Nutrition (FINAL) Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. L’alimentation représente la dépense la plus importante dans n’importe quel type d’élevage.

A

Vrai.

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2
Q

Qu’est-ce que la voie parentérale?

A

C’est l’administration d’un médicament par injection (intramusculaire, intraveineuse) plutôt que par le tube digestif.

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3
Q

Nommez deux raisons pour lesquelles on modifie les aliments, soit en modifiant la taille des particules ou la densité des aliments.

A

1) Pour améliorer l’efficacité alimentaire.
2) Pour réduire les coûts d’exploitation.
3) Pour régler les besoins nutritifs.
4) Pour détoxifier ou enlever des substances indésirables.
5) Pour stocker des aliments.

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4
Q

Indiquez si le retrait du son d’un aliment augmente ou diminue ces propriétés.

a) La digestibilité
b) L’énergie
c) La valeur nutritionnelle

A

a) Augmente
b) Augmente
c) Diminue

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5
Q

Indiquez si le chauffage du grain, qui entraîne la gélatinisation de l’amidon, augmente ou diminue ces propriétés.

a) La digestibilité
b) L’appétence
c) Les protéines

A

a) Augmente
b) Augmente
c) Diminue

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6
Q

Indiquez si la fine moulure et la compression des fourrages augmentent ou diminuent ces propriétés.

a) La consommation
b) La digestibilité
c) La vitesse de passage

A

a) Augmente
b) Diminue
c) Augmente

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7
Q

Vrai ou faux. Le traitement des grains permet d’augmenter leur densité.

A

Faux. Un grain n’est jamais plus compact que sous sa forme naturelle. Il peut toutefois augmenter en digestibilité.

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8
Q

Laquelle ou lesquelles des substances indésirables suivantes est/sont retirée.s des aliments par un traitement à la chaleur?

a) Le gossypol et les pigments polyphénoliques contenus dans le tourteau de coton.
b) Les inhibiteurs de trypsine contenus dans le tourteau de soya.
c) Les thiaminases contenues dans le poisson cru.
d) Le dicoumarol contenu dans le trèfle d’odeur.
e) Les saponines contenues dans la farine de luzerne.
f) Les isothiocyanates contenues dans le tourteau de colza.

A

b), c) et f)

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9
Q

Laquelle ou lesquelles des substances indésirables suivantes est/sont retirée.s des aliments par l’addition de sels de fer?

a) Le gossypol et les pigments polyphénoliques contenus dans le tourteau de coton.
b) Les inhibiteurs de trypsine contenus dans le tourteau de soya.
c) Les thiaminases contenues dans le poisson cru.
d) Le dicoumarol contenu dans le trèfle d’odeur.
e) Les saponines contenues dans la farine de luzerne.
f) Les isothiocyanates contenues dans le tourteau de colza.

A

a).

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10
Q

Comment se nomme un fourrage préservé par exclusion de l’air stocké avec une masse sèche plus grande ou égale à 50% ?

a) Foin
b) Ensilage
c) Haylage préfané
d) Cubage

A

c).

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11
Q

Quelle est le pourcentage de masse sèche d’un ensilage?

a) < 20 %
b) < 50 %
c) < 70 %
d) < 85 %

A

b).

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12
Q

L’ensilage permet la fermentation et l’acidification du fourrage pour sa conservation. Le processus est divisé en quatre phase. La première se produit en aérobiose et permet la prolifération de bactéries. Que peut-il se produire si cette phase est trop longue?

A

L’augmentation de température, la perte de matière sèche, le développement de moisissures, la production de mycotoxines, le brunissement du fourrage et la transformation en protéines non digestibles (= réaction de Maillards).

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13
Q

Lequel des énoncés suivants ne correspond pas à la troisième phase de l’ensilage, soit la fermentation anaérobie ?

a) L’ensilage refroidit près de la température ambiante.
b) Le pH diminue en-dessous de 5.7, ce qui permet le développement des bactéries lactiques.
c) Les enzymes végétales décomposent les glucides complexes et permettent leur utilisation par les bactéries.
d) Se déroule sur une période d’environ 2 semaines.

A

c).

