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CONCOURS > Psychologie > Flashcards

Psychologie Flashcards

1
Q

quel livre analyse le comportement des des foules

A

Psychologie des foules, Gustave Lebon, 1895

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Q

1ère étude expérimentale de psychologie sociale: la présence d’un concurrent libère une NRJ qui n’est pas directement disponible en son abs

A

Norman Triplett, 1898

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3
Q

qui a prouvé que sans s’en rendre compte, les expérimentateurs influençaient le comportement des sujets

A

Robert Rosenthal (1976)

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4
Q

behaviorisme

A
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Q

cognitivisme

A
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6
Q

renforcements positifs et négatifs

A
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7
Q

schéma

A

représentation mentale qui résume les traits d’un ensemble d’éléments semblables

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8
Q

script

A

un schéma qui s’applique à un type d’événement ou une séquence de comportements

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9
Q

biais cognitif

A

lorsqu’une habitude de pensée fausse régulièrement nos cognitions, sans que nous en soyons la plupart du temps conscients

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10
Q

heuristique

A

opération mentale rapide et + ou - intuitive qui permet d’aboutir à une solution sans recourir à un traitement élaboré

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11
Q

processus par lequel nous attribuons des causes à un événement

A

attribution causale

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12
Q

tendance à sous estimer l’influence des facteurs externes sur le comportement au profit des facteurs internes

A

erreur fondamentale d’attribution

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13
Q

3 critères de covariation pour juger d’une cause interne ou externe

A
  • consistance
  • consensus
  • distinctivité
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14
Q

tendance à voir les autres comme les sources de leurs actions mais à considérer que mes actions varient davantage selon les contraintes de l’environnement

A

biais acteur-observateur

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15
Q

tendance à se percevoir comme les causes de nos succès mais à imputer les échecs à des causes externes

A

biais d’autocomplaisance

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16
Q

ce que les gens importants à ses yeux vont penser d’un individu

A

la norme

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17
Q

capacité estimée par l’individu d’effectuer le comportement

A

contrôle

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18
Q

qui a introduit le concept de dissonance cognitive ?

A

Leon Festinger (1957)

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19
Q

état d’inconfort, tension psychique entre des éléments contradictoires entre ses pensées et /ou ses actes

A

dissonance cognitive

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20
Q

2 types de dissonance

A

dissonance après décision (se rassurer)
dissonance après effort (valoriser les sacrifices)

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21
Q

expérience très connue sur le conformisme

A

Ash (avec la taille des batons) dans les années 50

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22
Q

ne pas dévier de la norme admise, ne pas prendre une liberté en agissant de façon différente de ce qui est attendu, socialement.

A

conformisme

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23
Q

quel outil démocratique est remis en question avec le conformisme

A

sondages

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24
Q

effet du témoin

A

L’effet du témoin (appelé aussi « effet spectateur » ou « effet Kitty Genovese »), en anglais « bystander effect », est un phénomène psychosocial des situations d’urgence dans lesquelles le comportement d’aide d’un sujet est inhibé par la simple présence d’autres personnes sur les lieux. La probabilité de secourir une personne en détresse est alors plus élevée lorsque l’intervenant se trouve seul que lorsqu’il se trouve en présence d’une ou de plusieurs personnes.

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25
Q

affaire qui a révélé l’effet du témoin

A

Affaire Kitty Genovese, 1964

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26
Q

3 composantes du soi

A
  • estime de soi
  • concept de soi
  • présentation à soi
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27
Q

pourquoi le concept de soi se stabilise ?

A

la personne auto-confirme son concept de soi, grâce à une attention sélective on prête davantage attention aux éléments qui conforment notre point de vue

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28
Q

3 composantes de l’estime de soi

A
  • respect
  • évaluation
  • confiance en soi
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29
Q

de quoi dépend la présentation à soi ?

