POLLUTIONS TERRESTRE ET AQUATIQUE Flashcards
(37 cards)
combien de Km de voies navigables
150 km
le transport annuel de plus de
25 millions de tonnes de fret,
combien de tonne de transport d’hydrocarbures passent en seine chaque année
200 000 tonnes d’hydrocarbures (fioul lourd, fioul léger, huiles, etc.)
Dans sa réponse face aux risques technologiques, la BSPP est en mesure de lutter contre des pollutions de quelle ampleur
faible à moyenne ampleur, terrestres ou aquatiques de surface.
Les pollutions de grande ampleur nécessitent
des renforts zonaux voire nationaux.
Les pollutions terrestres sont relativement fréquentes comment sont-elles créées
ne nécessitent pas un concept d’engagement
particulier. Elles sont traitées par les engins-pompes qui peuvent demander l’appui du Groupe Anti-Pollution
terrestre (GAPt)
def LA POLLUTION AQUATIQUE
Il s’agit de la contamination de l’eau par des substances chimiques, toxiques, physiques, organiques ou
radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des écosystèmes.
Les moyens de la BSPP permettent uniquement d’intervenir sur les pollutions de surface par hydrocarbures ou
produits non miscibles à l’eau.
def LA POLLUTION TERRESTRE
Il s’agit de la contamination du sol ou des égouts par des substances chimiques, toxiques, physiques,
organiques ou radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des
écosystèmes.
NIVEAUX TACTIQUES D’ENGAGEMENT. quels sont les niveaux
Le 1er niveau tactique correspond à un VRCH engagé pour appuyer l’action des premiers intervenants non
spécialistes sur une levée de doute intéressant une pollution terrestre ou aquatique ;
le 2ème niveau tactique est composé de deux groupes : GAPt et GAPa ;
dès le 2e niveau tactique, le COS garde toute latitude pour demander un hélicoptère pour les
reconnaissances
Levée de doute pollution terrestre (moyen)
1 EP + 1 équipe anti-pollution terrestre
Levée de doute pollution aquatique (moyen)
1 EP cgi + 1 équipe anti-pollution aquatique
+
1 équipe SIA SIS
que permet le Groupe Anti-Pollution terrestre
l’utilisation de moyens de canalisation ou de
récupération en milieu terrestre (absorbants…)
que permet Groupe Anti-Pollution aquatique
l’utilisation de moyens de récupération en milieu
aquatique (pollution faible et localisée) ;
la mise en place d’un barrage partiel ;
l’activation d’un chantier de récupération.
que permet les moyens de renforcement en + des gapt et gapa
la mise en place, selon les situations, de :
-barrages de fortune ;
-plusieurs barrages partiels ;
-un barrage complet ;
l’activation de plusieurs chantiers de récupération.
pollution terrretre Actions des primo intervenants non spécialistes
Sur une intervention pour pollution terrestre ne nécessitant pas de concept d’engagement particulier, l’action
du COS portera en priorité sur les points suivants :
agir sur la fuite ;
canaliser les écoulements ;
limiter la pénétration dans les égouts, les sols etc. ;
demander les moyens spécialisés.
pollution aquatique l’importance d’une pollution est déterminée par :
le volume et la nature du polluant ;
sa localisation et son étendue ;
les critères organisationnels.
qu’est ce qu’on peut craindre si pollution étendue (courant)
une pollution située sur le secteur brigade peut impacter des départements de la grande couronne
et nécessiter un engagement interdépartemental voire zonal.
L’action des premiers intervenants porte essentiellement sur
les reconnaissances : Actions déterminantes pour la réussite de l’intervention, les reconnaissances sont menées simultanément à
partir des berges, du cours (ou plan) d’eau et éventuellement des airs par un moyen aérien.
Réalisées en amont et en aval de la pollution, les reconnaissances ont pour but, si possible
d’agir sur la source
de la pollution et donc réduire ses effets puis :
d’évaluer les risques pour la population, les intervenants et l’environnement ;
de demander les moyens de renforcement nécessaires. Le COS précise l’emplacement de la ZDI ;
de déterminer, autant que possible, l’origine, la nature et l’importance de la pollution ;
d’estimer le volume de polluant.
Simultanément, les données contenues dans le « guide opérateur pollution » sont exploitées :
– les cours d’eau (largeur, etc.) ;
– la localisation des points de captage en eau potable ;
– la localisation des usines de type SEVESO II ;
– les écluses ;
– les zones de pose de barrage (ZDI, mise à l’eau, points d’ancrage, etc.).
A
A l’issue des premières reconnaissances, le COS transmet un message de renseignement qui précise :
la nature du polluant, si elle est connue ;
l’origine connue ou non ;
la surface ou l’étendue de la pollution ;
la notion de pollution récupérable ou non ;
l’emplacement prévisible du secteur « récupération » le cas échéant ;
les opérations en cours (reconnaissance des berges, confinement, etc.).
Le COS dispose de deux conseillers techniques …. Ils
le renseigneront sur les moyens de renforcement à demander.
Les opérations de pose de barrage se font par les spécialistes nautiques et celles de récupération du polluant
par les spécialistes NRBC. L’ensemble de ce dispositif s’appelle
l’officier nautique et l’officier chef de groupe NRBC.
un chantier de récupération
missions EP CGI levée de doute
évaluation de la pollution ; choix des EPI ; demande si besoin du niveau tactique 2 (GAPt ou GAPa) : demande de groupe ; renseigne le commandement ; reconnaissances terrestres « amont » ; recherche de l’origine de la pollution
missions VRCH levée de doute
évaluation de la pollution ;
actions à mener sur l’origine de la
pollution.
missions 1 SPTT/EMF anti-pol, 1 SIA ou SIS
levée de doute
sécurité, reconnaissances et missions
nautiques