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14
Q

Lequel des énoncés suivants est vrai concernant l’ensilage?

a) Les bactéries homofermentaires produisent principalement de l’acide acétique.
b) Dans un ensilage bien conservé, au moins 70% de l’acide total est de l’acide lactique.
c) La qualité du fourrage se dégrade rapidement pendant les 4 à 6 mois suivant l’ensilage.
d) La concentration initiale de sucres disponibles dans l’ensilage n’influence pas la qualité du fourrage.

A

b).

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15
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. On observe un plus haut pourcentage d’étables avec un système de stabulation libre au Québec que partout ailleurs au Canada.

A

Faux, c’est l’inverse. Au Québec, 89,1% des étables sont à stabulation entravée.

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16
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

À quel moment du cycle de la lactation les besoins nutritionnels sont…

a) le plus élevé?
b) le moins élevé?

A

a) Durant la lactation
b) Début du tarissement

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17
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Compléter l’énoncé: les besoins en _________ doublent avant et après le vêlage pour la production de colostrum.

a) Calcium
b) Phosphore
c) Sélénium
d) Sodium

A

a)

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18
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Lequel des aliments suivants n’est pas communs dans la ratio des vaches laitières?

a) Ensilage d’herbe
b) Ensilage de maïs
c) Concentré d’anchois
d) Soya
e) Foin de graminées et de légumineuses

A

c)

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19
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Dans les fermes possédant un robot de traite, on offre aux vaches une ration partielle mélangée (RPM) plutôt qu’une ration totale mélangée (RTM). Nommez un avantage à cette pratique.

A
  • Permet une alimentation de précision selon les besoins de chaque vache.
  • Incite la vache à se rendre au robot pour se faire traitre (elle reçoit les concentrés au robot de traite).
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20
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Le distributeur automatique de concentrés (DAC), typique dans les étables à stabulation entravée, permet de personnaliser les rations selon les besoins réels de chaque vache dans le troupeau.

A

Vrai

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21
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel pourcentage du contenu ruminal est représenté par la flore microbienne du rumen?

a) 2%
b) 5%
c) 10%
d) 13%

A

c)

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22
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Concernant la flore microbienne du rumen, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Elle représente 10% du contenu ruminal.
b) Elle est composée de bactéries et de champignons seulement et dépend de l’alimentation de l’animal.
c) Elle est essentielle pour la fermentation de la fibre et des concentrés, qui génère des acides gras volatils (propionate, acétate et butyrate).
d) Elle fournit des nutriments essentiels pour l’hôte tel que des protéines microbiennes.

A

b). Il y a aussi des protozoaires.

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23
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les besoins nutritionnels d’un animal diffèrent lorsque celui-ci est malade.

A

Vrai.

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24
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

La consommation volontaire de matière sèche (CVMS) est influencée par de nombreux facteurs liés à l’animal, à la ration, à la régie et à l’environnement. Nommez trois de ces facteurs.

A

Animal:
- Énergie requise pour la production laitière
- Énergie pour l’entretien
- Changement de poids
- Capacité du TGI
- Santé
- Stade de lactation

Ration:
- Effet de satiété de la ration
- NDF des fourrages
- Type de fourrages
- Digestibilité de la NDF

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25
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les concentrés sont la source principale de NDF (lignine, cellulose et hémicellulose).

A

Faux. Ce sont les fourrages.

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26
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Concernant la fibre efficace, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Il s’agit de la source de nourriture de certains microorganismes dans le rumen.
b) Elle est absolument nécessaire pour la santé du ruminant.
c) Elle permet la synthèse du gras du lait grâce à la production d’acétate.
d) Elles diminuent la motilité du rumen et la consommation volontaire de matière sèche.

A

d).

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27
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. La longueur des particules des fibres efficaces est proportionnelle aux effets bénéfiques observés.

A

Faux. Si les particules sont trop longues, les vaches vont trier leur ration et manger les concentrés en premier.

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28
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel est l’effet sur le pH ruminal d’une augmentation de la consommation de concentré par rapport à la consommation de fourrages?

A

Il diminue.

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29
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Qu’est ce qui est mesuré par le PennState Particle Separator (PSPS) ?

a) La longueur des particules des ensilages et des RTM.
b) La longueur des particules des ensilages et le pourcentage de concentré.
c) Les pourcentages de concentré et de fibres efficaces.
d) La quantité brute de fibres efficaces et la RPM.

