NRBC Flashcards
Plus que jamais, si l’intervention à caractère technologique est une bataille, celle-ci ne se gagnera pas par la seule compétence des spécialistes du domaine mais bien par une succession d’opérations conjointes menées ensemble par les non-spécialistes, premiers intervenants et les spécialistes agissant en renfort, sous le commandement unique d’un
d’un COS non spécialiste.
Les interventions pour risques technologiques constituent la réponse à
Les interventions pour risques technologiques constituent la réponse à un accident, c’est-à-dire en cas de distorsion par rapport à une situation considérée comme normale du point de vue réglementaire ou normatif, du point de vue du processus industriel ou du transport de matières dangereuses en question.
L’acronyme NRBC pour Nucléaire Radiologique Biologique Chimique intègre la notion
L’acronyme NRBC pour Nucléaire Radiologique Biologique Chimique intègre la notion de menace criminelle, terroriste voire militaire d’emploi de produits nucléaires, radiologiques, biologiques ou chimiques avec l’intention de nuire.
1.2. LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
1.2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
Le grand ensemble nucléaire et radiologique concerne tout ce qui a trait à la modification de
la structure du noyau d’un atome
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
Une matière radioactive émet
des « rayonnements » qui peuvent provoquer des lésions y compris dans le corps humain. Donc, sans autre renseignement la présence de radioactivité dans l’environnement de l’intervention signifie un danger pour la population et les intervenants.
1.2. LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
1.2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
Il s’agit d’un phénomène imperceptible par les sens humains, capable d’agir jusqu’à de très longues distances. Le phénomène radioactif est cependant
détectable, mesurable voire identifiable au moyen d’appareils spécifiques
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
Le terme ‘nucléaire’ présente une définition restrictive et exclusive. Il ne concerne que
Il ne concerne que les matières entrant en jeu dans une réaction de fission ou de fusion nucléair
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
La fission nucléaire est
comment est appelée la matière première utilisé pour alimenter cette réaction
La fission nucléaire est la réaction par laquelle un atome initial se divise en plusieurs autres atomes en libérant une forte énergie.
C’est cette réaction qui est à l’oeuvre dans les centres nucléaires de production d’électricité (CNPE)1 et dans les premières générations d’armement nucléaire (« bombe A »). La matière première utilisée pour alimenter cette réaction en chaîne est dite fissile.
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
La fusion nucléaire est
La fusion nucléaire est la réaction dans laquelle plusieurs atomes se fondent pour en former un autre tout en libérant une énorme quantité d’énergie (« bombe H pour hydrogène »).
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
Deux autres notions sont utiles à la compréhension de la radioactivité :
la dose et le débit de dose
la dose absorbée (Sv),c’est-à-dire la quantité de rayonnements reçue
le débit de dose (Sv/h),c’est-à-dire la quantité de rayonnements reçue par unité de temps (Ou dit autrement la vitesse à laquelle on reçoit la quantité de rayonnement (la dose)
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.1. Risque nucléaire ou risque radioactif ?
CNPE
Centre Nucléaires de Production d’Electricité (françaises)
- LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
- 2.2. Source scellée sous forme spéciale, source scellée, source non scellée.
Les sources radioactives peuvent être d’origine
naturelle ou artificielle
.2. LE DOMAINE NUCLEAIRE ET RADIOACTIF.
1.2.2. Source scellée sous forme spéciale, source scellée, source non scellée
Les sources radioactives peuvent être d’origine naturelle ou artificielle.
Elles se présentent sous 3 formes :
Source scellée sous forme spéciale : la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet
(sauf si la source a été coupée ou fondue)
Source scellée : la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet dans les conditions
normales d’utilisation et de transport.
Source non scellée : la matière radioactive a vocation à être extraite de son contenant pour
être utilisée (produit de contraste en imagerie médicale).
Source scellée sous forme spéciale
précisions sur feu
la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet
(sauf si la source a été coupée ou fondue)
o Elle est « encapsulée » dans une matrice résistant à des nombreuses épreuves
normalisées.
o Sur feu ou accident, il existe généralement un fort risque d’irradiation et
normalement pas de risque de contamination
Source scellée
la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet dans les conditions
normales d’utilisation et de transport.
o Elle est emprisonnée dans ou à la surface d’une matrice plus ou moins résistante.
o sur feu ou accident il existe un risque de contamination. Le risque d’irradiation varie
en fonction du type de source.
Source non scellée
Source non scellée : la matière radioactive a vocation à être extraite de son contenant pour
être utilisée (produit de contraste en imagerie médicale).
o Elle se présente sous forme de poudre, de liquide ou de gaz stockés dans un emballage
adapté plus ou moins facile à ouvrir (par exemple : liquide dans une fiole en verre).
o Elle peut s’échapper de son emballage : fiole en verre cassée.
