Extinctions Flashcards
Effets d’Alle – conservation
- Il y a une densité-dépendance positive quand la population est petite (ou dépensations). On va voir que plus la population augmente, moins il y a de ressources et donc il y aura un nombre limité de monde à un endroit. Dans cette situation, il y a une compétition entre des individus et les espèces et si il y en a beaucoup, il y aura moins de ressources et espace pour chaque individus. effet normal. Avec l’effet Alle, on va avoir un effet négatif sur la croissance lorsqu’il y a peu d’individus. Quand il y a trop de monde, l’effet alle est anullé et la population diminue quand même par manque de ressources et d’espace.
- Si on ne prend pas en compte cet effet, notre exploitation peut avoir des effets délétère encore plus grands parce que la faible densité est encore pire pour ceux qui ont un comportement adaptés pour une densité moyenne.
- Chez les mouflons de Ram on a constaté une augmentation de la consanguinité avec une diminution de la taille de la population. On a aussi pu voir un effet Allee dans al survie des agneaux pour des populations de moins de 80 individus, présente probablement par la détection des prédateurs ou la défense contre eux est moins efficace. Avec le graphique b, on voit que la survie des jeunes en fonction de la population est pas changée pour 80 individus et plus, mais qu’en dessous, la survie de jeune est plus faible et diminue graduellement. La protection contre la chasse est moins efficace en faible densité. Si on avait pris en compte la croissance de la population et la taille de la population on aurait une droite nulle. (prend les deux en compte sans séparer).
- Chez les bouquetins, la réduction du couvert de neige en hiver a été associé à une augmentions de la taille de la population italienne. Le couvert de neige est déterminant de la survie au printemps parce qu’il protège la section herbacée dont ils se nourrissent. Les moments avec beaucoup de neige étaient associés aux moments avec une baisse de la taille de la population. Sur le long terme, si on regarde la tendance à long terme de la baisse de la neige on voit aussi une explosion de la population. Les facteurs contraignant pour la croissance deviennent moins contraignants. Par la suite, on a pu voir une diminution de la taille de la population malgré un effet favorable parce que la population était devenue limitante et donc la survie des jeunes et le succès individuel a eu une tendance à la baisse. Une diminution de la population s’en est suivie (vers les années 2000). Ici, on voit que c’est la survie des adultes qui explique l’augmentation de N plutôt qu’une augmentation du recrutement. Ici il y a donc un effet densité dépendant observable : quand la population approche la capacité K il y a une baisse nette. SI exploitation pas al même compensation pour la population tho. ?
Quelles sont les causes de l’effet Allee
- Consanguinité
- Stochasticité démographique (meh) : pas nécessairement la chause qui cause l’effet allee
- Prédation
- Comportement d’accouplement
- Approvisionnement social : certains rôle social = les grands parents s’occupent des jeunes s’il n’y en a pas beaucoup. Tout le monde doit chasser et donc on ne peut pas s’occuper des jeunes.
- Rencontre de partenaire (incluant pollinisation)
Ces effets peuvent être moins efficaces à faible densité
PVA – population viability analysis (analyse viabilité d’une population)
- Un exercice de simulation utilisé pour prédire les chances d’extinction d’une population qui est basée dur les connaissance de la dynamique de la population, la variabilité environnementale, les effets des activités humaine et les différents niveaux de stochasticité. Quand on met toutes les données lié à la dynamique de population ensemble on peut projeter ou quantifier les risques d’extinction. Ces données sont utilisés depuis quelque temps à l’IUCN et si elles sont bien faites elles permettent de répondre aux critères de l’IUCN (bonnes données = bonnes prédictions).
- Ils montrent que ce n’est pas nécessairement parce que tu as une grosse population que tu vas avoir une absence de danger d’extinction.
- Même quand il y a des catastrophes où on connait leurs probabilités de subvenir on peut faire des analyse de vaibilité, en moyenne à chaque x années on va mettre un évènement catastrophique : si on a un grand temps entre les catastrophes les populations vont avoir le temps de regrandir , Ici on peut voir que même si on a des grandes populations, la stochasticité environnementale va pouvoir altérer les nombre démographiques. Si il y a plusiuers catastrophe rapprochées, une population pourra être menée à l’extinction.
