PSY1095 Cours 12 Flashcards

1
Q

A quel stade d’Erikson sonr les enfants du scolaire?

A

Travail / infériorité.

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Q

En quoi consiste le stade Travail / infériorité de Erikson?

A

Combinaison de désir de maitrise (réussir tache, compétence, habile) et de faire face aux attentes + élevée des adultes.

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3
Q

Est-ce que les enfants font encore semblant a l’àge scolaire?

A

Non, redirigent énergie dans les projets réaliste (fini gateau en plasticine, des vrais gateaux maintenant.)

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4
Q

Chez les chasseurs-cueilleurs Baka (Cameroun), le début de responsabilités aux enfants vers 5-7 ans?

A

Vrai.

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5
Q

Le concepts de soi a l’âge scolaire est plus rafiné?

A

Oui, vers 8-11 ans peut faire des conclusions par rapport a lui, trait de personalité, se compare aux autres, voir le côté négatif, fait preuve de nuance.

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6
Q

Un enfant d’age scolaire est en mesure de voir ses propres traits positif et négatif?

A

Oui, vers 8-11 ans.

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7
Q

Est-ce qu’un enfant scolaire comprend qu’un trait est associé à des désirs et cause le comportement?

A

Oui.

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8
Q

à l’age scolaire on est en mesure d’inférer le pt de vue d’autrui?

A

Oui

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9
Q

Est-il vrai qu’un grand écart entre le soi idéal et le soir réél peut nuire à l’estime de soi?

A

Oui, peut entrainer tristesse, désespoir et dépression.

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10
Q

Avoir des conversations élaboratrives avec parents: permet un «moi» complexe, cohérent?

A

Oui. la famille, les amis et les autre gr. sociaux aussi.

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11
Q

Les domaines spécifiques de l’estime de soi n’ont pas tous le même poids a l’age scolaire?

A

Non, l’apparence en a beaucoup.

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12
Q

La structure hiérarchique de l’estime de soi a l’age scolaire. quels sont les 4 principaux?

A
  • Performance académique
  • Compétence social
  • Compétence physique
  • Apparence physique
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13
Q

L’auto-évaluation de l’estime de soi est en lien avec la valeur accordée aux activité et leur succès?

A

Oui. Si auto-évaluation es bonne et si bon au basket, va accorder importance au basket.

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14
Q

Un estime de soi faible peut mener vers l’anxiété, la dépression et l’antisocialité?

A

oui.

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15
Q

Un estime de soi élevé est en lien avec la sociabilité, l’ajustement et être consciencieux?

A

Oui.

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16
Q

Certaine culture valorise la modestie?

A

Oui.

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17
Q

Quel problème cause la valorisation de la modestie?

A

Les résultats des outils auto-rapportés ne pourront pas être comparé à d’autre culture.

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18
Q

Les filles sont plus portée vers les langues, les arts, l’acceptation sociale et les amitiés proches?

A

Oui.

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19
Q

Les garçons sont plus porté vers les maths, les sciences, et les performances physiques.

A

Oui.

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20
Q

Est-il vrai que lorsque les scolaires mettent beaucoup l’accent sur l’apparence physique, l’année suivante il ont une estime de soi plus faible?

A

Oui. on parle des 5 à 8 ans ici.

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21
Q

Est-ce que le type de parentage a une influence sur l’estime de soi?

A

Oui.

  • démocratique=accepté et compétent
  • controlant/surprotecteur= inadéquat
  • controlant/critique=faible ES et dépend des autres (risqué)
  • Persmissif= ES trop élevé.
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22
Q

Qu’est-ce que l’attribution de maîtrise?

A

Attribuer ses succès à ses habilités (qui sont malléables) et ses échecs à des facteurs pouvant être changés. (demande effort)

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23
Q

Qu’est-ce que l’Impuissance acquise?