- En cas d’accident le risque de contamination est important.
- DOMAINE BIOLOGIQUE.
- 3.1. Qu’est-ce que le risque biologique ?
Ce sont les risques présentés par
des matières vivantes.
- DOMAINE BIOLOGIQUE.
- 3.1. Qu’est-ce que le risque biologique ?
Il est possible de localiser les risques biologiques dans des sites et installations où les agents biologiques sont présents, étudiés, travaillés, entreposés
- hôpitaux, cliniques, établissement de soins,
- laboratoires médicaux, d’analyses médicales,
- école, cabinet vétérinaires, zoos, animaleries,
- centres de recherches (instituts publics ou privés).
1.3.3. Quels types de risque biologique ?
Les principaux agents biologiques sont
- Les bactéries
- Les virus :
- Les champignons
- Les toxines :
Les bactéries
Micro-organismes capables de se reproduire seuls, ils peuvent survivre relativement longtemps à l’extérieur d’un organisme vivant (les spores d’anthrax peuvent survivre de nombreuses années, voire 100 ans, dans la terre par exemple).
o Les bactéries sont, en général, sensibles aux antibiotiques.
- Les virus :
o Beaucoup plus petits que les bactéries, ils ne peuvent se reproduire seuls. A l’extérieur d’un hôte, ils « meurent » relativement vite.
o Les virus sont insensibles aux antibiotiques.
- Les champignons
o Connus également sous le nom de ‘mycètes’, ils provoquent des ‘mycoses’.
o Ceux qui nous intéressent sont microscopiques.
- Les toxines
o Substance chimique toxique naturelle fabriquée par un animal ou un végétal : Ex. : le venin secrété par un serpent est une toxine Ex. : la ricine, poison mortel, est une toxine produite par une plante, la ricine.
o Bien que beaucoup plus toxiques que les produits chimiques artificiels, les toxines sont cependant beaucoup plus fragiles
Il demeure évident que, sauf à posséder des renseignements fiables et vérifiés sur intervention, la nature exacte de l’agent biologique incriminé sur une intervention a ou n’a pas d’incidence sur la façon de se protéger
Il demeure évident que, sauf à posséder des renseignements fiables et vérifiés sur intervention, la nature exacte de l’agent biologique incriminé sur une intervention n’a que peu d’incidence sur la façon de se protéger et de s’engager des premiers intervenants.
catégorie A
agent facilement diffusibles ou a transmission interhumaine à mortalité élevé à impact majeur dans la population causant panique desorganisation et requérant une action planifiée de santé publique
catégorie B
agents modérément transmissibles morbidité modérée et mortalité faible
catégorie C
comprend les pathogènes émergents disponibles de production et de dissémination de masse facile avec potentiel de morbidité et mortalité élevées et impact sanitaire majeur
Agents biologiques pathogènes : le classement en combien de catégorie
3: A B C
1.3.4. Difficultés d’appréhension du risque biologique.
La principale difficulté demeure bien de
déterminer la présence d’un risque biologique.
1.3.4. Difficultés d’appréhension du risque biologique.
La principale difficulté demeure bien de déterminer la présence d’un risque biologique.
Cette difficulté s’explique par plusieurs facteurs :
Cette difficulté s’explique par plusieurs facteurs :
- à l’instar des rayonnements liés à la radioactivité, la présence et les risques des agents biologiques ne sont pas perceptibles par les sens humain ;
- il n’existe pas d’appareil capable de discriminer les agents biologiques ‘ennemis’ des ‘amis’ dans l’environnement (atmosphère, surfaces, etc.) ;
- l’environnement humain est chargé d’agents biologiques, dont certains sont nécessaires voire indispensables à la bonne santé des êtres humains ;
- rien ne ressemble plus à un agent biologique qu’un agent biologique, pathogène ou non.
1.3.5. Catégorisation du risque biologique.
Les scientifiques ont réalisé plusieurs classements des agents biologiques.
Nous retenons celui qui a comme critères ?
la pathogénicité4
la propagation
la prophylaxie.
Le terme ‘pathogénécité’ signifie le caractère pathogène, c’est-à-dire susceptible de provoquer des maladie
1.3.5. Catégorisation du risque biologique.
Les scientifiques ont réalisé plusieurs classements des agents biologiques.
groupe 1 2 3 4
Ces 4 degrés se rencontrent précédés soit de la lettre… ou
Ces 4 degrés se rencontrent précédés soit de la lettre P (pour Protection) soit des lettres NSB (pour niveau de sécurité biologique) ; ils servent aussi à catégoriser les laboratoires traitant ces agents.
