perspective historique Flashcards

1
Q

la délinquance sexuelle est un phénomène en constante évolution?

A

oui, il est dynamique et change souvent. il n’y a pas de définition absolue.

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2
Q

qu’est-ce que la délinquance sexuelle?

A

abus sexuelle, violence sexuelle, agression, il y a un contexte d’autorité.

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3
Q

qu’est-ce qu’un crime sexuel?

A

c’est qu’est-ce qui est punissable, on s’intéresse au code criminel. fait référence à des conduites pour lesquels il y a réponse légal.

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4
Q

qu’est-ce que la déviance sexuelle?

A

c’est médicale, psychiatrique, paraphilie. ce ne sont pas toutes les déviances qui sont criminelles, mais certaines peuvent être similaires à la délinquance sexuelle.

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5
Q

il y a trois phases historique (modèle) de la délinquance sexuelle qu’elles sont-elles?

A
  • modèle clinique/médical
  • modèle féministe/juridique
  • modèle de protection communautaire
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6
Q

comment le modèle médicale voit la délinquance sexuelle?

A

c’est une pathologie, l’acte est le prolongement d’une déviation sexuelle. c’est une déviation par rapport à la normalité.

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7
Q

dans le modèle clinique la psychiatrie joue un rôle important?

A

oui

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8
Q

donc, pour le modèle médical, les crimes sexuels sont quoi?

A

une manifestaion de la déviance sexuelle.

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9
Q

dans le modèle clinique, la normalité ( qu’on compare avec la déviance) est définie comment, par quoi?

A

elle est définie par la psychiatrie, par rapport à des critères diagnostiques qui sont basé sur des études, sur ce qui est commun et ce qui l’est moins.

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10
Q

qui est edwin H sutherland dans le modèle médical?

A

o Il décrit le processus de construction social de la délinquance sexuelle dans les années 50. Il décrit l’atmosphère de l’époque qui a mené à la mise en place de loi concernant les psychopathes sexuels, donc les individus qui ne possède pas de mécanisme d’inhibition à leur sexualité. Donc des gestes sexuels bizarres, violents, etc.
o Il analyse le climat social de l’époque, le climat qui mène à la mise en place de ces lois. Il fait la couverture médiatique de l’événement sordide (crime sordide: meurtre d’enfant)

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11
Q

un événement dans ces années (1940) amène des réactions fortes et négatives dans la société, quelles est cette événement et pourquoi amène-t-il de fortes réactions?

A

c’est un meurtre sexuel d’enfant qui est alors médiatisé à cette époque. il amène de fortes réactions car:
 Difficulté de comprendre ces actes (les motivations à faire cela, cmpt imprevisible)
 Peur d’être victime à son tour
 Colère de ne pas être suffisamment protégé par la justice. Colère de pas suffisamment protégé la collectivité.

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12
Q

suites aux réactions de la communauté face au meurtre d’enfant, que fait le gouvernement?

A

Le gouvernement met alors en place un comité qui se penche sur ces questions, qui tentent de faire la lumière sur les événements, identifier\définir le problème (des experts).

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13
Q

dans ce comité du modèle médical, qui sont les experts consulté, et pourquoi?

A

les experts sont les psychiatres, car la littérature sur la délinquance sexuelle est quasi-inexistante.
On fait une application de construits psychiatrique à des cas isolés. On fait appel aux psychiatres qui ont travaillé avec des délinquants pour mieux comprendre ce qui se passe.

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14
Q

parlez de richard von Kraft-Ebing.

A

un psychiatre allemand, il a écrit sur l’ensemble des cas qu’il a rencontré dans son parcours sur les individus qui ont des déviances sexuelles, des cmpts sexuelles bizarre, anodins. ces écrits deviennent une encyclopédie de la déviance sexuelle (premiers écrits sur la déviance). contient plus de 200 cas. il introduit aussi certains termes (sadisme, etc). il identifie et nomme les choses.

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15
Q

pourquoi les délinquants sexuels sont considéré comme un groupe distincts de contrevenant au sein de la population carcérale?

A

car ils ont un cmpts irrationel, inexplicable. leur place n’est pas avec les autres prisonniers.
ils ont des problèmes de santé mentale, la prison n’est donc pas approprié pour eux (paraphilie=préférence sexuelle anormale).
Ils ont peu de similarité avec les autres prisonniers (voleur, etc.) c’est une population définit comme étant distincte, différente et qui nécessite une réponse différente des autres criminels

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16
Q

donc, selon le modèle clinique, la prison n’est pas la réponse à la délinquance sexuelle, pourquoi?