- On a fait une analyse avec les ours polaires avec les données d’ours chaséés par les populations autochtones. Si la probabilité de déclin est de 10% on a une telle probabilité on aura une courbe tout comme avec la probabilité de déclin un déclin de 20%. Avec les récoltes, on a pu faire les probabilités de déclin sur 15 ans. Si on augmente le nombre de prélévement on augmenter les chances de déclin. Les données de récolte vont être mise dans les analyses de viabilité pour prendre des choix. Ici s’en est un exemple
Modèles stochastiques
- Ils permettent d’inclure de la variabilité autour des paramètres pour ensuite utiliser la moyenne de plusieurs simulations avec des intervalles de confiance.
- Le problème est que ces types de modèles nécessitent des données nécessaires pour bâtir des modèles fiables. Il est rare de posséder ces données-là.
Analyse viabilité population globale ours blanc
- Une simulation a été faite par le passé pour la population d’ours blanc. On a pu noter une grande corrélation entre la taille de la banquise et la chance de reproduction de l’ours blanc. Cependant, cette analyse a été abusée dans le raisonnement logique en faisant l’association de la taille de la population et l’étendue de la glace. On a assumé que si la glace diminuait, les ours blancs devraient diminuer aussi. On a dit que si dans 50 ans cette tendance continnuait, on devrait avoir ces données. Cette extrapolation assume qu’on va avoir la même mesure et les mêmes données pour les prochains 50 ans. Mais cette analyse n’a pas de sens. ON ne peut pas estimer le futut si on ne connait pas les mesures du futur qui risque d’être des données jamais vues par le passé. Le dernier scénatio était le moins catastrophe
- Faire attention à ces données !
Élasticité et variabilité en conservation
- L’elasticité mesure l’effet du changement d’un taux vital (ex : survie annuelle des femelles, taille des portée, survie juvénile) sur le taux de croissance d’une population. Une forte élasticité sera signe de l’effet majeur sur le taux de croissance d’un petit changement du taux vital. Cette mesure sera calculée par modélisation et permettra de mesurer ce qui pourrait se produire si le taux vital change. Elle permet d’identifier les paramètres qui sont les meilleurs prédicteurs sur la croissance des populations. C’est une mesure de variabilité standardisée. Cette mesure peut être utilisée dans les analyses de viabilité des populations. On va parfois dire qu’il faut augmenter le nombre de femelles, mais l’elasticité est l’effet potentiel sur le taux de survie des populations. On pourrait concevoir des effets où il pourrait pas avoir des effets (très minime change pas entre les années).
- Variabilité est une mesure empirique des changements du taux vital d’une année à l’autre. On devrait aussi la regarder et pas juste l’elasticité pour voir les différence entre les années
- Le vrai effet des changements d’un taux vital sur le taux de croissance va dépendre de l’elasticité et de la variabilité. Si on est dans une situation où on a une forte élasticité et une faible variabilité il y aura peu d’effets sur r dans la vraie vie.
Ongulés – elasticité et variance
- Chez ces espèces, la survie des femelles adultes va avoir une faible variance et une forte élasticité. D’un autre côté,la survie des juvénile va avoir une forte variance et une faible elasticité. On verrait que les adultes ont une bonne survie ce qui est bien pour les populations (la survie des femelles est importante). Si ici on dit qu’on veut augmenter leur survie des femelles ce serait difficile pusique leur survie est déjà à 90%. Si le taux varie très peu d’une année à l’autre, on peut difficilement le changer.Ici on peut voir que l’elasticité est une valeur théorique et qu’il faut donc la prendre avec un grain de sel.
- Si en théorie on dit que la chasse des cougar sur les femelle est importante et influence beaucoup la population, cette déclaration serait fuasse. La combinaison de l’elasticité et de la variabilité est donc la meilleure option pour analyser ce qui a plus d,Impact sur la population.