A

a)

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30
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel type d’échantillon peut-on prélever FACILEMENT afin d’obtenir des informations précieuses sur la santé du rumen et la digestion de la ration?

a) Un prélèvement sanguin
b) Un prélèvement directement dans le rumen
c) Une biopsie de la peau
d) Un échantillon de fumier

A

d)

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31
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Laquelle des descriptions suivantes correspond au fumier d’une vache qui est souhaité?

a) Le fumier varie significativement des autres vaches du troupeau.
b) Le fumier contient du mucus.
c) Le fumier contient des grains et des particules plus grandes que 0,5 pouces.
d) Le fumier a une texture liquide.
e) Aucune de ces réponses.

A

e)

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32
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Nommez les deux causes majeures du syndrome du lait faible en gras (milk fat depression).

A

1- Ration haute en grain/basse en fourrage (manque de fibres efficaces).
2- Ration contenant des huiles hautement insaturées (graines de soya entières, huile de poisson).

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33
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Laquelle des solutions suivantes n’est pas recommandées afin de corriger un syndrome du lait faible en gras?

a) Limiter l’ingestion de gras (3-5% sur une base de matière sèche).
b) Diminuer le ratio fourrage : concentré.
c) Augmenter l’apport de fibres efficaces et la longueur des particules.
d) Favoriser l’homogénéité de la RTM.

A

b)

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34
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les protéines ingérées par la vache peuvent être utilisées par les bactéries du rumen, absorbées sous forme d’acides aminés dans l’intestin ou excrétées sous forme d’azote dans les fèces.

A

Vrai.

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35
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quelle est la teneur en azote des protéines?

a) 8%
b) 10%
c) 16%
d) 21%

A

c)

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36
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les protéines microbiennes arrivant au duodénum représentent 50% des protéines digérées par la vache, mais ne représentent pas une source équilibrée d’acides aminés pour la production de lait.

A

Faux

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37
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Les apports en glucides fermentescibles et en protéines dégradables doivent être simultanés et égalisés. Pourquoi?

A

Égalisés car sinon l’élément manquant entraîne le gaspillage de l’autre, simultanés car les microbes du rumen en ont besoin en même temps.

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38
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

L’efficacité de l’utilisation de l’azote par l’animal est corrélée avec l’urée sanguin. Quel est le niveau idéal de l’urée sanguin?

a) moins de 8 mg/dl
b) entre 8 et 12 mg/dl
c) entre 10 et 12 mg/dl
d) plus de 12 mg/dl

A

b)

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39
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Lequel des énoncés suivants est faux?

a) Une concentration trop élevée d’urée dans le sang peut mener à des problèmes reproductifs et à une diminution de la production laitière.
b) La vache peut produire jusqu’à 250 L de salive par jour et 25 L d’urine.
c) Le débit d’eau souhaité afin de répondre aux besoins de la vache est 6-8 L par minute.
d) Il est important de vérifier la teneur en minéraux et en nitrate dans l’eau des animaux.

A

c). 6-8 L/min est le minimum, on souhaite 10/12 L/min.

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40
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Concernant l’acidose causée par un problème alimentaire, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Elle est caractérisée par un pH ruminal supérieur à 5,5 et peut provoquer une baisse de la production de lait et de gras du lait.
b) Elle est causée par une haute production d’acides gras volatiles.
c) On peut la prévenir en évitant un apport trop soudain de concentré après le vêlage.
d) Lors d’une acidose, on peut constater une diminution de la CVMS et des diarrhées.

A

a) - pH inférieur à 5,5.

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41
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les papilles du rumen sont plus longues lors du tarissement, ce qui permet de mieux absorber les acides gras volatils et de mieux réguler le pH ruminal.

A

Faux. Les papilles sont plus longues 6-8 semaines après le vêlage.

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42
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Avant le vêlage, dans le dernier tiers de la gestation, la demande nutritionnelle augmente mais la CVMS diminue.

A

Vrai, car le veau et le placenta occupent plus d’espace et il y a des changements hormonaux.

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43
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les apports en énergie et en protéine de la ration sont généralement suffisants pour couvrir les besoins liés à la production laitière en début de la lactation.

