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EPO CGI 2025 > BSP 118.3 Feux et accidents liés aux moyens de transport > Flashcards

BSP 118.3 Feux et accidents liés aux moyens de transport Flashcards

1
Q

Feux de moyens de transport,

Le risque réside : 7/

A
  • Réservoir hydrocarbure, voir GPL
  • Batteries
  • Huile pneumatique
  • Matières plastique en grande quantité
  • Dispositif pyrotechnique
  • Matières transportées
  • Borne de charge de véhicule électrique diffusant un courant alternatif.
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2
Q

Feux de moyens de transport,

Si propriétaire absent demander —

A

Si propriétaire absent demander identification carburant du véhicule au CSO

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3
Q

Feux de moyens de transport,

Dans tous les cas de figure, l’application de la MGO incendie est la règle absolue. De plus, l’identification des risques multiples que représentent aujourd’hui les différentes technologies en service impose d’y d’intégrer la règle des « 4 I », afin de déterminer la conduite à tenir : 4/

A

▪ Identifier le véhicule et ses caractéristiques

▪ Inspecter les éléments constitutifs

▪ Interdire les actions potentiellement dangereuses

▪ Intervenir conformément à chaque type de motorisation.

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4
Q

Feux de moyens de transport,

Si l’attaque d’un feu de … … … … ne pose pas de difficultés particulières (attaque à l’eau par le trois quart avant), le BSP 305.2 précise les conduites à tenir propres aux véhicules à énergies alternatives.

A

Si l’attaque d’un feu de véhicule à énergie classique (diesel, essence, E85) ne pose pas de difficultés particulières (attaque à l’eau par le trois quart avant), le BSP 305.2 précise les conduites à tenir propres aux véhicules à énergies alternatives.

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5
Q

Feux de moyens de transport, transport ferroviaire,

Généralité transport ferroviaire

A
  • Certains circulent en site dédié : train, d’autres en ville : tramway
  • Risques = alimentation électrique, distribution par LAC (tramway/train), transmission par perches, pantographes
  • Distribution niveau du sol (Métro), transmission au moyen de frotteur.
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6
Q

Feux de moyens de transport, transport ferroviaire,

Extinction qu’à partir de la coupure de courant effective, pour éviter la formation d’arc électrique et le risque d’électrisation des portes lances, le chef doit : 3/

A
  • Faire abaisser pantographe ou retrait du frotteur :
    Attaque par l’intérieur avec des moyens portatifs uniquement.
  • Confirmation coupure à distance de l’alimentation :
    Attaque par l’extérieur à l’eau ou à la mousse à l’aide de lances à main.

Dans tous les cas procéder au calage du train ou à l’actionnement des freins manuel.

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7
Q

Feux de moyens de transport, aéronefs,

priorité est donné ?

A

Priorité aux sauvetages = 1ers moyens hydrauliques manœuvrent de manière à séparer les éléments en feu, des parties occupées par les passagers et l’équipage.

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8
Q

Feux de moyens de transport, aéronefs,

Extinction simultanée : 5/

A
  • Attaque des feux d’hydrocarbure (mousse ou poudre)
  • Refroidissement des parties métalliques à l’eau, extinction au sable !
  • Pas d’eau sur Mg !! (Ciment ou poudres spéciales)
  • Attaque aménagement intérieur au jet diffusé
  • Attaque de feux de bâtiments voisins par moyens ordinaires
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9
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

Deux grandes familles peuvent être définies selon le risque maximum rencontré en cas de feu impactant l’ensemble des énergies embarquées : 2/

A
  • Les véhicules disposant d’un réservoir sous pression (GPL, GNV, AIR, AZOTE, HYDROGENE), associé ou non à toute autre énergie (électrique/carburant d’origine fossile ou végétale).
  • Les véhicules disposant d’une batterie de traction associée ou non à un moteur thermique.
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10
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

En toutes circonstances, —-

A

En toutes circonstances, la MGO guide l’action des premiers intervenants, la règle des 4 I
(Identification, Inspection, Interdiction, Intervention) venant s’y insérer.

Le port de la tenue de feu complète, avec ARI coiffé, est la règle absolue en toutes circonstances.

