Pharmaco des antihistmainuqr Flashcards
Pharmacologie de l’histamine (C quoi et role)
Important médiateur dans les réactions allergiques immédiates et les réactions inflammatoires
Rôle important dans la régulation de la sécrétion d’acide gastrique
Neurotransmetteur (NT) et neuromodulateur dans le SNC
Pharmacologie de l’histamine (formé où et par qui)
Formée par décarboxylation de l’acide aminé « histidine » par l’enzyme L-histidine décarboxylase
Site principal de synthétisation et stockage d’histamine sous forme de granules au niveau périphérique : mastocytes (tissus) et basophiles (sang)
Autres sites de production d’histamine : ex: muqueuse gastrique et neurones du SNC
Pharmacologie de l’histamine (relaché de où)
Relâchée des mastocytes par plusieurs mécanismes:
◦ Immunologique : + important (diapos 7 à 11)
◦ Agents pharmacologiques, aliments ou autres (diapo 12)
◦ Froid, soleil, dommage cellulaire non-spécifique (ex: stress thermique ou mécanique (se gratter la peau, se frotter les yeux))
Pharmacologie de l’histamine (effet suit a relachemetn)
Suite à des stimulations répétées (pharmacologiques ou immunologiques), l’effet devient de - en - intense à mesure que réserves d’histamine s’épuisent des mastocytes
◦ Explication : taux de renouvellement des réserves d’histamine est lent (des semaines avant de retourner au niveau normal)
Phase de réactivité comprend 2 phases
immédiate et tardive (pariat plus gors plsu éparpillé)
Phase immédiat de la réactivité
Phase immédiate :
◦ Débute qq secs à mins après 2e contact avec allergène
◦ Causée par libération d’histamine (principal médiateur) et d’autres médiateurs des mastocytes (ex: PG, FAP, LT, cytokines pro-inflammatoires)
Phase tardive de la réactivité
Phase tardive :
◦ 2e réponse inflammatoire
◦ Survient 4-9h après introduction de l’allergène
◦ Causée par recrutement de d’autres effecteurs inflammatoires (ex : neutrophiles, éosinophiles, basophiles, lymphocytes T, macrophages) par les médiateurs pro-inflammatoires provenant des mastocytes
Effets de l’histamine sur l’organisme( Système cardiovasculaire)
- ↑ perméabilité capillaireœdème
Stimulation récepteurs H1 (veinules post-capillaires) contraction des cellules endothélialesperturbation jonctions interendothélialesfuite de fluides/protéines dans tissus périvasculaires
-Vasodilatation par activation des :
RécepteursH1:
Vasodilatation rapide et de courte durée
+ forte affinité pour histamine
RécepteursH2:
Vasodilatation lente et + soutenue
+ faible affinité pour histamine donc effet apparaît à dose + élevée d’histamine - ↓ tension artérielle (effet vasodilatateur direct de l’histamine)
-Effets inotropes et chronotropes positifs (majoritairement par H2)
↑ FC : par effet chronotrope+ ET par tachycardie réflexe (vs. hypotension)
-Flushing, sensation de chaleur et céphalées (causés par vasodilatation)
Effets de l’histamine sur l’organisme (Système respiratoire)
◦ Bronchoconstriction (H1), particulièrement chez asthmatiques
Effets de l’histamine sur l’organisme (Système nerveux (H1))
◦ Neurotransmetteur (NT) dans SNC :
Contrôlerait fonctions cérébrales supérieures et homéostatiques (ex: régulation du cycle veille-sommeil, cognition, mémoire, température corporelle, etc.)
