Gestion de la faune Flashcards
Comment pouvons-nous faire de la gestion de la faune ?
- Chasse (subsistance, récréative, trophée)
- Piégeage (gain économique, récréative, traditionnelle/culturelle)
- Tourisme (photographie, observation des oiseaux, écotourisme, etc.)
- Prévention des dommages économiques
- Résolution de conflit entre la faune et les sociétés humaines
Que faut-il faire en conservation ?
- Identifier les objectifs de conservation et un but concret qui est atteignable et ce qui est requis pour y arriver. Ceci aura pour effet de diminuer les erreurs. Souvent els efforts sont mal investis et quand les actions sont posées l’effet va être une complexification des tâches pour atteindre le but ultime (au lieu de diminuer le coût il va augmenté, l’acceptation sociale devient plus complexe, la science perd de la crédibilité). Les actions peuvent éloigner du but initial en affectant la biodiversité, en allouant des ressources aux mauvais endroits, en mettant à dos des partenaires, …
La gestion est manipulative ou conservatrice ?
- Est-ce qu’on fait de l’exploitation avec un rendement soutenable ou de la conservation ?
- Il y a eu 4 objectifs possibles de gestion pour une populations d’animaux sauvages : la faire augmente ; la faire diminuer (en gestion des réseaux trophiques altérées où ceux d’en haut sont plus là et il y a des impacts multiples par surabondance d’une espèce on peut chercher à la diminuer) ; l’exploiter d’une façon soutenable à son niveau actuel ; La laisser telle quelle mais sou surveillance (essayer d’être moins interventionnisme et essayer de réguler sans faire des interventions).
Plan de gestion des Cerfs de virgine
- Cet exemple montre que le plan de gestion n’est aps obligé d’être le même partout. Ici on a pas la même gestion selon les régions par une variation dans l’abondance des individus dans les populations. ON peut checrher à des endroits à maintenir la population alors que dans d’autre son peut chercher à les diminuer.
Quel est le processus décisionnel ?
en conservation comme on a un projet, il est utile d’identifier ces différents points et voir s’ils sont réalistes (ex : réalistes ?)
1- Quel est le but?
2- Est-ce que le but est atteignable ?
3- Comment décider quand le but est atteint ?
4- Comment atteindre le but ?
5- Quels sont les coûts (de tout types)? Ai-je les ressources nécessaires pour atteindre le but ? (pas juste monétaire, aussi savoir quels sont les différents acteurs à mobiliser)
6- Quels sont les bénéfices?
7- Est-ce que les bénéfices seront plus que les coûts? : bonne chance qU,on n’accepte pas le projet si il n’y a pas cette partie. Les bénéfices ne vont pas juste être chiffrés en service écosystémique.
Donnez des exemples d’objectifs nébuleux qui mènent à un échec des projets
- Protection de la valeur intrinsèque naturelle : Ce serait bizarre pour un écologiste de décider de protéger une espèce rare qui a toujours été rare en disant que si elle disparait il va avoir des impacts majeurs. Ce ne sont pas des espèces clefs de voute (pierre au centre qui si on l’enlèbve, tout s’écroule = changements fondamentaux). Une espèce rare peut quand même en avoir.
- Sauvegarder la valeur naturelle pour les générations futures
- Accomplir son rôle écologique ; on peut mettre l’emphase dessus et parler du lègue
- Contribuer à l’équilibre écologique
- Objectifs irréalistes : assurer le maintien des stocks et augmenter l’exploitation commerciale
Préoccupation lorsqu’on exploites des individus dans des populations
- Quand on exploite de manière répétée dans le temps pour avoir des ressources on essaye de déterminer quelle est la quantité maximale d’animaux qu’on peut retirer par années. Si la population croît avec un certain taux et qu’on estime qu’elle est densité dépendante on va se baser là-dessus pour établir les quotas. À mesure que la population va augmenter, la croissance de la population va diminuer. On va assumer une relation linéaire qui va avoir une prédiction universelle qui est qu’il y a un point d’inflexion dans la croissance qui fait que quand la population est trop nombreuse, la population tend à décroître (parce qu’on doit commencer à faire un partage des ressources).
Nombre individus qu’on peut prélever
- Ce n’est pas vrai que le taux de croissance croît linéairement avec le taux de la population. Si on regarde l’excédent (au-dessus du taux de croissance de 1) par rapport à la constante qui est 1000 (à mille la croissance est nulle, on ne peut pas soutenir plus que 1000 individus). La croissance est maximisée à k/2 ce qui va être à la base de plusieurs décisions parce que ça assume que chaque individu enlevé va contribuer à faire augmenter le nombre de ressource disponible pour chaque individu. Ce chiffre va donner le rendement soutenu maximal.