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11
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

Quatre principaux types de gaz sont utilisés : 4/

A
  • Le méthane ou gaz naturel. Difficilement liquéfiable (- 163°C à pression atmosphérique), ce gaz est transporté ou stocké essentiellement à l’état gazeux.
  • Le butane, liquéfiable à 0°C (à pression atmosphérique).
  • Le propane, liquéfiable à – 41°C (à pression atmosphérique).
  • L’hydrogène (H2) liquéfiable à – 252,87 °C (à pression atmosphérique) est destiné à l’alimentation des véhicules électriques dotés de piles à combustible fonctionnant à l’hydrogène.
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12
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

  • Le GNV,
A
  • Le GNV, Gaz Naturel Véhicule, est essentiellement composé de méthane. Il est extrait de gisements.
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13
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

  • Le GPL (C),
A
  • Le GPL (C), Gaz de Pétrole Liquéfié (Carburant), est un mélange de propane et de butane. Il est produit par l’industrie pétrolière.
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14
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz

  • Le H2,
A
  • Le H2, L’Hydrogène est un élément naturel permettant d’alimenter une pile à combustible (PAC) pour produire de l’électricité. Non disponible à l’état pur, l’hydrogène est produit à partir des énergies fossiles, par décomposition de l’eau ou par conversion de la biomasse.
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15
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Description du GPL

A

Le Gaz de Pétrole Liquéfié (GPL) est un mélange de butane et de propane dans des proportions d’environ 50/50.

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16
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

GPL par rapport à l’air

A

Le GPL est plus lourd que l’air. Toute recherche s’effectuera donc près du sol, voire dans les sous-sols (caves, égouts, etc.).

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17
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Contenance du réservoir

A

Le réservoir, d’une contenance autorisée de 30 à 150 litres, très résistant aux chocs, est en tôle de 3 à 4 mm d’épaisseur.
Il est équipé d’un clapet anti-retour, pour éviter les fuites par le bouchon de remplissage.

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18
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Il existe deux types de réservoirs : 2/

A
  • Torique (à la place de la roue de secours).
  • Cylindrique (dans le coffre).
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19
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Soupape de sécurité

A

La soupape de sécurité est tarée à 27 bars.

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20
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Différents scénarios accidentels sont possibles : 3/

A
  • Fuite de gaz liée à un défaut d’étanchéité pouvant engendrer un VCE en présence d’une source d’inflammation ayant une énergie suffisante.
  • Apparition brutale et répétée d’une torchère sur un véhicule équipé d’une soupape de sécurité et soumis à un incendie.
  • Explosion de type BLEVE en conséquence d’un échauffement important du réservoir suite à un feu.
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21
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

Rapportés à des réservoirs GPL de 150 litres, les trois effets du BLEVE sont : 3/

A
  • La projection d’éclats avec effet de missile pouvant aller jusqu’à 100 mètres.
  • La création d’un flux thermique avec création d’une boule de feu dont le diamètre peut atteindre 30 mètres pendant 3 secondes.
  • La création d’une surpression dont les effets peuvent être ressentis jusqu’à 120 mètres.
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22
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, partie reconnaissance

A
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23
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, Sauvetage

A
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24
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, établissement / attaque

A
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25
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, protection

A
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26
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, Déblai / dégarnissage

A
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27
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GPL

MGO, surveillance

A
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28
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

Description GNV

A

Le GNV est composé à 97% de méthane, extrait de gisements.

Difficilement liquéfiable, ce gaz est stocké dans des réservoirs à l’état gazeux à une pression de 200 bars.

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29
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

Réservoirs GNV

A

Au nombre de 1 à 9, leur capacité et leur localisation varient en fonction du véhicule. Résistants aux chocs, à la pression et à la température, ils sont en aluminium, en polyéthylène et/ou fibre de carbone. Ils sont protégés par des barres de contention en cas de rupture des fixations. Un capot peut les protéger.

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30
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

Chaque réservoir est muni — , ainsi que —

A

Chaque réservoir est muni d’un fusible thermique déclenchant à 100°C, ainsi que d’un robinet d’isolement.

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31
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

Les risques liés aux accidents et aux feux de véhicules équipés au GNV sont relativement réduits en raison : 3/

A
  • De la nature du gaz : plus léger que l’air, le méthane se dilue très rapidement dans l’atmosphère.
  • Du positionnement des bouteilles : en raison de leur volume, les bouteilles sont généralement placées sur le pavillon, hors d’atteinte directe des chocs.
  • Des thermofusibles placés sur chaque bouteille et sur la canalisation, qui fondent rapidement (100°C).
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32
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

En outre, la nature gazeuse du GNV exclut l’apparition … … . Le principal risque est —-

A

En outre, la nature gazeuse du GNV exclut l’apparition d’un BLEVE. Le principal risque est donc celui d’une fuite de gaz, enflammée ou non, voire d’un VCE d’une durée de plusieurs minutes.