A
  • normes socioculturelles
  • choix personnels
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30
Q

aptitude d’une personne à gérer sa présentation de soi et s’adapter à ses partenaires sociaux pour parvenir à ses fins

A

self monitoring

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31
Q

cible un idéal à atteindre, comparaison sociale stimulante

A

comparaison sociale ascendante

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32
Q

comparaison sociale qui cible des personnes jugées inférieures, pour se rassurer ou rehausser son estime de soi

A

comparaison sociale descendante

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33
Q

discipline qui étudie les normes et usages humains de l’espace

A

proxémie

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34
Q

4 étapes de la proxémie

A

1) intime
2) personnelle
3) sociale
4) publique

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35
Q

la quantité ou la fréquence des interactions avec un individu accroit la probabilité de dvp une relation amicale ou amoureuse avec lui

A

effet de proximité

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36
Q

attribuer spontanément à des personnes moins belles d’autres qualités

A

effet de halo

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37
Q

théorie qui suggère que l’attitude d’un individu vis-à-vis d’une relation dépend avant tout des coûts et bénéfices qui y sont associés

A

théorie de l’échange social

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38
Q

catégorie de comportements qui s’actualise dans une situation d’interaction sociale et qui vise à nuire à autrui en portant une atteinte plus ou moins grave à son intégrité physique ou psychique

A

agression (préféré à la notion de violence)

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39
Q

tendance, un trait psychologique lié à une pulsion visant à nuire à autrui et à lui faire du mal

A

agressivité

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40
Q

expression particulière de la force qui se caractérise par le recours à des moyens physiques ou psychologiques pour exercer une contrainte sur autrui.

A

violence

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41
Q

communication adressée à des individus dans l’objectif de modifier leurs attitudes ou comportements

A

communication persuasive

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42
Q

quelle est la caractéristique la plus importante de la source de communication ?

A

la crédibilité

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43
Q

théorie selon la laquelle la réception du msg dépend de la structure des latitudes, de la façon dont l’auditoire évalue le contenu du msg

A

théorie du jugement social

44
Q

2 conditions pour que le recours à la peur soit persuasif

A

1) si une solution est proposée
2) si elle ne provoque pas la terreur chez les recepteurs

45
Q

à quelle condition un msg bilatéral (qui présente les contre-arguments) est-il efficace ?

A

si la personne possède déjà les contre-arguments

46
Q

principe très fort selon lequel on se sent obligé de rendre la pareille à quelqu’un qui nous a donné

A

principe de réciprocité

47
Q

phénomène qui survient quand un individu a l’impression qu’on menace sa liberté en essayant de lui faire faire quelque chose ou en limitant ses choix
suscite un état désagréable qui l’incite à agir complètement contre ce qu’on l’incite à faire

A

réactance

48
Q

théorie selon laquelle + un récepteur réfléchit sur un thème avant d’y être exposé, + il est capable de mobiliser une contre-argumentation

A

théorie de l’inoculation

49
Q

ensemble des processus par lesquels les normes émergent

A

normalisation

50
Q

comment faire varier le conformisme ?

A

plus un groupe est important, plus l’effet de conformité est efficace MAIS un seul appui dans le groupe est suffisant pour résister à la pression de conformité

51
Q

expérience année 60 su la soumission à l’autorité

A

Expérience de Milgram (63% des sujets acceptent d’électrocuter leur élève jusqu’à 450V)

52
Q

comment explique la soumission à l’autorité

A
  • rejet de la responsabilité (éviter la culpabilité)
  • dilution de la responsabilité (+ les tâches sont séparées, + la responsabilité est diluée, + les personnes torturent)
53
Q

performances d’un individu sont améliorées par la présence d’autres personnes

A

facilitation sociale, elle est augmentée par l’effet d’audience (notion de spectacle)

54
Q

situation de rivalité quand les autres individus accomplissent la même tâche

A

effet de coaction

55
Q

dans quels cas la présence d’un groupe peut détériorer une performance ?

A
  • si c’est une tâche nouvelle
  • si les autres individus sont perçus comme des évaluateurs négatifs
56
Q

phénomène selon lequel la force fournie diminue à mesure que le groupe augmente

A

paresse sociale

57
Q

moyens de lutter vs paresse sociale

A
  • assigner des tâches spécifiques
  • renforcer la cohésion collective
  • contrôler les performances individuelles
58
Q

de quoi dépend la structure de communication d’un groupe ?