A

La prison n’a pas d’effet dissuasif. On parle plus de maladie mentale, donc prison ne peut avoir d’effet dissuasif, car les actes de ces individus ne sont pas des choix rationnels.

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17
Q

les délinquants sexuels nécessite une méthode d’évaluation et d’intervention spécifique?

A

oui

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18
Q

modèle médicale, que doit-on donner aux délinquants au lieu de la prison?

A

des thérapies spécialisés et particulière à la déviance sexuelle. On met l’accent sur l’importance de la thérapie pour déviant sexuel.

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19
Q

dans le modèle médicale, comment est vue la thérapie, pourquoi?

A

pas comme une punition, car le problème de la délinquance est vue de façon médicale, et donc c’est par une thérapie qu’on peut diminuer le cmpts déviant.

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20
Q

que va-t-on voir apparaître dans le modèle médicale, suite à la conclusion que la prison n,est pas adéquate pour les délinquants sexuels?

A

Il va donc y avoir l’émergence de programmes de traitement pour délinquants sexuels. On met en place des outils, des techniques différentes, spécialisé pour mieux évaluer et mieux intervenir auprès d’eux.

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21
Q

quelle approche se développe aux états-unis dans le modèle clinique?

A

l’approche comportementale

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22
Q

l,approche comportementale met l’emphase sur?

A

la déviance sexuelle

23
Q

V/F dans l’approche comportementale, les gens vont reconnaître avoir des pensées, des idées déviantes. L’évaluation n’ayant pas une influence sur la durée de l’incarcération, alors ils voulaient parler de leurs pensées.

A

FAUX, les gens ne voulaient pas reconnaître leur pensées déviantes. l’évaluation a une influence sur la durée de l’incarcération, alors ils ne veulent pas en parler, ou ils mentent. cela, amène de l’information biaisées.

24
Q

l’approche comportementale utilise des mesures de préférences sexuelles?

A

oui, cela nécessite des outils spécifique.

25
Q

quel outils est élaboré dans l’approche comportementale?

A

la phallométrie

26
Q

freud utilise la phallométrie pour quoi?

A

détecter la pédophilie.

27
Q

l’approche catégorielle modifie des préférences sexuelles en laboratoire.?

A

oui, on utilise des mesures de conditionnement pour modifier les préférences sexuelles. On veut modifier les fantaisies, les intérêts et les excitations sexuelles.

28
Q

quelle est l’hypothèse du modèle médicale? détaillez

A

sans thérapie/traitement, le risque de récidive sont considérable:
o La prédisposition pour la délinquance sexuelle, sans modification, elle va demeurer stable, fixe au long cours.
o Mise en place de mesure : loi sur les psychopathe sexuelles en 1948, permet d’hospitalisé des individus pour un temps indéterminé pour ces déviances sexuelles. Il pourra sortir quand les psychiatres vont déterminer que l’individu est guérit.
o Mesure de contrôle des délinquants sexuels considéré dangereux
o Prône le traitement/thérapie et la réhabilitation
o Durée de la thérapie est variable.

29
Q

pourquoi la loi sur les psychopathes sexuels est graduellement remise en question?

A

o Difficulté à identifier les psychopathes sexuels. Pas assez de critères, pas de défintion claires, légal de ce à quoi fait références un psychopathe sexuel.
o Définition légale pas assez claire.
o Beaucoup demeure hospitalisés pour de longues périodes sans être dangereux ou pour avoir commis un crimes sexuels mineurs. Les individus qui sont visé par cette mesure sont surtout des voyeurs, exhibitionniste, et non des agresseurs sexuels. Donc la loi n’atteint pas ces objectifs.
o Loi abandonnée dans les années 70. Cependant. Cela a permis de structuré des ressources

30
Q

quelles sont les critiques du modèle médical?

A

o Début des études empiriques
o Programmes de traitement de l’époque sont inefficaces.
o L’évaluation clinique du risque n’est pas valide. Les psychiatres ont de la difficulté à identifier les individus qui sont dangereux (récidive) de ceux qui ne le sont pas.
o Connaissances limitées des causes de la délinquance sexuelle

31
Q

comparer modèle juridique et médical, les changements?

A

Modèle juridique
o Problème de nature sociologique et domestique
o Commun et répandue à l’ensemble de la société.
Modèle médical
o Problème du domaine de la psychiatrie
o Cas isolés, pathologie, santé mentale

32
Q

modèle juridique, le viol est perçu comme un désaccord entre deux adultes (je pensais qu’elle était consentante, etc.) la notion de consentement est au cœur des discutions?