A

Attribuer l’échec aux habiletés (perçues comme fixes) : si difficile, se sent impuissant, n’essaie pas.
Attribuer le succès à facteurs hors de son contrôle (ex. chance).

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24
Q

Les compliments des parents basés sur les efforts plutôt que sur la personne est préférable?

A

Oui. Si basés sur les efforts, la prochaine fois en mettra plus, mais si dit : ha que té intelligente, =aura honte au prochain échec.

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25
Q

Qu’est-ce que la prophétie auto-réalisante?

A

Va devenir ce que les autres pensent de lui. Va tout faire (inconsciemment) pour ne pas réussir.

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26
Q

Le jugement sur la personne sont néfaste même si les jugements sont positifs?

A

Vrai. mène a une vision fixe des habiletés. ex: si dit brillant, va craindre échec.

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27
Q

Le compliment basé sur le processus: communique que les habiletés sont malléables?

A

Oui, c’est sain.

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28
Q

Les attributions externes aux succès= c’est de la chance, c’est pas grâce a moi?

A

Vrai.

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29
Q

Les plus petits sont plus optimistes quant aux fait qu’il est possible de changer?

A

Vrai, les petits croient que ça va s’améliorer quand ils vont être “grand”. Vers 7-10 ans comprennent que ça demande des efforts, mais restent optimistes.

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30
Q

La vision des habiletés selon les cultures, chinois versus US donne quoi?

A

Les mères chinoises, commentent les échecs et les efforts. Les mère US compliments. Ensuite les enfants seules =chinois s’amélioraient plus.

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31
Q

Il faut donner un feeback acurate, valoriser les efforts, mais rétroaction juste et privé?

A

oui, pas gonflé àl’hélium.

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32
Q

Un enfant qui ressent de la culpabilité, est habituellement bien ajusté?

A

Oui. S’il ressent de la honte, risque de dépression, colère et agression.

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33
Q

Les scolaire sont plus conscients des émotions des autres, même si elles sont contradictoires?

A

Oui, c’est soutenu par la cognition et les expériences sociales, empathie et prosocialité.

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34
Q

Les scolaires comprennent qu’il est possible de vivre ++ d’émotions en même temps?

A

Oui.

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35
Q

L’auto-régulation émotive commence vers 10 ans?

A

Oui. ex: ne fait pas de grosse colère à l’école par souci des autres.

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36
Q

Avec les expériences les scolaires connaissent façon appropriés d’utiliser les stratégies verbales, lors des émotions intenses?

A

Oui. Pour ne pas être puni, pour exprimer sa colère, par souci des émotions des autres.

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37
Q

Qu’est-ce que l’auto-efficacité personnelle?

A

C’est de se sentir en contrôle de l’expérience émotive, lié à l’estime de soi.

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38
Q

La stratégie de coping centré sur le problème, en état de stress est-il préférable que le coping centré sur l’émotion?

A

Si ne peut pas changer la situation peut devenir difficile. Vaut mieux centrer sur l’émotion.

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39
Q

Concernant le développement moral, les scolaires intériorisent de + en + les règles au fil du temps?

A

Oui, réfléchit activement à propos du bien/mal: tient compte + infos gains en prise de perspective récursive.

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40
Q

À l’age scolaire, ils ont une meilleure compréhension et une flexibilité des règles morales?

A

Oui, en mesure de tenir compte plusieurs variables (intentions et contextes).

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41
Q

Vers 7-8 ans comprennent le principe que toute vérité n’est pas bonne a dire?

A

Oui. et en chine on peut mentir par modestie ou pour le bien du groupe.

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42
Q

Les scolaires son en mesure de distinguer les conventions avec et sans raison?

A

Oui. Si bonne raison, devient plus près de la convention morale.

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43
Q

Les scolaires tiennent maintenant compte des contextes et des intentions pour juger de la gravité d’une transgression?

A

Oui. Ex. Brûler un drapeau (Accident? Public? Pays injuste?) Le niveau de connaissance affecte aussi.

