PLASTICITÉ PHÉNOTYPIQUE TRANSGÉNÉRATIONNELLE Flashcards
Vocabulaire – plasticité
- Il va dépendre selon le domaine d’étude mais souvent ce sera juste la terminologie qui va changer. En écologie bioévolutive on va plutôt parler de plasticité transgénérationelle.
Émergence en bio écologie évolutive
- Cette étude est en nette augmentation depuis quelques années ce qui a permis de clarifier sur ce quoi on parlait. La présence du phénomène documentée dasn la plupart des taxons en milieu naturel (plantes, vertébrés, inevertébrés, bactéries, champignons) a continué d’augmenter avec le temps.
Plasticité phénotypique transgénérationnelle étudie quoi ?
- L’effet de l’environnement parental sur le développement et les traits de la descendance. La mesure des indices et les effets sur une génération, les conséquences en termes d’avantage vont être perçus à la génération suivante.
Comment est-ce que la plasticité phénotypique transgénérationnelle marche (séquence)?
- Il faut d’abord que les parents détectent le bon signal provenant de l’environnement et il faut qu’ils l’analysent. Par la suite, ceux-ci doivent transmettre ce signal. Les enfants doivent à leurs tours détecter le signal, l’analyser et le transmettre pour que la prochaine génération puisse le détecter…
Quand est-ce que les indices environnementaux peuvent être ressentis par les parentes ?
- Soit avant la naissance de la progéniture (ex : transmis au niveau pré fécondation, effets in ovo ou in uterus) (ajustement de la date de reproduction ou de l’endroit)
- Soit après la naissance de la progéniture (ex. : transmis par le comportement parental).
Plasticité transgénérationnelle réponse à ces signaux
- En réponse à des indices environnements qui sont de courte durée par exemple une brève rencontre avec un prédateurs ou de longue durée par exemple une saison de reproduction particulièrement sèche (stress sur plusieurs jours qui peut transmettre différents signaux et qui peut se répercuter sur la progéniture par la suite).
Identification des signaux – stades
- Il ne faut pas penser que c’est juste au stade adulte que ça va être identifié et qu’ils vont transmettre le signal. Il peut être analysé et pris en compte à un stade plus jeune. Autant au niveau de la perception et l’intégration du signal on va avoir des fenêtre clefs absentes ou présentes. (fenêtre clés pendant la durée de vie des parents et de la progéniture pour l’induction et l’expression de la plasticité transgénérationnelle (ex : prédation).
Quels sont les différents scénarios multigénérationnels potentiels d’un indice environnemental expérimenté à la génération F0 ?
- Ce sont les scénarios dans lesquels le phénotype moyen augmente en réponse aux signaux parentaux, mais la direction est arbitraire. On peut avoir différents scénarios qui peuvent se produire : une augmentation du trait en bleu (contrpôle) et rose qui est exposé au signal. Au F1 on devrait faire que le trait augmente, on devrait aussi le voir en milieu naturel. (signal perçu par les parents et effets sur les prochaines générations)
- Il peut augmenter après la première génération et rediminuer à celle suivante (revenir à l’initial).
- Il peut être augmenté à la F1 et diminué légèrement à la F2
- Il peut augmenter à la f1 et persister au même niveau pour la F2
- Il peut Augmenter à la F1 et augmenter encore plus à la f2 (il peut avoir eu intégration d’autres signaux qui ont menés à une autre augmentation)
- Il peut avoir un délais qui fait qu’il n’y a pas d’effets pour la F1 et une observation des effets à la F2 ( les petits enfants expriment la palsticité, ce qui montre que ça prend du temps pour le signal apparraisse et qu’ils le perçoivent. Le principal facteur qui amène à faire une prévision de cette prévision est une prévision environnementale. Si les réponses se ressemblent entre les années il y a plus de chances que les individus soient adaptés. Une mauvaise prévisibilité du signal et de l’environnement changerait complétement la situation et si le signal est transmis à la progéniture il peut être maladaptatif parce qu’il mène à des traits exprimés pas nécessairement bon.)
- Le trait peut être augmenté pour la F1 et diminué plus bas que le trait de l’individu contrôle pour la F2
Qu’est-ce qu’il faut pour qu’il y ait de la plasticité phénotypique transgénérationnelle ?
- Il faut que l’environnement soit prévisible.