A

Faux. On a généralement une importante mobilisation des réserves corporelles qui mène à un bilan énergétique négatif.

44
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

À quelle période du cycle de lactation de la vache peut-on observer une hypercétonémie?

a) 3 à 6 semaines postpartum
b) Avant le vêlage
c) Au milieu de la lactation
d) À tous les stades de la lactation

A

d)

45
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. L’hypercétonémie est souvent observé chez les vaches qui ont un moins bon début de lactation.

A

Faux, ce sont au contraire souvent des vaches qui ont un excellent début de lactation.

46
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Pour quelles raisons les vaches grasses sont plus à risque d’une diminution de la CVMS à mesure que le vêlage approche et donc, plus à risque de développer une hypercétonémie?

A
  • Elles mobilisent plus de réserve
  • Leptine (hormone de satiété)
47
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Lequel ou lesquels de ces phénomènes est/sont associé.s à l’hypercétonémie subclinique?

a) Une diminution de la production laitière.
b) Une diminution du taux de conception.
c) Le déplacement de l’abomasum.
d) Des mammites plus sévères et plus longues.
e) Une augmentation du taux de réforme.

A

Toutes ces réponses.

48
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel corps cétonique peut être facilement mesuré dans le lait à la ferme par le producteur?

a) Le b-hydroxybutyrate (BHB)
b) L’acétone (Ac)
c) L’acétoacétate (AcAc)

A

a)

49
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Une hypocalcémie sous-clinique est définie comme une concentration inférieure à 8,0 mg de Ca/dl. Quel pourcentage des vaches multipares est touché par cette déficience?

a) Moins de 20%
b) Environ 30%
c) Environ 40%
d) Plus de 50%

A

d)

50
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Lors d’une hypocalcémie, on cherchera à servir une ration à la vache qui acidifiera le sang (DACA). Pourquoi?

A

Pour stimuler l’action de la PTH, qui est inhibée lors d’un état métabolique alcalin. La PTH permet d’augmenter le Ca sanguin.

51
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Lequel des critères suivants n’est pas utilisé pour grouper les vaches selon leur alimentation?

a) Le stade de lactation
b) Le statut de santé
c) L’état de chair
d) La race
e) La parité (primipares vs multipares)

A

d)

52
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel critère est le plus populaire au Québec pour déterminer les différents groupes de vaches d’une production laitière?

A

Le niveau de production.

53
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Il est possible de servir à toutes les vaches la même ration, peu importe les différents stades de lactation, afin de diminuer le temps de préparation. Nommez deux conséquences liées à cette pratique.

A
  • Augmente les coûts d’alimentation
  • Augmente les rejets de nutriments dans l’environnement
  • Les vaches en fin de lactation peuvent devenir trop grasses

Cette méthode devrait être limitée aux troupeaux performants.

54
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Pour établir la ration d’un groupe de vaches, on se base sur les besoins de la vache type, soit la vache du troupeau dont les besoins sont les plus élevés.

A

Faux. La vache type n’est pas une vache réelle dans le troupeau.

55
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Vrai ou faux. Les vaches doivent compléter environ deux lactations avant d’atteindre leur poids adulte.

A

Vrai.

56
Q

ALIMENTATION DES BOVINS LAITIERS

Quel pourcentage de concentré dans la ration ne devrait-on pas dépassé afin de conserver la santé des vaches?

A

55%

57
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Concernant le colostrum, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Le colostrum de qualité provenant de la première traite permet de réduire la mortalité et la morbidité chez les jeunes veaux.
b) Le veau doit consommer 3-4 L dans les premiers 10 à 12 heures de vie.
c) Le veau ne peut plus absorber d’immunoglobulines après 24h de vie.
d) Le colostrum de qualité adéquate et bien administré aide à contrôler la diarrhée néonatale et les problèmes respiratoires avant le sevrage.

A

b).
3-4 L dans la première heure de vie + 2-3 L à 10-12 heures de vie.

58
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Vrai ou faux. Le veau nait normalement sans anticorps.

A

Vrai

59
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Vrai ou faux. On peut évaluer la qualité immunologique du colostrum en observant sa consistance, sa viscosité et sa couleur.