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44
Q

Quand les scolaires défient l’Autorité, ils le font généralement dans le domaine personnel?

A

Vrai.

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45
Q

Les scolaires décident en générale en faveur de l’équité, et pour le déclin des préjugés.

A

Oui.

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46
Q

Si un scolaire croit qu’un loi est injuste, il est possible qu’il ne croit pas qu’il faille lui obéir?

A

Oui.

47
Q

Les conventions sociales, les conventions morales et les intérêts personnels sont similaires dans diverses cultures?

A

Oui. ces 3 domaines existe et se développe de la même façon.

48
Q

Dès début période scolaire, les enfants associent le pouvoir et les privilèges aux personnes blanches et les statuts inférieurs aux personnes de couleur?

A

Oui. Les préjugés émergent seulement quand les profs utilisent ces groupes pour les places, les tâches. Aussi les médias, et les infos diffusées alentour…

49
Q

Les enfants blancs évaluent leur groupe positivement, les autres groupes négativement?

A

Oui, vers 5-6 ans.

50
Q

Les enfants des groupes minoritaires font du favoritisme envers le groupe majoritaire plutôt qu’envers leur groupe?

A

Vrai, vers 5-6 ans,

51
Q

Les Préjugés faiblissent vers 7 - 8 ans?

A

Oui.

52
Q

Disent qu’il est mal (immoral) de discriminer, mais discriminent (inconsciemment)?

A

Oui, vers 7-8 ans.

53
Q

Les enfants blancs ont plus souvent catégorisé les personnes heureuses comme étant blanches et les personnes fâchées comme étant afr-am. ou asiatiques?

A

Oui, - Les enfants afro-américains, eux, n’avaient pas ce biais.

54
Q

Vers 10 ans, les enfants commencent à éviter de parler de race afin de ne pas apparaître biaisés (comme le font la majorité des adultes)?

A

Oui.

55
Q

Comment réduire les préjugés des enfants?

A
  • Favoriser contacts inter-groupe.
  • Groupe d’app. diversifié.
  • Comprendre les conditions qui ont menés a être désavantagé.
56
Q

Les scolaires ont un grand désir d’appartenance à un groupe?

A

Oui. Codes valeurs structure, se forme a partir de la proximité et la similarité.

57
Q

Les scolaires peuvent adopter des pratiques au sein de leur groupe. Par Exemple?

A

Se vêtir, parler et se comporter de façon précise.

58
Q

Il arrive qu’un enfant soi évincé d’un groupe?

A

Oui, parfois injustement, souvent avec agressivité relationnelle.

59
Q

Qu’elle est la différence entre l’agressivité relationnelle et physique?

A
Relationnel= rumeurs, ignorer (typiquement fille)
Physique= coup, frappe
60
Q

Est-il vrai que dans les groupe formels, on évite les problèmes comme l’évincement?

A

Oui, l’adulte n’est jamais bien loin (ex: gr. de scout)

61
Q

Est-il vrai que les choix d’amitié deviennent plus sélectif au scolaire?

A

Oui. surtout les filles qui demandent exclusivité (best) et + de proximité.

62
Q

Est-il vrai qu’une amitié peut durer des années au scolaire?

A

Oui, surtout si dans plusieurs contextes…

63
Q

Ont dit que 2 enfants gentils pratiquent ensemble la gentillesse?

A

Oui, 2 enfants tannant vont pratique l’agressivité

64
Q

Dans une amitié au scolaire on apprend l’engagement émotif?

A

Oui, la stabilité et la résolution de conflit.

65
Q

La popularité au scolaire est-elle importante?

A

Oui. c’est une variable importante.

66
Q

Le fait d’être plus accepté au scolaire permet des compétence sociale élevé?

A

Oui, plus d’amis et meilleur relation avec eux. C’est prédicteur puissant de l’ajustement.

67
Q

Le fait d’être rejeter au scolaire prédit des problèmes émotifs et sociaux?