A

VRAI

33
Q

la notion de désaccord dans le viol du modèle juridique amène quoi?

A

le procès de la victime et non de l’accusé. en effet, durant un procès, la preuve revient à faire le procès de la victime et de sa réputation. on met l’accent mis sur la réputation, la crédibilité de la victime plutôt que sur l’acte. (Emploi, habillement de la victime

34
Q

le modèle juridique, met à l’avant-scène quoi?

A

la victime et les conséquences néfastes des crimes sexuels. On fait aussi le procès du code criminel

35
Q

dans le modèle féministe, les crimes sexuels sont des d’abord et avant tout des crimes?

A

oui

36
Q

dans le modèle juridique, qui blâme-t-on pour les crimes sexuels?

A

o Blâmer l’agresseur et non sa pathologie. Il ne faut pas le déresponsabiliser pour sa pathologie.
o Blâmer la société qui facilite la délinquance sexuelle. Société ferme les yeux sur certain cmpt, en évitant de discuter de la question.
 Certains cmpt ne sont pas criminel sur le plan légal. Pas reconnu par le code criminel.
 Les peines ne sont pas suffisamment sévères.
 La société patriarcale entretient des mythes et de fausses croyances concernant les femmes et leur sexualité (non= oui)

37
Q

quelle approche prône le modèle juridique face à la délinquance sexuelle?

A

une approche stricte et punitive.

38
Q

on met le système de justice et le système pénal en arrière-plan dans le modèle juridique?

A

FAUX, il est en avant-plan.

39
Q

quelle est la nouvelle image du délinquant sexuel dans le modèle féministe?/

A

o C’est monsieur tout le monde
o C’est des personnalités connues du public, qui sont graduellement associées à la délinquance sexuelle.
o Cela brise l’image du délinquant sexuelle d’avant.
o Utilise la sexualité afin de dominer la femme ou l’enfant. Motivation sexuelle et non sexuelle, motivé par un désir de contrôle, de pouvoir, colère, rage.
o Pas de pathologie ou de troubles mentaux, c’est un choix rationnel.
o Crimes sexuels sont répandus et domestiques. Les crimes sexuels ne sont pas rares. Domestiques : à la maison, on connait l’agresseur

40
Q

L’image de la victime change également en s’attaquant aux stéréotypes de la femme qui…..?

A

o Désire secrètement se faire violer
o Mérite d’être violer
o Qui est responsable de son propre viol
o Qui cherche l’attention, etc.

41
Q

nommez les changements importants au code criminel.

A

o Bcp de changement législatif
o Abandonne le terme viol ( on parle d’agression sexuelle qui est considéré comme un crime violent, et non comme un crime sexuel) le terme crime sexuel n’est plus tant utilisé aussi.
o Redéfini comme un crime violent, et non comme un crime sexuel
o Élimine l’immunité du conjoint\mari
o Limite l’admissibilité d’information sur les habitudes sexuelles de la victime durant le procès
o Élimine l’idée selon laquelle l’agressuer est un homme et la victime une femme (homme peut être victime aussi)
o Pénétration et preuve qu’il a eu lieu- plus nécessaire à avoir.

42
Q

loi C-27?

A

3 niveau différent de l’agression sexuelle.

43
Q

dans le modèle juridique, +les statistiques officielles ne sont pas adéquates afin de mesurer l’ampleur du problème, les féministe expliquent cela par quoi?

A

 Les victimes ont tendances à se blâmer
 Nie leur victimisation
 Croyance selon laquelle il n’y a pas suffisamment d’élément de preuve pour dénoncer
 Préfère ne par parler de peur d’être victime à nouveau
 Peur\honte que l’entourage soit au courant
 Peur de na pas être prise au sérieux
 L’agresseur est un membre de la famille qui supporte financièrement la victime
 Le système de justice aggrave les choses.

44
Q

quelles sont les mesures implantées afin de favoriser le dévoilement et l’expérience de la victime avec le système judiciaire

A

o CALACS : centre d’aide et de lutte contre les agressions sexuelles
o Loi c-15 : victimes peuvent témoigner à distance ou derrière un panneau, accepte les témoignages enregistrer dans certains cas.

45
Q

le passage dans le système juridique peut être comme une deuxième victimisation pour la victime?

A

oui

46
Q

susan brownmiller est une féministe qui dit quoi à propos des hommes?