S’il n’y a pas de laboratoire P4 sur le secteur de la BSPP, il existe plusieurs laboratoires classés
P3
On citera, à titre d’exemples non exhaustifs, sur le secteur de la BSPP : p3
- le site des laboratoires SANOFI-AVENTIS de Vitry-sur-Seine (GIS2/22e CIS/CSTC VITR);
- le site du Commissariat à l’Energie Atomique (et aux énergies alternatives) de Fontenay-aux-Roses (CEA-FAR ; GIS3/21e CIS/CSTC PLCL) ;
- le site de l’école nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA ; GIS2/17e CIS/ CSTC MALF) ;
- les laboratoires de l’agence nationale de sécurité environnement santé (ANSES ; GIS2/17e CIS/ CSTC MALF) ;
- le site de l’Institut Pasteur dans le 15e arrondissement de Paris (GIS3/3e CIS/CSTC PLAI).
1.4. DOMAINE CHIMIQUE
Moins médiatisés que les risques nucléaire ou radiologique, les risques chimiques n’en restent pas moins très présents au regard de l’utilisation quasi-infinie des produits chimiques autant dans un cadre domestique qu’à l’échelle industrielle
Ils représentent la
très grande majorité des interventions NRBC de la Brigade
- DOMAINE CHIMIQUE
1. 4.1. Quels sont les risques ?
Les principaux risques chimiques sont :
- la nocivité, considérée comme une sous-catégorie de la toxicité,
- l’explosibilité,
- la toxicité,
- l’inflammabilité,
- la corrosivité.
- DOMAINE CHIMIQUE
- 4.1. Quels sont les risques ?
Ces risques peuvent apparaître de manière
unique ou bien se présenter simultanément.
- DOMAINE CHIMIQUE
- 4.1. Quels sont les risques ?
La complexité des interventions à caractère chimique vient de………. à cause de réactions difficiles à……
la multiplicité des risques et de leur éventuelle évolution au cours du temps
évaluer et à maîtriser
- DOMAINE CHIMIQUE
- 4.1. Quels sont les risques ?
Tous les éléments et produits ayant des propriétés chimiques, nous ne nous intéressons qu’à ceux considérés comme dangereux. Ces dangers peuvent se présenter sous les formes suivantes
- Les produits explosifs par natures :
- Les produits engendrant un risque d’asphyxie
- Les produits inflammables :
- Les solides inflammables
- Les comburants :
- Les produits toxiques :
- Les produits corrosifs
- Les produits explosifs par natures
o TNT, TATP6, pentrite, poudre noire, etc. ;
4o Si certains sont très instables, tous peuvent engendrer des dégâts considérables
- Les produits engendrant un risque d’asphyxie :
o azote, hélium, CO2, gaz de ville, etc. ;
o ce phénomène est amplifié par le caractère « gaz lourd » (au sens de « plus lourd que l’air ambiant ») du produit en cause et par le degré de confinement du local.
- Les produits inflammables
o essence, gaz de ville, butane, etc. ;
o outre des risques d’incendie ils présentent des risques d’explosion.
- Les solides inflammables
o soufre, phosphore, sodium ;
o ils peuvent s’enflammer : au contact d’une flamme, au contact de l’air, au contact de l’eau, ou dégager des gaz inflammables au contact de l’air ou de l’eau.
- Les comburants
o oxygène, peroxydes organiques, etc. ;
o ils favorisent l’incendie mais ce ne sont pas des produits inflammables (Cf. triangle du feu : combustible + comburant + énergie d’activation).
- Les produits toxiques :
o chlore, cyanure, toxiques de guerre (organophosphorés, vésicants), etc. ;
o les produits sont considérés comme toxiques lorsque de très faibles doses suffisent pour tuer ou rendre malade.
- Les produits corrosif
o acide chlorhydrique, sulfurique, soude7, ammoniaque, etc. ;
o par abus de langage, on dit qu’ils provoquent des « brûlures chimiques » par contact cutané c’est-à-dire qu’ils agressent la peau et le corps avec des effets qui s’apparentent à ceux des brûlures thermiques. Les vapeurs émises par des solutions concentrées sont également dangereuses
1.4.2. Où sont les risques chimiques ?
Les produits chimiques sont fabriqués, utilisés et ou transformés dans
- les sites industriels de fabrication des matières premières chimiques,
- les usines de fabrication de médicaments et produits pharmaceutiques,
- les dépôts pétroliers et d’hydrocarbures,
- les usines de traitement de métaux,
- les sites de traitement et de retraitement8 de l’eau, parmi lesquels les piscines,
- les sites de traitement des ordures et résidus ménagers
‘réglementation Seveso’.
La réglementation des installations classées (IC) soumet l’utilisation, la fabrication, la détention, la transformation, le transport à des obligations de déclaration ou de demande d’autorisation en fonction des quantités de produits chimiques en cause et des effets à risques. Il s’agit d’une réglementation européenne et nationale communément appelée ‘réglementation Seveso
par qui est suivi la réglementation Seveso
Suivie par le bureau Prévision opérationnelle de la BSPP, cette réglementation conditionne largement l’ampleur de la réponse de la BSPP face à ces risques technologiques majeurs.
