PDF 2 Flashcards
(CU)La pente condylienne a une valeur moyenne de: 30.4 degrés 20 degrés 7.5 degrés 22 degrés 34 degrés
30,4
(CM)Les paramètres qui appartiennent aux déterminants antérieurs de l’occlusion sont: L'angle de Bennett Le recouvrement vertical L'angle cuspidien des prémolaires L'angle cuspidien des molaires Le surplomb horizontal
Le recouvrement vertical
Le surplomb horizontal
V/F Lorsque l’on augmente le surplomb horizontal, on augmente la guidance antérieure.
FAUX, c’est quand on augmente le surplomb VERTICAL qu’on augmente la guidance (diapo 18 cours 2) — augmenter le surplomb horizontal, ça fait juste augmenter la distance que les dents doivent faire avant la guidance antérieure
V/F Lorsque l’on augmente le recouvrement vertical, on augmente la guidance antérieure.
VRAI, la disclusion sera plus importante (diapo 18 cours 2)
(CU)Donner une raison qui justifie l’utilisation de la relation centrée comme position de référence dans le cadre d’une restauration prothétique complexe.
Cela est plus esthétique
Cela permet d’avoir une position de référence reproductible au cours des séances cliniques lorsque aucune référence occlusale fiable n’est présente lorsque le patient vous consulte.
Cela permet de ne pas changer la forme des faces occlusales de toute une arcade
Cela évite de changer la dimension verticale
Nous n’utilisons jamais l’OIM comme position de référence pour les restaurations complexes
Cela permet d’avoir une position de référence reproductible au cours des séances cliniques lorsque aucune référence occlusale fiable n’est présente lorsque le patient vous consulte.
V/F 90 % de la population présente une coïncidence entre OIM (Occlusion d’intercuspidie maximale) et la relation inter-dentaire lorsque la mandibule est en relation centrée. C’est pour cette raison qu’il faut systématiquement effectuer une équilibration occlusale ou une réhabilitation prothétique pour traiter ce décalage.
FAUX, c’est 10%, on ne veut pas forcément équilibrer (diapo 24 cours 2)
(CM)L’occlusion pathologique: sélectionner les réponses vraies.
Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion idéale.
Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée.
Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée et qui est associé à une destruction active des structures dentaires ou articulaires.
Nécessite une intervention pour modifier les schéma occlusal du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée.
Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée et qui est associé à une destruction active des structures dentaires ou articulaires.
Nécessite une intervention pour modifier les schéma occlusal du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée.
(CM)L’occlusion physiologique: sélectionner les réponses vraies.
On dit que le patient présente une occlusion physiologique uniquement lorsque son schéma occlusal souscrit aux critères de l’occlusion idéale.
On dit que le patient présente une occlusion physiologique uniquement lorsque son schéma occlusal souscrit aux critères de l’occlusion mutuellement protégée.
On dit que le patient présente une occlusion physiologique lorsque son schéma occlusal actuel n’entraîne aucune destruction active des structures dentaires et articulaires.
Ne nécessite aucune intervention pour modifier les schéma occlusal du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée.
On dit que le patient présente une occlusion physiologique lorsque son schéma occlusal actuel n’entraîne aucune destruction active des structures dentaires et articulaires.
Ne nécessite aucune intervention pour modifier les schéma occlusal du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée.
(CM)Dans le cadre de l’occlusion mutuellement protégée: sélectionner les réponses vraies.
En OIM, les incisives centrales présentent des contacts moins intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes.
En OIM, les incisives centrales présentent des contacts plus intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes.
En protrusion, ce sont les deuxièmes prémolaires qui guident le mouvement de la mandibule.
En protrusion, ce sont incisives centrales qui guident le mouvement de la mandibule, sans contact sur les dents postérieures.
Dans les mouvements de latéralité, les molaires touchent les dents antagonistes à un moment donné.
Dans les mouvements de latéralité, aucune dent postérieure ne rentre en contact avec les dents antagonistes.
Dans les mouvements de latéralité, ce sont les canines du côté travaillant qui guident le mouvement de la mandibule.
Dans les mouvements de latéralité, ce sont les canines du coté non-travaillant qui guident le mouvement de la mandibule.
En OIM, les incisives centrales présentent des contacts moins intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes.
En protrusion, ce sont incisives centrales qui guident le mouvement de la mandibule, sans contact sur les dents postérieures.
Dans les mouvements de latéralité, aucune dent postérieure ne rentre en contact avec les dents antagonistes.
Dans les mouvements de latéralité, ce sont les canines du côté travaillant qui guident le mouvement de la mandibule.
(CU)Lorsque vous évaluez le pronostic d’une dent avant d’envisager sa restauration vous effectuez la séquence suivante:
Évaluation parodontale, endodontique, prothétique.
Évaluation prothétique, endodontique, parodontale.
Évaluation, endodontique, parodontale, prothétique.
Évaluation, endodontique, prothétique, parodontale.
Évaluation parodontale, prothétique, endodontique.
Évaluation parodontale, prothétique, endodontique.
(CU)Dans le contexte d’une dent traitée endodontiquement, citer le paramètre principal impliqué dans la perte de résistance mécanique.
Le dessèchement et donc la fragilité de la dentine résiduelle.
La perte de structure dentaire coronaire.
La perte de proprioception due au traitement canalaire.
Le type de matériau d’obturation canalaire utilisé
La perte de structure dentaire coronaire.
(CU)Vous souhaitez respecter l’espace biologique et la hauteur de tissu dentaire minimale nécessaire pour assurer un sertissage périphérique satisfaisant pour une couronne. Sur une radiographie périapicale, la hauteur entre la surface la plus coronaire de la préparation et la crête osseuse doit être de: 2 mm 1 mm 6 mm 4.5 mm
4.5 mm (3mm d’espace bio + 1,5mm d’effet virole, diapo 18 cours 3)
(CM)Si cette longueur (4,5mm d’espace bio) n’est pas suffisante. Quelles sont les deux procédures qui permettent de rétablir une mesure idéale:
Le placement d’un pivot.
La réalisation d’un traitement de canal.
La réalisation d’un allongement de la couronne clinique.
La réalisation d’une gingivectomie
La réalisation d’une traction orthodontique
L’enfouissement de la limite de votre chanfrein en direction plus apicale.
La réalisation d’un allongement de la couronne clinique.
La réalisation d’une traction orthodontique
(CM)Les 4 paramètres fondamentaux de la préparation canalaire communs aux deux types de pivots sont: sélectionner les réponses vraies.
Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’herméticité du traitement: 1mm.
Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’herméticité du traitement: 5mm.
La longueur du pivot doit être environ équivalente à la hauteur de structure dentaire coronale au niveau osseux; en général > 5mm.
La longueur du pivot doit être environ équivalente à la hauteur de structure dentaire coronale au niveau osseux; en général > 8mm.
La structure dentaire doit être préservée au maximum peu importe la situation.
La structure dentaire doit être préservée au maximum sauf dans le contexte d’un canal large ou d’une molaire.
Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible. Cependant l’insertion du pivot doit être passive.
Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible même au détriment de la passivité.
Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’herméticité du traitement: 5mm.
La longueur du pivot doit être environ équivalente à la hauteur de structure dentaire coronale au niveau osseux; en général > 8mm.
La structure dentaire doit être préservée au maximum peu importe la situation.
Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible. Cependant l’insertion du pivot doit être passive.
V/F Un pivot permet de renforcer la racine.
FAUX, il va juste permettre de faire une rétention pour une reconstruction coronaire (diapo 24 cours 3)