- Le rendement soutenue maximal permettrait de maintenir la population à un nombre élevé mais à un taux de croissance plus faible.
Qu’est-ce que le rendement soutenable maximal assume ?
- Il est à la densité k/2, il ne change pas d’une année à l’autre, il y a une relation linéaire entre le taux de croissance et la densité, la relation entre la densité et le taux de croissance est toujours négatives, on est capable de calculer K et des connaissance parfaites de la taille de population et de la récolte
Quels sont les problèmes de ces suppositions (RSM) ?
- On assume que la capacité de support ne change pas d’une année à l’autre. Cependant on a des preuves que ce n’est pas le cas. Avec les saumons de l’atlantique, la population n’a pas crashée parce qu’on savait exactement le nombre d’individus quid descendait la rivière à chaque années et on faisait des changements en fonction de ces données. On était capable donc d’avoir une idée des fluctuations naturelle dans les tailles de population
- Il pourrait avoir des effets Allee
- Calculer K est difficile pour plusieurs espèces, comme des espèces marines de grande profondeur. On a besoin de bonnes connaissances sur les populations et leur exploitation. Le K thérorique serait basé sur le nombre d’individus si on a absence de prélèvement
Qu’est-ce qui se passe si la relation entre r et la densité n’est pas linéaire ?
- Le taux potentiel d’exploitation n’est pas toujours densité dépendante et le RSM n’est pas à 0,5K. Si on a plutôt une relation comme celle qui est en beleu, on va avoir une population qui à la place de diminuer linéairement ne verra pas l’effet d’une diminution de la densité de population et se verra même augmenter un peu. On voit alors que le K2 dans la population est passé au-dessus du taux de croissance. Ici on pourrait prélever pour maintenir la population à plus de k/2 en terme économique et écologique. Si le taux de croissance est relié plus à la taille de la population, on va accélérer le déclin parce qu’on va enlever des individus sans contribuer en en rajoutant.
- Avec l’effet Alle l’exploitation d’une population est très dangereur parce qu’on doit savoir à quel stade la population est pour être en régulation et non en effet anti-régulateur.
Effet Allee – Ram mountain
- On peut observer une forte densité-dépendance en survie des agneaux et en âge de primiparité. Si on ajoute les points des années plus récentes on va perdre cette relation linéaire, mais dans les autres années on pouvait voir que la survie jusqu’à un an montrait un effet Allee difficile à quantifier en ayant des données plus fortes avec des nombre plus petits d’agneaux. Pour toutes les années de 1996 à 2005 on a de valeurs petites qui montre une survie pour les agneaux assez faible à cause d’un manque de défense pour la prédation. Avec L’effet de rajouter des points des dernières années on a une atténuation de l’effet Allee en tirant la courbe vers du plus +. On voit que dans les premières années, il y avait un avantage à être plus nombreux.
Caribou Nord du Québec
- On voit des populations très grosses avec une dépendance observée avec un petit délais. On a tenté d’expliquer le déclin important par le fait qu’il y avait une modification importante de l’habitat. Avec les série temporelles, on voit une tendance vers le déclin de la population il avait un effet alle ça va encore moins bien . En réalité, on n’avait jamais atteint les tailles de l’année 1990, où on était en dessous de la capacité de support en réponse du fait d’être en dessous de la capacité de support on a vu un fort déclin. Paf la suite, on a vu un retour de l’effet dépendant, mais si on compare la taille, plus la population est petite plus on continue le déclin. On va avoir les premières années avec un déclin majeur ce qui est classique de la densité dépendance.
Bouquetins – neiges
- Le couvert de neige est un bon indicateur de survie moyenne parce que la neige va perdurer longtemps et va monter un manque de ressources. La croissance de la population va être limitée par la neige et la densité. La proportion de changements dans la taille de population va être influencée par cette mesure, si la population est grande, le point est ouvert. Il y a des changements plus importants que quand la population était petite si on regarde en changeant le x et le y. Quand on regarde les années quand la quantité de neige était élevée, si la population était petite, un faible nombre d’individu avait peu d’effets. Si on regarde les points noirs, la relation est moins apparente. En ce sens, l’effet de la neige est pas uniforme et est plus apparent quand on a des grosse populations et que les patchs disponibles sont plus limitantes. Par l’interactions des effet, il y a uen diminution prononcée suite à des hivers rigoureux à haute densité de population. Cependant, leur de gestion des populations, ces interactions ne sont pa prises en compte par l’approche RSM et on va prélevéer avec le même K à chaque année. Il y a de forte chance que cette exploitation mène à une surexploitation qui empêche la population de récupérer.