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33
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

CAT : 3/

A
  • Appliquer la même procédure que pour un feu sur véhicule léger GPL.
  • Protection et/ou leur refroidissement des bouteilles impératif. L’utilisation du jet diffusé d’attaque permet d’éviter toute action thermique brutale.
  • En cas de feu de bus au GNV, le chef d’agrès s’assurera en outre auprès du machiniste que la coupure du contact a bien été réalisée et que la permanence générale de la RATP a été prévenue.
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34
Q

Feux de moyens de transport, feux de véhicules au gaz, GNV

Identification des bus GNV

A
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35
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

La propulsion est —

A

La propulsion est assurée par un moteur fonctionnant exclusivement à l’énergie électrique qui est stockée dans une batterie de traction délivrant du courant continu (+/- 400 V pour les VL et jusqu’à 750V pour les BUS)

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36
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

technologie Calcium : destination / comportement / mode d’extinction

A
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37
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

technologie Nickel métal hydrure : destination / comportement / mode d’extinction

A
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38
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

technologie Lithium ion : destination / comportement / mode d’extinction

A
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39
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

technologie Lithium métal polymère (LMP) : destination / comportement / mode d’extinction

A
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40
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

technologie Nickel chlorure sodium (ZEBRA) : destination / comportement / mode d’extinction

A
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41
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, reconnaissance :

A
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42
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, sauvetage :

A
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43
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, établissement / attaque :

A
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44
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, Protection :

A
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45
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, déblai / dégarnissage :

A
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46
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicule hybride ou électrique

MGO, Surveillance :

A
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47
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

présentation hydrogène :

A
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48
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

Hydrogène : densité / LIE / LSE

A
49
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

Bon à savoir, réservoirs hydrogène :

A
50
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

Bon à savoir, véhicule H2 en cas de fuite

A
51
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

Caractéristique de l’ H2

A
52
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, reconnaissance :

A
53
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, sauvetage :

A
54
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, établissement / attaque :

A
55
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, Protection :

A
56
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, Déblai :

A
57
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

MGO, surveillance :

A
58
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

conduite à tenir en cas de feu de VHL H2

A
59
Q

Feux de moyens de transport, Feux de véhicules à l’hydrogène

Conduite à tenir en cas de feu ou de fuite enflammée sur une station de charge H2

A
60
Q

Feux de moyens de transport, Avions de combat

notion avion de combat

A
  • Attention aux munitions, siège éjectable, leurres pyrotechniques

En l’absence de personnes qualifiées :
- Attaque menée au plus loin ;
- Ne pas toucher aux équipements ;
- Si nécessité absolue, prendre en compte les indications marquées sur l’avion.

61
Q

Feux de moyens de transport,

Conduite à tenir feu de bateau ou péniche

A
  • Idem Feu de sous-sol
  • Sécu des personnels –> dispositif de sécu nautique
  • Interruption du trafic par brigade fluviale et service de la navigation
  • Effort sur les sauvetages et la recherche des occupants présents
  • Attaque par EP sur berge, possibilité depuis l’ESAVI placée à couple : attention propagations !
  • Extinctions : mini d’eau + moyens d’épuisement (éventuellement BPM)
  • Pour éviter les surcharges possibilité de faire un pont avec les échelles aériennes en négatif.
62
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

descriptif schéma

A
63
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

descriptif, Voies souterraines ou simples couvertures acoustiques, les tunnels routiers se caractérisent par une grande diversité au niveau : 4/

A
  • Du génie civil (monotubes / bitubes ; unidirectionnels / bidirectionnels ; faible longueur à plusieurs kilomètres, résistance au feu, etc.)
  • De l’exploitation : Centre d’Exploitation et de Surveillance (CES) ou Poste de Contrôle Tunnels et Trafic (PCTT) etc…
  • Des équipements de sécurité, Issues de Secours (IS), principe de désenfumage, niveau de résistance au feu.
  • Du volume de trafic.
64
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

descriptif, Un tunnel répondant aux exigences de la circulaire interministérielle n°2006-20 du 29 mars 2006 doit disposer des éléments de sécurité suivants : 11/

