M1: Approches positives de l'alimentation Flashcards
À quoi est associé de saines habitudes alimentaires?
- Une réduction des risques de maladies chroniques
- Favoriserait également la santé mentale et le bien-être psychologique.
Quelle est la définition des saines habitudes alimentaire s ou d’une saine relation avec la nourriture?
Il n’existe pas de définition consensuelle
On peut néanmoins considérer deux dimensions importantes lorsqu’on tente de définir ces concepts.
1. QUOI manger (quels aliments et nutriments, en quelle quantité)
2. COMMENT manger (avec quelle attitude, sur la base de quels principes, avec qui, quand)
Dans quels patrons de saine alimentation les fruits et les légumes ont-ils une place de choix?
- Diète méditerranéenne,
- Diète DASH (Dietary Approaches To Stop Hypertension)
- L’alimentation végétarienne.
Ces patrons incluent quels autres aliments, et quels effets ont-ils sur la santé?
Les produits céréaliers à grains entiers, les légumineuses et les noix
Effets favorables
La nutrition est une science en constante _____________.
Expliquez
Évolution
Les données parfois controversées et inconsistantes issues de différentes études (par exemple, sur l’impact des acides gras saturés et de la consommation de viande sur la santé) peuvent générer de la confusion dans les perceptions entourant la saine alimentation au sein de la population
Au Canada, il existe un écart entre _________________ et les ______________________.
Donnez un exemple.
Les recommandations nutritionnelles
Les habitudes alimentaires individuelles
Par exemple, les plus récentes données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes montrent que seulement 28,6 % des Canadiens âgés de 12 ans et plus avaient rapporté avoir consommé des légumes et des fruits au moins 5 fois par jour en 2017.
Par quoi cette discordance pourrait-elle s’expliquer?
Donnez un exemple.
Cette discordance pourrait s’expliquer en partie par une certaine individualisation dans les perceptions de ce que signifie « bien manger ».
Par exemple, une étude finlandaise réalisée auprès d’adultes documente une individualisation de l’aspect « santé » de l’alimentation qui s’expliquerait par la croyance que chaque individu devrait définir sa propre alimentation saine et choisir les aliments à consommer en écoutant son corps et ses besoins.
L’interprétation de certaines notions associées à la saine alimentation telles que __________________, la _____________ et la ___________ varie selon les études.
L’équilibre
La modération
La variété
Donnez un exemple de l’interprétation de la notion de l’équilibre (qui varie selon les études).
Par exemple, le concept d’équilibre réfère à la variété d’aliments à l’intérieur de l’assiette pour certains individus, alors qu’il est employé par d’autres pour désigner un processus mental permettant de compenser une alimentation moins saine en mangeant des aliments nutritifs ultérieurement ou pour balancer le plaisir de manger et les considérations nutritionnelles dans ses choix alimentaires.
Quels sont les déterminants qui influencent les perceptions de la saine alimentation?
- L’âge (par exemple, tendre vers des choix alimentaires plus sains en vieillissant)
- Le statut socioéconomique (par exemple, percevoir que la saine alimentation coûte cher et, conséquemment, croire que « bien manger » est un privilège inaccessible aux populations les plus pauvres)
- Des changements de vie importants, comme le fait de devenir parents
- Le contexte culturel et social.
Au Canada, le ______________ est l’outil de référence en matière de saine alimentation.
Le Guide alimentaire
Nommez 2 transformation qu’à subit le Guide alimentaire depuis 1942 à propos des messages véhiculés à la population.
- La catégorisation des aliments en quatre groupes alimentaires (Légumes et fruits, Viandes et substituts, Lait et substituts, Produits céréaliers)
- L’introduction des notions de variété, de modération et de balance énergétique.
Décrivez la version 2007 du Guide alimentaire.
La version du Guide alimentaire de 2007 quantifiait le nombre de portions quotidiennes à consommer pour chaque groupe alimentaire, selon l’âge et le sexe, pour la population âgée de 2 ans et plus.
