprimant la neutralité et l’empathie
    • _____ _____ _____
    - quand l’interviewé ne trouve plus de formule toute faite il s’aperçoit qu’il ne s’est pas exprimé de manière personnelle
    - il réfléchit à voix haute, ordonne ses idées et élabore un discours original
    - l’interviewer l’encourage à maintenir son effort et l’aide à clarifier et approfondir son discours
    • _____ _____ _____
    - l’interviewé commence à se répéter, montre des signes de fatigue et entreprend parfois de conclure
    - l’interviewer le relance jusqu’à ce que cela devienne inefficace
A

• LES STEREOTYPES
- l’interviewé cherche d’abord à évacuer ses préoccupations antérieures et à se concentrer sur le thème de l’entretien
- il commence généralement en émettant des idées convenues qui lui permettent d’alimenter facilement son discours et d’évacuer le stress
- l’interviewer doit l’encourager à avancer afin qu’il ne s’enferme pas dans un discours conversationnel (stéréotypé) par des interventions brèves exprimant la neutralité et l’empathie
• LE DISCOURS RECHERCHE
- quand l’interviewé ne trouve plus de formule toute faite il s’aperçoit qu’il ne s’est pas exprimé de manière personnelle
- il réfléchit à voix haute, ordonne ses idées et élabore un discours original
- l’interviewer l’encourage à maintenir son effort et l’aide à clarifier et approfondir son discours
• LE DISCOURS REDONDANT
- l’interviewé commence à se répéter, montre des signes de fatigue et entreprend parfois de conclure
- l’interviewer le relance jusqu’à ce que cela devienne inefficace

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13
Q
  1. Que sont les biais acteur-observateur ?
    a) la présence d’un observateur peut modifier les comportements des personnes et d’affecter la validité des données recueillies
    b) caractéristiques de l’observateur : essentielles pour les personnes observes. La distance sociale (classe sociale, caractéristiques physiques, sexe, âge …) peut avoir un impact sur les observables
    c) une trop grande distance sociale perçue peut paralyser les sujets, une distance faible, surtout si elle s’accompagne de bonnes relations, accentue la tendance toujours présente à donner une bonne image de soi, ou en tout cas à ne pas risquer la désapprobation du chercheur
A

a) la présence d’un observateur peut modifier les comportements des personnes et d’affecter la validité des données recueillies
b) caractéristiques de l’observateur : essentielles pour les personnes observes. La distance sociale (classe sociale, caractéristiques physiques, sexe, âge …) peut avoir un impact sur les observables
c) une trop grande distance sociale perçue peut paralyser les sujets, une distance faible, surtout si elle s’accompagne de bonnes relations, accentue la tendance toujours présente à donner une bonne image de soi, ou en tout cas à ne pas risquer la désapprobation du chercheur

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14
Q
  1. Qu’est-ce que le biais de Halo ?

• décrit l’impact qu’une impression _________ de l’observateur peut avoir sur ses observations ___________

A

• décrit l’impact qu’une impression PREALABLE de l’observateur peut avoir sur ses observations SUBSEQUENTES

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15
Q
  1. Qu’est-ce que le biais de sévérité ?
A

• l’observateur utilise des critères assez ou trop sévères lors de ses évaluations

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