A

o Tous les hommes sont des agresseurs

o Tous les hommes participent à une conspiration visant à maintenir la femme dans une position ou un rang inférieur

47
Q

parlez de Neil Malamuth et de son sondage

A

o Sondage autorévélé de propension au viol
o Est-ce que tous les hommes désirent secrètement commettre un viol? (malamuth mesure cette propension au viol)
o Il fait ce sondage auprès de jeune étudiants universitaire en psychologie :
 Une des questions posées : imaginez une situation où vous pourriez, sans conséquences pour vous, commettre un viol. Personne ne le saura jamais, passeriez-vous à l’acte? 25% ne disent pas un non catégorique. 6% mentionnent avoir de grandes chances de le faire.
o Différences individuelles quant à la propension à commettre une agression sexuelle. La propension pour le viol n’est pas partagée par tous les hommes. Certains hommes sont prédisposés pour ces actes et d’autres non.

48
Q

étude de bonnie fisher, parlez en.

A

o Sondage important aux É-U auprès de 4000 femmes
o Au collège\université
o Description de la nature (voir note)
o 90% des victimes connaissent leur agresseur
o 13% viol et 35% tentatives de viol lors d’un rendez-vous
o Majorité des délits fait hors campus. Les endroits les plus communs sont les bars, résidences, travail
o Délit sur le campus est généralement à la résidence de la victime
o Blessures physiques dans 20% des agression et tentatives
o Moins de 5% des viols/tentatives rapportés à la police.

49
Q

Le modèle féministe axé sur l’image de l’homme-agresseur et de la femme-victime est remis en question, pourquoi?

A

o De plus en plus de cas de femmes et adolescentes ayant commis un délit sexuel sont rapportés (chez les moins de 12 ans, la proportion gars-fille est presque équivalent)
o De plus en plus de cas d’homme rapportent avoir été victime d’un délit sexuel
 Pas seulement durant l’enfance
 Fraternité, initiation, détention
o Les sondages indiquent que les jeunes femmes commettent des actes similaires aux jeunes hommes.

50
Q

quelles sont les critiques sévères à l’endroit du modèle juridique vers le début 90?

A

o Plusieurs cas très médiatisés (récidive avec violence)
o Les récidivistes sont connus des autorités. On se demande comment un individu comme cela retourne en collectivité.
o Les récidivistes sont de retour en communauté. (max de 4 ans de peine)
o Stupéfaction de constater qu’il y a des délinquants sexuels connus dans la collectivité. ( libération conditionnelle pour certain)
o Pop dit qu’on ne protège pas assez suffisamment la population contre les prédateurs sexuels. On commence à utiliser le terme prédateur sexuel. Le prob de la délinquance sexuelle se redéfinit graduellement sous l’angle du récidiviste

51
Q

Le modèle féministe ne permet pas de prévenir la récidive des prédateurs sexuels, qu’est-ce que cela amène la collectivité à faire?

A

o Construction sociale prédominante du problème change
o Mouvement du général vers les cas particuliers de récidivistes
o Les crimes sexuels domestiques font place aux délinquants sexuels dangereux (domestiques devient moins une préoccupation)
o Émergence du terme de délinquant à haut risque de récidive sexuel

52
Q

comment les médias contribuent à la reconstruction sociale de la délinquance sexuelle dans le modèle de protection communautaire?

A

o Ils mettent l’emphase sur les peines qui ne sont pas assez longues
o Les d.s. sont de dangereux récidivistes
o Les prédateurs sont parmi nous ( ce qui captent attention des médias cest surtout les récidivistes)
o Pop veut en faire plus pour protéger leurs enfants
o Un mouvement se propage en amérique du nord, cest dans ce mouvement que les registres apparaissent.

53
Q

edwin h sutherland refait surface dans le modèle de protection communautaire, pourquoi?

A

car le processus de construction et de réaction sociale décrit par lui refait surface, se reproduit dans les années 90.:
 Au québec, le cas mario bastien, dispartion de cédrika provencher
 Les principaux experts ne sont pas des psychiatres, ni les groupes féministes
 Aux É-U, comité de citoyens, parents/proches de victimes, comité de défenses des droits des victimes (on se tourne vers les groupes qui réclament davantage de mesures, à contrôler davantage (sont alors apparu les registres)).
 Au canada, la psychologie correctionnelle sera mise à l’avant plan.
 Canada et É-U ont des chemins assez différent pour ce qui est des délinquants sexuels