Identification du RSM – conséquences
- Si on identifie mal le prélèvement et qu’on prlélève à chaque années 150 individus, la population va se stabiliser et ça va être « chill ». Si on en prends plus, la population va tôt ou tard être menée à l,extinction. Avec une surexploitation qui est plus grande que le rendement on va mener la population à l’extinction. En fonction de K, si le cas est plus bas on a une situation où on pas le même k et on peut tomber dans une surexploitation ce qui empêche un rétablissement. – les moratoire sont là pour donner un second souffle aux populations.
Estimation baleines
- Avec ces estimations on afait face à un problème écologique de base pour savoir l’exploitation de la population par la p^cherie. En Norvège on a mis un quotas de pêche de 300 individus par années selon une population estimée de 87 000 qui ets l’équivalent d’un taux de 3,4 individus sur 1000 ce qui est soutenable. Ils ont pris des mesures pour estimer le K puisqu’il n’y avait pas de données et ils ont dû se fier sur des données de collecte et d’observations. Pour prendre leurs mesures, ils se sont basés sur le fait qu’ils ont la probabilité d’observer 36% des baleines sur leur transect. Ils ont fait un recensement le long de transects où ils vont quantifier le nombre d’individus et estimer la taille. Ils vont modéliser les données avec des taux de prédictibilité de détectabilité pour estimer le nombre d’individus pas observés. Si on détermine qu’on ets plus efficace et qU,on voit plus d,individus que ce qu’on pense, on extrapole les données obtrenues et on peut obtenir une estimation du nombre d’individus dans la population. Selon des chercheurs indépendants la valeur serait plutôt de 0,59 ce qui vient réduire l’estimation à 53 000 individus total pour la population et donc l’exploitation serait au double et serait de 5,7 sur 1000 on a sur estimé le nombre d’individus de la population en sous estimant le nombre d’individus observés et donc le facteur d’observabilité.
L’écologie moléculaire pour estimer la taille de population
- Il y a des espèces qu’on va échantillonner à répétition : L’étude faite est basée sur le rééchantillonnage de génotype sur des poils pour voir le nombre de fois que le génotype du même ours va être retrouvé. On va pouvoir voir le nombre d’individus estimé avec ces données. On a mis des dispositifs dans chaque carrés blanc pour voir les ours qui s’y retrouvait en majorité et on a pu voir où les individus se retrouvait le plus.
Précision de la méthode capture-recapture
- La précision va dépendre du nombre d’individus qui va être capturés. Si on capture initialement un nombre d’individus et qu’on les marque et qu’ils reviennent ensuite dans un certain temps on va avoir une proportion d’individus déjà marqués. On va faire une règle de trois pour déterminer le nombre d’individus dans la populations à L,aide du nombre d’individus capturés et marqués. La proportion va être vraie si la chance de recapturer par la suite un individu marqué est la même qu’avant. Si ils sont habitués à être capturés, ça av changer les résultats et on risque de sous-estimer la taille de population. Si les individus sont traumatisés et qu’ils essayent d’éviter la capture, on a un autre biais et on va avoir moins de recapture et on risque de surestimer la population. On va estimer avec cette méthode qu’il n’y a pas de mortalité, une chance égale de capture et recpature, une distribution uniforme dans al population et que les animaux sont indépendants
Précision par comptage par observation
- Pour contrer les biais observateurs on va utiliser des points d’écoutes et utiliser les données de 2 ou 3 personnes indépendantes. On va pouvoir faire un calculs pour voir le nombre d’individus qui ont été manqués par les deux observateurs pour les additionner au reste. Quand on veut savoir la probabilité que les individus voient tous les deux le même individus on va multiplier les probabilités, on les multiplie pour voir la probabilités que les observateurs manquent tout les deux un individus. On va additionner les probabilités d’avoir manqués les individus avec ceux observés.
Autre méthode d’estimation nombre individus
- Distance sampling où la probabilité de détection diminue avec la distance au transect
Mortalité due à la chasse est additive ou compensatoire ?
- Plusieurs facteurs biologiques importants viennent influencer les effets de la chasse. Il y a denbsité dépendance en taux de croissance, l’âge des premières reproductions, la moyenne et la variance de la survie annuelle pour les adultes et les jeunes. On a regardé dans une population et on a noté que 60% des décès était de même nombre.
- Dès qu’il a de la chasse, il y a des effets immédiats de la récolte en menant directement à des effets additifs. Ceux qui sont tués naturellement sont ajoutés à ceux de la récolte. Si on pense que ceux qui vont être tués par la chasse sont le splus vieux se sera de la mortalité compensatoire. Si c’est une chasse aléatoire, ce sera de la mortalité additive puisque des individus qui pourraient survivre vont être tués.,
Mortalité additive et compensatoire
- La mortalité qui ne se traduit pas par une augmentation de la mortalité globale, juste une augmentation des morts.
- La mortalité compensatoire est la mortalité d’individus qui risquait de mourir ANYWAY