COMPROMIS BIODÉMOGRAPHIQUES Flashcards
Différence mode reproduction
- On parle de diversité des stratégies de reproduction et de survie : compromis entre reproduction et survie ce qui permet une diversité en milieu naturel. On aura un nombre de descendants variable qui vont varier dans leur durée de vie aussi.
- On a la pieuvre géante femelle du pacifique, les femelles vivent de 3 à 4 ans et pondent des milliers d’œufs en une seule fois et elles meurent ensuite. D’un autre côté, on a le séquoia à feuille d’if qui vivent plusieurs centaines d’années et produisent des millions de graines à chaque année
- Les organismes diffèrent dans leur mode de développement et de croissance, le moment où ils deviennent matures, le nombre de descendants (d’une taille particulière) qu’ils produisent et leur durée de vie.
Théorie traits de d’histoire de vie ou de compromis biodémographiques
- Il y a deux possibilités :pour expliquer les compromis qu’on retrouve dans les espèces en milieu naturel :
1. Allocation variable des ressources : quantité de ressources compte tenu qu’on peut allouer ces ressources à différentes composantes
2. Hétérogénéité individuelle dans l’acquisition des ressources : si hétérogénéité dans l’individu à capacité d’acquérir des ressources, on va avoir certains individus qui vont avoir la capacité d’acquérir des ressources en plus grande quantité ce qui vont les permettre d’en allouer plus pour les différentes composantes.
Coûts de reproduction ou compromis évolutif en allocation à différentes composantes de l’aptitude phénotypique : supposition de base
- On a la supposition de base que les ressources de bases sont limitées ce qui fait que les compromis en allocation sont inévitables. On devrait donc avoir une relation négative entre la reproduction et la survie entre les individus qui investissent beaucoup en reproduction et donc la survie plus faible et pour ceux qui ont plus de ressources pour la survie et moins pour la reproduction.
Compromis d’allocation
- On peut voir la quantité d’énergie totale et la quantité qui est allouée à la survie pour la croissance, la réserve et la maintenance et sinon pour la reproduction. On a une période de reproduction où il faut allouer des ressources pour la reproduction. Dans l’exemple, on alloue 25% des ressources pour la reproduction hors période et on va donc aller un peu moins d’énergie pour la réserve et la croissance mais quand même encore une certaine quantité. Pour d’autres espèces, lors de la période de reproduction, on va allouer 100% des ressources pour la reproduction, comme le saumon d’atlantique, on va allouer 100% des ressources pour la reproduction. On en a aucune pour la survie (croissance, réserve, maintenance) ce qui mène à un coût payé pour la reproduction où on met à mal la survie jusqu’à un certain point. On peut donc avoir une gamme d’allocation possible qui est assez vaste.
Allocation différente selon environnement
cation différente selon environnement
- L’Allocation des ressources pour une quantité de ressource fixe peut être différente selon la qualité de l,environnement. Pour des espèces d’oiseuax qui sont à des élévations différentes on verra que plus l’individu est à une élévation plus élevée, plus il est dans un espace contraignat (en haut à gauche avec la taille de la nichée qui ets plus faible en haute altitude, plus longue période incubation, plus de soin parental, etc.). Ceci montre qu’on a une allocation différente et variable pour différents environnements même pour une même espèce. On va avoir des variables constante (ratio allocation resssources) qui vont varier. Pour l’allocation des ressources aux différentes composantes en fonction de l’environnement peut varier même si ça n’a pas vraiment des effets sur la survie. Ça peut avoir des impacts sur la survie.
Acquisition fixe et allocation variable
- On a des contextes où même les individus ont des acquisitions des mêmes ressources. Au centre on a un individu type avec une reproduction neutre et une survie neutre. On peut avoir un individu qui va décider d’allouer un maximum de ces ressources pour sa survie pour exemple augmenter sa taille corporelle au détriment de sa reproduction ce qui mène à une diminution de la taille de ces cornes. D’Un autre côté, on peut avoir un individu qui va mettre tout pour la reproduction donc il aura des grandes cornes et une petite taille ce qui est au détriment pour sa survie. On a des choix d’allocation variable au sein de la population pour une quantité d’Acquisition qui est relativement stable.
