Gestion de la faune Flashcards

1
Q

Comment pouvons-nous faire de la gestion de la faune ?

A
  • Chasse (subsistance, récréative, trophée)
  • Piégeage (gain économique, récréative, traditionnelle/culturelle)
  • Tourisme (photographie, observation des oiseaux, écotourisme, etc.)
  • Prévention des dommages économiques
  • Résolution de conflit entre la faune et les sociétés humaines
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2
Q

Que faut-il faire en conservation ?

A
  • Identifier les objectifs de conservation et un but concret qui est atteignable et ce qui est requis pour y arriver. Ceci aura pour effet de diminuer les erreurs. Souvent els efforts sont mal investis et quand les actions sont posées l’effet va être une complexification des tâches pour atteindre le but ultime (au lieu de diminuer le coût il va augmenté, l’acceptation sociale devient plus complexe, la science perd de la crédibilité). Les actions peuvent éloigner du but initial en affectant la biodiversité, en allouant des ressources aux mauvais endroits, en mettant à dos des partenaires, …
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3
Q

La gestion est manipulative ou conservatrice ?

A
  • Est-ce qu’on fait de l’exploitation avec un rendement soutenable ou de la conservation ?
  • Il y a eu 4 objectifs possibles de gestion pour une populations d’animaux sauvages : la faire augmente ; la faire diminuer (en gestion des réseaux trophiques altérées où ceux d’en haut sont plus là et il y a des impacts multiples par surabondance d’une espèce on peut chercher à la diminuer) ; l’exploiter d’une façon soutenable à son niveau actuel ; La laisser telle quelle mais sou surveillance (essayer d’être moins interventionnisme et essayer de réguler sans faire des interventions).
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4
Q

Plan de gestion des Cerfs de virgine

A
  • Cet exemple montre que le plan de gestion n’est aps obligé d’être le même partout. Ici on a pas la même gestion selon les régions par une variation dans l’abondance des individus dans les populations. ON peut checrher à des endroits à maintenir la population alors que dans d’autre son peut chercher à les diminuer.
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5
Q

Quel est le processus décisionnel ?

A

 en conservation comme on a un projet, il est utile d’identifier ces différents points et voir s’ils sont réalistes (ex : réalistes ?)
1- Quel est le but?
2- Est-ce que le but est atteignable ?
3- Comment décider quand le but est atteint ?
4- Comment atteindre le but ?
5- Quels sont les coûts (de tout types)? Ai-je les ressources nécessaires pour atteindre le but ? (pas juste monétaire, aussi savoir quels sont les différents acteurs à mobiliser)
6- Quels sont les bénéfices?
7- Est-ce que les bénéfices seront plus que les coûts? : bonne chance qU,on n’accepte pas le projet si il n’y a pas cette partie. Les bénéfices ne vont pas juste être chiffrés en service écosystémique.

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6
Q

Donnez des exemples d’objectifs nébuleux qui mènent à un échec des projets

A
  • Protection de la valeur intrinsèque naturelle : Ce serait bizarre pour un écologiste de décider de protéger une espèce rare qui a toujours été rare en disant que si elle disparait il va avoir des impacts majeurs. Ce ne sont pas des espèces clefs de voute (pierre au centre qui si on l’enlèbve, tout s’écroule = changements fondamentaux). Une espèce rare peut quand même en avoir.
  • Sauvegarder la valeur naturelle pour les générations futures
  • Accomplir son rôle écologique ; on peut mettre l’emphase dessus et parler du lègue
  • Contribuer à l’équilibre écologique
  • Objectifs irréalistes : assurer le maintien des stocks et augmenter l’exploitation commerciale
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7
Q

Préoccupation lorsqu’on exploites des individus dans des populations

A
  • Quand on exploite de manière répétée dans le temps pour avoir des ressources on essaye de déterminer quelle est la quantité maximale d’animaux qu’on peut retirer par années. Si la population croît avec un certain taux et qu’on estime qu’elle est densité dépendante on va se baser là-dessus pour établir les quotas. À mesure que la population va augmenter, la croissance de la population va diminuer. On va assumer une relation linéaire qui va avoir une prédiction universelle qui est qu’il y a un point d’inflexion dans la croissance qui fait que quand la population est trop nombreuse, la population tend à décroître (parce qu’on doit commencer à faire un partage des ressources).
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8
Q

Nombre individus qu’on peut prélever

A
  • Ce n’est pas vrai que le taux de croissance croît linéairement avec le taux de la population. Si on regarde l’excédent (au-dessus du taux de croissance de 1) par rapport à la constante qui est 1000 (à mille la croissance est nulle, on ne peut pas soutenir plus que 1000 individus). La croissance est maximisée à k/2 ce qui va être à la base de plusieurs décisions parce que ça assume que chaque individu enlevé va contribuer à faire augmenter le nombre de ressource disponible pour chaque individu. Ce chiffre va donner le rendement soutenu maximal.
  • Le rendement soutenue maximal permettrait de maintenir la population à un nombre élevé mais à un taux de croissance plus faible.
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9
Q

Qu’est-ce que le rendement soutenable maximal assume ?

A
  • Il est à la densité k/2, il ne change pas d’une année à l’autre, il y a une relation linéaire entre le taux de croissance et la densité, la relation entre la densité et le taux de croissance est toujours négatives, on est capable de calculer K et des connaissance parfaites de la taille de population et de la récolte
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10
Q

Quels sont les problèmes de ces suppositions (RSM) ?

