problèmes démographiques Flashcards
Observation de cette problématique
- Il faut regarder cette problématique avec un regard critique. Plusieurs stipulations sont présentes pour identification de la source de cette problématique. Ici on pense que c’est non un problème du nombre de personne, mais plutôt de consommation. Certaines personnes vont cependant aller pointer les pays en développement comme source du problème en disant qu’ils ont beaucoup d’enfants et contribuent à L’augmentation de la population. Il faut cependant voir les faits pour voir que c’est moins un problème du nombre de personnes mais plutôt un problème au niveau du mode de consommation.
Estimations de la population mondiale
- On a beaucoup d’études qui ont fait les estimés de la population avec les proportions pour les idfférents continents. Il ne faut cepednant pas oublier que ces données sont sujettes à des marges d’erreurs puisque ce sont des estimés. On voit qu’il y a une augmentation du nombre d’individus avec une forte croissance vers 1950 surtout pour l’asie et l’afrique. On voit qu’indubitablement il y a une croissance de la population. Cependant, lorsqu’on analyse plutôt le taux de croissance, on observe une diminution. Elle reste positive. On voit que ce taux de croissance est passé de 2% à moins de 1%. Avec la covid on peut voir une légère diminution. On risque de revenir vers les taux précédents puisqu’on a eu une perte légère de 0,2%. En Écologie, on regarde plutôt le nombre de monde qu’on rajoute à chaque année et on peut voir qu’on continue d’en ajouter à chaque année. Alors même si le taux de croissance diminue, on continue d’ajouter du monde à chaque année ce qui vient influencer les données. Avec l’inertie démographique on pourrait estimer un maintien de la croissance démographique par le fait qu’une grande proportion entre dans l’âge de reproduction. La raison pour laquelle le pourcentage du taux de croissance augmente est expliquée par le fait que le nombre de monde augmente et donc aussi le nombre de personnes qui atteignent l’âge moyen de reproduction (synergie), donc l’augmentation continue.
- Si on regarde ce taux en fonction des régions on voit que le schema démographique est différent pour l’Afrique là où on observe encore une augmentation comparativement à une diminution pour le reste des régions. Avec les projections, on prédit une stabilisation du taux pour les populations, mais une augmentation pour l’Afrique. EN Europe, on a même une croissance négative. Ici il faut voir qu’il y a des différences entre les régions et il faut comprendre qu’on a pas les mêmes situations partout et qu’il y a des conséquences écologiques a ces phénomènes.
- Pour certaines populations, on peut encore voir des taux très élevée
Analyse de l’inertie démographique (production d’enfants)
- Si on analyse le nombre d’enfants par femme, on voit que pour une population stable on a besoin d’une moyenne de 2,1 enfants par femme (le 0,1% est pour la mortalité infantile) ceci permet de faire un remplacement des 2 parents pour le futur. Cependant, on peut voir que pour la plupart des pays occidentaux, oin a un taux de natalité de 1,2 à 1,4 enfants par femme ce qui est bien plus petit que le taux qu’on espère avoir. En Afrique, on a cependant un taux de 4,2 qui est différente de la moyenne mondiale qui est de 2,4 (ce qui permet une croissance de 1,1% par années). En ce sens, on voit encore une diminution de la démographique partout, mais moins en Afrique.
- On fait donc face en ce moment à une transition démographique avec, majoritairement, l’éducation des filles. On a une chute démographique des familles. On se rend compte que pour beaucoup de pays, on aurait une chute démographique par une diminution de la croissance si on n’avait pas d’immigration.
Projections démographiques
- En 2042, les projections montrent que la plupart des paus vont continuer leurs baisses du taux de croissance, sauf pour certains pays d’afrique et d’Asie qui restent autour d’un pourcentage de 3-4. Il ne faut cependant pas oublier que pour des pays en guerre, ces estimés risquent d’être bien plus intense pour la perte de taux de croissance.
