Notes opérationnelles Flashcards
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Les 3 niveaux de la demande de matériels de protection des biens culturels sont les suivants :
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Conduite à tenir pour la préservation des œuvres en cas de sinistre :
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Conduite à tenir en fonction des zones :
Notes opérationnelles, ETARE
En fonction du niveau de risque une emprise peut être répertoriée soit : 2/
En fonction du niveau de risque une emprise peut être répertoriée soit en établissement signalé (ETS) soit en ETARE.
Notes opérationnelles, ETARE
1- NOTION D’EMPRISE GEOGRAPHIQUE IDENTIFIEE (EGI) :
Correspond à une surface de terrain, qui peut intégrer un ou des ouvrages. Cette EGI peut correspondre à :
‒ Des zones (bois, cités, etc.) ;
‒ Des bâtiments (habitations, ETS, etc.).
Une même EGI peut ainsi regrouper plusieurs EGI.
Notes opérationnelles, ETARE
2- ETABLISSEMENT SIGNALE (ETS) :
Un ETS est une EGI dans laquelle le risque n’est pas suffisamment important pour justifier son classement en ETARE.
Exemple :
‒ Eglise ;
‒ Cité sensible.
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE) :
Un ETARE est une EGI qui présente un ou plusieurs risques et dans laquelle les secours pourraient rencontrer des difficultés.
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 1 :
Un ETARE 1 est une EGI dans laquelle une mesure opérationnelle est temporairement nécessaire.
Liste Exemple :
‒ Colonne sèche indisponible dans un immeuble d’habitation de 4e famille ;
‒ Installations précaires ;
‒ Zone dépourvue d’hydrants.
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 2 :
Un ETARE 2 est une EGI dans laquelle existent un ou plusieurs risques permanents.
Liste des ETS faisant systématiquement l’objet d’un référencement en ETARE 2 :
- ERP de type J, O, U et R de la 2e à la 5e catégorie comportant des locaux à sommeil y compris les logements-foyers et les hôtels meublés ;
- ERP de type GA (hors gare avec train grandes lignes et aérogare d’aéroport) ;
- Les accès pompiers (puits d’accès et point de pénétration) ;
- Les accès pompiers ou ouvrages annexes (OA) du GPE ;
- ERP de la 1ère catégorie sans local à sommeil de type :
o J, U et R
o L ou S ≥ 3000 personnes
o M ou T ≥ 4000 personnes si le nombre de niveau de vente est ≥ 3
≥ 6000 personnes si le nombre de niveau de vente est < 3
o X ≥ 10000 personnes
o Y ≥ 4000 personnes
o CTS ≥ 2500 personnes - ERP de type PS :
o de plus de 1000 véhicules
o suite à la loi d’orientation des mobilités, tous les PS comporteront une station de charge pour véhicules électriques. - IGH et ITGH de type A, R, S, TC, W1, W2, Z;
- Laboratoire biologique de type NSB 2,3 ou 4 ;
- ICPE avec une activité de traitement de métaux ; - Ministères, établissements institutionnels et établissements pénitencier ;
- Île inaccessible par voie routière aux engins de secours ;
- Voie de desserte intérieure (VDI) ;
- Construction à proximité du tramway nécessitant une échelle trois plans.
D’autres EGI peuvent être répertoriés ETARE 2 après analyse des risques et validation du BPO.
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 3 :
Un ETARE 3 est une EGI dans laquelle existent un ou plusieurs risques permanents connus des sapeurs-pompiers territorialement compétents (triptyque ETARE et visites régulières).
Liste des ETS obligatoirement répertoriées ETARE 3 :
- ERP de type J, O, U et R de la 1ère catégorie avec locaux à sommeil ;
- ERP de type GA :
o gare multimodale avec trains grandes lignes ;
o aérogares d’aéroport (terminal) ; - Gare ou station du GPE en phase de chantier ;
- IGH et ITGH de type O et U ;
- Installation classée pour la protection de l’environnement (ICPE) soumise à un plan d’opération interne (POI) faisant l’objet d’un arrêté préfectoral ;
- Installation nucléaire de base (INB) soumise à un plan d’urgence interne (PUI)
- Tunnel routier > 300m pour lequel un plan d’intervention et de sécurité est établi (PIS) y compris les issues de secours (IS) et poste d’appel d’urgence (PAU) situés en son emprise ;
- Tunnel fluvial de grande longueur.
D’autres EGI peuvent être répertoriés ETARE 3 après analyse des risques et validation par BPO.
