Perspectives Autochtones et Trauma intergénérationnel Flashcards

1
Q

Quel est la différence entre le syndrome de stress post traumatique et le trauma autochtone ?

A

→ Certains types de stresseurs (incidents racistes répétés)
→ Nature complexe, cumulative et collective du traumatisme
→ Rôle de la culture et de la dimension intergénérationnelle
→ Liens entre le traumatisme contemporain et historique
→ Voies vers le rétablissement des individus et collectivités

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2
Q

De quoi se compose le traumatisme intergénérationnel ?

A

Traumatisme SSPT complexe :
- Exposition prolongée, sévère et massive (en
captivité, sous le contrôle/coercition d’abuseurs)

Traumatisme historique :

  • Dimension collective cumulative
  • Affecte tant les survivants que les descendants

Syndrome des pensionnats autochtones :

  • Rêves répétitifs
  • Détresse
  • Transmis aux proches
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3
Q

Rappel historique sur les pensionnats autochtones

A

En opération de 1883 jusqu’à 1996. Il était devenu obligatoire (1920) pour les enfants autochtones d’aller
rejoindre les pensionnats entre 6 et 17 ans.
→ Administrés par institutions religieuses chrétiennes.
→ Visait la suppression culturelle et l’assimilation à la culture dominante (n’avait pas le droit de parler leur
langue maternelle).
→ Éducation inférieure à l’instruction publique : travail forcé = CONTRIBUTION au faible niveau socioéconomique actuel qui est vécu chez les communautés autochtones actuellement.
→ Expérimentations scientifiques (privation d’une alimentation saine)
→ Environ 4000 décès ou +

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4
Q

Rappel historique : La grande rafle

A

→ 1950 à 1980
→ 20 000 autochtones enlevés de leurs familles et de leur communauté sans le consentement pour être
placés dans des familles allochtones
→ La Commission Vérité et Réconciliation a reconnu les torts et impacts négatifs qui ont été infligés à ces
enfants.
→ 2017 = règlement de 800 Mi $ de la part du Gouvernement canadien

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5
Q

Quel est le processus (ligne du temps ) du traumatisme historique ?

A
1) Dépossession
territoriale, déplacement
et enfermement
historique
1876 : Loi des Indiens

2) Lois de proscription
culturelle et programmes
d’assimilation

3) Les pensionnats
autochtones devenus
obligatoires (1920)

4) Traumatismes multiples
(i.e. abus physiques,
psychologiques ou
sexuels)

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6
Q

Impacts sur la communauté du traumatisme intergénérationnel

A
Arrachement au territoire
Souffrance émotionnelle importante
Discontinuité culturelle
Perte du sens communautaire des manières
de faire, des rôles
Affaiblissement des structures sociales
traditionnelles
Atteinte à la cohésion
Perte identitaire collective
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7
Q

Impacts sur la famille du traumatisme intergénérationnel

A
Destruction de la structure familiale
Problèmes d’attachement entre parents et
enfants
Perte de modèles parentaux
Altération des solidarités
intergénérationnelles
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8
Q

Impacts sur la personne du traumatisme intergénérationnel

A
Perte du lien affectif avec famille
Impuissance, perte d’espoir/estime/concept
de soi, honte, hypervigilance
Troubles de santé mentale
Difficultés d’attachement et recherche de
relations abusives
Perte de stratégies de coping et de
régulation des émotions
Atteintes à la capacité parentale
Itinérance, incarcération
Perte d’identité culturelle
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9
Q

Quel est le lien entre le trauma autochtone et le TPL ?

A

→ Instabilité émotionnelle et problèmes identitaires très présents dans ce diagnostic
→ Il faut être en mesure de relié au trauma historique et comprendre que le problème d’identité va avoir
une dimension culturelle : l’individu qui gère un problème d’identité culturelle va vivre un tiraillement
entre culture d’appartenance et la dominante.

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10
Q

Quels sont les 2 grandes voies de transmission du traumatisme intergénérationnel ?

A

Voies de transmissions physiologiques :
Les expériences d’abus dans l’enfance pourraient compromettre la structure et la
fonction neurale, rendant la personne susceptible à des problèmes psychiatriques,
mais aussi en altérant les gènes, contribuant ainsi à une transmission vers l’autre
génération.

Voies familiales et sociales comportementales :
- Problèmes d’attachement entre parent et enfant
- Atmosphère familiale de honte, de contrôle, de stress et d’anxiété, de
perfectionnisme
- Reproduction des comportements abusifs
- Styles d’interaction familiale négatif (abus, négligen

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11
Q

Quels sont les inégalités sociales au niveau de la santé du peuple autochtone au QC ?