A
  • On assume que la capacité de support ne change pas d’une année à l’autre. Cependant on a des preuves que ce n’est pas le cas. Avec les saumons de l’atlantique, la population n’a pas crashée parce qu’on savait exactement le nombre d’individus quid descendait la rivière à chaque années et on faisait des changements en fonction de ces données. On était capable donc d’avoir une idée des fluctuations naturelle dans les tailles de population
  • Il pourrait avoir des effets Allee
  • Calculer K est difficile pour plusieurs espèces, comme des espèces marines de grande profondeur. On a besoin de bonnes connaissances sur les populations et leur exploitation. Le K thérorique serait basé sur le nombre d’individus si on a absence de prélèvement
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11
Q

Qu’est-ce qui se passe si la relation entre r et la densité n’est pas linéaire ?

A
  • Le taux potentiel d’exploitation n’est pas toujours densité dépendante et le RSM n’est pas à 0,5K. Si on a plutôt une relation comme celle qui est en beleu, on va avoir une population qui à la place de diminuer linéairement ne verra pas l’effet d’une diminution de la densité de population et se verra même augmenter un peu. On voit alors que le K2 dans la population est passé au-dessus du taux de croissance. Ici on pourrait prélever pour maintenir la population à plus de k/2 en terme économique et écologique. Si le taux de croissance est relié plus à la taille de la population, on va accélérer le déclin parce qu’on va enlever des individus sans contribuer en en rajoutant.
  • Avec l’effet Alle l’exploitation d’une population est très dangereur parce qu’on doit savoir à quel stade la population est pour être en régulation et non en effet anti-régulateur.
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12
Q

Effet Allee – Ram mountain

A
  • On peut observer une forte densité-dépendance en survie des agneaux et en âge de primiparité. Si on ajoute les points des années plus récentes on va perdre cette relation linéaire, mais dans les autres années on pouvait voir que la survie jusqu’à un an montrait un effet Allee difficile à quantifier en ayant des données plus fortes avec des nombre plus petits d’agneaux. Pour toutes les années de 1996 à 2005 on a de valeurs petites qui montre une survie pour les agneaux assez faible à cause d’un manque de défense pour la prédation. Avec L’effet de rajouter des points des dernières années on a une atténuation de l’effet Allee en tirant la courbe vers du plus +. On voit que dans les premières années, il y avait un avantage à être plus nombreux.
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13
Q

Caribou Nord du Québec

A
  • On voit des populations très grosses avec une dépendance observée avec un petit délais. On a tenté d’expliquer le déclin important par le fait qu’il y avait une modification importante de l’habitat. Avec les série temporelles, on voit une tendance vers le déclin de la population  il avait un effet alle ça va encore moins bien . En réalité, on n’avait jamais atteint les tailles de l’année 1990, où on était en dessous de la capacité de support en réponse du fait d’être en dessous de la capacité de support on a vu un fort déclin. Paf la suite, on a vu un retour de l’effet dépendant, mais si on compare la taille, plus la population est petite plus on continue le déclin. On va avoir les premières années avec un déclin majeur ce qui est classique de la densité dépendance.
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14
Q

Bouquetins – neiges

A
  • Le couvert de neige est un bon indicateur de survie moyenne parce que la neige va perdurer longtemps et va monter un manque de ressources. La croissance de la population va être limitée par la neige et la densité. La proportion de changements dans la taille de population va être influencée par cette mesure, si la population est grande, le point est ouvert. Il y a des changements plus importants que quand la population était petite si on regarde en changeant le x et le y. Quand on regarde les années quand la quantité de neige était élevée, si la population était petite, un faible nombre d’individu avait peu d’effets. Si on regarde les points noirs, la relation est moins apparente. En ce sens, l’effet de la neige est pas uniforme et est plus apparent quand on a des grosse populations et que les patchs disponibles sont plus limitantes. Par l’interactions des effet, il y a uen diminution prononcée suite à des hivers rigoureux à haute densité de population. Cependant, leur de gestion des populations, ces interactions ne sont pa prises en compte par l’approche RSM et on va prélevéer avec le même K à chaque année. Il y a de forte chance que cette exploitation mène à une surexploitation qui empêche la population de récupérer.
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15
Q

Identification du RSM – conséquences

A
  • Si on identifie mal le prélèvement et qu’on prlélève à chaque années 150 individus, la population va se stabiliser et ça va être « chill ». Si on en prends plus, la population va tôt ou tard être menée à l,extinction. Avec une surexploitation qui est plus grande que le rendement on va mener la population à l’extinction. En fonction de K, si le cas est plus bas on a une situation où on pas le même k et on peut tomber dans une surexploitation ce qui empêche un rétablissement. – les moratoire sont là pour donner un second souffle aux populations.
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16
Q

Estimation baleines

A
  • Avec ces estimations on afait face à un problème écologique de base pour savoir l’exploitation de la population par la p^cherie. En Norvège on a mis un quotas de pêche de 300 individus par années selon une population estimée de 87 000 qui ets l’équivalent d’un taux de 3,4 individus sur 1000 ce qui est soutenable. Ils ont pris des mesures pour estimer le K puisqu’il n’y avait pas de données et ils ont dû se fier sur des données de collecte et d’observations. Pour prendre leurs mesures, ils se sont basés sur le fait qu’ils ont la probabilité d’observer 36% des baleines sur leur transect. Ils ont fait un recensement le long de transects où ils vont quantifier le nombre d’individus et estimer la taille. Ils vont modéliser les données avec des taux de prédictibilité de détectabilité pour estimer le nombre d’individus pas observés. Si on détermine qu’on ets plus efficace et qU,on voit plus d,individus que ce qu’on pense, on extrapole les données obtrenues et on peut obtenir une estimation du nombre d’individus dans la population. Selon des chercheurs indépendants la valeur serait plutôt de 0,59 ce qui vient réduire l’estimation à 53 000 individus total pour la population et donc l’exploitation serait au double et serait de 5,7 sur 1000  on a sur estimé le nombre d’individus de la population en sous estimant le nombre d’individus observés et donc le facteur d’observabilité.
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17
Q