A

Faux.

60
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Lors de l’évaluation de la qualité du colostrum grâce au réfractomètre, quelle concentration d’IgG est considérée mauvaise?

a) < 35 g/litre
b) < 50 g/litre
c) < 75 g/litre
d) < 80 g/litre

A

b).

61
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Concernant l’alimentation lactée, lequel des énoncés suivants est faux?

a) La consommation peut aller jusqu’à 20% du poids vif du veau.
b) Afin d’améliorer la santé des animaux, on devrait atteindre une consommation de 8 L de lait par jour.
c) Le veau ne devrait pas avoir faim entre deux repas.
d) L’accès à du concentré à partir de 7 jours de vie permet le développement du rumen et l’apport d’énergie et de nutriments.
e) Aucune de ces réponses.

A

e)

62
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Lequel de ces énoncés est vrai concernant l’apport de foin aux veaux non sevrés?

a) On peut donner du foin aux veaux lorsque ceux ci sont moins intéressés par le repas de concentré.
b) Il est judicieux d’offrir une moulée cubée afin de réduire les risques d’acidose dans le rumen en développement.
c) Il n’est pas nécessaire de couper le foin servi aux veaux non sevrés.
d) Il est suggéré d’offrir du foin de graminées aux veaux non sevrés et pas de luzerne.

A

d)

63
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Vrai ou faux. Le lait de vaches malades (ex. mammite) peut être utilisés pour nourrir les veaux si la pasteurisation est possible.

A

Vrai.

64
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Lequel des énoncés suivants est vrai concernant le sevrage des veaux?

a) Le sevrage est réalisé à 6-8 semaines de vie peu importe la consommation de concentré du veau.
b) Le sevrage est fait de façon graduelle en diminuant la quantité de lait de moitié tous les jours.
c) La génisse Holstein doit idéalement avoir doublé son poids à 100 jours (de 40 à 80 kg).
d) Pour être sevré, le veau doit consommer plus de 1,5 kg de concentré par jour depuis au moins 3 jours consécutifs.

A

d)

65
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Quel critère définie le moment de la première saillie?

a) À l’âge de la puberté.
b) Vers 12-14 mois.
c) Lorsque l’animal atteint 55% de son poids mature.
d) b et c

A

d)

66
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Vrai ou faux. Les génisses déposent plus facilement du muscle que du gras avant la puberté, il faut donc favoriser une alimentation avec des protéines de qualité.

A

Vrai, mais il faut faire attention au excès d’énergie après cette période.

67
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Vrai ou faux. On peut donner aux génisses laitières les restants de nourriture que les vaches en lactation n’ont pas mangé la veille.

A

Faux. C’est souvent trop riche en énergie et non adapté pour les génisses.

68
Q

L’ALIMENTATION DES GÉNISSES LAITIÈRES

Quel est l’effet d’une diminution de température sur la CVMS?

A

La CVMS augmente lorsqu’on diminue la température.

69
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Nommez un symptôme et un facteur de risque d’une obstruction oesophagienne chez le cheval.

A

Symptômes:
- Jetage nasal alimentaire
- Cou étendu
- Toux
- Ptyalisme

Facteurs de risque:
- Foin de mauvaise qualité/paille
- Ingestion trop rapide
- Nourriture sèche qui gonfle durant la mastication/déglutition

70
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Qu’est-il recommandé de donner comme alimentation à la suite d’une obstruction oesophagienne?

a) Retourner à la diète normale dès la résolution de l’obstruction.
b) Conserver une alimentation à base de concentrés seulement pendant plusieurs jours après la résolution.
c) Conserver une alimentation à base de fourrages seulement pendant plusieurs jours après la résolution.
d) Offrir des soupes pendant plusieurs jours après la résolution.

A

d)

71
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Les ulcères gastriques sont favorisés par une alimentation intermittente ( > 6 heures entre les repas). Quels symptômes peut-on observer chez un cheval souffrant d’ulcères gastriques?

A

Changements de comportement, inconfort abdominal et irritabilité.

72
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Vrai ou faux. Afin d’éviter les ulcères gastriques chez les chevaux, il est possible de fournir un petit repas de luzerne 30 minutes avant l’exercice.

