Pathologies Rachidiennes Flashcards
Pourquoi faire dépistage scoliose
Risque progression ado, aggravation adulte
Risque douleur chronique
Affecte qlté vie
(ado et adulte)
Définition scoliose idiopathique
Déformation 3D du rachis
-Déviation latérale
-Rotation vertébrale
-Déformations morphologiques du tronc (asymétries de posture)
F>G (80-90% cas)
Dx: R-X PA (debout), angle Cobb: 10˚
Étiologie SI
Multifactorielle
-Héréditaire
-déficiences a/n neuromusculaire et osseux
-déficience fonctions hormonales +endocriniennes +sensorielles
(mélatonine?)
S+S SI (éval clinique)
Asymétrie angles de taille
Déjettement tronc C7-S1
Gibbosité >5˚
—-
Douleur
Asymétrie bassin
Asymétrie épaules
Asymétrie cage thoracique
Dim cyphose thoracique
Mesures cliniques SI
Éval posturale
Déjettement avec fil à plomb (mesure distance entre fil et pli interfessier)
Mesure gibbosité
Dépistage hypercyphose thoracique
1.Posture
2.Flexion antérieure tronc (observation courbure)
3. Vérifier réductibilité
Dépistage spondylolisthésis
- Histoire
- Observation posture (position de protection? rétroversion bassin? flexion genoux?)
- Palpation région lombaire (marche d’escalier)
- Raideur
- Dlr/spasmes muscu (ischios)
Cyphose structurale de Scheuermann
Cunéiformisation des corps vertébraux (plan sagittal) –> exagération cyphose thoracique
2G:1F
Étiologie inconnue
Dx: R-X qui montre cunéiformisation de 5˚ ou + d’au moins 3 vertèbres adjacentes situées à l’apex de la cyphose
Spondylolyse/spondylolisthésis
Glissement antérieur de L5 sur S1 (le + souvent)
Bris du pars interarticularis d’une vertèbre
Sévérité déterminée par le grade (% qui a glissé en ant)
Développemental ou acquis
Facteurs héréditaires, morphologiques et biochimiques
Ado/jeunes sportifs avec traumas mineurs répétés
Évolution des pathologies rachidiennes
Aggravation avec la croissance
Suivi aux 4 à 6 mois en contrôle
Évaluation radiologique scoliose
Position d’acquisition: c/g (debout)
Frontal pour angle de Cobb
Sagittal/latéral pour cyphose et scoliose
3/4 pour spondylolyse/listhésis
Risser
Rotation vertébrale, type courbure
Déjettement plan frontal et sagittal
Facteurs de risque de progression scoliose (facteurs négatifs)
<14 ans
Angle Cobb >20˚
Risser <3
Traitement des pathos rachidiennes
- correction posture/apparence
- fonction musculaire
- fonction respiratoire
- fonction sensorimotrice
- douleur
- neuroplasticité
- RPG
Implication des spinaux dans la SI
Implication BILAT!!
-flexion latérale ipsi ++
-rotation controlat
-extension (pcq les deux côtés vont tirer) = hypocyphose souvent
iliocostal, long dorsal, sacro-lombaire: va tirer petit bras côte, donc élévation grand bras côte
-comme si on était en inspi du côté de la concavité (disposition horiz des côtes)
-gibbosité côté de la convexité
Implication du carré des lombes
inclinaison ipsi
(dans le plan frontal seulement, donc pas de composante de rotation)
Implication du psoas
inclinaison ipsi
rot controlat (épineuse va du côté concave)
(contraction unilatérale)
Déformation 3D de la scoliose
Flexion latérale du côté de la concavité
Rotation
vertèbre en cyphose du côté de la convexité
vertèbre en extension du côté de la concavité
(et même des fois 4D, pcq composante de tassement lorsque les muscles post se contractent pour se redresser avec la gravité qui amène un moment de flexion)
Spinaux et hypercyphose
Hypercyphose n’est pas causée par faiblesse des spinaux, en fait c’est une rétraction du système antérieur (on doit donc le travailler avant d’aller travailler les spinaux)
Fonction respiratoire et scoliose
scoliose ou cyphose 60˚ et +: atteinte fct respi
scoliose entre 10 et 20˚:
-dim CVF, VEMS, ratio VEMS/CVF, ventilation max volontaire, distance 6MWT
Aussi: muscles inspirateurs sont souvent rétractés, muscles expi sont souvent relâchés/faibles
Fonction sensorimotrice
Moins bonne perfo posturale (plus d’oscillations médio-lat et a-p)
altération intégration des signaux vestib
altération tx cortical info sensorimotrice du controle postural
Ce que le tx en physio devrait adresser (5)
composante structurale
composante posturale
dysfonction musculaire
Pb fct respi
pb intég sensorielle
Neuroplasticité et SI
plasticité maldaptative pourrait contribuer à la pathophysiologie
-chgmt représentations sensorielles et motrices, modification image corporelle et contrôle sensorimoteur
-présence et amplification dlr chez si (chronique)
Neuroplasticité: lignes directrices pour le tx
-Adresser mécanismes pathophysiologiques
-input afférents sensoriels
-entraînement moteur actif (rétablir stratégies sensorimotrices normales)
-minimiser fatigue et dlr (limiter les rep des exe’s si c’est le cas)
-Protocoles répétés sur courts intervalles de temps = effets plastiques plus durables
-activités orientées vers la tâche ou impliquant effort cognitif