L’écologie moléculaire pour estimer la taille de population

A
  • Il y a des espèces qu’on va échantillonner à répétition : L’étude faite est basée sur le rééchantillonnage de génotype sur des poils pour voir le nombre de fois que le génotype du même ours va être retrouvé. On va pouvoir voir le nombre d’individus estimé avec ces données. On a mis des dispositifs dans chaque carrés blanc pour voir les ours qui s’y retrouvait en majorité et on a pu voir où les individus se retrouvait le plus.
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18
Q

Précision de la méthode capture-recapture

A
  • La précision va dépendre du nombre d’individus qui va être capturés. Si on capture initialement un nombre d’individus et qu’on les marque et qu’ils reviennent ensuite dans un certain temps on va avoir une proportion d’individus déjà marqués. On va faire une règle de trois pour déterminer le nombre d’individus dans la populations à L,aide du nombre d’individus capturés et marqués. La proportion va être vraie si la chance de recapturer par la suite un individu marqué est la même qu’avant. Si ils sont habitués à être capturés, ça av changer les résultats et on risque de sous-estimer la taille de population. Si les individus sont traumatisés et qu’ils essayent d’éviter la capture, on a un autre biais et on va avoir moins de recapture et on risque de surestimer la population. On va estimer avec cette méthode qu’il n’y a pas de mortalité, une chance égale de capture et recpature, une distribution uniforme dans al population et que les animaux sont indépendants
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19
Q

Précision par comptage par observation

A
  • Pour contrer les biais observateurs on va utiliser des points d’écoutes et utiliser les données de 2 ou 3 personnes indépendantes. On va pouvoir faire un calculs pour voir le nombre d’individus qui ont été manqués par les deux observateurs pour les additionner au reste. Quand on veut savoir la probabilité que les individus voient tous les deux le même individus on va multiplier les probabilités, on les multiplie pour voir la probabilités que les observateurs manquent tout les deux un individus. On va additionner les probabilités d’avoir manqués les individus avec ceux observés.
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20
Q

Autre méthode d’estimation nombre individus

A
  • Distance sampling où la probabilité de détection diminue avec la distance au transect
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21
Q

Mortalité due à la chasse est additive ou compensatoire ?

A
  • Plusieurs facteurs biologiques importants viennent influencer les effets de la chasse. Il y a denbsité dépendance en taux de croissance, l’âge des premières reproductions, la moyenne et la variance de la survie annuelle pour les adultes et les jeunes. On a regardé dans une population et on a noté que 60% des décès était de même nombre.
  • Dès qu’il a de la chasse, il y a des effets immédiats de la récolte en menant directement à des effets additifs. Ceux qui sont tués naturellement sont ajoutés à ceux de la récolte. Si on pense que ceux qui vont être tués par la chasse sont le splus vieux se sera de la mortalité compensatoire. Si c’est une chasse aléatoire, ce sera de la mortalité additive puisque des individus qui pourraient survivre vont être tués.,
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22
Q

Mortalité additive et compensatoire

A
  • La mortalité qui ne se traduit pas par une augmentation de la mortalité globale, juste une augmentation des morts.
  • La mortalité compensatoire est la mortalité d’individus qui risquait de mourir ANYWAY
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23
Q

La récolte de quel individu aurait un effet plus important sur la dynamique de population ?

A
  • Si on tue une femelle de 6 ans et que son taux de survie était assez élevé pendant une longue période on va regarder quel serait l’effet potentiel de son enlèvement. On va regarder son potentiel de recrutement sur plusieurs années pour voir l’effet de sa mort. On va voir qu’en fonction de sa survie moyenne, productivité, sex ratio et survie moyenne l’effet de sa mort sur 5 ans est d’enlever 1,94 femelles de 1 an.
  • Avec les jeunes, si on enlève un veau, en fonction des données on va voir qu’après 5 ans l’effet va être d’enlever 0,56 femelles de 1 an.
  • En retirant un veau de moins d’un an : la population est privée d’un demi femelle ou un individu. L’impact est 4 fois plus intense pour une femelle que pour le veau, ce n’est pas le même effet. Si la différence est encore plus contrastée entre les différentes étapes de cycle de vie, le gap sera encore plus grand entre les individus.
  • Il y a des situations où la récolte impose de manière plus recommandable. On voit qu’en fonction des espèces il y en a certaines qui ont beaucoup proliféré avec la récolte par la chasse.
24
Q

Gestion des cormorans

A
  • En Ontario sur l’île avant que les cormorans arrivent il y avait beaucoup de végétation. Leur arrivée a menée à un impact sur la végétation en la diminuant. Alors, pour préserver les écosystèmes on a dit qu’il fallait faire un prélèvement (chasse). Cependant, ici la chasse ne serait pas le bon choix pour stimuler la conservation puisqu’il y a eu beaucoup de conflit avec la société. Les chiffre comme tel peuvent frapper l’imaginaire et le passage entre l’écologiste et la population n’est pas passée adéquatement.
25
Q

Ours – gestion

A
  • Le problème est qu’il y a beaucoup de communautés ou il y a des problèmes de faune et l’humain n’est pas facile. Il y a une population élevée dans ces régions donc le choix d’arrêter la chasse n’est pas justifiée par la science. La chasse serait dans ce cas un meilleur choix puisque l’ours peut avoir des impacts sur d’autres espèces. Cependant, le groupe de pression des animaux ont poussés vers l’arrêt de la chasse même si la science dit le contraire.
26
Q

Chats – gestion

A
  • Le problème du mouvement de conservation pour le bien-être des animaux plutôt que celui de la biodiversité est qu’on ne cible pas le bon problème. La conséquence de la grande présence de chat est que la mort de 12 milliards de morts d’oiseaux et de rongeurs est causée par ce mammifère. Il y a aussi 33 extinctions à cause de leur présence. Cependant, la problématique de conservation ici est que les chats sont protégés par le welfare des chats. Une solution serait de couper les premières phalanges pour enlever les griffes.
27
Q