Courbe de survies
- Entre les grands groupes taxonomiques on a des choix bien présents entre la probabilité de survie en fonction du temps qui va être en fonction de l’intensité de L,effort de reproduction. Plus l’effort est important par événement de reproduction, moins la survie sera élevée. À l’opposée, on va avoir des individus qui mettent moins d’efforts par événements de reproduction. Les poissons sont assez extrêmes en ayant un événement de reproduction assez intense où la survie tombe à 0 pour plusieurs espèces (aussi les insectes). Les oiseaux sont assez linéaires avec quelques événements de reproduction avec des efforts plus ou moins constants avec une probabilité de survie qui diminue avec le temps. Les mammifères, nous sommes des espèces qui vont avoir moins d’effort par événement de reproduction qui mène à une probabilité de survie assez importante (variable).
Chevreuil européen – reproduction
- La probabilité de survie en fonction du temps est en haut à peu près la même que la dernière diapositive où la probabilité de survie diminue très légérement en fonction des années parce que la survie est maximum au détriment de la capacité de reproduction.
Poisson – reproduction
- C’est l’inverse que les mammifères. Des milliers d’œufs vo t être pondus et vont avoir une faibel probabilité de survie ce qui va mener à une mortalité d’un milliers d’œufs (taux faible suite à la reproduction). Ils investissent dans plusieurs individus pour la reproduction et il y a mortalité importante des œufs.
Compromis d’acquisition
- Reproduction = réduction de la survie (compromis stratégique)
- Reproduction est corrélée à la survie
- Au bout du spectre on a un compromis d’allocation et ici d’acquisition où on a de la variabilité dans la capacité à acquérir des ressources et on va avoir un compromis pour les individus qui ne sont pas capables. On va voir ce qu’on va faire avec ces individus qui ont de la difficulté à acquérir des ressources. On a de l’hétérogénéité en termes d’individus pour aller chercher des ressources. Pour la reproduction on peut viser une diminution de la survie : compromis pour les stratégies : on doit allouer plus de ressources pour la reproduction au détriment de la croissance, réserve et la maintenance. Les individus qui peuvent aller facilement chercher des ressources n’a pas n.cessairement de fiare des compromus et sera capable d’investir pout les autres composantes et la maintenance, réserve et croissance est maintenue tout en gardant de L,énergié pour la reproduction.
Compromis acquisition – hétérogénéité individuelle – acquisition variable
- On a de l’allocation similaire (allométrie). On a un individu qui reste stable et un autre qui augmente dans la survie et reproduction. Si on a une acquisition variable, mais une allocation similaire, on va avoir beaucoup d’allométrie dans la population entre les individus et on n’est pas capable de maintenir la reproduction et la survie pour ceux qui ont la capacité d’allouer beaucoup d’énergie pour les deux.
Hiérarchie – bouquetins
- Chez les bouquetins, pour l’âge le rang augmente dans la population. On va avoir une longévité plus élevée pour certains individus qui ont en plus de ça un rang qui est plus élevé. Un rang plus élevé représente un meilleur succès reproducteur et un âge plus élevé. Une longévité aussi plus importante.
Environnement dépendant – scarabée
- Parfois la relation est dépendante des conditions. Pour des espèces qui ont une longévité plus restreinte où quand on a des ressources abondantes il y a une relation positive entre la longévité et la fécondité donc il y a une hétérogénéité individuelle où certains individus peuvent allouer beaucoup à la reproduction et la longévité. Si les ressources sont absentes on a clairement une relation qui est négative avec un compromis entre les deux variables. La relation de compromis pour ces deux composantes sous certaines conditions est différente. On doit donc prendre en compte l’environnement.
Graphique acquisition et allocation
- En a on va avoir une variabilité en acquisition et en b une variabilité en allocation. On a une présence de corrélation au sein des populations. On essaye d’expliquer comment on peut avoir une variation en terme d’acquisition représenté par les lettres où c’est l’unité en terme d’acquisition. On peut avoir de la variabilité en terme d’énergie où on peut la donner en terme de survie future ou en reproduction. B = on va donner plus pour la survie future ou la reproduction actuelle. On peut avoir beaucoup de variatrion selon les espèces. LA quantité de ressources disponible va déterminer la quantité d’allocation pour les composantes en fonction des espèces. La quantité de ressources disponibles détermine la quantité totale qui peut être partagée entre deux composantes du fitness (graphique).