◦ Stimule terminaisons nerveuses sensorielles (spécialement douleurs et démangeaisons)
Effets de l’histamine sur l’organisme (Système GI)
Quantité élevée d’histamine peut causer diarrhée due à la contraction des muscles lisses intestinaux (H1)
Effets de l’histamine sur l’organisme (Glandes exocrines)
↑ sécrétions gastriques (H2) ainsi que salivaires, lacrymales, nasales et des voies respiratoires (H1)
Effets de l’histamine sur l’organisme (Peau (H1 et H2))
Phénomène de « triple réponse » (ex : si histamine est injectée par voie intradermique) :
◦ Tache rouge localisée autour du site d’injection en qq secondes
- Effet vasodilatateur de l’histamine
◦ Papule œdémateuse au site d’injection
-Capacité de l’histamine à ↑ perméabilité capillaire
◦ Rougeur + brillante («flare»), > 1 cm autour de tache rouge d’origine, qui se développe + lentement
- Histamine stimule récepteurs des terminaisons nerveuses sensorielles (via réflexe axonal)cause dilatation artériolaire avoisinante
◦ Prurit et douleur peuvent accompagner ces effets
-Via stimulation des terminaisons nerveuses sensorielles
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques (les récepteur présent)
Histamine exerce son action biologique en se liant aux récepteurs de l’histamine :
◦ 4 sous-types : H1, H2, H3 et H4
Sous-type de récepteur+distribution +mécanisme post-récepteur
H1 Muscle lisse, endothélium, cerveau Gq/11, augm IP3, DAG H2 Muqueuse gastrique, muscle cardiaque, mastocytes, cerveau, endothélium Gs , augm AMPc H3 Présynaptique : cerveau, plexus myentérique, autres neurones Gi , diminu AMPc H4 Eosinophiles, neutrophiles, lymphocytes T CD4 Gi , diminu AMPc
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques
Ce qui diffère la structure de H1 et H2
◦ H1 : + étroitement reliée aux récepteurs muscariniques
◦ H2 : + étroitement reliée aux récepteurs 5-HT1
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques H2 f(x)
H2 (1972) :
◦ Activation par histamine permet sécrétion d’acide
gastrique
◦ Rôle au niveau de la vasodilatation dans la réaction allergique
H3 où exprime
H3 (1983) :
◦ Exprimés majoritairement au SNC, et dans moindre mesure a/n périphérique (tractus GI, système CV et voies respiratoires)
◦ Extrémité présynaptique : auto-récepteurs sur neurones histaminergiques et hétéro-récepteurs sur neurones non- histaminergiques
H3 comme agoniste
◦ Agoniste (histamine) : inhibe la relâche de NT (NE, GABA, DA, Ach) et la biosynthèse d’histamine dans neurones présynaptiques
H3 comme antagoniste
Agoniste inverse (anti-H3) : ↑ relâche d’histamine et de NT (NE, GABA, DA, Ach) dans cerveau
H3 effet mécanisme
◦ Pourrait avoir effets sur cognition, faim, cycle veille/sommeil, etc.
◦ Rôle d’un agoniste inverse est à l’étude dans plusieurs pathologies (ex: épilepsie, schizophrénie, TDAH, alzheimer, narcolepsie, allergie, etc.)
◦ Anti-H3 pourrait causer vasoconstriction de muqueuse nasale (↑ NE) et donc améliorer congestion nasale avec un anti-H1 (à l’étude)
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques
H4
Retrouvés principalement dans cellules d’origine hématopoïétique (ex: éosinophiles, mastocytes, monocytes, neutrophiles, lymphocytes)
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques
H4 (comme agonsite et agonist einverse)
◦ Agoniste (histamine) : favorise l’accumulation de cellules inflammatoires au site de la réaction allergique de plusieurs façons
◦ Agoniste inverse : pourrait bloquer ces effets, donc avoir un rôle entre autres dans maladies inflammatoires (ex: asthme, rhinite allergique, prurit, douleur inflammatoire)
Indications potentielles prometteuses pour les ligands des récepteurs H3 et H4 (Aucun ligand sélectif pour récepteurs H3 ou H4 n’est actuellement commercialement disponible au Canada, mais grand intérêt de recherche pour leur potentiel thérapeutique)
H3: shcizophrenie,epilepsy, tourble de sommeil, Ad/ADHD, migraine,obesité
Les deux: Cacner,allergie, douleur neuropathique
H4: ischémie, inflammation aigu, inflammation des intestins, rehumatoid arthrite, pruritus, asthme
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques (lieu)
Récepteurs à 7 régions transmembranaires couplés aux protéines G (RCPG)
Pharmacodynamie : récepteurs histaminergiques (stimulation et effet quand activer)
Stimulation d’un RCPG par un agoniste entraîne un changement de conformation du récepteur et permet l’activation au niveau intracellulaire de protéines G (échange GDP/GTP).