Impact des cerfs de Virginie – Anticosti

A
  • On a mis une barrière pour empêcher les cerfs de brouter la végétation.
28
Q

Trop de cerfs – impact

A
  • La chasse est souvent insuffisante pour contrôler des populations d’ongulés.
  • Les impacts négatifs sur l’écosystème sont souvent évident à des densités de cerfs bien inférieurs à K.
  • Utilisation de ressources non-renouvelables.
  • Problème social : foi en un équilibre ‘naturel’, partout tout le temps et à toute échelle spatiale ou temporelle : ça devient plus un problème social que scientifique, le problème est de convaincre les gens que c’est ce qu’il faut faire pour la population.
  • Quand la population devient trop abondantes il y aussi des augmentation dans les collisions entre animaux et véhicules (pic en novembre avec la migration et la reproduction). Il y aussi un pic de décès humains. Quand les populations deviennent trop abondantes il commence à avoir aussi un pic d’acceptation des populations.
29
Q

Exemple de trophy hunting – problème conservation

A
  • Un dentiste a tué un lion qui était un des plus vieux lions d’un parc en Afrique. Il avait la permission de tuer un lion mâle avec le permis qu’il avait mais il a chassé Cecil à partir d’un hélicoptère et a attendu que le lion sorte de sa zone de protection où il était légal de le tuer. L’individu était suivi et protégé, mais il a quand même été tué. On peut conclure cependant que ce type de méthode peut protéger plus du double de la superficie des terres. C’est un incitatif de conservation qui est beaucoup plus lucratif que les activités récréotouristiques dans les parcs et donc sa place est très difficile à pallier. Le problème c’est qu’on ne sait pas si l’argent est vraiment utilisé pour financer la conservation par la suite. Autre problème, parfois le territoire pour le trophy hunting est plus grand que celui pour la conservation.
30
Q

Trophy hunting – conséquence

A
  • Une rétroaction évolutive peut être créée de manière éco évolutive chez les pôpulations. Cette activité peut créer une pression d’évolution qui peut être maladaptative pour le fitness. Dans ce cas, le principal trait qui était utilisé pour la chasse était la distance entre la base des cornes et la pointe pour avoir un curl plus grand possible. L’évolution a ainsi menée à une évolution vers des plus petites cornes et une masse plus faible à la maturité. Les deux traits avantageux pour la reproduction en situation naturelle sont ici les mêmes qui sont associés à une bonne chance ce qui accroit aussi leurs chances d’être chassés. Les mâles qui avaient une croissance de cornes plus rapide était aussi ceux qui avait une masse grande plus rapidement. Ils Étaient aussi ceux qui risquait d’avoir plus de jeunes. L’effet a donc été direct sur la population en retirant les mâles qui risquaient d’avoir le plus de jeunes. Si le jeune tué était de 6 ans et moins c’était parce qu’ils avaient la croissance la plus rapide.
  • Une diminution de la valeur adaptative de la taille des cornes et de la masse corporelle élevée des béliers suite è 30 ans de chasse au trophée a été observé. La valeur des cornes et de la masse est passée de + à -. Plutôt que sélectionner naturellement, il y a eu une nouvelle pression naturelle provennant du fait que ceux qui croissait le plus rapidement était ceux qui étaient le plus facilement tués.
  • Une tendance négative de la longueur des mâles a été observée durant ces années en ayant une diminution.
  • La valeur adaptative de la longueur des cornes a eu une tendance négative jusqu’à la mise en place d’un moratoire sur la chasse qui a permis de réaugmenter la valeur.
  • Les données étaient assez frappantes. On voyait que l’âge auquel les jeunes étaient abattus était aussi associés à une grande taille de corne, ce qui voulait dire que c’étaient des jeunes à croissance rapide. Ceci montre que les jeunes qui étaient tués était ceux avec la croissance la plus élevée et c’étaient donc les meilleurs mâles. Il y avait une asymétrie du succès reproducteurs chez les mâles. La croissance rapide des cornes en bas âge avait pour effet de diminuer l’espérance de vie des béliers en Colombie britanniques sous une gestion de sélection pour des cornes en full curl.
  • L’effet c’est manifesté par une diminution de 4% des cornes en 28 ans et une diminution des caractéristiques des mouflons tués, ceux tués étaient plus petits. On fait l’hypothèse que cette pression a nuit sur le fitness moyen. Il y avait moins d’individus légaux à 4-5 ans.
  • Il suffit que ceux avec le meilleur phénotype soient tués et qu’ils soient ceux avec le meilleur succès reproductif pour qu’il y ait un grand impact sur la population. Le fort succès reproducteur des mâles matures avec des grosses cornes menait à un impact important quand ils étaient enlevés de la population. Survivre jusqu’à 6-7 ans est la clé du succès reproducteur des grands mâles.
  • Plusieurs chercheurs ont dit que la théorie était fausse et qu’il était impossible qu’il y ait cet effet. La simulation ne montrait pas une baisse significative en quelques années
  • D’autres populations n’ont pas eu cet effet de la chasse. Au Peace, la forte pression de chasse à mener à un rapetissemnet de la population alors qu’à skeena il y a pas eu d’effets apr une faible pression de chasse. On est partis à une population ish similaire, mais on a pas eu les même trajectoire. La seule différence était la chasse.
  • Avec les chamois mâle il y a eu une forte croissance compensatoire des cornes avec les individus à croissance lente en début de vie qui vont rattraper les autres qui sont à maturité sexuelle.ceux qui grandissent plus vite en plusieurs années vont rapidement être rattrapés par les autres de manière compensatoire. Si on avait cette trajectoire avec les mouflons, la longueur des cornes ne serait pas représentative du fitness et de la capacité phénotypique. Pour les chamois mâles, la longueur des cornes n’est pas corrélée à la masse adulte à cause de la croissance compensatoire et on se retrouve donc pas avec de la sélection vers une taille plus petite même avec du trophy hunting. La corrélation après un certain âge plus vieux disparait et atténue la réponse évolutive avec la chasse aux trophées.
31
Q

Cerfs – conséquence chasse

A
  • 80 à 85% des cerfs mâle sont tués vers un an. Les conséquences observées peuvent être importantes pour l’évolution, la gestion et l’écologie de l’espèce.
32
Q

Quels facteurs de la chasse aux trophées mènent à la sélection artificielle ?