A

de son schéma de communication

59
Q

capacité à fédérer et à mobiliser des NRJ autour d’une action collective

A

leadership

60
Q

2 types de leaders selon Fred Fiedler

A

leader axés sur les tâches
leaders axés sur les relations

61
Q

théorie selon laquelle les leaders et les subordonnés s’influencent mutuellement
+ l’apport du leader au groupe se réduit, + le groupe est insatisfait et moins le leader a de marge de manoeuvre

A

théorie de l’échange social

62
Q

type de leader qui a la confiance de ceux qui s’identifient beaucoup au groupe

A

leaders prototypiques

63
Q

une des fonctions du leadership est de former ou consolider l’identité sociale des membres en leur offrant une appartenance valorisante

A

théorie de l’auto-catégorisation

64
Q

type de leadership basé sur l’inspiration, la transformation, mais qui n’est pas stable

A

leaders transformationnels

65
Q

façon de prendre une décision collective selon laquelle le besoin d’obtenir le consensus ou l’unanimité dans le groupe prévaut sur les opinions individuelles

A

pensée de groupe

66
Q

freins à la qualité de la décision collective

A
  • leadership directif
  • le groupe affronte un haut degré de stress
  • le groupe a un désir de maintenir une cohésion forte (donc se censure pour faire consensus)
67
Q

tendance des groupes à prendre des décisions ou à converger vers des opinions plus radicales

A

polarisation du groupe

68
Q

anomalie individuelle qui peut être physique, psychologique, comportementale et se manifeste par un comportement d’opposition

A

déviance

69
Q

apparition d’un modèle de comportement dérogeant aux normes préalables (émergence de contre-normes)

A

innovation sociale

70
Q

la minorité permet à la majorité de prendre conscience d’un autre point de vue, et de réfléchir à des objections

A

influence réciproque

71
Q

attitude entretenue à l’égard d’individus en raison de leur appartenance à un groupe

A

préjugé

72
Q

ce qui forme le coeur de la composante cognitive des préjugés, schémas ou représentations mentales socialement partagés comportant des caractéristiques attribuées aux membres du groupe

A

stéréotypes

73
Q

concevoir un groupe en tant qu’entité ce qui dispose à la percevoir comme un agent causal ayant des intentions et une tendance à lui attribuer des intentions malveillantes

A

malveillance collective

74
Q

traitement inéquitable ou préjudiciables d’un individu en raison de son appartenance à un groupe

A

discrimination

75
Q

quand les individus s’attendent à ce que quelque chose arrive et se comportent en faveur que leur attente se réalise

A

prophétie auto-réalisatrice

76
Q

lorsque les performances d’un individu diminuent dans un certain domaine, quand le stéréotype est activé en lui, même s’il n’y adhère pas personnellement

A

menace du stéréotype

77
Q

tendance à mieux retenir les éléments qui correspondent à nos stéréotypes (plus simple et moins coûteux en attention)

A

biais de mémoire individuelle

78
Q

opposition au leader formel

A

leader informel (celui qui centralise l’attention mais qui n’est pas forcément officiellement le leader)

79
Q

opposition au leadership

A

le pouvoir (rapport fort à la hierarchie et à l’autorité)

80
Q

désigne aussi bien le statut, le comportement, que l’ensemble des traits et des aptitudes caractérisant la personne qui focalise l’intérêt ou qui assure la conduite d’un groupe

A

leadership

81
Q

2 approches pour qualifier le leadership

A

approche personnelle (obsolète)
approche situationniste / interactionniste (leadership dépend d’un contexte et d’un groupe)

82
Q

minimisation de l’importance des éléments cognitifs en conflit (pour réduire la dissonance cognitive)

A

trivialisation

83
Q

composante collective de l’ID qui émane de l’appartenance ou de l’identification à des groupes

A

identité sociale

84
Q

accentuer les différences entre endogroupe et exogroupe

A

effet de contraste

85
Q

minimiser les différences qui existent au sein de l’exogroupe

A

effet d’assimilation

86
Q

quand un membre d’un groupe qui fait l’objet de préjugés dévalorisants a des difficultés à savoir si c’est lié à lui ou à son groupe d’appartenance

