Module 6 - la nutrition de l'érable Flashcards
Qu’est-ce qui distingue les éléments nutritifs dits majeurs de ceux dits mineurs ?
leur concentration dans les tissus
Combien y a-t-il d’éléments essentiels à la croissance des plantes ?
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Parmi les éléments suivants, lesquels constituent des apports d’éléments nutritifs pour l’écosystème et lesquels constituent des pertes ?
Lessivage :
Fixation biologique de l’azote :
Fertilisation :
Pollution atmosphérique :
L’altération des minéraux :
La récolte de l’eau d’érable :
La récolte de la matière ligneuse :
Le feu :
L’érosion :
Lessivage : Pertes
Fixation biologique de l’azote : Apports
Fertilisation : Apports
Pollution atmosphérique : Apports
L’altération des minéraux : Apports
La récolte de l’eau d’érable : Pertes
La récolte de la matière ligneuse : Pertes
Le feu : Pertes (C et S)
L’érosion : Pertes
Quel processus de l’écosystème constitue la principale source d’éléments nutritifs pour l’érable ?
La minéralisation des éléments nutritifs contenus dans la litière
Quel réservoir du système sol-plante examinons-nous lorsque l’on analyse le sol ?
le complexe d’échange
Pourquoi la récolte de la biomasse suite au nettoiement de l’érablière est-elle une activité à proscrire ?
3 points
A. La végétation en sous étage constitue une réserve d’éléments nutritifs
B. La décomposition de la litière est une source d’éléments nutritifs pour le sol
C. Cela contribue à appauvrir l’érablière
- Parmi les suivants, trois facteurs justifient l’emploi d’un protocole d’échantillonnage rigoureux lors de l’analyse foliaire. Lesquels ?
A. Les teneurs varient d’un élément à l’autre
B. Les teneurs en éléments nutritifs varient d’une espèce à l’autre
C. Les éléments nutritifs sont difficiles à mesurer
D. Les teneurs en éléments nutritifs varient d’un individu à l’autre
E. Les teneurs en éléments nutritifs varient durant la saison de croissance
F. Les teneurs en éléments nutritifs varient selon la position dans la cime
D
E
F
Pourquoi conseille-t-on de garder au moins 10 % d’espèces compagnes de l’érable lors d’un jardinage acéricoforestier
Plusieurs de ces espèces sont mégatrophes
B. La litière des espèces mégatrophes enrichit le sol
Associez les termes de la colonne de droite aux définitions de la colonne de gauche.
Détection erronée d’un cas de carence :
Non détection d’un cas de carence :
Proportion des cas de carence que l’on réussi à détecter :
Proportion d’arbres sains classés correctement :
Détection erronée d’un cas de carence : Faux positif
Non détection d’un cas de carence : Faux négatif
Proportion des cas de carence que l’on réussi à détecter : Sensibilité
Proportion d’arbres sains classés correctement : Spécificité
Qu’est-ce qui distingue fondamentalement l’approche par valeurs critiques et l’approche DRIS lors du diagnostic du statut nutritif de l’érablière ?
L’approche par valeurs critiques considère les éléments pris un à un alors l’approche DRIS compare des ratios d’éléments
Le rapport Ca/Mg dans l’humus et dans l’horizon B est un indicateur de carence en calcium dont la sensibilité est de 57 % et la spécificité de 89 %. Quelle est la précision de cet indicateur pour la détection des carences en calcium ?
(sensibilité + spécificité)/2
(57+89)/2
73%
La saturation en base de l’horizon B est de 75 % et le rapport K : Mg de l’humus est 0,15. Que puis-je conclure ?
L’érablière est carencée en P