Cause des extinctions
- Répartition géographique : si une population est subdivisée en petite îles avec une très faible dispersion entre elles avec peu de possibilités de recolonisation, le risque d’extinction va grandement augmenter. La fragmentation va aussi agir en accélérant les processus d’extinctions .
la théorie des ile = le nombre d’espèces diminue avec le temps àcause d’une recolonisation impossible (plus petite est isolée = plus extinction est importante) - Le nécrophore a,érician a vu son aires de répartition historique (gris foncé) diminuer rapidement dû à la fragmentation de l’habitat et l’extinction locale subséquente (il ne reste que trois population isolée (aires noires et Rhode island sur la côte est). EN ce sens, la fragmentation a un effet important sur le déclin d’une espèce. Ici la niche alimentaire était importante pour l’espèce
- Le contact des colons sur les îles a menés à multiples extinction d’espèces : dépend de leurs traits et de ceux qu’on essaye de conserver
- L’arrivée d’espèce comme le rat et le possum sur des territoire a mené la survie de certaines espèces très difficile. Dans ce cas, la survie des Tuatara est devenur impossible et ils ont dî se déplacer ce qui a drastiquement changé leurs flux génique. Par leurs isolation, la dréive a mené les population à des directions aléatoires différentes à cause d’un flux génique très difficile. La différence génétique a majoritairement été causée ici par une fragmentation et une
Critère maintien d’une espèce
-Une espèce menacée ne pourra pas survivre où il y a un meilleur habitat pour elle mais plutôt là où les cause de son extinction sont les moins présentes. Le critère maintenant est donc plus le meilleur habitat. Le bison des plaines est un exemple de conservation in-situ et de retour de l’espèce.
Conservation in-situ et ex-situ
- In-situ = sur le lieu, se fait par la protection des habitats, le contrôle des espèces exotiques, etc. dans l’environnement
- Ex-situ : hors-lieu. Élevage en captivité, fécondation artificielle, etc. les zoo sont maintenant plus dans un esprit d’éducation que dA,nimation. Chaque zoo a un pedigree des espèces captives pour miantenir la perrenité des espèces. Il faudrait cependant essayer d’enrayer en même temps les forces qui ont menées l’espèce à son extinction pour pouvoir les ramener en nature
- Ex-situ devrait seulement être utilisé en dernier recours, lorsqu’il n’y a pas d’autres alternatives possibles. Il ets possible qu’on utilise cette méthode parce que l’espèce n’existe plus en nature, si il semble inévatable que ceux qui restent en nature sont destinés à disparaitre sous peu. Les désavantages de cette méthode sont que ces espèces ne peuvent raps avoir comtact avec les forces sélectives naturelles. On pourrait ainsi causer des maladdaptation aux environnements naturels
- L’in-situ permet donc d’avoir ce contact avec les pressions naturelle et donc faire face à la sélection naturelle. Elle permet le maintient de tradition localess et de comportements appris (ex : évitement des prédateurs, techniques et sites d’alimentation, etc.).
- Le cheval de prezwalski a été gardé pendant plusieurs année en captivité en Angleterre (16 individus). Lors de la disparition cde cette espèce en chine, on a utilisé ces individus pour les ramener en nature. Ici le braconnage est un problème par exemple, mais on a réussit à le réintroduire. La même chose a été faite avec le bison des plaines (il y a différentes espèces de bisons qui se différencient par leurs écotypes et habitats (sympathriques)).
- Le putois à pieds noir est aussi un excellent exemple de succès de conservation ex situ. Cette espèce fait usage des terriets de chiens des prairies pour la reproduction. Avec la disparition des bisons des plaines, les population de chiens des prairies a diminué (les bisons maintenaneint des conditions optimales pour les chiends des prairies en pietinnant et en broutant le gazon ainsi que leur gallerie souterraines). Ceci s’est suivi d’une extinction des putois. oN le spendait éteints jusqu’à ce qu’on retrouve quelques individus, en utilisant quelque individus on a pu réintroduire dans des lieux propices de nouvelles populations. Maintenant on a environ 650 individus. Les réintroductions ont pas toutes réussies.