Une fois activées, les protéines G agissent à leur tour sur différents effecteurs responsables d’effets intracellulaires.
Signalisation intracellulaire (étape)
-Ligand active récepteur
-Cahngement de conformation et activstion de la protéine G
-quii va agir sur le récepteur phospholipase C
-qui va cliver la Phosphatidyl-inositol-4,5-
disphosphate
-pour fomrer le IP3( Inositol trisphosphate) etle
DAG (Diacylglycérol)
-Ip3 vont sur canaux plamsique du RE force calicum vers mileur intrac cell (augm [])
-Ca va se joindre a plusieru cell comme Calmoduline
CAractéristique de récepteur H1
Récepteurs H1 : effecteur = phospholipase C (PLC)
Fonction de l’IP3
IP3 se lie sur canaux calciques du réticulum endoplasmique permettant ↑[Ca2+]i :
Ca2+ se lie à calmoduline et ce complexe peut activer plusieurs enzymes (ex: AMPc et GMPc phosphodiestérase, phospholipase A2, certaines ATPases, oxyde nitrique synthétase, etc.)
Fonction de DAG
DAG est un activateur de la protéine kinase C (PKC)
PKC permet phosphorylation de certaines protéines intervenant dans transmission synaptique, différenciation cellulaire, etc.
Effet de l’élevation de la [Ca] intracell
Élévation de [Ca2+]i Ca2+ se lie avec calmoduline ce complexe active l’oxyde nitrique synthétase (eNOS) dans cellules endothélialesformation d’oxyde nitrique (NO)NO diffuse dans le muscle lisse vasculaireaugmente le GMPccause vasodilatation
(carré =flèche vers droite)
Pharmacologie des antihistaminiques
Les anti-H1 sont divisés en 2 générations :
◦ 1ère génération (non-sélectifs, donc se distribuent au SNC et causent de la sédation)
◦ 2e génération (sélectifs a/n périphérique)
Pharmacologie des antihistaminiques
Diff entre gne 1 et 2 de antihistamoinque
Aucune différence cliniquement significative n’a été démontrée en terme d’efficacité entre les 2 générations
Différents anti-H1 de 1ère génération semblent avoir efficacité clinique similaire entre eux. Même constatation pour ceux de 2e génération.
Pharmacologie des antihistaminiques
Où agissemtn les anti-H1
Anti-H1 agit principalement au niveau du récepteur H1 (action négligeable au récepteur H2 et peu d’action au récepteur H3)
Pharmacologie des antihistaminiques
Où agissent les anti H1 de gewn 1 et 2
Anti-H1 de 1ère gén. agissent au niveau des récepteurs H1, mais également peuvent agir au niveau de :
◦ Récepteurs muscariniques
◦ Récepteurs sérotoninergiques ◦ Récepteurs α-adrénergiques
◦ Canaux ioniques cardiaques
Anti-H1 de 2e gén. sont + spécifiques que 1ère gén. pour récepteurs H1, donc causent moins d’effets secondaires
Pharmacologie des antihistaminiques
Qund sont-il sefficae
Anti-H1 est + efficace lorsque pris avant l’exposition à l’allergène, sinon l’histamine a déjà commencé à s’implanter au niveau des récepteurs H1
◦ Tx continu à long terme est + efficace que tx prn
Pharmacologie des antihistaminiques
effet des antiH1
Même si récepteurs H1 seraient tous bloqués, d’autres médiateurs de l’inflammation sont impliqués, donc soulagement complet des sx ne peut avoir lieu chez tous les pts
Anti-H1 n’ont pas même effet pour chaque pt, puisqu’un pt ne répondant pas à un anti-H1 peut répondre favorablement à un autre
Pharmacologie des antihistaminiques (type de récepteur et activité)
Anciennement : antagonistes des récepteurs H1
Maintenant : agonistes inverses des récepteurs H1
Pourquoi ?