A
→ Espérance de vie en moyenne 4,7 années
de moins que la population générale du
Québec
→ Taux de diabète de type II (3.9 x plus
élevé)
→ Taux d’obésité plus important
→ Grossesse chez les adolescentes (9x plus
nombreuses)
→ Taux élevés de tabagisme, consommation
de drogues et de jeu compulsif
→ Comportements d’automutilation à la
hausse
→ Écart en éducation
→ Écart en emploi
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12
Q

Quels sont les inégalités sociales au niveau de la santé du peuple autochtone au Canada ?

A
  • 52% des enfants autochtones dans le système de la DPJ
  • Familles autochtones plus investiguées
  • Moins d’accès aux services de santé mentale pour les parents impliqués avec la DPJ
  • 18,3% de la population vit dans des logements surpeuplés
  • Femmes autochtones sont 3x plus à risque de crimes violents
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13
Q

Quels sont les conséquences du traitement négatifs et méprisants des peuples autochtones dans le milieu de la santé ?

A

→ Évitement ou non-recours aux soins dus à ces expériences (stigmatisation, discrimination…)
→ Consultation en situations d’urgences uniquement (accouchement, accident grave)
→ Méfiance envers les systèmes de soins
→ Résistance envers les professionnels (si autoritaires ou trop prescriptifs, peuvent déclencher des souvenirs
d’expériences traumatisantes)

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14
Q

Quels sont les préjugés que la communauté allochtones possèdent sur la taxation et les faits réels ?

A

Préjugés sur la taxation :
S’ils travaillent dans la communauté, là ils n’ont pas d’impôts à payer, mais en général ils paient des impôts
comme tout le monde.
En communauté, il ne peuvent pas être propriétaires, ce qui rend très difficile d’accumuler, etc…
Loi des Indiens = COMPLEXE, choix entre s’assimiler pour faire des études ou garder son identité mais être sous
tutelle.

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15
Q

Exemple de Joyce Echiquan

A

Joyce Echaquan :
− Rapidement étiquetée comme « narco-dépendante » à l’hôpital, même si aucune preuve de cela = a guidé
les actions du personnel
− Étiquetée « patiente difficile »
− Appels à l’aide ne sont pas pris au sérieux (transfert très long, réponse lente et nonchalance des soignants)
Au final, sa mort a été confirmée comme « mort naturelle », mais elle aurait pu être évitée si elle avait été soignée
rapidement.
Recommandations du coroner au gouvernement :
- Reconnaître l’existence du racisme systémique
- S’engager à l’éliminer

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16
Q

Quels sont les différentes composantes de la discrimination systémique en lien avec les autochtones ?

A

Source systémique : Les notions en
santé autochtone
sont peu abordés à
l’université.

Barrières à l’accès : Peu d’étudiants
autochtones dans
les domaines de la
santé en milieu
universitaire.

Angle mort : Il y a une faible compréhension des
réalités autochtones dans les milieux universitaires.

Enjeu systémique : Des futuresprofessionnels de la
santé exposés aux réalités autochtones.

Discrimination systémique : Offre de prestation
de soins insuffisante et culturellement inadéquate en
communauté autochtone.

17
Q

Quels sont les approches à utiliser pour l’amélioration de l’accès, de l’acceptabilité et de la pertinence des soins et services pour les peuples autochtones ?

A

Humilité culturelle-Sécurité culturelle - Relation thérapeutique

18
Q

Qu’est ce que la sécurité culturelle ?

A

Définitions :
→ En ergothérapie, il s’agit du résultat d’une pratique culturellement congruente et
centrée sur la relation auprès des Autochtones qui ne porte par atteinte à l’identité
culturelle et au bien-être de l’individu.
→ La sécurité culturelle va au-delà de la sensibilité et de la conscience des différences
culturelles pour s’attarder à l’analyse des déséquilibres de pouvoir, de la
discrimination, et des effets durables de la colonisation. Plutôt que de se concentrer
sur les pratiques culturelles, la sécurité culturelle met l’emphase sur les contextes
social, économique et politique qui façonnent les réalités sociales. Il est clair que les
groupes dominants et les cultures des systèmes de santé sont appelés à changer et à
s’adapter, pas les peuples autochtones.

19
Q

Compétence culturelle vs Sécurité culturelle ? Quels sont les défis respectifs ?

A
Compétence : La personne « minoritaire », doit être
comprise dans ses croyances et
comportements de santé.
Le thérapeute doit développer des
connaissances, habiletés et attitudes
sur « l’autre ».
Sécurité Les différences culturelles résultent aussi
du colonialisme, de l’oppression, des
conditions socio-économiques;
comprendre comment le pouvoir et les
privilèges des groupes dominants posent
problème.
20
Q

Compétence culturelle vs Sécurité culturelle ? Quels sont les buts respectifs ?