Notes opérationnelles, ETARE
4- MODALITES D’ENGAGEMENT DU DEPART ETARE :
Le départ ÉTARE est engagé pour les codes motifs d’alerte « feu ou explosion » suivants dans un ETARE :
‒ 111 : feu de …
‒ 115 : fuite de gaz enflammée
‒ 116 : explosion
‒ 118 : feu de parc de stationnement couvert
Notes opérationnelles, ETARE
5- VOLUME ETARE
Volume ETARE générique
La réponse initiale pour feu ou explosion dans un ETARE est un GROUPE ETARE constitué de :
‒ 1 DN (départ normal)
‒ 1 EP (engin-pompe)
‒ 1 VSAV (véhicule de secours et d’assistance aux victimes)
‒ 1 OGC (officier de garde compagnie)
Volume ETARE spécifique
En fonction de la nature de l’ETARE, ce volume et ses ressources spécifiques (exemples : CTHE, échelle 3 plans, ajout de moyens supplémentaires, etc.) peuvent varier. Une RED spécifique est alors paramétrée :
Exemples :
‒ ECTS : Feu de tunnels > 300 mètres : ajout d’1 OGC (CES) ;
‒ IGH et ITGH : ajout systématique d’un groupe commandement par le CSO ;
‒ ICPE : dépôt d’hydrocarbure : Ajout de X FACA-FMOGP.
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, contexte : 4/
Facteurs aggravants malades mentaux :
- Rupture de traitement
- Famille dans l’incapacité de maîtriser victime
- Alcool ou stupéfiants
- Antécédents violence
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, CAT :
Dès que sentiment insécurité, demande appui Police :
« Je dde Police d’urgence pour un homme avec une arme blanche agressif envers les secours »
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, CMA 321 crise nerveuse :
EP LAA + caméra piéton + Police
Reconnaissances, mais pas d’engagement avant arrivée Police :
« Après reconnaissances, engagement des secours impossible du fait de l’absence de la Police »
Sauvetage avéré : Demande 1 EP + TDF + Police
Notes opérationnelles, Police sur intervention SSUAP en présence d’un risque
Notes opérationnelles, RCCI
Conditions d’alerte, La garde RCCI est engagée en intervention, le plus rapidement possible, sur ordre du CO dans les cas suivants : 7/
La garde RCCI est engagée en intervention, le plus rapidement possible, sur ordre du CO dans les cas suivants :
- Feu ou explosion avec victime décédée (civile ou sapeur-pompier) ou sapeur-pompier blessé (UA) ;
- Feu ou explosion d’origine douteuse ou avec phénomène particulier ou inconnu ;
- Feu ou explosion pouvant générer un contentieux pour les secours de la brigade ;
- Tout feu nécessitant l’envoi ou la demande de G.HAB, G.INC ;
- Tout feu nécessitant une demande de R.HAB ou R.INC ;
- Tout feu où le LCPP est demandé par le COS ;
- Toute autre situation particulière nécessitant une analyse approfondie.
Le COS garde cependant toute latitude de demander la garde RCCI s’il le juge nécessaire.
Notes opérationnelles, RCCI
Conditions d’alerte, Le CO prévient la garde RCCI pour tout message ?
Le CO prévient la garde RCCI pour tout message sur feu dans lequel le COS passe « poursuivons reconnaissances » et lorsque le sinistre intéresse un établissement particulier (bâtiment institutionnel).
Notes opérationnelles, RCCI
Dès lors que le COS a connaissance de la demande de la garde RCCI ?
Dès lors que le COS a connaissance de la demande de la garde RCCI, il s’attache à préserver au maximum la scène d’incendie.
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
La flotte d’ULM en France est portée à 15000 aéronefs, dont 3000 sont équipés de parachute de secours déclenché par un … … .
Régulièrement, au cours de leur enquête de sécurité, les services du BEA observent l’absence de prise en compte de ces dispositifs dans l’analyse des risques des secours.
La flotte d’ULM en France est portée à 15000 aéronefs, dont 3000 sont équipés de parachute de secours déclenché par un dispositif pyrotechnique.
Régulièrement, au cours de leur enquête de sécurité, les services du BEA observent l’absence de prise en compte de ces dispositifs dans l’analyse des risques des secours.
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
Les parachutes de secours peuvent équiper les aéronefs de type ULM. Il n’y a pas d’obligation de détention pour ces dispositifs non normés dans leur repérage, emplacement et visualisation. Ils comprennent les éléments suivants : 4/
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
Le principal risque est la mise à feu de la charge en cas d’incendie ou d’action sur le câble de commande (découpe, tirage, etc.) donnant lieu à l’éjection du parachute. Son déclenchement dans des situations d’urgence est de la forme suivante :
- Le déclenchement de la fusée via une action sur le câble entraîne le parachute.