Récepteurs H1 activent spontanément leurs messagers intracellulaires sans nécessiter obligatoirement l’action d’un agoniste
Activité spontanée ou « activité constitutive» = équilibre dynamique entre 2 conformations du récepteur, soit :
◦ Actif (production de seconds messagers intracellulaires) ◦ Inactif (pas de signalisation intracellulaire)
degré de stimulation d‘un récepteur H1 au niveau d’un tissu dépend de quoi?
l’équilibre entre les concentrations d’histamine et d’anti-H1 dans ce tissu
Pharmacologie des antihistaminique
compétition
Anti-H1 compétitionne avec l’histamine pour le récepteur H1
Pharmacologie des antihistaminique
liaison
Liaison de l’anti-H1 sur récepteur H1 empêche la liaison de l’histamine et bloque ainsi la réponse histaminique
◦ Anti-H1 n’affecte pas la synthèse ni le métabolisme de l’histamine
1ère gén. : liaison avec récepteur est facilement réversible et peut être déplacé par taux élevé d’histamine (donc effet + court)
2e gén. : liaison aussi réversible, mais se dissocie lentement du récepteur et n’est pas déplacé facilement par l’histamine (donc effet prolongé)
Effets des anti-H1 sur l’organisme
Prédictibles (car contraire aux effets de l’histamine)
Inhibent effet vasodilatateur rapide médié par récepteurs H1 sur les cellules endothéliales (↓ vasodilatation donc ↓ hypotension)
◦ Vasodilatation résiduelle est due aux récepteurs H2, donc anti-H2 pourrait modestement supprimer cet effet
Bloquent fortement l’↑ de la perméabilité capillaire et ainsi la formation d’œdème
Effets des anti-H1 sur l’organisme
Inhibent partie importante de la constriction des muscles lisses respiratoires (↓bronchoconstriction)
↓ action de l’histamine sur terminaisons nerveuses, incluant « flare » de la triple réponse et prurit
Auraient des effets anti-inflammatoires :
◦ En bloquant effet de l’histamine qui contribue à la progression de la réponse allergique/inflammatoire par la sécrétion de molécules pro-inflammatoires
◦ Et par plusieurs autres mécanismes…
Effets des anti-H1 sur l’organisme (prodcution et effet
↓ production de sécrétions des glandes exocrines, mais efficacité variable (ex: ↓ sécrétions salivaires, lacrymales, nasales et des voies respiratoires)
◦ Propriétés anticholinergiques pourraient aussi contribuer à ↓ sécrétions des glandes innervées par système cholinergique
Certains ont activité anesthésique locale (blocage des canaux sodiques)
◦ [ ] requises pour cet effet sont + élevées
Classe sdes anti-H1 de Gen I
- Éthanolamines
- Éthylènediamines
- Alkylamines
- Pipérazines
- Phénothiazines
- Pipéridines
Antihistaminiques de 2e génération
- Pipérazines
- Pipéridines
- Autres (Olopatadine, Doxépine, Azélastine)
1ère génération : Éthanolamines
Effets anticholinergiques +++
Sédation +++
Peu d’effets gastro-intestinaux
Action antiémétique
Dimenhydrinate est un sel de diphenhydramine (contient ≈ 53-55,5% de diphenhydramine)
(Dimenhydrinate est légèrement moins sédatif que diphenhydramine, car composé de 8-chlorothéophylline, qui a un effet stimulant au niveau du SNC.)