A

Compétence : Développer sa capacité à travailler
efficacement avec des clients qui
diffèrent de soi.

Sécurité : Diminuer les iniquités des santé et
injustices sociales.

21
Q

Compétence culturelle vs Sécurité culturelle ? Comment l’évalue-t-on ?

A

Compétence : Mesure des connaissances et attitudes
du thérapeute, emphase sur le niveau
de confort et de confiance du
thérapeute.

Sécurité : C’est le client qui détermine comment il
se sent dans la relation et dans le
système de santé

22
Q

Définition de l’humilité culturelle

A

→ L’humilité culturelle peut être définie comme une approche visant à mieux desservir
les personnes d’origines culturelles diverses, et fondée sur l’apprentissage continu et
la reconnaissance des dynamiques de pouvoir en santé.
→ L’humilité culturelle est un processus de réflexion sur soi pour comprendre les biais
personnels et systémiques, et pour développer des processus et relations fondées sur
la confiance mutuelle.

Plus concrètement :
1. Emphase sur APPRENDRE, plutôt que CONNAÎTRE la culture de son patient/client
2. Reconnaître et accepter l’existence de lacunes dans les connaissances sur une culture
3. Implique ‘ouverture à la diversité à l’intérieur d’une culture et à travers les différentes
cultures (points de vue différents des individus sur la santé, le bien-être, la famille et
les rôles)
4. Respect authentique des connaissances, croyances et des capacités de l’autre =
RENFORCEMENT du pouvoir d’agir-faire (cohérence avec paradigme du
rétablissement)

ON DOIT CHANGER DE PARADIGME : Processus de réflexion sur son identité culturelle.
Reconnaissance que nos perspectives sont culturellement fondées.
Emphase sur la réflexivité critique!! (reconnaissance, acception et réflexion critique sur les biais
et présupposés)
Reconnaissance des dynamiques de pouvoir et comment elles affectent tant le patient que le
thérapeute.

23
Q

Interaction dans la relation thérapeutique en lien avec la sécurité et l’humilité culturelle ?

A

→ Savoir que les gestes peuvent êtres plus importants que les paroles (grande importance du non-verbal
comme le contact visuel )
→ Reconnaître que le thérapeute a un pouvoir qui peut blesser et qu’il est possible de blesser même avec
des bonnes intentions
Manières de faire qui peuvent déclencher des réactions fondées sur le trauma (ex. être trop centré sur un
questionnaire d’évaluation, précipiter une évaluation)
→ Assumer que le client ne nous fait pas vraiment confiance
→ Accepter qu’il ait raison de ne pas donner sa confiance rapidement
→ Savoir que la confiance établie avec un seul membre de la communauté peut influer sur la relation avec
l’ensemble de la communauté
→ Utiliser des questions ouvertes pour connaître les besoins/ défis occupationnels

*****Utilisation du SILENCE : outil majeur de relation d’aide, type de silence qui survient lorsque l’aidant s’abstient
d’intervenir afin de permettre à son aidé de cheminer à son rythme dans l’exploration de son problème.

24
Q

Quel est la perception autochtone de la guérison ?

A

→ Rétablissement personnel et collectif des effets durables de l’oppression et du racisme
systémique (intergénérationnel)
→ Beaucoup de personnes autochtones souffrent de maladies spécifiques et de
problèmes sociaux
→ Souffrent aussi d’une dépression de l’esprit qui résulte de près de 200 ans de
destruction de leur culture, langues, identités et respect de soi
→ Inclut famille, communauté, nation et territoire

25
Q

Que comprend ont des dimensions de la guérison ?

A

Le bien-être mise sur l’équilibre entre les 4 dimensions
interreliées, soit la dimension physique, émotionnelle, spirituelle
et intellectuelle.
L’état du territoire est intimement lié à l’état de santé des
communautés qui en dépendent.
Exemple : déforestation détruit la ligne de trappe et fait
augmenter la dépression dans la communauté.

26
Q

Que comprend le modèle MCREO intégré ?

A

MCREO – Intégré (vision autochtone)
Environnement = territoire et toutes les activités
qui s’y font, communauté et contexte canadien.

Sens des occupations : le faire (occ. Signifiantes),
être (créativité, spiritualité), devenir (être en
cheminement), appartenir (contribuer et
connecter avec les autres).

27
Q

Comment développer le côté sain/ en santé de la personne autochtone ?

A

→ Recherche de l’équilibre entre les 4 sphères
→ Sens, appartenance, espoir et but
→ Utilisation des médecines traditionnelles
→ Rôle de chacun dans la communauté
→ Possibilité de s’accomplir et d’actualiser ses forces dans la communauté

28
Q

Quels sont les pratiques traditionnelles Autochtone de guérison ?