- L’activation involontaire du parachute au cours d’une opération de secours peut entraîner des risques au cours de son éjection pour les intervenants.
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
CAT :
Dans le doute, il faut partir du principe que l’ULM dispose d’un parachute pyrotechnique.
Une levée de doute doit être réalisée, ainsi qu’une neutralisation en cas de découverte par les services de déminage.
La présence d’un parachute déployé ne doit pas être considérée comme un dispositif actionné. Si l’usage d’un moyen d’extinction ou de protection est nécessaire, il devra être utilisé à distance de l’aéronef.
L’approche de l’ULM doit rester prudente.
Sa position après contact avec le sol ne laisse pas de règle sur l’axe d’éjection du parachute.
Si la ou les victimes UA ou UR doivent être extraites de l’ULM, les règles d’usage de désincarcération seront respectées, notamment la notion de dégarnissage. Toutes découpes et/ou manipulations de câbles sont proscrites.
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
En cas de découverte d’un parachute, zone d’exclusion :
Notes opérationnelles, Eclairage public
Pour toute demande d’éclairage public dans PARIS uniquement, coupler la demande avec ENEDIS d’urgence et police.
En extra-muros, coupler la demande d’éclairage public avec une demande de police.
La société « CIELIS » gère uniquement pour PARIS le service de l’éclairage public Cette société assure l’exploitation et la maintenance :
- des installations d’éclairage public (réverbères, candélabres, etc.) ;
- du réseau des illuminations permanentes (ponts, monuments, manèges, etc.) ;
- du réseau de signalisation tricolore ;
- de l’éclairage du boulevard périphérique ;
- d’une partie du réseau de mobilier urbains.
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Repli général :
Repli général :
En cas de danger grave et imminent. Permet le désengagement le plus rapide possible des équipes exposées au danger.
- « Alerte repli, alerte repli, alerte repli » (canaux tactiques)
- Corne de brume pendant 1 minute au moins (ou tout autre moyen sonore)
Dès réception du signal, l’ensemble des personnels se désengage et se rassemble dans une zone hors de danger aux ordres des chefs d’agrès, eux même aux ordres des chefs de secteurs.
Ces derniers rendent compte au COS du personnels présent et surtout manquant.
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Renfort secours :
Renfort secours :
Destiné à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident.
Un groupe ETARE compose le renfort secours afin de relever les 1ers intervenants.
« Je demande renfort secours, telle adresse »
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Soutien immédiat, rôle du COS :
Soutien immédiat, rôle du COS :
Il désengage dès que possible les impliqués direct de l’évènement et les regroupes dans une zone différente de la ZRCP.
Si fonction de commandement, le désengagement est progressif et après point de situation complet.
Il fait contacter par le CO ou la régulation médicale le psychologue d’astreinte.
Dès que la relève est assurée, il renvoi les personnels au CS sous la responsabilité du chef de garde ou chef de centre.
NB : Le ou les chefs de centre concernés (soutien de proximité) font partis de la cellule de soutien mise en place par l’officier du groupement désigné par le chef de corps.
Contact téléphonique avec le ou les CS, hors voie hiérarchique, interdit.
Notes opérationnelles, Doctrine d’emploi de la lance haute pression
caractéristiques : 5/
- Pression : 300b / Débit : 60 L/min
- Refroidissement fumées / gaz chauds en milieu clos / semi-clos
- Perforation (percement de tout type de paroi)
- Permet de manoeuvrer jusqu’à 400 m et au-delà de 60 m de hauteur.
- Remplace le groupe d’établissement grande hauteur.
Notes opérationnelles, Doctrine d’emploi de la lance haute pression
Cas d’emploi : 7/
- Feux de contenant sous-ventilés / difficilement accessibles
- Acte terroriste avec menace incendie
- Moyen hydraulique en plus de LHP
- Méthodologie :
o S : scanner avec CTHE pour localiser Pt chaud et définir pt attaque
o A : attaquer + contrôler abaissement T° (100°C : suppression back draft)
o V : ventiler
o E : entrer + extinction finale - Établissement d’un moyen hydraulique obligatoire avant utilisation LHP
- Le GHP (Groupe Haute Pression) = FPTL HP + VL CdG HP engagé :
o Sur demande du COS « je demande un groupe haute pression, … » ;
o Tout départ IGH avec avis défavorable ;
o Sur ordre EMO. - SÉCURITÉ : ZEX 10m derrière le porte lance, 5m autour.
Notes opérationnelles, Doctrine d’emploi de la lance haute pression
LSO : 3/
- GIS 1 : PIER
- GIS 2 : MALF
- GIS 3 : AUTE
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
CMA = ?