A
  • Il y a plusiuers facteurs qui permettent de répondre à différentes réponses évolutives pour la chasse aux trophées. Pour les mouflons, on aurait comme cause principale uen héritabilité faible ou modérée ou une intensité de la chasse qui est faible et modérée.
33
Q

Conséquence évolutive du braconnage sur les défenses d’éléphant

A
  • Ils ont une grande pression de chasse et on a donc étudié l’évolution de l’absence de défense chez les éléphants. Pendant les années de guerre, le parc de National Gorongosa a été fermé aux biologistes et le braconnage pour financer leurs campagnes. ÀÈ la fin de cette guerre, les effets d’une forte pression de sélection menant à l’augmentation des éléphants sans-défenses a pu être observée. Un changement rapide de la structure phénotypique et génotypique de la population d’éléphants au parc National Gorongosa a pu être observée. La proportion d’éléphants femelles sans défenses a presque triplé en seulement 30 ans. On avait déjà connaissance de la présence de femelles sans défense et on savait que les principaux phénotypes étaient deux défenses ou sans défenses. Après la guerre, plus d’une femelle sur deux n’avait pas de défense et après la guerre cette proportion diminuée.
  • La transmission du trait sans défense est caractéristique monogénique gène lié au chromosome x avec un effet léthal récessif chez les mâles. En ce sens, le phénotype est juste retrouvé chez les femelles, une femelles sans défenses a une chance sur deux de produire une femelle sans défense et une femelle sans défense produit des femelles avec un rapport 2:3. Les femelles avec défense produisent presque exclusivement des individus avec défenses alors que ceux sans défense vont avoir ½ femelles sans défenses. Puisque pour être tusckless tu dois être homozygote et qu’il se situe sur le chromosome x, il est impossible d’avoir des mâles tusckless (hetero = léthal). On a 2/3 de femelles produites et 1/3 de mâles produit puisqu’ils ont un seul x et si il est tusckless il meurt. Tout les mâles de mère sans défense sont avec des défense, mais la moitié des mâles reçoivent le petit d et meurent avant le développement. Donc juste 1/3 peut être mâle.
  • La différence avec les mouflons est qu’ici en juste 2-3 générations ont a presque triplé l’effet, l’héritabilité élevée du trait et le fait qu’il est simplement codé, il y avait une forte pression induite par la chasse et une faible probabilité d’atteindre un âge dans la reproduction.
34
Q

Systèmes avec effets soutenus

A
  • Avec la pêche à chalus de certains poissons marins la maturité sexuelle est maintenant atteinte plus rapidement à des tailles plus petites. On pense pas que c’est de l’évolution, mais plutôt de l’évolution plastique et que si on enlève les pression les populations devraient revenir à leurs tailles initiales.
  • Les changements phénotypqiues observés par les changements climatiques sur les populations animales vont obsercés. Des changements dans l’aire de sistribution et phénologiques vont aussi se voir. Avec les études, comme celles qui ont étudiées la pondaison des hirondelles plus hâtive et observé chez d’autres espèces, sont causés par des changements plastiques à cause des changements rapides. Cependant, ces effets ne peuvent pas s’étirer infiniment et des changements additifs vont avoir des impacts importants.
35
Q

Contrôle des prédateurs

A
  • En théorie, si on diminue le nombre de proies tuées par les prédateurs, on augmente le nombre disponible pour les chasseurs. La supposition est aussi que les prédateurs limitent la population des proies. Il y a un défi de gestion des populations animales quand on commence à ouvrir un sujet d’intervention (pour conserver x on doit gérer y).
  • Problème biologique : Il faut déterminer que les prédateurs limitent la population et que leur contrôle éliminera cette limitation. Il peut y avoir des problèmes liés à ce contrôle.
  • Problème social : si la majorité des gens détestent cette activité, le contrôle des prédateurs peut mobiliser le public contre toute forme d’exploitation ou de gestion de la faune.
  • Problèmes économiques : le contrôle des prédateurs coûte cher et les prédateurs peuvent se rétablir dans un délais très court. L’exemple de la réserve papineau labelle où le premier objectif était la protection des loups a été un échec par le fait que les loups ne restait pas dans la réserve. Pendant un certain temps, la population de loups est devenue plus grosse et on c’est inquiété des impacts potentiels sur les castors, cerfs,etc. Suite à l’enlèvement de 71% des loups, il a fallu 8 mois à la population pour rétablir les nombres. Le coût du contrôle aérien a été de 220$ apr loup  servis à rien et coûteux !
  • C’est pas facile de différencier les effets des prédateurs, compétiteurs, etc. et les effets entre eux : on doit voir les impacts potentiel de la gestion. Est-ce que si on diminu telle espèce ça va en augmenter une autre ?
  • La prédation peut avoir des impacts sur d’autres populations protÉgées donc il faut faire attention
  • Plus la fréquence de prédation est grande, plus les chances d’extinction sont grandes.
  • Les interaction entre espèces peuvent mener à mal les efforts de gestion des prédateurs. Le loup dans le nord des provinces de prairies et de l,ontario a été blamée pour le déclin des carbou, mais si on enlève le loup on se rend compte qu’il commence a avoir une augmentation d’autres compétiteurs du territoire comme l’orignal. Il y a d’autres pressions sur les populations. En ce sens, tout changement dans l’habitat ou l,environnement a des impacts dans les réseaux trophiques. Ici l’effet des loups est exacerbé par la gestion du territoire avec la coupe forestière qui découple le succès de la chasse des loups. Donc cettce gestion a ausis des impacts importants impacts importants. Pincipal driver du déclin, derrière les relation trophiques, c’est presque tout le temps la modification de l’environnement comme la foresterie, gaz, pétrole, skiddo. Les effets sur les loups on a vu plusieurs impacts on peut voir explosion des population de caribou ou wapiti et les loups quand ils sont en situation dif vont aller attaquer les carivous/wapiti ce qui mène à une augmentation des populations de loups.
  • Le vrai problème pour ces espèces
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Q