A
  • Un système de détection automatique d’incident qui propose un scénario de mise en sécurité à l’Opérateur Sécurité Trafic (OST).
  • Des dispositifs physiques d’interruption du trafic en entrées de tunnel à commande manuelle ou automatique depuis le CES.
  • Des IS (issues vers l’extérieur) tous les 200 m protégées par une porte CF (qui peut avoir été condamnée de l’intérieur par un verrou fusible en raison de la proximité du sinistre), disposant ou pas de communication avec le CES.
  • Des niches de sécurité (extincteur, hydrant, prise de CS ou CH, réseau d’appel d’urgence, volume sans sortie vers l’extérieur) tous les 200 m.
  • Des Postes d’Appels d’Urgence (PAU) placés dans les niches de sécurité et dans les aménagements pour l’évacuation et la protection des usagers, permettant une communication avec le CES.
  • Des poteaux d’incendie ou des colonnes humides sous 6 bars, débit simultané de 120m3/h, placés de préférence dans les niches incendies tous les 200m, permettant une alimentation directe des établissements d’attaque sans besoin d’engin-pompe.
  • Des colonnes sèches (voire en eau morte sans pression) à alimenter depuis la surface et/ou les têtes.
  • Des systèmes de ventilation/désenfumage, commandés depuis le CES.
  • Des intercommunications entre tubes permettant des transferts de victime/matériel ou une attaque protégée, voire un passage d’engins.
  • Des systèmes de surveillance du trafic (vidéo), de la qualité de l’air, des niches et IS.
  • Des dispositifs de récupération des eaux souillées/pollutions.
65
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Les feux en tunnel peuvent s’apparenter : 5/

A
  • A des feux en espace clos (espace confiné)
  • A des ERP (présence de public)
  • Aux IGH (commandement en « aveugle », difficultés de liaison, différents niveaux d’intervention, etc.).
  • Les principales difficultés auxquelles seront confrontés les intervenants seront la chaleur et les fumées.
  • Les principes de sécurité sont axés sur l’auto-évacuation des usagers.
66
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

principes fondamentaux (2/)

A

La connaissance de l’ouvrage et les délais d’intervention sont les éléments
fondamentaux de l’intervention.

67
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Les principes fondamentaux d’une intervention dans un tunnel consistent à mener simultanément : 2/

A
  • Les opérations de sauvetage et d’évacuation du public resté dans les véhicules ou présent dans le tunnel.
  • Les opérations d’extinction en établissant directement au plus vite sur les poteaux d’incendie alimentés (lorsqu’ils existent) les moyens hydrauliques les plus puissants possibles.
68
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Ces actions (opération de sauvetage / evac et établissement) sont complétées par : 4/

A
  • Des reconnaissances dans l’ensemble de l’ouvrage (niches, IS et escaliers qui les desservent.)
  • La prise en compte du public extrait du tunnel (demande de centre d’accueil des impliqués le cas échéant) en coordination avec la police.
  • Une maîtrise permanente des liaisons internes et externes.
  • Un contact permanent avec le CES afin de maîtriser les installations et moyens techniques propres à chaque tunnel.
69
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Toutes ces opérations sont menées en considérant en permanence :

A
  • Les tunnels comme des zones d’exclusion.
  • La stabilité au feu de l’ouvrage au regard de la nature du sinistre, en mesure de commander un retrait des intervenants et/ou une reconnaissance ou une évacuation du niveau supérieur.
70
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Moyens au départ

A

Accès 1
- EP CGI (amont)
- VSAV
- VLR OGC
- MEA VO
- GELD
- Chef de section ELD
- G.aide au CDT
- GST

Accès 2
- EP (soutien)

Accès 3
- EP (aval)
- GELD

Accès 4
- VLR OGC (au CES Tunnel)

L’OGC n’est pas obligatoirement le COS.

71
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Engagement des 1er engins, 1er EP : 5/

A
  • EP CGI ou EP et VLCG
  • Dénommé engin AMONT
  • S’engage par l’IS située immédiatement en amont du sinistre, ou, si le tunnel ne dispose pas d’IS, par la voie qui correspond au sens de circulation présumé du sinistre.
  • La MGO guide les premières actions du COS. Il demande les renforts nécessaires et renseigne le commandement.
  • L’accès par lequel s’engage l’engin AMONT est appelé « accès principal » pour l’intervention. C’est à partir de là que s’organise et monte en puissance la chaîne de commandement.
72
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Engagement des 1er engins, 2ème EP : 4/

A
  • Dénommé engin SOUTIEN
  • Reconnaissance du tube non sinistré dans le cas des tunnels bitubes
  • Se présente à la tête de tube, dans le sens de circulation.
  • Il ne s’engage dans le tube que sur ordre du COS, en complément de l’engin AMONT
73
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Engagement des 1er engins, 3ème EP : 3/

A
  • Dénommé engin AVAL
  • S’engage côté AVAL par l’IS située immédiatement en aval du sinistre, ou, si le tunnel ne dispose pas d’IS, et sur ordre du COS, par le débouché du sens de circulation présumé du sinistre.
  • Le risque de voir surgir un véhicule ne pouvant être totalement écarté, il pénètre dans le tunnel avec la plus grande vigilance (sur ordre du COS uniquement)
74
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Engagement des 1er engins, OGC : 2/