A

ambiguité attributionnelle

87
Q

comment réduire les préjugés

A

hypothèse du contact (plus on met des exodogroupes dans l’endogroupe et plus les impressions sont personnalisées et moins globales)

88
Q

situation dans laquelle l’intérêt individuel entre en conflit avec l’intérêt de l’ensemble des parties

A

dilemme social

89
Q

quand un comportement est effectué volontairement dans le but d’aider ou d’avantager autrui, ce type de comportement relève communément de la morale ou de l’éthique

A

comportement prosocial

90
Q

2 facteurs encourageant les comportements prosicaux

A
  • bonne humeur
  • culpabilité
91
Q

état psychologique éprouvé quand un obstacle nous empêche d’atteindre un objectif désiré

A

frustration

92
Q

quand un sujet réduit nettement la PEC personnelle de sa conduite et s’en déresponsabilise –> tendance à intensifier le risque d’agression

A

désindividuation

93
Q

effet selon lequel une plus grande compétitivité ou conflictualité apparaît entre les groupes en interaction qu’entre les individus

A

effet de discontinuité

94
Q

grande expérience psychologique dite carcérale sur la violence et l’autorité

A

Stanford

95
Q

pourquoi le pouvoir corrompt-il ? (3)

A
  • accès à des instruments de pouvoir accroît la proba d’en faire usage
  • renforcement de l’estime de soi
    • il fait usage de son pouvoir, + il a tendance à croire qu’il contrôle les actes
96
Q

1ère étape du modèle moral de Kohlberg

centrée sur l’intérêt personnel et ne va percevoir les règles extérieures qu’à travers les punitions et les récompenses. L’autorité est totalement déléguée à une responsabilité morale.

A

morale préconventionnelle

97
Q

2ème étape du modèle de Kohlberg

la personne prend conscience de l’existence des intérêts d’autres personnes et des conventions sociales sur ce qui est considéré comme bon. Elle se soucie de l’approbation du groupe restreint auquel elle appartient et intègre les normes sociales même en l’absence de sanction.

A

morale conventionnelle

98
Q

3ème étape du modèle de Kohlberg

n’est atteint que par une minorité de personnes, la loi doit généralement être respectée, mais dans certains cas enfreindre la loi paraît légitime au regard des valeurs morales considérées comme universelles

A

morale post-conventionnelle

99
Q

forme de réaction aux influences sociales qui consiste pour un individu à se conformer extérieurement aux désirs de la source d’influence (modèle social) sans modifier ses croyances ou ses attitudes intimes

A

aquiescement

100
Q

adoption du comportement ou des croyances d’autrui par le fait de s’identifier à autrui

A

identification

101
Q

au contact d’autrui, changement de croyance d’un individu fondé sur une réorganisation cognitive

A

intériorisation

102
Q

Besoin qu’ont les individus d’être aimé, approuvé, affilié à un groupe et accepté de celui ci en partageant ses normes et ses codes.

A

dépendance normative

103
Q

3 objectifs de la psychologie de la personnalité

A
  • description (répondre au besoin de cohérence)
  • explication (influence du passé, de la génétique, de l’environnement)
  • prédiction
104
Q

type de comparaison sociale qui permet de renforcer l’idée que son opinion est la bonne, elle permet de s’identifier à des personnes de même performance

A

comparaison sociale latérale

105
Q

facteurs agissant dans les décisions d’un groupe

A
  • complexité de la décision
  • enjeux de la décision
  • interactions
  • méthode de travail
  • structure de la communication
  • autorité / leadership
  • mode d’animation du groupe
106
Q

3 processus pouvant jouer dans les décisions d’un groupe

A
  • processus de pensée groupale (les individus vont uniformiser leur pensée, préserver une unité face à l’extérieur)
  • processus de normalisation (le groupe est modérateur des idées, sorte de compromis)
  • processus de polarisation (lié à la notion d’autorité)
107
Q

le fait d’attribuer à quelqu’un d’autre nos propres désirs, sentiments, idées, traits de caractère…

A

projection

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