Prédation et population de mouflons

A
  • On a comparé la croissance de deux populations de mouflons avec etr sans prédation par les cougars. On a vu que le taux de croissance de la population quand la mortalité était causée par différentes cause. La mortalité par la chasse n’était pas exactement la même pour la chasse et la prédation. On avait pas le même impact sur le taux de croissance et on pouvait s’attendre que l’effet de la chasse était plus additif que celui de la prédation. En présence dees cougars on a vu un déclin majeur qui n’était pas présent sans prédation. Si c’était l’effet de la chasse au trophée est ici on aurait une image différente et on aurait pas de baisse de la population et seulement une baisse quand on a des incitatifs de braconnage illégal.
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Q

Caribou, orignal, loup et ours

A
  • Le vrai problème ce n’est pas la prédation mais c’est plutôt l’altération du paysage causé par les activités anthropiques comme la foresterie, le gaz, le pétrole ou encore le skidoos. Pour les caribous, on voit que le taux de mortalité des agneaux par les loups est bien plus important pour les endroits perturbés apr les humains. Ici, le problème n’est pas les loups, mais dans d’autres situations ça peut l’être et leur gestion peut alors aider.
  • Au début de l’altération on va avoir une diminution des caribous à cause de la prédation. Deux problèmes sociaux se posent à ce moment : la prédation est plus facile à médiatiser que l’écologie des communautés et le partage de l’idée de la foi en un équilibre naturel tout le temps et à toute écuelle spatiale ou temporelle est partagée.
  • Le problème ne se voit pas juste plusieurs années plus tard ou dès la perturbation, on a remarqué que même dans les zones où les coupes ont été faites il y a 40-50 ans, la probabilité de trouver des caribous reste basse et demeure diminuée. D’autant plus, on remarque que la probabilité de retrouver des caribous est encore plus faibles pour les coupes historiques que pour les coupes récentes
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Q

Feux de forêts, perturbations et conservation des caribous (?)

A
  • Beaucoup de personnes ont aussi pointés du doigt cette perturbation pour expliquer les pertes de biodiversité ou autres. Cependant, cette action est problématique et bizarre puisqu’on sait que ces feux font partis des cycles normaux de la forêt. Si on regarde le proxi de fitness des population (le nombre de baux qui survivent jusqu’à un certain âge) et on voit que le R2 (proportion de variance dans la réponse qui est expliquée par les prédicteurs) est pas fort. Si on fait la même analyse mais pour les perturbations de l’habitat on va avoir une r2 beaucoup plu puissant et donc un facteur qui vient expliquer beaucoup mieux la variation dans le recrutement. L’ajout des pressions anthropogéniques de l’habitat viennent expliquer 50% des différences de recrutement dans les troupeaux. Si on combien tout, on voit que ce sont les perturbations qui viennent causer les plus gros problèmes.
  • En analysant les caribous forestiers dans les populations résiduelles de Colombie britannique et les traitements qu’on a fait sur le territoire ou sur le réseau trophique on a pu voir si les changements ont bénéficié la population ou pas. On a en particulier comparé des populations avec et sans interventions pour comparer le lambda des populations avant et après intervention. Une flèche grasse montre un effet significatif. On peut voir que dans une population où on a déplacé les individus, on a observé une diminution jusqu’à leur extinction. Pour les populations sans intervention (contrôle) il n’y avait pas de changements significatifs. Lorsqu’on avait des impacts par nous on avait souvent des changements significatifs dans la population surtout lorsqu’on enlevait les loups ou les orignaux. On peut voir par les effets non communs pour les mêmes gestions que chaque population semble avoir sa propre problématique et qu’une intervention sur le taux vital soit l’effet le plus critiques et les plus utiles sur les veaux (pas toujours les plus grands). Pour avoir une bonne gestion, il faut alors séparer les populations et les voir comme des unités différentes.
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Q

Gestion des populations – analyse de la situation

A
  • Quand on fait face à une problématique de gestion de populations (surtout lorsqu’il y a des prédateurs), il n’est pas évident de savoir ce que le contrôle du prédateur va avoir comme impact sur le reste. On ne sait pas aussi ce qui est le problème initial. En fait, il faut se rendre compte que chaque situation est différente et possède ces propres questions.
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Q

Gestion des populations – analyse de la situation

A
  • Quand on fait face à une problématique de gestion de populations (surtout lorsqu’il y a des prédateurs), il n’est pas évident de savoir ce que le contrôle du prédateur va avoir comme impact sur le reste. On ne sait pas aussi ce qui est le problème initial. En fait, il faut se rendre compte que chaque situation est différente et possède ces propres questions.
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Q

Où est passé l’équilibre naturel?