A

Vrai

73
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Concernant la maladie inflammatoire de l’intestin (IBD) chez le cheval, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Il s’agit d’une infiltration de cellules diverses dans la paroi de l’intestin.
b) Elle touche particulièrement le gros intestin.
c) Elle peut engendrer une malabsorption, une perte de protéines, une perte de poids et des coliques récurrentes.
d) Il est recommandé de fournir à ces animaux une nourriture riche en fibres digestibles et faibles en amidon afin de réduire le travail de l’intestin grêle.

A

b). Elle touche surtout l’intestin grêle (duodénum, jéjunum et iléon).

74
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Lequel n’est pas un facteur de risque pour les coliques abdominales équines?

a) Un ajout de concentrés dans l’alimentation.
b) Une diminution de l’exposition au pâturage.
c) Un pâturage jeune, riche en amidon.
d) Un foin de mauvaises qualité.
e) Aucune de ces réponses.

A

e).

75
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Vrai ou faux. À la suite d’une impaction chez le cheval, on peut augmenter la consommation d’eau en offrant du sel ou du jus de pomme à l’animal.

A

Vrai

76
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Concernant les entérolithes, lequel des énoncés suivants est faux?

a) Il s’agit d’une accumulation minérale de calcium, de magnésium et/ou de phosphate.
b) Elles peuvent se développer rapidement, en l’espace de quelques mois.
c) Les rations de foin de luzerne et la dureté de l’eau prédisposent aux entérolithes.
d) La consommation de grains permet de diminuer le pH du colon et de prévenir la formation des entérolithes.

A

b).

77
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Quel supplément peut on offrir au cheval pour éviter les accumulations de sable dans le colon (colique de sable) ?

A

Psyllium 1g/kg SID à BID.

78
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Pour quelle raison doit on éviter les changements alimentaires en fin de gestation?

A

Pour éviter les volvulus du colon (colique chirurgicale).

79
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Pour quelle raison est-il recommandé de laisser le poulain téter à volonté lors de diarrhées de chaleur de lait?

A

Pour encourager la maturation des entérocytes.

80
Q

NUTRITION ET MALADIES GASTROINTESTINALES

Vrai ou faux. 40% des chevaux atteints du syndrome d’eau fécal sont au sommet de la hiérarchie de leur groupe.

A

Faux. 40% étaient dernier ou avant-dernier de la hiérarchie.

81
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. L’alimentation multiphase du porc permet de réduire les rejets d’azote et de phosphore dans l’environnement.

A

Vrai.

82
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quelle province canadienne produit le plus de porcs ?

a) L’Alberta
b) Le Québec
c) L’Ontario
d) Le Manitoba

A

b)

83
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. Une meilleure conversion alimentaire signifie que l’animal consomme moins d’aliments pour atteindre son poids d’abattage.

A

Vrai.

84
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quelles sont les trois phases d’alimentation du porc ?

A
  • Truies enceintes
  • Truie en lactation
  • Porcelets
85
Q

ALIMENTATION DU PORC

À quel moment sont sevrés les porcelets?

a) À 21 jours
b) Lorsqu’ils atteignent 5 kg.
c) Lorsqu’ils atteignent 12 kg.
d) Lorsqu’ils atteignent 25 kg.

A

a)

86
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quel est l’aliment principal des porcs à l’engraissement?

a) Le tourteau de canola ou de soya.
b) Les farines de viande.
c) Le gras animal et/ou végétal.
d) Les céréales tel que le maïs.

A

d)

87
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. Les organismes génétiquement modifiés ont une valeur nutritionnelle et une digestibilité diminuées comparativement aux plantes non transformées.

A

Faux. Pas d’effet sur la valeur nutritionnelle, la digestibilité, la qualité de la viande ou le rendement de l’animal.

88
Q

ALIMENTATION DU PORC

Les farines animales sont une source d’acides aminés et de minéraux. Quel pourcentage de la composition des rations des porcs du Québec est composé de farines de viandes?

A

5-6%

89
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. Au Canada, il est interdit de donner comme nourriture aux ruminants des produits d’équarrissage d’autres ruminants.

A

Vrai.

90
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quel minéral ajouté à la moulée permet de réduire le taux de mortalité des porcelets et est favorable à la croissance?