A

Oui. Facteur de risque de décrochage, dépression et antisocialité.

68
Q

Il y a 2 types de populaires?

A

Oui,

  • les populaires prosocial=compétence social et académique
  • les populaires anti social= défi autorité, compétence sportive, agression relationnelle.
69
Q

Comment décrit-on une type d’enfant controversé?

A

Ils sont capables d’être gentils, mais des fois font preuve d’agression…

70
Q

Les types d’enfants que l’on qualifie de négligés ont-il un bon ajustement?

A

Oui, ils vont bien, ce n’est pas un facteur de risque de ne pas être la star.

71
Q

Parmi les types de status, lesquels sont temporaires?

A

Les populaire sociaux sont assez stables, mais les populaire anti-social, les controversé et les négligés sont des status qui changent avec les temps.

72
Q

Un enfant rejeté très tôt au scolaire courent de grands risques?

A

Oui, pas apprentissage social.

73
Q

Il y a 2 types de rejetés au scolaire, lesquels?

A

Les rejeter-agressif= conflit ,inattention, impulsivité, déficit d’interprétation
-Rejeter-retiré= timide, passif, maladroit, attentes négative , inquiets.

74
Q

Est-il vrai qu’il y a un risque que les 2 types de rejetés deviennent des intimidateurs?

A

Oui.

75
Q

Le prof doit-il aider concernant les réputations des enfants?

A

Il doit aider, une réputation ça colle longtemps.

76
Q

Les victimes de cyberbullying dénoncent moins les attaques?

A

Oui.

77
Q

Près de 20% des enfants «intimident », surtout garçons. 25% sont victimisés à répétition?

A

Oui.

78
Q

Quels sont les risques qui feraient qu’on pourrait être ciblé par un intimidateur?

A

trouble intériorisé, tempérment inhibé, apparence physique fragile, attachement résistant, parentage controlant/surprotecteur (→ dépendance, faible ES → air craintif).

79
Q

La victimisation est un stress chronique?

A

Oui.

80
Q

La victimisation entraine l’anxiété, la dépression les pensées suicidaires?

A

Oui.

81
Q

Entre le tiers et la moitié des victimes intimident aussi?

A

Oui, ils intimident les enfants les plus rejetés, ayant subi pire parentage, donc risque problèmes d’ajustement sérieux .

82
Q

Comment éviter ou réduire l’intimidation?

A

Changer l’environnement: instaurer codes contre l’intimidation, enseigner comment intervenir, surveillance adultes, promouvoir les comportements prosociaux, surveillance des parents (activités internet).

83
Q

Les stéréotypes sexuels proviennent d’où?

A

Proviendrait de leurs observations, et du traitement des adultes .

84
Q

Est-il vrai que l’opinion mère (compétence math) influence choix de carrière de leurs filles?

A

Oui.

85
Q

Est-il vrai que la majorité d’enfants (Canada, France, ÉU) en désaccord avec l’idée que les mathématiques sont une matière de “gars”?

A

Oui.

86
Q

Est-il vrai que plusieurs n’approuvent pas la violation des normes! (surtout pour garçons). ?

A

Oui. Pour eux, ressemble à de la transgression morale. ex: gars avec vernis a ongle.

87
Q

C’est pas beau de faire de la ségrégation basé sur la race, mais c’est correct sur le sexe?

A

Oui, (en plus il vont le justifier)

88
Q

Les filles et les garçons ne suivent pas la même trajectoire

au niveau de l’identité et des compts sexués?

A

Non. Garçons: plus masculins

Filles : moins féminines.

89
Q

Identité sexuée inclut ces auto-évaluations:
Correspondance au genre (quel point similaire)
Satisfaction liée au genre (quel point confortable)
Pressions à se conformer aux rôles sexuels?

A

Oui, Si peu similaire et ressent pression: difficultés.

Tous ça est associé au bien-être et a un meilleur estime de soi.