Décrivez la mise à jour du Guide alimentaire effectuée en 2019
La parution de la plus récente mouture du Guide alimentaire canadien qui illustre maintenant une assiette équilibrée intégrant trois catégories principales d’aliments représentés par des proportions plutôt que des nombres de portions précises : les légumes et les fruits, les aliments protéinés et les grains entiers.
Nommez un des changements majeurs du nouveau Guide alimentaire canadien.
L’introduction de nouvelles thématiques associées au processus de manger (« COMMENT » manger) et aux compétences alimentaires
(telles que cuisiner plus souvent des repas à partir d’ingrédients de base, partager des repas en bonne compagnie, écouter ses signaux de faim et de satiété et savourer les aliments pour accroître le plaisir de manger).
Traditionnellement, on s’attardait davantage aux ____________________qu’aux ____________________________, la plus récente version du Guide alimentaire canadien aborde autant des recommandations en termes de_____________ manger que de__________________ manger.
Choix alimentaires (ce que je mange)
Comportements alimentaires (comment je mange)
QUOI
COMMENT
Une saine relation avec l’alimentation repose notamment sur _____________________________________________________.
Une alimentation consciente qui répond aux besoins nutritionnels et affectifs de la personne.
Alors qu’il est évident que l’alimentation répond à des besoins___________________, il faut aussi considérer qu’elle répond souvent également à des besoins affectifs de:
Physiologiques
- Plaisir
- Stimulation
- Appartenance
- Réconfort
Vrai ou Faux?
Il est aussi recommandé dans le Guide alimentaire canadien de prendre ses repas seul et de se dépêcher à manger les aliments.
FAUX
Il est recommandé dans le Guide alimentaire canadien de prendre ses repas en compagnie d’autres personnes et de savourer les aliments qu’on mange.
Le corps humain est équipé de systèmes sophistiqués (ex: hormonaux, neuraux).
À quoi servent-ils?
Ce sont des systèmes de régulation énergétique qui produisent des signaux nous indiquant quand commencer et quand arrêter de manger.
Nous pouvons prendre conscience des signaux de faim et de satiété lors de l’apparition de:
- Sensations viscérales dans la région abdominale (p. ex., creux dans l’estomac, grondements/gargouillis, contractions et distensions gastriques) ou de
- Changements plus généraux sur le plan physique (p. ex., fatigue, faiblesse, inconfort),
sur le plan affectif (p. ex., désir de manger, diminution du plaisir de manger) et
sur le plan cognitif (p. ex., manque de concentration, pensées au sujet de la nourriture, perte d’intérêt face à la nourriture).
Vrai ou Faux
Ces différents éléments agissent en synergie pour influencer nos comportements.
Donnez un exemple
Ces différents éléments peuvent agir en synergie ou de manière indépendante pour influencer nos comportements.
Par exemple, des patients ayant subi une ablation de l’estomac (gastrectomie) rapportent quand même des sensations de faim ou de plénitude malgré l’absence de signaux viscéraux de faim.
Il est possible de percevoir des symptômes viscéraux de la faim sans avoir un désir de manger à ce moment précis.
À quoi cela est-il dû?
Au stress, à des émotions négatives ou encore parce qu’on est occupé à une autre tâche.
Vrai ou Faux
Tout le monde a la même capacité en ce qui concerne la capacité d’écoute et de respect des signaux internes de faims et de satiété.
FAUX, il existe d’importantes différences d’un individu à l’autre
Sur quoi sont basées les approches axées sur les signaux internes?
Sur l’idée qu’on devrait se fier aux signaux de faim et de satiété que nous envoie notre corps pour commencer et arrêter de manger.
Dans l’idéal, quand devrait-on commencer à manger et quand devrait-on cesser de manger?
Qu’est-ce que ces comportements permettent d’éviter?
Commencer: lorsqu’on ressent des sensations modérées de faim sur le plan viscéral et physique
Cesser: lorsqu’on ressent des sensations physiologiques modérées de satiété.
Ces comportements permettent d’éviter de ressentir des sensations extrêmes de faim ou de se sentir « trop plein.e » après un repas.