Immuno 3 Flashcards
hypersensibilité Réactions de type II
Ce type d’hypersensibilité s’observe quand un anticorps circulant réagit avec un antigène adsorbé sur une membrane cellulaire ou avec un de ses constituants naturels ou encore avec un néoantigène (viral par exemple)
Destruction causé par hypersensibilité Réactions de type II
Destruction directe de cellules par des anticorps • soit via une activation du complément
• soit par phénomène d’ADCC
• soit par opsonisation
Exemple phénomènes de type II
- Rejet hyperaigu des allogreffes
- Réactions transfusionnelles
- Erythroblastose foetale
- Anémies hémolytiques autoimmunes
Réaction transfusionnelle par incompatibilité ABO (mécanisme et toxicité)
- Liée à des anticorps « naturels » : IgM • réaction immédiate due aux IgM
- activation du complément
- hémolyse massive
- toxicité liée à l’hémoglobine libre
Maladie hémolytique du nouveau-né Cause de développement
Pas de Rhogam (rhogam arrête l’activation des cellules B et la formation de cellule de mémoire qui sinon traverserait vers le bébé par le placenta et attaquerai le RBC des bébé.)
Anémie hémolytique liée à des médicaments (mécanisme)
- Les molécules du médicament sont adsorbé sur la membrane du globule rouge.
- D’éventuels anticorps dirigés contre le médicament (souvent haptène) entraînent soit la destruction du globule rouge (par complément) soit sa capture par des phagocytes de la rate ou du foie
Lymphocytes T en présence de pathogène, que se passe-t-il?
Sélection clonal et expansion
Lymphocytes T en présence de pathogène, en abscence de pathogène
lymphocyte naif
Lymphocytes T indépendant (TI-1) (comment ca marche
-Cell B n’a pas besoin du lymphocyte T
-Si détecte un motif pathogénique: 2 signaux vont arriver afin de sécréter des immunoglobuline
1e signal étant L’interaction épitote et l’anticorps
2e signal d’un pathogène quelconque
-Production d’IgM puisque pas eu besoind e lymph T
-Pas d’hypermutation somatique
Lymphocyte T dépendane
- Lymphocyte B aurait l’antigène sur la surface par les imunoglobuline de surface
- Antig;ne ingérer/ entre dans cell
- Exprimer sur CMh de classe II?
- Stimule lymphocytes T (auxiliarie) spécifique piour l’antigène
- lymphocyte T (T helper) envoi signal au lymph B
- pour faire la commutation isotypique(pour pouvair faire desIgG et IgA
- Hypermutation somatique (partie varaible anticorp devient autr partie
Réaction immunitaire humorale et cellulaire (Lymphocytes B)
- Immunité humorale
- Dirigés contre les molécules présentes dans l’environnement extracellulaire • Reconnaissent les antigènes intacts (récepteur de cellules B)
- Les complexes Ac-Ag ne détruisent pas les antigènes
- Développement dans la moelle osseuse
Réaction immunitaire humorale et cellulaire (lymphocytes T)
- Immunité cellulaire
- Reconnaissent des fragments peptidiques des antigènes apprêtés par les cellules présentatrices d’antigènes
- Nécessitent des interactions cellulaires (récepteurs de cellules T)
- Sont capables de détruire les cellules infectées
- Développement dans le thymus
Qu’est-ce qui contrôle le fonctionnement des lymphocytes T
une évaluation de ce qui se passe dans les cellules et dans l’environement cellulaire.
des molécules décrivant l’état des cellules (Qsj)
les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité.
Les Mécanismes de Défense Immunité Acquise
Réponse plus lente
Immunité humorale (anticorps)
Immunité cellulaire (cellules lymphoïdes)
Moyens de reconnaissance de l’antigène développés pendant la maturation cellulaire.
Cellules Présentatrices d’Antigènes
(cellules dendritiques, macrophages, cellules B)
Les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) (découvert)
• Découvertes à cause du rejet de greffe
• Deux types des les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH)
Classe I
• Présentent les peptides aux lymphocytes T cytotoxiques (CD8+) • Peptides endogènes
Classe II
• Présentent les peptides aux lymphocytes T auxilliaires (CD4+) • Peptides exogènes
Caractéristique des les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH)
- Système multigénique, multiallèlique
* Les molécules du CMH ne sont pas les mêmes chez tous les individus!