- Ces projections démographiques sont faciles à estimer pour notre espèce puisqu’il est facile pour nous d’estimer les taux de vie. Avec L’obtention des données, il est facilement possible d’estimer et voir la structure d’âge populationnelle dans plusieurs années. Il faut notifier que ces taux sont rarement variables entre les années. D’un autre côté, il est plus difficile d’estimer les taux de natalités sur le long terme maintenant si on se base seulement sur la biologie liée à la natalité. On a maintenant des aspects sociologiques er économiques qui sont associées à la natalité et donc les prévisions faites pour cette mesure et avec cette mesure sont liées à beaucoup d’incertitude reliée à cette mesure.
Incertitude liée à taux de natalité
- En se basant sur les données existantes et les prévisions les chercheurs en démographie ont sortis des prévisions en fonctions d’une variance élevée, moyenne et faible. On voit que plus on a de l’incertitude, reliée à la variance, plus on va s’éloigner des données actuelles. Si on se base avec les données moyenne on peut estimer que la population risque de se diriger vers une population proche de 100 billions d’individus. Ces mesures montrent qu’il est difficile de mesurer de manière précise le nombre d’habitat sur terre maintenant et dans plusieurs années.
La question à se poser en écologie est savoir l’impact de cette croissance sur la planète, mais alors quels facteurs affectent la croissance de la population humaine ?
- Attitude des gens (la manière qu’ils interprètent le futur)
- Les normes sociales (avec le climat on tend plus vers le choix de ne plus avoir envie de faire des enfants ; le choix personnel)
- Situation économique (si pas assez bein pas trop envie)
- Disponibilité des ressources) (en ce moment une minorité n’y a pas accès)
- La santé : les médicaments et les vaccins ont réduits le taux de mortalité infantile et augmenté l’espérance de vie. L’espérance de vie moyenne pour le monde entier est passé de 46 ans en 1950 à 71 ans en 2019. Pour le Canada, elle est de 80 ans pour les hommes et de 84 ans pour les femmes et elle tend vers l’augmentation à chaque année. Une diminution du taux de mortalité est observée avec une diminution des chances de devenir malade.
- Politique : se fait de moins en moins, mais avant on disait qu’il fallait plus de monde pour se battre (ex : chine) ; les grandes populations aident dans les conflits avec d’autres pays.
- Économie : La croissance de la population pour la croissance de l’économie. Plus on a une augmentation du nombre d’individus plus on augmente les consommateurs et pour faire plus d’argent on a besoin de plus de consommateurs. Des considérations économiques sont à la base des politiques d’immigrations au Canada. Le choix des couples est présent pour faire des enfants (si pas l’argent in en ferait peut-être pas). En se rendant compte de la diminution du taux de natalité, le gouvernement a vu qu’il était nécessaire de faire de l’immigration. On a eu un pic après la guerre mondiale. On a un taux stable de croissance, mais on a une continuelle augmentation. Ceci a un effet sur le nombre de gens dans le pays, mais va aussi avoir un impact écologique en les augmentant. On ne change pas le nombre de gens sur terre, mais on change les impacts écologiques
- Culture et religion : dans certaines cultures et religion il est interdit d’avoir un avortement ; D’autres cultures ont besoin des jeunes pour qu’ils s’occupent de plus vieux et il y a un prestige d’avoir des enfants impact sur le taux de natalité
- Éducation : le facteur le plus important. L’éducation des filles montrent un plus grand impact sur le taux de natalité. Si on fait un graphique entre le nombre de filles qui vont aux études et le nombre de filles qui restent aux études on voit qu’il y a un réel impact sur ce facteur. Cependant, dans beaucoup d’endroits on a une discrimination des filles et un contrôle de la naissance qui est restreint pour les filles.
Pourquoi les femmes ont une plus grande espérance de vie ?
- Les hormones, on a aussi beaucoup de mort pour les jeunes garçons puisqu’ils prennent plus de risque. La testostérone rend aussi les hommes plus susceptibles à certaines maladies
Pourquoi immigration ?