A

Le zinc

91
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quelle enzyme ajoutée à la ration des porcs permet d’augmenter l’assimilation du phosphore et de diminuer les rejets d’azote et de phosphore?

A

Phytase.

92
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. La production de lait chez la truie est indépendante du nombre de porcelets dans la portée.

A

Faux. Plus il y a de porcelets, plus la demande nutritionnelle est élevée, plus la production de lait est élevée.

93
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. La demande en énergie est plus élevée chez la truie durant le dernier mois de gestation que dans les deux premiers mois.

A

Vrai.

94
Q

ALIMENTATION DU PORC

Laquelle de ces caractéristiques ne s’applique pas concernant les truies modernes?

a) Elles ont été sélectionnées pour entreposer moins de gras.
b) Elles ont été sélectionnées pour avoir plus de porcelets par portée.
c) Les animaux sélectionnés pour une viande plus maigre produisent davantage de chaleur métabolique et sont donc moins susceptibles au stress thermique.
d) Le gain de poids de la litière est corrélé négativement avec le stress oxydatif.

A

c). Ils sont plus susceptibles au stress thermique.

95
Q

ALIMENTATION DU PORC

Quels sont les deux critères objectifs d’évaluation des réserves de gras d’une truie en lactation?

A

1- Le poids vif
2- L’épaisseur de lard dorsal

96
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. Plus la truie consomme d’aliments, plus elle produit du lait et plus sa portée croît rapidement.

A

Vrai.

97
Q

ALIMENTATION DU PORC

Vrai ou faux. La perte de poids et de gras de la truie durant la lactation peut retarder les premières chaleurs à la suite du sevrage.

A

Vrai.

98
Q

ALIMENTATION DU PORC

Jusqu’à quel âge la croissance des porcelets est-elle dépendante du colostrum?

a) 3 jours
b) 7 jours
c) 21 jours
d) 59 jours

A

b).

99
Q

ALIMENTATION DU PORC

Les porcelets consomment moins d’eau qu’ils n’en ont besoin. Que peut-on faire pour augmenter leur consommation?

A

Ajouter des arômes dans l’eau.

100
Q

ALIMENTATION DU POULET

Vrai ou faux. On produit un poulet de 1,8 kg à l’abattage en 38 jours avec moins de 3,5 kg de nourriture.

A

Vrai.

101
Q

ALIMENTATION DU POULET

Vrai ou faux. Une poule pondeuse boit environ 25% de sa consommation d’eau quotidienne au cours des deux premières heures de la journée.

A

Faux - c’est durant les deux dernières heures de la journée.

102
Q

ALIMENTATION DU POULET

Lequel des énoncés suivants est faux?

a) L’amidon constitue la plus grande partie du régime de la volaille et celle-ci digère bien la cellulose et les fibres brutes.
b) L’acide linoléique est un acide gras essentiel pour la volaille, qui est incapable de le générer à partir d’autres nutriments.
c) La méthionine et la lysine sont les deux acides aminés essentiels les plus critiques pour la volaille.
d) Les volailles ont besoin de niveaux plus élevés de macrominéraux dans leur alimentation, notamment le calcium.

A

a) - la volaille ne digère pas bien la cellulose et les fibres brutes.

103
Q

ALIMENTATION DU POULET

Pour quelle raison la vitamine D3 est-elle très importante dans la ration du poulet?

A

Pour la formation de la coquille.

104
Q

ALIMENTATION DU POULET

La farine de poisson est la source de protéines animales la plus employée dans l’alimentation des oiseaux. Que se produit-il si on la fournit en excès (>5%) aux oiseaux?

A

Odeur de poisson dans la viande.

105
Q

ALIMENTATION DU POULET

Vrai ou faux. Pour des raisons liées à l’accouvage et au transport, les poussins ne sont alimentés que 10 à 40 heures après leur naissance.

A

Vrai. On peut ainsi observer un syndrome de renutrition inappropriée ->hypokaliémie et hypophosphatémie.

106
Q

ALIMENTATION DU POULET

Vrai ou faux. Le sac vitellin représente une réserve pouvant couvrir les besoins de survie du poussin nouveau-né pendant 48 heures.

A

Vrai.