A
  • Le 1er OGC se rend à l’accès principal et prend contact avec le second.
  • Le 2ème OGC se rend au CES et prend le rôle d’officier de liaison. En l’absence de CES, cet officier se rend à l’accès principal et se met à disposition du COS.
75
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Engagement des 1er engins, VSAV / MEA : 1/

A
  • Accès principal à disposition du COS.
76
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

Cas particulier :

A

Pour les tunnels bitubes et dans le cas où la localisation du sinistre ne correspond pas à l’adresse de départ mais se situe dans l’autre sens de circulation : Les rôles des engins AMONT et SOUTIEN sont inversés.

Le COS redirige l’engin AVAL conformément à l’engagement précédemment décrit.

77
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

différente méthode de désenfumage : 3/

A
  • VENTILATION LONGITUDINALE
  • VENTILATION SEMI-TRANVERSALE
  • VENTILATION TRANVERSALE
78
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

méthode de désenfumage, ventilation longitudinale

A

Création d’un courant d’air dans le sens de la circulation au moyen d’accélérateurs situés en partie haute.

79
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

méthode de désenfumage, ventilation semi transversale

A

Insuffler de l’air frais en partie basse de l’ouvrage, l’évacuation s’effectuant naturellement par les têtes du tunnel.

80
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

méthode de désenfumage, ventilation semi transversale réversible

A

Le soufflage est assuré à partir d’une gaine située en partie haute. En cas d’incendie, l’évacuation des fumées est assurée par l’inversion du sens d’écoulement de l’air.

81
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

méthode de désenfumage, ventilation transversale

A

Amenées d’air frais réparties sur l’ensemble du tunnel (bouches de préférence en partie basse) et aspiration d’air vicié avec rejet ailleurs qu’aux têtes de tunnel.

82
Q

Feux de moyens de transport, feu de tunnel routier de grande longueur

méthode de désenfumage, ventilation transversale partielle :

A

Débit d’amenée d’air supérieur ou égal au débit d’extraction.

83
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Accident ferroviaire de Métro/Train/RER/VAL/LISA à quai ou en station ou inter-station ou inter-gare ou portion aérienne.

A

Module accès principal
(Gare, station ou puit d’accès)
- G. ÉTARÉ
- G. aide au CDT
- CD
- GST

Module accès encadrant
(Gare, station ou puit d’accès)
- G. ÉTARÉ

PG. RATP ou COGC (SNCF)
- VLR OGC

84
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Feu ou explosion de Métro/RER/Train/VAL/Tramway/LISA en espace clos : à quai, en station, en inter-station ou en gare ou inter-gare.

A

Module accès principal
(Gare, station ou puit d’accès)
- G. ÉTARÉ
- GELD
- Chef de S. ELD
- G. aide au CDT
- Éq. MED
- CD
- GST

Module accès encadrant
(Gare, station ou puit d’accès)
- G. ÉTARÉ
- GELD

PG RATP ou COGC
- VLR OGC

85
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Tout COS doit donc s’appuyer sur les dispositions existantes, à savoir :

A
  • La Permanence Générale (PG) RATP, le Permanent des Réseaux Ferrés (PRF, seul cadre en charge de lancer les séquences de désenfumage pour la RATP, et interlocuteur du COS pour ce domaine) et l’officier de liaison BSPP.
  • Un Chef d’Incident Local ou Principal (CIL ou CIP) en mesure de lui apporter une aide technique.
  • Le Centre Opérationnel de Gestion de la Circulation (COGC) pour le réseau SNCF.
  • Le PCC TRANSDEV pour le réseau ferré de l’aéroport Charles de Gaulle (CDGVAL).
  • Un Poste Central de Sécurité Incendie (PCSI), ou centre de surveillance, ou Local de Gestion d’Intervention (LGI) ou bureau de vente (billetterie) qui, bien que généralement situé en infrastructure, se situe à un niveau supérieur aux voies. Les intervenants y trouvent les téléphones, des plans ou clefs éventuelles (pentocurvilignes et poumared pour les accès aux façades de quai des lignes automatisées).
  • Des colonnes sèches avec prises d’incendie tous les 100 mètres en tunnel (sur certaines lignes et prolongement récents).
  • Des guides opérateurs de lignes RATP destinés à mettre en oeuvre, en relation avec le Permanent des Réseaux Ferrés (PRF), le désenfumage de la station ou de l’inter-station.
  • Des téléphones de bout de quai qui permettent de contacter les régulateurs de lignes (coupure des énergies 430+ n° ligne XX), le CSO 1018, le CO et la coordination médicale 68118.
  • Des rupteurs d’alarme.
  • Des prises pour généphones.
  • Éventuellement des dispositifs spécifiques d’accès des secours (accès-pompiers) qui ne sont normalement pas dimensionnés pour évacuer les usagers.
  • Un éclairage de sécurité et de jalonnement.
  • Des cheminements d’évacuation des passagers en tunnel (lignes récentes ou réaménagées) et sur les portions aériennes.
85
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Les feux en tunnel peuvent s’apparenter à : 3/