- Si on n’avait pas d’immigrations on serait en diminution. On va donc augmenter l’immigration avec les politiques d’immigrations et pouvoir avoir un impact direct sur le nombre d’individus dans le pays. Cependant, si on a moins de monde de naissance, donc moins de gens dans le pays et donc moins d’impacts. Cependant, en même temps si on a moins de bobé, on a plus de gens en pensions et donc moins de personnes pour le travail. Ceci a un impact sur la distribution d’âge qui est un facteur important. On voit que ce n’est pas juste une question de chiffre et qu’il faut regarder le problème avec une échelle plus large.
Taille moyenne des familles au Canada
- On voit qu’il y a une diminution entre les années 50 et 60 avec la révolution tranquille. La diminution de l’influence de l’église. Si on regardait juyste l’effet sur la taille des familles au Québec on verrait une diminution bien plus intense. Depuis, on est en dessous du seuil depuis plusieurs années
Âge moyen des femmes au premier enfant Canada
- On voit aussi une diminution de l’âge du premier enfant. Ceci a un effet puisque si le premier enfant arrive plus tard on ralentit le taux de croissance des populations et on diminue les chances d’avoir plus d’enfants par plus tard. Entre 2006 et 2016 on est passé de 28 à 29 ans. Cependant, si on regarde le Nunavut on ne voit pas cette tendance. Pourquoi? Parce que l’éducation des filles n’est pas la même. Elles n’ont pas accès à une bonne éducation des population Autochtones. Leur âge est plutôt de 22 ans. On voit aussi cette tendance, moins intense, au territoire du Nord-Ouest et dans les prairies. La grosse différence est vraiment pour le Nunavut. C’est une manière de montrer les condition des populations autochtones qui sont un peu comme des pays du tiers monde.
Espérance de vie
- Si on regarde pour les deux sexes combinés on voit une augmentation, mais il y a eu une diminution avec la covid. On peut voir une diminution avec le Canada et les États-Unis pour la covid et le reste pour deux raisons : Aux état-unis si tu n’as pas d’argent, tu n’as pas vraiment accès au système de santé. D’autant plus, avec la covid il y a eu beaucoup de propagande par les antis masques et anti-vaccin par Donald Trump ce qui a eu un impact direct.
- Une diminution peut aussi être vue dans les pays Africains vers les années 1990 même si ces pays étaient très bas en général. Vers ces années, dans beaucoup de pays on a eu le Sida qui a eu un très fort impact sur la population. Ceux qui étaient en âge de de reproduction laissait des enfants orphelins. Quand on compare l’Afrique du Sud et le reste de l’Afrique on voit que le Sida a eu des impacts plus importants malgré leurs niveau économique plus développé. Le président du moment niait le fait que la cause de cette maladie était virale et ne pensait pas que les condoms allaient changer quelque chose. Ici on voit que les politiques et la sociologie ont eu des impacts importants sur la démographie des pays.
Mais alors est-ce qu’il y a une limite du nombre d’humains sur terre? Si oui, quelle est-elle ? quels critères devraient déterminer la limite? Est-ce la nourriture, la pollution, la qualité de vie? Est-ce que la capacité de soutien pour les humains au niveau local et globale est utile? Et si on le défini en termes de qualité de vie, que devrions-nous avoir comme point de référence ?
On ne peut pas analyser la situation comme si on était une population animale. On a des bases sociales et une qualité de vie qu’il faut prendre en considération théoriquement.
Après, faut-il vraiment regarder le nombre de personnes su terr ou plutôt la manière que les personnes consomment, polluent, détruisent les habitas. À ce niveau, il est difficile pour nous de quantifier les effets à long terme. Il faut aussi regarder si on peut dire que les pays en voie de développement ont besoin de limiter leurs populations alors que la majorité des problèmes sont liés à la surconsommation des pays riches. Ces problèmes sont liés à d’autres problèmes sociaux qu’il faut prendre en compte et qu’on ne peut pas négliger. Si on regarde la consommation d’une personne typique au Canada, on voit assez rapidement qu’il possède une consommation d’énergie qui est 30 importante qU’un individu du tiuers monde. On voit alors que l’impact environnemental de 30 millions de Canadiens est presque équivalent à celui d’un milliard de gens dans le tiers monde.