Graphique variabilité en acquisition plus grande que variabilité en allocation
- On peut avoir plus de variation en acquisition qu’allocation. Le graphique montrerait une corrélation positive entre les composantes du fitness.
- On va être dans le contexte de la figure B où on a une corrélation positive entre les composantes du fitness détecté. Si on échantillonne un groupe d’individu donnée et dans une population et on va voir une grande variation dans l’acquisition des ressources (certains – et d’autres +) et tout le monde alloue de la même façon (très peu de variation entre peu ou beaucoup de survie). Entre les individus on va retrouver une courbe positive entre les composantes. On va avoir des individus avec beaucoup de reproduction et un peu moins de survie et le contraire pour la courbe du dessous. Beaucoup de variation dans l’acquisition (meilleure capacité à acquérir les ressources que de les allouer. Mène à une hétérogénéité individuelle où il n’y a pas de compromis parce qu’on est capable de donner des ressources pour les deux composantes).
- Dans le contexte, une corrélation négative est attendue si la variabilité en allocation est plus grande que la variabilité en acquisition. On a une acquisition des ressources qui est assez stable (données entre 2 pour la reproduction et la survie), mais on a beaucoup de variation dans l’allocation. On a des individus à la courbe du bas qui vont donner beaucoup d’énergie, pour la courbe du bas, pour la reproduction alors que d’autres vont plus investir pour la survie. Notion de compromis pour certains individus
- Selon la variabilité on aura différents scénarios.
Qu’est-ce qu’il faut pour que la corrélation soit négative ?
- Même si la variabilité en allocation est importante, la variabilité de la composante du fitness doit être assez importante pour que la corrélation négative soit observable.
- Peu de variation en acquisition de ressource mais beaucoup en allocation fait que si on a assez de variation en survie future, la corrélation va pouvoir être observée on aura peu de variation en acquisition, mais beaucoup en allocation.
- Si la sélection agit d »une certaine manière spécifique et assez fortement sur la survie et seulement quelques individus ont adoptés une stratégie en particulier pour la survie on va avoir une érodassions de la variabilité dans la survie observée et si la variabilité est très faible (similaire entres individus) avec la même quantité de ressource allouée il ets possible que ce soit juste les iondividus qui ont décidé de donner leur ressource pour la reproduction qui ont choisis cette tactique. On ne peut pas vraiment observer une corrélation. Il y a juste un groupe de points et pas vraiment de tendance.
Courbe des grands mammifères – graphique
- Pour les ongulés, la survie qui est assez élevée et donc importante. On va avoir de la variation dans la survie vers les investissements dans la reproduction mais beaucoup moins de variation dans la survie que ce qu’on pourrait prédire basé sur l’allocations des ressources. On a seulement une certaine partie de la figure qui sera observable. On ne verra pas vraiment cette tendance entre la reproduction et la survie parce qu’on a à peu près une survie de 90-95% dans ces populations. Même si les coûts sont potentiellement donnés à la reproduction, on a peu de données par individus et peu de variation de survie dans la population.
Courbe des petits mammifères – graphique
- Beaucoup plus de variation en survie. On a des investissements majeurs dans la reproduction actuelle parce que ce sont des espèces avec des durée de vie plus courte. On a peu d’espèces conservatrice, mais certains individus au sein des population vont être plius conservateurs que d’autres et vont chercher à augmenter leur propre survie au détriment de la reproduction. Il se peut donc que dans certaines espèces on trouve la relation négative. Selon l’acquisition et l’allocation, comment les individus décident et la quantité de variation dans la composition de fitness d’intérêt on va détecter ces tendances de compromis au sein des différentes population en situation naturelle.
Comment on va définir une espèce en terme mesurable ?
- Plusieurs espèces ne sont pas observées pendant la reproduction donc on va avoir des indices indirects pour avoir des évidences d’inter-fertilité. Cependant, ces mesures ne sont pas toujours fiables.