CMA 119 = G. ETARE
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 1er EP : 11/
-faciliter l’accès des intervenants ;
-visualiser rapidement les faces directement accessibles du sinistre ;
-rappeler et bloquer tous les ascenseurs au niveau de l’accès des secours puis réaliser le contrôle visuel et rendre compte si un ascenseur est bloqué dans les étages ;
-employer les moyens de prévention et de secours à disposition (colonne sèche, tirer-lâcher, portes d’encloisonnement, etc.) ;
-réaliser les sauvetages et les mises en sécurité ;
-établir un premier moyen hydraulique (CS, ligne d’attaque et LDT) ;
-neutraliser les fluides ;
-ouvrir ou forcer la porte de l ‘appartement ;
-lutter contre l’envahissement des fumées dans les circulations par la mise en place du rideau stoppeur de fumées si nécessaire ;
-attaquer jusqu’à l ‘extinction complète du sinistre (maintenir les équipes à l’attaque) ;
-préparer et faciliter l’engagement du chef de garde par un compte-rendu concis et précis au contact direct.
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions MEA : 5/
-réaliser les sauvetages ou les mises en sécurité ;
-mettre à disposition, à l’accès des secours, les moyens de ventilation opérationnelle et de forcement ;
-positionner le ventilateur maître ;
-assurer la surveillance permanente de la façade : rassurer les habitants au moyen du porte-voix, contrôler l’évolution du sinistre et être en mesure de secourir une équipe en difficulté ;
-rester à la disposition du COS.
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 2ème EP : 4/
-compléter si nécessaire le dispositif hydraulique (alimentation d’une deuxième colonne sèche, établissement d’une division alimentée, etc.) ;
-monter au niveau sinistré le ventilateur autonome portable et le DOP si nécessaire ;
-prendre toutes les mesures nécessaires permettant d’éviter la propagation des fumées ;
-assurer l’évacuation des fumées présentent dans la cage d’escalier.
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 3ème EP : 2/
- se met aux ordres du COS afin de compléter les actions non réalisées ;
- c’est « le pion de manœuvre ». Il doit à minima emporter un lot d’effraction.
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions VSAV : 3/
-rechercher un PRV ;
-prendre en charge les premières victimes ;
-en l’absence de victimes, identifier à l’aide de la police le point de regroupement des habitants et y recueillir des informations au profit du COS (occupation des logements, clés, gardien, etc.).
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Points clés : 6/
-coordination de l’ensemble de la manœuvre aux ordres du COS ;
-rideau stop-fumées et ventilation opérationnelle ;
-PMP et zone d’attente des binômes dans les étages inférieurs au sinistre ;
-2e moyens hydrauliques (division, LHP, CS du BEA, etc…) ;
-tableau de suivi des reconnaissances et lot d’effraction ;
-utilisation des ascenseurs prioritaires uniquement comme monte-charge pour le matériel.
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Missions : 3/
- brancardage.
- secourisme en situation d’exception.
- appui et noria logistique de grande ampleur.
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Composition : 6/
- 1 SPCT.
- 1 combi 9 places.
- 1 SPVL.
- 20 brancards.
- 20 Trousses Individuelles Sapeurs-Pompiers (TISP).
- 3 systèmes amovibles avertisseurs sonores et lumineux.
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Cas de déclenchement : 2/
- Officier de Garde CO (OGCO)
- Demande du COS.
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Lieu de stationnement : 1/
- EM CHPT, armé par vivier CCL5
Notes opérationnelles, Escorte motorisée
Demande d’escorte motorisée au profit d’une AR avec ou sans présence de la police SLL :
- Le COS demande par radio : « Je demande une escorte motorisée… »
Demande d’escorte motorisée au profit d’une UMH :
- C’est le SAMU TC qui doit en faire la demande.
Notes opérationnelles, Prise en charge des chiens guide d’aveugle
Lorsqu’une victime, accompagnée d’un chien d’assistance ou d’un chien guide doit être transportée dans le cadre du SSUAP, le COS demande un groupe risque animalier (G. RANI).
1- Le chien n’est pas en bonne santé -> Le VRA prend en charge le chien et le transporte sur une structure vétérinaire selon les procédures BSPP.
2- Le chien est en bonne santé -> Le chef d’agrès du VRA contacte la permanence de l’association propriétaire du chien pour convenir d’un lieu de RDV où ramener le chien.
Notes opérationnelles, Matelas de sauvetage 3/
- Se trouve à bord des VID ou VPS, (MTRL, MASS, GREN). Gonflé en 40s.
- Réception 1 seule personne à la fois, hauteur maximum de chute : 15m
- Superficie mini : 3.5m x 3.5m soit 12 m².