Si on a trop de personnes, quelles sont les conséquences pour les ressources ?
- Si on a moins de ressources, les impacts sont différents pour les humains. On ne fait pas les ressources, on les achète. Une diminution des ressources devrait alors avoir un impact sur les prix en les augmentant. Mais si on dit ça c’est qu’on suppose que le prix dépend de la disponibilité ce qui n’est pas le cas.
- Si on regarde, par exemple, le prix du pétrole on voit qu’il ne dépend pas de la disponibilité Le prix d’un baril de pétrole varie, mais on n’observe pas de tendance exacte. Cette ressource est limitée donc on devrait avoir une augmentation du prix. Cependant, ici le prix dépend des décisions politiques des gouvernements et non en fonction de la disponibilité.
- Alors si on change de ressource et on regarde plutôt la nourriture. On verra qu’encore une fois ce n’est pas le cas. Si on regarde le prix des céréales on voit qu’on a réussi à augmenter la production par hectares avec les fertilisants à base de nitrate ce qui contribue à plus du 2/3 de la production d’azote naturel. Les conséquences à long terme avec l’utilisation de ces produits au long terme ne sont pas prises en compte et tout ce qu’on fait en ce moment est dire que c’est correct et on va trouver des solutions pour régler les problématiques. Il n’y a pas eu de diminution du prix. On ne voit pas de tendance sur 50 ans pour le prix des grains au Canada. ON peut voir une augmentation du prix, mais sur le long terme on ne voit pas cette tendance et si on la voit ce n’est pas à cause des problèmes écologiques. Les grains produits dans les pays sous-développés les grains sont pour les alimenter les populations alors que pour les pays développés, ces ressources sont plutôt pour alimenter les animaux. On a alors directement un problème écologique où les ressources sont utilisés pour les mauvais besoins. ON va aussi, aux États-Unis, utiliser la moitié de grains pour faire du biofuel et on va le vendre comme quelque chose d’écologique.
- Pour la production de poissons, on voit que la consommation de poissons aquatique est presque devenue égale à celle de bœuf, ce qui n’est pas si négatif puisque la consommation de poisson a un impact écologique bien moins intense que le bœuf.
Problème aliments et écologique
- Les prix ne sont pas sensibles à la disponibilité des ressources sans propriétaire. Il faut savoir. Les ressources n’ont pas de propriétaire en tant que tel, on fait la ressource et on la vend directement.
- Les prix ignorent les coûts sociaux et environnementaux. Les externalités (pollution, destruction de l’habitat) ne sont pas pris en compte dans les prix des ressources. On va produire, vendre et s’en foutre du reste, mais un jour on devra payer pour les conséquences.
- On ne nous dit rien par rapport aux conséquences futures des activités courantes (pollution, déchets nucléaires, changements climatiques)
- Le pire dans tout ça est vraiment le fait qu’on nous a vendu l’idée que le prix de quelque chose est lié à sa disponibilité. Cependant, si on n’achète pas ou tu n’as pas accès à la ressource tu n’as pas ces impacts et donc le prix ne changent pas selon l’accès. SI on ne dit pas alors qu’il n’y a pas de crise parce que on augmente la production on ne prend pas en compte le fait que certaines personnes meurent de faim (même chose?). En ce moment on ne voit pas les effets, mais la mortalité infantile liée à un manque de ressource risque d’augmenter puisqu’on a déjà plusieurs pays avec des enfants à problèmes de croissance causé par un manque de ressource. Le sprix sont en conséquence de la demande et non du besoin. Le prix de la nourriture a diminué de 50% de 1975 à 1992, mais encore 824 millions de personnes ont des manques de nourriture et n’ont pas l’argent pour achter la nourriture, ils ne viennent donc pas influencer le prix (ils ne peuvent pas le faire bouger).
- Ce n’est pas juste un problème au niveau de la production, mais aussi d’accès. On a beaucoup de pays qui n’ont encore pas l’accès à des toilettes adéquates
Les écologistes se sont donc imaginés