Organisation génique des gènes du CMH Complexe HLA (chromosome 6): région des CMH de type II et gène produit
- DP (DP gène et alphabêta gène)
- DQ (DQ gène et alphabêta gène)
- DR (DR gène et alphabêta gène)
Organisation génique des gènes du CMH Complexe HLA (chromosome 6): région des CMH de type I et gène produit
- B (HLA-B gène)
- C (HLA-C gène)
- A (HLA-A gène)
CMH Classe I location
CMH I présentes sur toutes les cellules nucléées et intervenant dans la présentation des peptides endogènes aux lymphocytes T CD8+
CMH Classe I caractéristique
- Dimères d’une chaîne α et de la β2-microglobuline.
* Seule la chaîne α varie d’un individu à l’autre.
CMH Classe I trois type declasse
HLA-A, HLA-B et HLA-C
CMH Classe II location
Molécules du CMH présentes sur les cellules présentatrices d’antigènes et intervenant dans la présentation des antigènes exogènes aux lymphocytes T CD4+
CMH Classe II caractéristique
Dimères dont les deux chaînes α et β font partie du CMH
Trois types de molécules HLA de classe II
HLA-DP, HLA-DQ et HLA-DR
Apprêtement des protéines synthétisées dans la cellule
- Protéines codées par l’ADN de la cellule
- Protéines « étrangères » d’un agent infectieux qui infecte la cellule considérée (virus, bactérie, champignon)
- Utilise les voies de dégradation nécessaire au turn- over des protéines cellulaires = le protéasome
Ubiquitine et protéasome
dégradation
Transport des peptides vers le réticulum endoplasmique associé avec quoi
Avec le processus d’atnigène
L’apprêtement des antigènes intracellulaires
Les antigènes apprêtés s’associent aux protéines du CMH (classe I).
Ce complexe protéique est reconnu par le récepteur des cellules T.
le terme cellule présentatrice est utiliser pour classe i et II
F: l’usage réserve le terme cellule présentatrice aux cellules capables de présenter via les molécules de classe II aux lymphocytes T CD4
Une cellule présentatrice d’antigène doit…
- Pouvoir capter l’antigène dans le milieu extracellulaire par
- phagocytose
- endocytose (grâce à un récepteur comme le BCR)
- Exprimer des molécules de classe II du CMH
Deux grands types d’APC (cellules présentatrices d’antigène)
• Cellules de la lignée myéloïde
-Macrophage & cellules dendritiques
• Lymphocytes B
Quelles sont les APC les plus efficaces pour démarrer une réponse immunitaire
les cellules dendritiques
Role des lymphocytes B et comment captent-ils les antigènes
En plus de leur rôle dans l’immunité humorale, les lymphocytes B sont des APC et utilisent le BCR pour la captation des antigènes
Comment se passe l’apprêtement?
1-Antigène attaché surface par récepteurentre dans cell avec vésicule entouré de claritin
2-Endosome tot
3-REcyclage des récepteur/endocyose tardif grace au golgi
4-lysosome
Apprêtement peptidique (mécanisme)
• Acidification dans les compartiments endosomiaux
• Fusion avec les lysosomes et exposition à de multiples hydrolases pH
dépendantes (protéases, glycosydases, etc.)
• Clivage en peptides de 13 à 18 aa
• Chargement sur les molécules de classe II du CMH et expression à la membrane
L’apprêtement des antigènes extracellulaires pour leur présentation aux cellules T auxiliaires (mécanisme)
Les antigènes apprêtés s’associent aux protéines du CMH (classe II).
Ce complexe protéique
est reconnu par le récepteur des cellules T.
Comparaison des deux voies (endogène classe I, exogèneMHC classe II)
Tous les deux résente l'état def l'environnemtn Enodgène/classe I: -origine intérieur 1-ubiquitine/protéasome pour dégradé 2-Er->Golgi->ext Exogène -origne extrieru
« Spécificité » des molécules CMH
• Nous possédons au maximum 6 molécules de classe I et 12 molécules de classe II (3 de la mère, 3 du père, peuvent se combiner)
- C’est assez pour reconnaître des dizaines de milliers de peptides différents
• Les molécules du CMH sont donc sélectives mais n’ont en aucun cas la spécificité du TCR
Pourquoi avons nous autant de varitété lorsque ca vient au Polymorphisme des molécules HLA
Afin d’avoir plus d’affiniét possible enc as d’attaque
ESt-ce que les molécules du CMH sont les mêmes chez tous les individus?
Les molécules du CMH ne sont pas les mêmes chez tous les individus!
Que forme un haplotyde
Les 6 allèle de chaque parent , chromosone généralement ransmis en bloque mais possibilité de recombinaison
- Les loci du complexe CMH sont très proches : le taux de recombinaison au sein du CMH est donc très faible (moins de 0.5%)
- Les allèles du CMH sont donc transmis « en bloc » de chaque parent : transmission d’un haplotype comprenant un ensemble d’allèles pour les trois régions du CMH