1ère génération : Éthylènediamines
Anti-H1 les + spécifiques
◦ Donc effets anticholinergiques faibles Effets sédatifs faibles
Effets GI assez fréquents
1ère génération : Alkylamines
Parmi les anti-H1 les + puissants
Effets anticholinergiques modérés
Effets sédatifs faibles à modérés selon l’agent
Stimulation du SNC est + fréquent
1ère génération : Pipérazines
Effets anticholinergiques modérés
Sédation modérée à élevée
Hydroxyzine : utilisé pour allergies cutanées, prurit et comme sédatif, anxiolytique et antiémétique
Méclizine a été utilisé principalement pour traiter mal des transports et vertiges
1ère génération : Phénothiazines
Forte activité anticholinergique
Sédation +++
Effets GI minimaux
Propriétés antiémétiques et sédatives
Antagoniste du récepteur α-adrénergique
Antidopaminergique central faible (peut causer sx extrapyramidaux)
1ère génération : Pipéridines
Effets anticholinergiques modérés
Effets sédatifs faibles
Possède des effets antisérotoninergiques (anti-5-HT)
◦ Peut ↑ appétit
2e génération : Pipéridines
Très spécifiques pour récepteur H1
◦ Activité anticholinergique non significative
Pénètre pauvrement au SNC
Peu d’effets secondaires
Fexofénadine : métabolite actif de terfénadine Desloratadine : métabolite actif de loratadine
2e génération : Pipéridines
Terfénadine et astémizole (retirés du marché)
◦ Risque d’arythmies parfois mortelles par allongement de l’onde QTsi utilisés en même temps que Rx qui inhibent leur métabolisme et augmentent ainsi leur toxicité (ex: imidazoles, macrolides, etc.)
2e génération : Pipérazines
Seul Rx dans cette classe : cétirizine
Métabolite actif d’hydroxyzine
Activité anticholinergique non significative
Pénétration négligeable au SNC, mais incidence légèrement + élevée de sédation que autres anti-H1 de 2e gén.
Dibenzoxépine tricyclique
Seul membre : Doxépine
Commercialisé comme antidépresseur tricyclique
Un des anti-H1 les + puissants
Activité anti-H2 significative (mais cet effet ne se traduit pas par + grande efficacité clinique)
Cause sédation et effets anticholinergiques
Est mieux toléré chez patients dépressifs que ceux non-déprimés (où même une faible dose peut causer confusion et désorientation)
Azélastine
Anti-H1 et stabilisateur des mastocytes
Commercialisé dans le monde entier depuis > 20 ans
Commercialisé depuis fin mars 2015 au Canada : Dymista (existe déjà aux E-U x 2012)
◦ Vaporisateur nasal contenant 50mcg de propionate de fluticasone et 137 mcg de chlorhydrate d’azélastine (Posologie : 1 vap dans q narine BID) (Pr, ≥ 12ans)
E-U : Azélastine seul
◦ IN : Astelin 0,1% ou Astepro 0,15% x 1996 (Pr) ◦ Opht. : Optivar 0,05% x 2000 (Pr)
Dymista = Rx + efficace pour la rhinite allergique
Rupatadine
Nouvellement commercialisé X février 2017 (Rupall)
Anti-H1 de 2e gén. + inhibiteur compétitif du facteur d’activation plaquettaire (FAP) = effet additionnel?