Sur le secteur de la Brigade9, tous les modes de transport routier, ferroviaire, aérien et fluvial se rencontrent, sauf
le transport maritime
On peut parler de…. par lequel passent et se croisent plusieurs modes de transport
point nodal
point nodal
On peut parler de point nodal au sens de ‘noeud’ par lequel passent et se croisent plusieurs modes de transports. Ce sont autant de lieux où sont manipulés les contenants, sources potentielles d’accident.
Après les premiers intervenants, des détachements préconstitués d’engins spécialisés constituent le
deuxième niveau de réponse envoyé sur les lieux d’une intervention
Après les premiers intervenants, des détachements préconstitués d’engins spécialisés constituent le deuxième niveau de réponse envoyé sur les lieux d’une intervention :
soit
- soit au premier départ des secours immédiatement après l’envoi de premiers intervenants du secteur de compétence ; il s’agit des codes motifs :
o « 813 : intervention à caractère radiologique : 2 EP + VLR (OGC) + GIRB ;
o « 814 : intervention à caractère chimique : 2 EP + VLR (OGC) + GIC» ;
o « 815 : intervention à caractère biologique : 2EP + VLR (OGC) + GIRB»
- soit à la demande de ceux-ci : o « je demande un groupe d’intervention chimique, radiologique ou biologique
- soit intégrés dans un détachement global dans le cadre d’une intervention dans un ETARE
La réponse de la Brigade sera donc ici présentée sous la forme de :
- capacité humaine
qualification et nombre de spécialistes de garde par jour ; - organisation générique de la réponse opérationnelle:
les groupes d’intervention génériques (GIC ou GIRB) ou groupes d’intervention spécifiques (GCD, GAPt, GAPa, GDIP, GEC) - implantation géographique des engins sur le secteur de compétence de la BSPP.
L’ensemble des moyens décrits dans ce 3e chapitre font partie des renforts …..
nationaux et peuvent être appelés à intervenir en dehors du cadre d’emploi de la BSPP11.
Les officiers de garde NRBC
autre nom
(officier d’astreinte niveau opératif, chef de groupe NRBC)
Les officiers de garde NRBC (officier d’astreinte niveau opératif, chef de groupe NRBC) ainsi que les chefs d’agrès spécialisés sont identifiés par
chasuble verte à bandes noirs
La réponse capacitaire humaine.
3.1.1. Qualifications des spécialistes NRBC.
Les qualifications que doivent détenir les sapeurs-pompiers de Paris affectés aux engins d’interventions NRBC sont des qualifications de
sécurité civile
Comme dans de nombreuses formations professionnelles, il existe 4 niveaux. Appliqués au cadre d’emploi propre à la BSPP, ces niveaux correspondent aux emplois opérationnels suivants13 :
- RAD 1 & RCH 1 : militaire du rang équipier des VIRB & VRCH ;
- RAD 2 & RCH 2 : militaire du rang équipier, sous-officier chef d’agrès des VIRB & VRCH ;
- RAD 3 & RCH 3 : chef de groupe NRBC ;
- RAD 4 & RCH 4 : Officier NRBC opératif (astreinte), conseiller technique NRBC du COS ;
- RAD 1 & RCH 1 :
: militaire du rang équipier des VIRB & VRCH ;
- RAD 2 & RCH 2 :
militaire du rang équipier, sous-officier chef d’agrès des VIRB & VRCH ;
- RAD 3 & RCH 3
chef de groupe NRBC
- RAD 4 & RCH 4
Officier NRBC opératif (astreinte), conseiller technique NRBC du COS ;
La garde opérationnelle NRBC est composée de
- 1 officier NRBC opératif (engin : VLR NRBC EM) ;
- 2 chefs de groupe NRBC des GIS, (engin : VLR NRBC GIS),
- 1 chef de groupe NRBC du GAS (engin : VLR NRBC GAS),
- 5 sous-officiers chefs d’agrès des VRCH & VIRB (un par engin),
- 15 militaires du rang équipiers des VRCH & VIRB (3 par engin),
- 9 militaires du rang équipiers des berces unité mobile de décontamination (3 par BUMD),
- 2 militaires du rang équipiers d’une des 2 berces d’appui logistique NRBC (BAN),
- 1 sous-officier & 1 militaire du rang armant le véhicule détection identification prélèvement (VDIP)
nombre de sapeurs-pompiers de Paris spécialisés à l’intervention face aux risques technologiques.
37
Si l’on ajoute le personnel des 6 EP soit 36 hommes, ce ne sont pas moins de
73 sapeurs-pompiers de Paris qu’il est possible de déployer pour une intervention à caractère NRBC majeure