A
  • Chaque processus écologique des communautés (proie, prédateurs, compétiteurs, etc.) dépend des échelles spatiales. Cependant, on vout maintenant que ces équilibres ont disparus., Pour les espèces qui dépendent de plusieurs choses et dépendent d’une complexité, il faut regarder à de plus grandes échelles pour se rendre compte de l’ampleur des effets et aussi regarder les différentes échelles. On regardera l’échelle temporelle, spatiale, la fragmentation/destruction de l’habitat, la présence des espèces exotiques, les interventions artificielles et les changements climatiques.
  • On pourrait dire que la nature est un équilibre et que quand on la laisse tranquille elle tend à revenir à son état initial. Cependant, lorsqu’on a beaucoup de modifions, le retour à l’initial devient difficile et il devient nécessaire d’intervenir.
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Q

Problèmes philosophiques intervention

A
  • Il se place alors des problèmes philosophiques lors des interventions : est-ce qu’on le fait parce que c’est la seule solution ou c’est parce que c’est un raccourcit pour le régler. Il faut aussi savoir qu’il y a des pressions politiques et sociales qui viennent influencer les choix. Parfois, il y a des manques de données et des visions à courts termes qui viennent influencer les choix. Il est difficile de communiqué entre scientifique et population pour certaines problématiques. Il faut aussi savoir que les gestionnaires ne sont pas l;à pour améliorer la nature mais bien pour régler les problèmes. La nature n’avait pas de problèmes avant nous.
  • Les interventions sont parfois justifiées pour régler des activités humaines : on est souvent dans des situations où les activités humaines ont complétement changé la règle du jeu
  • Les préférences sociales doivent aussi être prise en considération, amis parfois notre rôle est de les influencer en leur expliquant pourquoi le choix est pris. Une intervention efficace est quand ces variables sont prises en compte. Parfois, il faut quand même prendre le choix des scientifiques même si la population est contre.
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Q

Toute récolte aura un effet sur les populations exploitées

A
  • Il est sûr que les prélèvements vont avoir des effets mais parfois ils peuvent être négligeable ou important. En ce sens, il faut quantifier ces effets et décider quels effets sont acceptables (on pourrait regarder l’elasticité). Par la suite, connaître les conséquences de ces effets pour la dynamique des population et l’évolution et choisir parmi les stratégies alternatives. En conservation, on va chercher à diminuer les impacts de l’exploitation par rapport à la situation naturelle.
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Q

Problème avec l’élasticité

A
  • Concrètement dans la vraie vie, on a des taux vraiment variables mais même si le modèle dit que le trait est vraiment le plus élastique, on peut difficilement venir l’augmenter quand il est déjà à 90%. On aurait réellement des conséquences faibles de nos actions. Il faut alors encore regarder aussi la variabilité pour voir si on peut la réduire et avoir des effets plus importants que si on agissait sur l’élasticité.
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Q

Conséquences Trophy Hunting – démographique

A
  • Si on a autorisation de cette activité pour les mâles de 5 ans ce ne sera pas la même chose pour le reste. Quand on aura une certaine sénescence qu’il y a une grande influence alors si on a une chasse pour les mâles de 5 ans alors que c’est après les hauts taux de mortalité on n’aura pas les mêmes effets et on aura une conséquence sur la structure d’âge.
  • Le nombre d’individus tués pour les orignaux en fonction de leur âge on voit qu’on tue beaucoup plus de jeunes ce qui aura un impact fondamental sur la trajectoire de la population.
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Q

Loups yellowstone

A

Loups yellowstone
- Sinon avec les elk tués par le loups dans yellowstone on a fait un système d’étude utilsé en écologiqe pour voir l’influence de l’augmentation de la population pour voir l’influence sur les autre espèces. Le profil de mortalité pour les wapitis tués par les loups montrait qu’il y avait beaucoup d,individus dans l’âge intermédiaire qui était tués. Le problème avec ces données est qu’on c’est basé sur les carcasses et souvent pour les jeunes il ne reste plus de carcasses. On aurait dû voir des données qui montre qu’on a beaucoup de mortalité pour les plus jeunes et les plus vieux (les plus vulnérables). Certains biais ici. Une autre analyse faite a comparé les mortalités associées aux loups et à la chasse et ce qu’on a pu analyser est la présence de deux pics pour la prédation soit pour les sénescents et les veaux. Pour la chasse, le pic est pour les adultes. Alors, on peut voir par cette analyse que ce qui risque d’influencer le plus la croissance lamba est la chasse qui vient ajouter de la mortalité additive comparativement aux loups. On voit que ce ne sont pas des effets équivalents.

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Q

Chasse chamois alpes

A
  • On a une population dans un parc qui n’est ni exploitée ou chassée et on a fait un diagramme avec en noir les chamois du parc, en blanc et gris ceux tués par la chasse et en blanc la pénalité si la femelle est allaitante. On va voir que la proportion de jeunes est bien plus élevée pour les zones avec chasse et associé aux prix élevés de pénalité si la femelle est allaitante (blanc aussi élevé à bas âge). On va donc essayer de tuer des individus plus vieux pour éviter de payer les prix ce qui influence la population puisque les individus plus vieux vont être retrouvés dans la population qui est gérée et non celle naturelle. En diminuant la compétition intraspécifique en tuant les autres individus, les vieux peuvent vivre plus longtemps.
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Q

Différences entre population d’ongulés chassées et naturelles

A

*effets principaux
- Sex ratio : beaucoup moins de mâles
- Structure d’âge : beaucoup moins de jeunes
- Âge moyen des mères : plus jeunes
- Mortalité majeure : automne plutôt que fin hiver

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Q

Conséquence de la chasse sur les populations animales (ongulés principalement)

A
  • Peut être différent pour différentes espèces, ce sont des effets un peu moins évidents
  • La survie adulte est plus élevée (moins de mâles, peu ou aucune femelle sénescente) : survie augmentée par une diminution de la compétition intraspécifique et une diminution de la mortalité naturelle. La compétition mâle mâle risque d’être moins intense
  • Plus haut taux de reproduction (mêmes raisons que plus haut) : plus grosse fraction risque d’être importante pour repro
  • Plus forte survie hiverbale (compétition réduite par la chasse) : maintient une population à moins de monde ce qui a un effet de compétition qui risque d,être moins perceptible et fort
  • Plus sensible au climat et à la densité ?
  • Sélection pour une stratégie de reproduction « souris »? repro plu rapide?
  • Fort potentiel d’éruption : arrête la pression de reproduction et si on enlève la pression on prend moins de temps pour une explosion démographique.
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Q