A
  • Des feux en espace clos (espace confiné).
  • Des ERP (présence de public)
  • Des IGH (commandement en « aveugle », difficultés de liaison, différents niveaux d’intervention, etc.) auxquels s’ajoutent des élongations importantes.
86
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Le recours aux personnels du … qui disposent des matériels et d’un entraînement spécifique à ce type de reconnaissances, doit être privilégié.

De même, l’emploi des … … constitue un atout majeur dans le cadre de telles interventions.

En toutes circonstances, le risque … doit guider les premières actions de secours.

A

Le recours aux personnels du GELD qui disposent des matériels et d’un entraînement spécifique à ce type de reconnaissances, doit être privilégié.

De même, l’emploi des caméras thermiques constitue un atout majeur dans le cadre de telles interventions.

En toutes circonstances, le risque « attentat » doit guider les premières actions de secours.

87
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Les fondements de l’intervention sont les suivants : 7/

A
  • Mise en sécurité du réseau (arrêt de la circulation et/ou coupure électrique du courant de traction).
  • Evacuation du public ou extraction des victimes.
  • Maîtrise du désenfumage (en relation avec l’OL COGC et l’officier détaché à la PG RATP pour ce réseau).
  • Attaque précoce du sinistre le cas échéant.
  • Reconnaissances simultanées de part et d’autre du lieu de l’intervention (inter-stations, interconnexions, gares ou stations et accès-pompiers encadrants).
  • Coordination des moyens dans la ou les stations, gares ou puits d’accès concernés.
  • Maîtrise en permanence des liaisons internes et externes.
88
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

PCA :

A

Poste de commandement avancé (PCA), au plus près du sinistre et des moyens de communication propres au réseau, activé dans un premier temps par le chef de garde. Si l’OSG prend le COS, l’OGC prend le commandement du PCA.

89
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

PCP :

A

Poste de commandement principal (PCP) situé dans tout local disposant des moyens de communication :

PCSI, centre de surveillance de la gare ou station, bureau de vente, local d’information des voyageurs ; si la situation rencontrée (attentat, feu, NRBC) interdit la présence de personnel non équipé d’APRF ou d’ARI dans la gare ou station, les PCA et PCP seront activés à l’extérieur de l’emprise ferroviaire. Dans tous les cas, les
COS successifs devront s’appuyer sur le CIL puis le CIP dépêché par l’exploitant du réseau.

90
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

Adressage des moyens

A

À l’instar de tous les départs ÉTARÉ, la réponse opérationnelle pour intervention dans un tunnel ferroviaire repose sur l’engagement initial d’un groupe ÉTARÉ. Toutefois, les élongations du réseau et le risque permanent présenté par ce type d’infrastructure impose l’engagement simultané de deux modules, l’un à l’accès principal, l’autre à l’accès encadrant.

Les différents types d’accès pompiers sont définis dans le BSP 370. Un puits d’accès peut être utilisé pour engager un module encadrant. Un point de pénétration ne doit donc pas être utilisé pour engager un module principal ou encadrant. Il permet en revanche d’engager des reconnaissances.

Les volumes précis des moyens sonnés sont définis dans le BSP 115.1.

Un officier de liaison est dépêché à la PG RATP pour une intervention sur le réseau RATP ou au COGC pour le réseau SNCF.

Nota : Un feu de gare ou station ne rentre pas dans le cadre INTERFER.