- (les petits enfants expriment la palsticité, ce qui montre que ça prend du temps pour le signal apparraisse et qu’ils le perçoivent. Le principal facteur qui amène à faire une prévision de cette prévision est une prévision environnementale. Si les réponses se ressemblent entre les années il y a plus de chances que les individus soient adaptés. Une mauvaise prévisibilité du signal et de l’environnement changerait complétement la situation et si le signal est transmis à la progéniture il peut être maladaptatif parce qu’il mène à des traits exprimés pas nécessairement bon.
Exemple – présence de prédateurs
- Dans un environnement donné, une possibilité de signal ets la présence de prédateurs. On va percevoir le signal en question et moduler les réponses (investissement en ressource, date de ponte plus tard) pour ajuster le phénotype de la progéniture (ici on a un changement plastique de la tailles des larves de grenouille).
- Les parents détectent et identifient correctement les conditions environnementales les parents prédisent l’environnement des jeunes l’information de parents est juste et est transmise aux jeunes qui vont intégrer correctement le phénotype (les jeunes peuvent potentiellement exprimer un phénotype anti prédateur qui peut être potentiellement bénéfique. (si on prédit correctement L’environnement des jeunes).
Expression traits descendance en fonction augmentation risque de prédation
- Les patrons de traits peuvent être en présence ou en absence et s’ils sont modulables ils peuvent être une modulation du trait qui peut être différent selon l’intensité du message.
- Lorsque le risque augmente il n’y a pas d’intérêt d’être à moitié protégé contre un prédateur, la réponse attendue est un polyphénisme (réponse à un seuil). Sinon, si la force de la réponse peut être proportionnelle au risque réel (modulation phénotypique).
- La situation B montre une réponse plus variable et fluctuante et donc plus modulée. Une réponse trangénérationnelle plus fine qui est proportionelle à l’ampleur de la prédation. On peut voir que certains scénarios le signal sera plus flou que dans d’autres où il est beaucoup plus fin.
Différenciation intergénérationnelle et transgénérationnel
- Il faut se rappeler que parfois l’expression d’un trait va être modulé par les parents et les offsrping ce qui rend difficile de différencier le message intergénérationnel et transgénérationnel. Souvent, ils se chevauchent (signal perçu par le jeune va amplifier celui transmis par les parents ce qui lui permet d’être encore mieux adapté).
Effet activité humaines sur la TGP
- On peut avoir des perturbateurs qui peuvent venir modifier environnements où les signaux peuvent être intégrés par les parents et peuvent avoir des effets indirects sur la capacité des parents à inytegrer des signaux. On a prouvé qu’ils pouvait altérer leur capacité d’intégrer des signaux dans l,environnement ce qui fait qu’on transmet les mauvais signaux pour les jeunes et donc une plasticité mal adaptative est transmise.
- Les parents détectent ou identifient les conditions environnementales causées par des changement dans la variabilité environnementale ou la fiabilité du signal l’environnement parental est moins prédictif de l’environnement des futurs jeunes ou les parents ne sont pas capable de détecter les changement dans l’autocorrélation Les mécanismes contraignants de la TGP peuvent causer des erreurs dans la transmission des signaux parentaux les jeunes peuvent potentiellement exprimer un phénotype inapproprié pour l’environnement altéré par l’humain ce qui peut être potentiellement nocif.
- Manque de concordance entre les environnements
Meta analyse – environnement et TGP
- Une meta analyse faite avec une taille d’effet de 1170 provenant de 139 études ont révélés un effet global significativement positif qui suggère que les effets transgénérationnels profitent généralement à la progéniture lorsque les environnements sont anticipés. Des effets positifs ont été observés de manière cohérente pour tous les traits et groupes taxonomiques/historiques de vie des plantes annuelles, des invertébrés et des vertébrés, mais pas pour les plantes pérennes. Elle souligne que dans des cas où on détecte des signaux transgénérationnel adaptatif c’est quand on est dans des environnements stables et prévisibles. La prévisibilité des environnements dans le temps permet de dire que l’adaptation plastique sera adaptative.
- Quand il y avait des effets positifs, les conséquences positives étaient exprimées de la plasticité transgénérationnelle. Ceux au-dessus de 0 montraient un effet positif d’exprimer la plasticité.
Plantes perennes – TGP
- Les seuls à avoir un effet négatif de l’expression de la plasticité transgénérationnel. Ceci est probablement moins avantageux pour eux parce que souvent ils ont un temps de génération qui est assez long donc souvent ils intègrent beaucoup d’informations au court de leur vie, donc la palsticité trans générationnelles ne semble pas avoir des effets contrairement à l’intragénérationnel.