Parasites et maladies – conséquences pour la conservation

A
  • On a plusieurs conséquences sur les espèces sauvages de l’introduction d’espèces invasives provenant souvent d’espèces domestiques ou d’autres pays :
  • La plupart des individus de la plupart des espèces sont parasités. On peut noter la prévalence (proportion d’individus parasités) et l’intensité (nombre de parasites par individu parasité) de ses propagations.
  • Certains parasites et maladies qui sont transmissibles au bétail domestique sont la tuberculose, la brucellose, la gale ou encore la fièvre aphteuse. En ce sens, les effets s’étendent à L’agriculture et pas qu’à la biodiversité. En affectant le bétail on peut aussi aller affecter la biodiversité (ex : tuberculose, passés des cervidés à bétail plusieurs fois).
  • On peut aussi avoir des problématiques de santé quand les zoonoses franchissent la barrière humaine. Plusieurs cas de maladies sont associés à ce cas : on a la rage (la frontière avec les États-Unis il commence à avoir beaucoup d’immigration de raton laveurs), l’anthrax, la maladie de Lyme, l’encéphalite spongiforme (cervidés d’habitude, mais quand on arrive aux bovidés, si un humain le mande il a des chances d’être infecté), la maladie débilitante (peut-être), la grippe aviaire (peut-être). Dans ces cas, la meilleure intervention est la prévention en faisant des contrôles sanitaires sur les animaux domestiques et empêcher le contact entre animaux domestiques et sauvages.
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Q

Historique de la rage du raton laveur

A
  • La rage du raton laveur s’étend sur l’ensemble de la côte Est des États-Unis depuis les années 50, mais elle a connu une forte augmentation depuis 1980. Depuis, le front épidémique progresse d’environ 30 à 48 km par ans. Les premiers cas au Canada ont été détectés en 2006 lors de l’été. Dans ce cas, ce virus a toujours été endémique de l’Amérique centrale et du nord, mais avec les changements climatiques elle ne cesse de progresser. L’autre problème est qu’en Virginie occidentale on a eu un premier cas d’un individu qui a contracté le virus, mais celui provenant du sud des Amériques puisqu’il avait été déplacé pour la chasse. Maintenant celui majoritairement retrouvé est celui qui ne devrait pas être là. On se retrouve maintenant avec plusieurs centaines de cas de rage chez les ratons laveurs. Dès qu’on a recensé le premier cas, on a commencé un programme de surveillance très développé au Québec. On a aussi fait des programmes de vaccination par épandages aériens pour vacciner les ratons laveurs de la rage en fonction de leurs aires de déplacement. On a détecté les endroits où ils étaient les plus susceptibles de se déplacer et on a remarqué que c’était souvent en bordure de champs. Ce programme a été efficace est bien compris ce qui est différent que pour la maladie de Lyme où ça a pris du temps pour que les diagnostics soit adéquats.
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Q

La cheratoconjonctivite

A
  • Maladie transmise du chamois au mouton ou du mouton au chamois, on n’est pas trop sûrs. Parfois, on ne sait pas qui l’a transmis. Ici on a beaucoup de mortalité naturelle à cause du fait que beaucoup d’individus deviennent aveugles.
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Q

Chancre du noyer cendré

A
  • Pour le chancre du noyer cendré on ne connait pas son origine. Cependant, on a plusieurs facteurs qui suggérerait que ce soit un pathogène exotique qui a été récemment introduit. Par mis ces facteurs, on a la propagation rapide et agressive de la maladie, la rareté des noyers cendrés résistants, l’absence de diversité génétique chez le champignon et le fait que ce sont les chancres les plus vieux qui semblent avoir environ 50 ans. On pense qu’il a été introduit par accident dans la côte ouest américaine, mais on ne saot pas vraiment d’où ça vient.
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Q

Syndrome du museau blanc chauve-souris

A
  • On a deux espèces qui ont déclinées à cause de cette maladie soit la petite chauve-souris brune avec un déclin de plus de 90% en réduisant les colonies en tuant prêt de 90% des individus. On connaît l’épicentre qui est une caverne aux états unis. On pense qu’un individu a dû visiter une caverne en Eurasie avant de visiter celle-ci et a amené le champignon en Amérique du Nord. Il a pu par la suite se propager vers les rocheuses et dans le reste de l’Amérique du Nord. On a beaucoup de cas pour 2 espèces québécoises et 3 espèces en Nord de l’Amérique. Elles sont très résistantes comparativement aux chauve-souris d’Eurasie qui semblent avoir développés une résistance.
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Q

Prions – cas

A
  • Dès que les cervidés provenant d’élevage ou autre est envoyés en abattoirs ou qu’on pense qu’il y a des chances que le bovidé l’ait contracté on va faire des tests pour détecter la présence de prions. On la fait parce qu’on sait que cette protéine est excessivement mortelle.
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Q

Problèmes des espèces exotiques introduite

A
  • Un peu les mêmes conséquences que pour les maladies et pathogènes. La problématique est notable aussi lorsqu’on sait qu’une espèce sur 4 possédant le statut de least concern possède comme facteur de risque élevé la présence d’espèces introduite.
  • On a des problématiques importants de risques d’extinctions à cause de l’introduction d’espèces et de pathogène ce qui amène de réelles préoccupations pour la biodiversité et pout les systèmes bioalimentaires.
  • On peut ressortir comme principales conclusion que même pour les endroits avec une haute richesses spécifique qui se maintient par le remplacement des espèces éteintes par les espèces introduites, il est possible de voir une réduction de la diversité par une Uniformation de la biodiversité ce qui vient menacer le bon fonctionnement des écosystèmes et de leurs biens.