91
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, Les deux premiers engins-pompe : 4/

A
  • Alimentent les colonnes sèches.
  • Se rendent au PCSI ou bureau de vente ou LGI afin de prendre les renseignements liés à l’intervention.
  • Prennent les premières mesures de mise en sécurité du réseau (coupure d’urgence et/ou arrêt de la circulation ferroviaire), et appliquent la MGO : effectuent les premières reconnaissances, portent secours aux victimes, effectuent les premières extractions, recherchent les manifestations d’un acte malveillant, demandent les renforts nécessaires le cas échéant.
  • Réalisent le balisage non entravant, mission primordiale qui doit être effectuée par une équipe désignée. Cette équipe remonte au PCSI, reste en contact téléphonique/radio/dispositif propre à la RATP ou à la SNCF avec le chef d’agrès du premier engin et guide les engins à venir (balisage employé, nature de l’intervention et actions prioritaires).
92
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, le 3ème EP : 1/

A
  • Passe au PCSI et, guidé par l’équipe de balisage, rejoint les premiers engins avec le matériel approprié.
93
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, le chef de garde du CSTC quel que soit son ordre d’arrivée : 5/

A
  • Réalise les premières mesures imposées de la MGO.
  • Demande des moyens de renforcement si nécessaire.
  • Renseigne le commandement le plus rapidement possible.
  • Constitue l’embryon du PCA, et prend en compte les moyens de transmission (téléphone de bout quai, moyens de transmission propres à l’établissement, réseau ANTARES, généphone…).
  • Fait un point de situation à l’OGC situé au PCSI ou PCP (si les transmissions sont indisponibles, il rejoint le PCP).
94
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, le VSAV : 3/

A
  • Se rend au PCSI ou LGI et se met à disposition du COS.
  • Prend en charge les premières victimes.
  • Propose une zone de PRV/PMA.
95
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, le MEA : 1/

A
  • Se met à disposition du COS. Le balisage ou toute autre mission peut lui être confié.
96
Q

Feux de moyens de transport, plan interfer

engagement des 1er engins, l’OGC : 2/

A
  • Se rend à l’adresse principale (LGI) et entre en contact avec le chef de garde, le second groupe ETARE, l’OL COGC ou l’officier dépêché à la PG RATP le cas échéant.
  • Fait procéder à la levée de doute NRBC.
97
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Généralités, Plates-formes aéroportuaires : 6/

A
  • « Charles-de-Gaulle (CDG)»,
  • « Le Bourget (LBG)»
  • « Orly (ORY)»
  • La Base aérienne 107 (aérodrome de Villacoublay)
  • La base hélicoptères de la Sécurité Civile d’Issy les Moulineaux
  • Et également en dehors de ces emprises.
98
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

4 motifs possibles :

A
  • Chute d’aéronef ZA BSPP
  • Chute d’aéronef ZVA BSPP
  • Chute d’aéronef ZVA secteur SDIS
  • Chute d’aéronef CSTC BSPP hors ZVA et ZA
99
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Moyens au départ, 260 - Chute d’aéronef ZA BSPP :

A
100
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Moyens au départ, 261 - Chute d’aéronef ZVA BSPP :

A
101
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Moyens au départ, 262 - Chute d’aéronef ZVA secteur SDIS :

A
102
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Moyens au départ, 263 - Chute d’aéronef CSTC BSPP hors ZVA et ZA :

A
103
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Le dispositif de secours sur les lieux de l’accident est destiné à mener les actions suivantes : 4/

A
  • Lutter contre le sinistre, en procédant à la reconnaissance, à l’extraction des victimes et à l’extinction.
  • Procéder au ramassage et transférer rapidement toutes les victimes et impliqués vers le(s) Point(s) de Regroupement des Victimes (PRV), assurer leur recensement et communiquer la liste au DOS.
  • Assurer la catégorisation et la médicalisation des victimes au niveau du (des) Poste Médical Avancé (PMA) avant leur évacuation.
  • Sécuriser et sectoriser dès que possible la zone de crash.
104
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extraction :

A

EXTRACTION : cette mission est prioritaire. Même si les procédures aéronautiques prévoient l’évacuation immédiate de l’aéronef, les reconnaissances doivent permettre de confirmer l’absence de victimes dans la cabine et dans le poste de pilotage. Il est important de prendre en compte la totalité de l’axe principal des débris lors des reconnaissances.

105
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extinction :
En cas de feu d’aéronef, la tactique d’intervention consiste à : 3/

A
  • Intervenir massivement avec les moyens mousses sur le foyer.
  • Maintenir un tapis de mousse pour éviter une ré-inflammation.
  • Maintenir un couloir de survie si besoin et/ou assurer l’évacuation par les moyens existant (issues de secours) ou par la création d’ouverture dans le fuselage (« effraction »). La mise en surpression de la cellule de l’avion au moyen des VOE est de nature à faciliter cette mission et permettre la survie des passagers qui n’ont pas pu évacuer.
106
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extinction :

En ZA et ZVA, — au moyen de ses Véhicules d’Intervention Massif (VIM) et éventuellement complété par les moyens de renforcement.