A

Les cercles de guérison; de partage, de discussion (cercle spitiruel)
Les cérémonies (de sudation, de jeune)
Les guérisseurs traditionnels
Purification (smudging)
Partage des savoirs, importance des aînés et parents
Cries : revitalisation des cérémonies de rites de passage, pratiques/habiletés/savoirs en
lien avec le territoire, systèmes de savoirs traditionnels (médecines)

29
Q

Que comprennent les tente à suer ?

A

Les tentes à suer :
→ Se libérer des stress, « dénouer » ce qui vient de l’extérieur
→ Se recentrer sur soi-même, un calmant
→ Le fait d’être ensemble, manger ensemble, se comprendre, pas de gants blancs
→ La guérison vient de l’égalité de chaque individu qui va au Matutishan

30
Q

Comment peut-on intégrer les pratiques culturellement sécurisantes en ergo ?

A

1) Concevoir le RENFORCEMENT DE L’IDENTITÉ ET DE LA FIERTÉ CULTURELLE comme outil de guérison, de lutte
contre l’auto-stigmatisation et donc comme objectif d’intervention.
2) Se rappeler de l’importance du groupe comme approche de traitement.
3) Miser sur la connexion au territoire et aux activités qui s’y déroulent.
4) Reconnaître la domination des systèmes de pensées, valeurs et culture médicale
− Renforçant le mouvement des pratiques fondées sur les données probantes
− Priorisant l’autonomie de l’individu (vs. la collectivité) ou l’individualisme (vs. le collectivisme)
5) Reconnaître que les évaluations normalisées peuvent ne pas être appropriées pour les personnes autochtones
6) Viser l’équilibre entre les 4 dimensions et non pas juste la santé mentale
− Tenir compte de la santé physique

31
Q

Institutions culturellement sécurisante en ergo ? Communauté vs Urbain ?

A

Aider les patients ou clients autochtones à se reconnecter à leurs systèmes de pensées et pratiques de guérison
(rôle de collaborateur)
→ En communauté : connaître et collaborer avec guérisseurs traditionnels, aînés, guide spirituel,
programmes culturels, etc.
→ En milieu urbain : connaître et travailler étroitement en collaboration avec les organismes
communautaires offrant des approches culturelles de traitement
Développer des partenariats avec des professionnels autochtones ou des ergothérapeutes autochtones afin
d’assurer le développement de théories, pratiques et modèles pour supporter les autochtones.

32
Q

Quels sont les ressources communautaires urbaines pour les peuples autochtones ?

A

1) Centre d’amitié autochtone de
Montréal
Clientèle : Premières Nations, Inuits et Métis.
Vise jeunes et personnes vulnérables en situation d’itinérance.
Langues et services : Cri, français, anglais, inuktitut, espagnol.
Services : Centre de jour, patrouille de rue, soins infirmier/médicaux,
projet pour personnes itinérantes (douches, vêtements, activités traditionnelles, soutien des pairs), guérisseur traditionnel et services
parajudiciaires.

2) Chez Doris, la fondation du
refuge pour femmes
Clientèle : personnes itinérantes, femmes Inuits et autochtones
Services : Centre de jour, programme de logement autochtone

3) Foyer pour femmes autochtones Clientèle : Premières Nations, Inuits, Métis
Services (3 mois maximum) : vêtements, nourriture, aide financière,
défense des droits, aide médicale, service de jour
Programmes à l’interne : counseling, psychothérapie, art thérapie, ateliers
culturels, cérémonies, visites d’aînés, références
Autres : Spirit Walk, Outreach, May retreat, cérémonie de
purification/sudation au Jardin botanique de Montréal

33
Q

Prise de position de l’ACE : l’ergothérapie et les peuples autochtones ?

A

→ S’informer et informer les autres sur les contextes historiques et contemporains de la colonisation au
Canada et sur ses impacts directs et indirects sur la santé
→ Adopter une attitude d’échange plutôt que de diffusion des connaissances lors du partage d’information
sur les occupations et l’ergothérapie (en contexte de développement de projets/partenariats)

34
Q

Rôle de l’ergothérapeute dans son milieu de pratique en lien avec les peuples autochtones ?

A
  1. Sensibiliser les autres professionnels de la santé sur le trauma intergénérationnel et les enjeux/défis liés
    à la santé et le bien-être des autochtones
  2. Sensibiliser ses collègues à l’égard du racisme
  3. Promouvoir ou appuyer les initiatives institutionnelles qui visent à
    Développer un plan stratégique d’amélioration des soins et services aux personnes autochtones
    Développer un plan stratégique de lutte contre le racisme
  4. Contribuer à créer de l’espace pour le leadership autochtones