FAP:
◦ Permet l’agrégation des plaquettes
◦ Médiateur puissant de l’inflammation dans réaction allergique : vasodilatation, bronchoconstriction, ↑ perméabilité vasculaire, ainsi que chimiotactisme et dégranulation des éosinophiles et neutrophiles
indication de la Rupatadine
Indications :
◦ Rhinite allergique saisonnière et perannuelle chez ≥ 2 ans
◦ Urticaire chronique spontanée chez ≥ 2 ans
Biotransformation de la Rupatadine
Biotransformé par CYP3A4 (attention aux
interactions, Ø pamplemousse)
Rupatadine poso+ caractéristique suit
Posologie :
◦ ≥ 12ans (10mg die)
◦ 2-11 ans (10-25kg: 2,5mg die ou >25kg: 5mg die)
Un des métabolites actifs = desloratadine
Profil d’innocuité similaire aux autres 2e gén.
Attention prolongation QT possible
Bilastine (indication)
Nouvellement commercialisé X janvier 2017 (Blexten)
Anti-H1 2e génération
Indications :
◦ Rhinite allergique saisonnière chez ≥ 12 ans ◦ Urticaire chronique spontanée chez ≥ 18 ans
Bilastine poso
Administrer avec de l’eau 1h avant ou 2h après la prise d’aliments ou de jus de fruits
Posologie : 20mg die
Bilastine attention
Profil d’innocuité similaire aux autres 2e gén.
Attention prolongation QT possible
Substrat de la glycoprotéine P (attention aux interactions, Ø pamplemousse)
Effets secondaires (ES) des anti-H1 (SNC)
SNC :
◦ + fréquent : sédation (tous sauf 2e génération)
◦ - fréquent : étourdissement, faiblesse, céphalées, irritabilité, tremblements, dyskinésie, paresthésie, confusion, hallucinations, convulsions
◦ Parfois effet paradoxal : stimulation du SNC (particulièrement chez enfants) :
Excitation, agitation, insomnie, euphorie, nervosité
Effets secondaires des anti-H1(Anticholinergiques)
◦ Sécheresse des muqueuses (yeux, bouche, nez, voies respiratoires)
◦ Rétention urinaire, vision brouillée, mydriase, ↑ température corporelle par hyposudation, constipation, tachycardie, confusion, troubles de la mémoire
Effets secondaires des anti-H1(GI)
N/V, constipation ou diarrhée, douleur épigastrique (prendre avec nourriture peut atténuer ces ES)
Effets secondaires des anti-H1 (autres)
◦ Palpitations, hypotension, tachycardie, hypertension légère, diplopie, tinnitus
◦ Hépatite, ↑ enzymes hépatiques (rare)
◦ Prolongation de l’onde QT
◦ Arythmies (+ en surdosage)
◦ Réactions d’hypersensibilité (ex: photosensibilité, dermatite de contact allergique)
Dermatite de contact allergique : possible si PO mais + fréquent si voie cutanée
Incidence, tolérance et complication dfes anti-H1
Complications hématologiques (très rares) : leucopénie, agranulocytose, anémie hémolytique
Incidence/gravité des ES : ↑ avec dose
Tolérance aux effets du SNC des anti-H1 de
1ère génération :
◦ Parfois rapportée après qq jours d’utilisation, mais pas toujours démontrée dans les études
◦ Pas prédictible ni complètement élucidée
Effets secondaires des anti-H1 (associé aux réecpetuers)
Associés aux récepteurs H1 :
◦ ↑ sédation
◦ ↑ appétit
◦ ↓ performance cognitive et psychomotrice
Associés aux récepteurs muscariniques :
◦ Sécheresse de la bouche et des voies respiratoires, rétention
urinaire, dysurie et tachycardie sinusale
Associés aux récepteurs α-adrénergiques :
◦ Hypotension, étourdissements, tachycardie réflexe
Associés aux récepteurs sérotoninergiques :
↑ appétit
Effets secondaires des anti-H1 (associé aux canaux)
Associés aux canaux ioniques Ik et autres canaux ioniques
cardiaques :
◦ Intervalle QT prolongé (risque d’arythmies ventriculaires)
Effets secondaires des anti-H1 de 2e gen en lein avec 1er gen
Ptoetntile d’averse des effet de 1er generation
TALEAU DES ES anti his
SLIDE 62