A

En ZA et ZVA, l’extinction est réalisée généralement par le SSLIA au moyen de ses Véhicules d’Intervention Massif (VIM) et éventuellement complété par les moyens de renforcement.

107
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extinction :

La — —- doivent être entreprises impérativement par le COS.

A

La recherche de la nature du chargement et la levée de doute sur un risque NRBC doivent être entreprises impérativement par le COS.

108
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extinction :

La prise de renseignement sur la nature du chargement peut se faire auprès du commandant de bord (si joignable) ou bien :

A

En ZA et ZVA :
- auprès du Commandant des Opérations

Aéroportuaire. Hors ZA et ZVA :
- auprès des stations directrices (PVO ORLY – STA PCDG).
- du SSLIA LBG.
- de la Base aérienne 107 - aérodrome de Villacoublay.

109
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, extinction :

En fonction des événements en cours, la nécessité d’une remise en service partielle ou totale du … doit être prise en compte si la reprise d’exploitation de l’aéroport est nécessaire.

A

En fonction des événements en cours, la nécessité d’une remise en service partielle ou totale du SSLIA doit être prise en compte si la reprise d’exploitation de l’aéroport est nécessaire.

110
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, ramassage :

A

RAMASSAGE : L’action du ramassage consiste à prendre en charge les victimes et impliqués sortis de l’avion et assurer leur transfert vers le(s) PRV.

111
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, PRV :

A

PRV : Cette zone est définie par le COS. Elle peut correspondre à l’endroit où se sont naturellement regroupés les premières victimes et impliqués. Elle est située à un emplacement aussi protégé que possible du danger. Une fois les victimes ou impliqués regroupés et catégorisés, ils sont accompagnés vers le PMA ou le Point de Regroupement des Impliqués (PRI). Sur décision du COS et en accord avec le DSM, le PRV peut-être colocalisé avec le PMA en fonction du nombre de victimes.

Sur décision du DSM, la catégorisation est effectuée par le 1er médecin au niveau du PRV ou de l’entrée du PMA. L’objectif est de répartir les passagers vers la zone PMA ou PRI. Les victimes et impliqués devront être porteurs du bracelet SINUS.

112
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, PRI :

A

PRI : Le PRI accueille les impliqués qui sont dirigés rapidement vers une structure d’accueil (Centre d’Accueil des Impliqués CAI)

113
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, PRI :
En ZA, le CAI est :

A

En ZA, le CAI est :

  • défini dans les Dispositions Spécifiques (DS) ORSEC.

Les impliqués sont évacués du PRI au CAI au moyen de transports collectifs.

114
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, PRI :
Hors ZA, le CAI :

A

Hors ZA :

  • il appartient au COS de définir l’emplacement du CAI ;
  • le DOS désigne un centre d’accueil des familles en lien avec la commune qui en assure la logistique ;
  • le soutien psychologique est assuré par la CUMP du SAMU, avec le soutien éventuel d’une association agréée de sécurité civile. En cas d’atteinte révélée lors de la prise en charge, tout impliqué doit être redirigé sur le PMA. La gestion des familles et leur réunification sont à la charge du DOS.

Le COS s’assure de la gestion de SINUS au niveau du CAI.

115
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Engagement des secours, PMA :

A

PMA : Le montage du PMA est une des missions prioritaire du COS.

116
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

Les messages radio : 3/

A
  • Type d’appareil.
  • Compagnie aérienne
  • Nombre de passagers et membres d’équipage.
117
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

les dangers :

A

Les moteurs assurent la propulsion par action (hélices) ou réaction (réacteurs).

  • Un réacteur aspire tout sur son passage (distance de sécurité minimum 8 m). La poussée d’un réacteur est un danger à prendre en compte (distance minimum deux fois la longueur de l’avion lors de la poussée des réacteurs) ;
  • Une hélice qui tourne ne se voit pas. On doit rester à distance pour ne pas risquer d’être heurté (distance minimum 4 mètres).
118
Q

Feux de moyens de transport, accidents d’aéronefs

les dangers, avion de combat

A
  • Un accident aérien mettant en cause un aéronef militaire (de combat ou de transport), est aggravé par la présence de dispositifs spécifiques (sièges éjectables, munitions actives ou en fret, lances leurres).
  • L’avion de combat présente un risque instantané, compte tenu de son armement. Les munitions conventionnelles emportées par les aéronefs respectent généralement un code de couleur permettant leur identification, et par conséquence l’évaluation des risques pour les intervenants.

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