- In situ devrait rester la priorité à l,Instar de la méthode ex-situ. On devrait plutôt miser le fond de conservation pour le in-situé On devrait aussi favoriser l’élimination de spressions pour permettre une réintroduction en nature c’est rarement fait. La réintroduction devrait être le but ultime , mais on ne devrait pas oublier de prendre en compte certaines chose pour faire la réintroduction. La réussite de la réintruction va dépendre du nombre de fondateurs, plus on augmente ce nombre plius on peut avoir confiance que la population risque de proliférer.
- Le taux de croissance des pop. D’ongulés réintroduites est proportionneles au nombre d’individus relâchés. Il y a quand même une variabilités pour les introductions de petits nombres d’individus.
- La conservation ex situ à fin d’assurance est contreversée : certains le voit comme une manière de réduire les pressions sur les populations naturelles et d’autres le voit comme une manière de faire de la reproduction pour maintenir les populations en vie. Mais il y a des loopholes dans la legislation : certains se disent que si tu peux vendre les espèces, ils peuvent diminuer les envies d’en prendre dans la nature et diminuer le braconnage. Ceci risuqe cependant d’amplifier l’offre et la demande = si coûte moins de braconner = risque augmenter les pressions sur les pop plutôt que les diminuer. contreverses.
- Le panda est un bon exemple de in-situ. Cependant, il n,existe pas de populations captives pour éviter l’extinction de certaines eso;ces comme le rhinoceros asiatique. Il ne retse ni l’une ni l’autre de ces deux espèces sur le continent et environ 60 à 80 individus de chacune des espèces. Cette espèce est un cas ou il n’y a pas d’assurance pour la population à cause du fait que la reporduction en captivité est assez maubaise.
- Pour ceryaines espèces on nécessite des colonies ex-situ pour sauver l’espèce. Ici on a le cas du diable de tasmanie où il est impossible de la protéger sans avoir de populations ex-situ. Ils sont en dangers à cause de la tumeur faciale qui est un cancer transmissible. En australie, les tendance des habitats n’aide pas non plus.
- On a fait une réintroduction d,une espèce de tortue à certains endroits en europe pour rétablir les services écosystémiques. On c’est rendu compte que l’évolution de l’hervorie était omniprésente pour les feuilles juvénile et adultes. Par le passé on avait de l’herbivorie avec les tortues. Suite èà leurs réintroduction, on a pu observer une restauration des rôles écosystémiques (brouttage et autre par la torture permet de disperser les graines et maintenir une meilleure décomposition)
Retablissment d’un milieu – réintroduction
fait. On peut restaurer l’état del a nature avant l’établissement d’un taxon. C’ets l’idée de rétablir la structure des communautés avant que l,espèce s’éteigne, revenir à des rôles écosystémiques et des cycles écosystémiques présents lorsque l’espèce était encore présente, redonne le rôle que l’espèce avait avant qu’elle s’éteigne.
- Le rewilding est le fait de rétablir des grands carnivores et herbivores pour recréer des écosystèmes fonctionnels et avoir plus de services écosystémiques.
- On sait qu’on a des équivalent fonctionnels ou d’autres espèce que celles éteinte donc on peut essayer de les remettre dans l’espace pour récupérer leur rôle écosystémique.
- Cependant ceci peut avoir des impacts. On a des exemple de cas où on a essayé de restaurer. Des services écosystémiques en enlevant des espèces envahissantes. En le faisant, on a amené plus d’impacts. Les endroits où on a enlevé les dingo, d’Autre espèces sont revenues et ont attaqués les marsupiaux de manière presque pire.
Les caractéristiques de réintroduction avec succès
- Principale =identifié la cause du déclin et l’avoir éliminée
- Espèces chassables plus faciles qu’espèces menacées
- Qualité de l’habitat
- Pas de changements écologiques majeurs (nouveaux compétitwurs, prédateurs, parasites ou maladies)
- Quantité d’habitat et possibilité de dispersion
- Nombre d’individus relâchés
- Diversité génétique des animaux relâchés
- Aniamux capturés en liberté et relâchés plutôt que nés en captivité
- Herbivores plus faciles à réintroduire que les carnivores
- Espèces avec un comportement social complexe sont plus difficiles à réintroduire