90
Q

Les enfants plus ouverts au point de vue du parent quand besoin d’obéissance ?

A

Oui, si il est possible de discuter ouvertement et qu’il y a des prises de décisions conjointes.

91
Q

Si parentage a été démocratique, c’est plus facile à l’âge scolaire?

A

Oui,

- pensée logique: raisonnement plus efficace
- plus de respect pour les connaissances du parent
92
Q

La fratrie est une source de soutien, entraide?

A

Oui.

93
Q

La rivalité dans la fratrie augmente âge scolaire (si reçoit moins, en souffre)?

A

Oui.

94
Q

Les comparaisons dans la fratrie sont plus importantes si même sexe et proche en age?

A

Oui.

95
Q

Dans la fratrie, ya des bienfaits si bonnes relations?

A

Oui, destructeurs si risque de conflits.

96
Q

Les enfants uniques sont-ils gâtée?

A

Non.

97
Q

Il y a-t-il des bénéfices pour enfant unique?

A

Oui. ES, motivation, perf. académique, nb et qualité amitié (mais acceptation groupe pairs un peu plus difficile).

98
Q

Les enfants de couple homosexuels vont-il bien?

A

Oui. les parents aussi engagés et efficaces (même parfois plus)
Enfants: même santé mentale, relations avec pairs, comportements sexués, qualité de vie .

99
Q

Les enfants de couple homosexuel s’identifient hétérosexuels?

A

Oui, la majorité. Il ont moins de pression de se conformer, mais se posent plus de questions.

100
Q

Les enfants de parents célibaires sont-il a risque?

A

Oui, faible SSE, si père asocial ou pas impliqué = risque de problèmes cognitifs et plus d’antisocialité.

101
Q

Les divorces sont stressant pour les enfants?

A

Oui, pas juste un évênement, mais plusieurs changements et d’une transition. Risque d’avoir des prob. d’ajustement.

102
Q

Quelles sont les conséquences immédiates d’un divorce?

A

Conflits, diminution de revenu, déménagement, stress, dépression, anxiété, désorganisation à la maison, discipline moins positive (20-25% des enfants présentent prob. sévères.

103
Q

Les réactions à un divorce vont varier en fonction de quels facteurs?

A

L’age (jeune se blame, vieux réagissent fortement)
Tempérament= accentue les prob des enfants difficiles.
Sexe= plus de risque pour garçon, n’extériorise pas.

104
Q

Les enfants du divorce vont avoir des amélioration des ajustement en moins de 2 ans?

A

Oui, pour la plupart. mais vont avoir score moins élevé, en ES, académique, socio-affectif…

105
Q

Est-il vrai que les garçons vont mieux dans un divorce quand le père à la garde?

A

Oui.

106
Q

Le coparentage aide les enfants du divorce?

A

Oui, quand les 2 parents s’impliquent, c’est mieux. Le soutien élargie, les pairs et les profs aussi.

107
Q

Au Québec, nous avons droit a 5 rencontres de médiation gratuites lors de séparation?

A

Oui.

108
Q

La garde partagée est un succèes quand le coparentage est efficace?

A

Oui, c’est essentiel.

109
Q

Les familles recomposées ont un taux de divorce 2x plus élevé?

A

Oui.

110
Q

Est-ce un problème que la mère travaille?

A

Non, enfant meilleur estime de soi, meilleures notes, moins de stéréotype sexuel, relation pairs.

111
Q

Quand il y a plus d’implication paternelle…?

A

Meilleur QI et performance scolaire, maturité sociale et flexibilités des rôles, meilleure santé mentale age adulte

112
Q

Un travail stressant= risque de parentage inadéquat?

A

lié a parentage de moindre qualité, moins bon dév. cognitif, plus de prob de cmpt

113
Q

Quand 2 parents travaillent, qu’est ce qui peut aider?

A

Si bonne école et garderie= esprit tranquille.