Les ressources personnelles Flashcards

1
Q

Quel est la différence entre un trait et facteur de la personnalité ?

A

Traits de personnalité :

  • «Sont des tendances (dispositions) à se sentir, percevoir, se comporter et penser de manière relativement cohérente dans le temps et entre les situations»

Facteurs de personnalité :

  • Les traits de personnalité sont des caractéristiques individuelles spécifiques (qui décrivent la personnalité d’une personne), alors que les facteurs de personnalité sont des structures théoriques (plus larges) qui organisent et regroupent les traits pour en fournir une compréhension plus globale -
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2
Q

D’où vient le concept de comportement de santé ?

A

Psychologie de la santé, psychologie positive. Provient pas juste de la personnalité, peut-être quelque chose de plus variable.

On commence à s’ intéressé à ce qui se passe interne avec Rogers. Freud et les behavioristes voit pas les gens comme ayant des ressources internes.

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3
Q

Quels sont les deux grands types de comportements de santé selon Matarazzo ?

A

1- Comportement de protection (immunogènes: qui améliorant la santé). Ressources de protection (immunogènes)
2- Comportement pathogène (qui diminuent la santé). Ressources pathogènes.

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4
Q

Comment peut-on définir les ressources psychologiques selon la psychologie positive ?

A
  • Comme des dispositions stables qui aident personnes à s’adapter au mieux au cours de leur vie en les protégeant contre les effets délétères des événements néfastes et en assurant des niveaux optimaux de bien-être individuel. Stable, mais variable.
  • agissent comme des facteurs de protection et ont un effet tampon (buffer effect) contre le développement des troubles (psychopathologiques) - (Csillisk, 2017)
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5
Q

Quels sont les critères pour être considérée comme une ressource psychologique ?

A
  • Protège contre le stress (et psychopathologie) dans les situations difficiles.
  • Contribue à la satisfaction de vie et au bien-être individuel
  • Mesurable : Évaluable de façon objective en tant que différence interindividuelle
  • Stable : il s’agit d’un «trait» stable, et non pas qui varie.
  • Malléable : peut être modifiée par une intervention (psychologique).
  • Renouvelable : fluctuant mais une fois “activée” peux être réactivée assez facilement (selon la situation) -
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6
Q

Quel sont les implications des ressources personnelles ?

5 éléments

A
  • Les ressources personnelles font en sorte que chaque individu réagit différemment face aux situations difficiles.
  • Les ressources personnelles pour faire face à une situation sont nombreuses (Une vingtaine, le reste des variantes de ceux là en général)
  • Elles sont généralement vues comme des composantes stables de la personnalité
  • Certaines caractéristiques de personnalité sont pathogène alors que d’autres sont immunogène.
  • Rogers : Humanisme. Avant lui, on était pas intéressé à l’individu. Le centre de la thérapie est le client, la personne. L’être humain est bon, il faut les aider à s’actualiser.
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7
Q

À quoi s’intéresse la psychologie positive ?

4 éléments

A
  • La psychologie positive s’intéresse principalement au fonctionnement sain, efficace et optimal de l’être humain
  • Donc cette approche est principalement centrée sur les RESSOURCES psychologiques des individus.
  • Pas sur les défaillances ou compétences manquantes (prévention, soins et développement personnel) Stimuler la personnalité pour augmenter les ressources.
  • Le rôle du psychologue (thérapeute en général) est d’identifier ces ressources pour aider son «client» et les mettre de «l’avant».
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8
Q

Comment définit-on la psychologie positive ?

A

La valorisation des expériences subjectives : bien-être, contentement et la satisfaction concernant le passé; l’expérience et l’optimisme à propos du futur; le bonheur et le flux vital pour le présent (Seligman).

L’humanisme est le premier à regarder le subjectif.

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9
Q

Comment est-ce que Friedman et Rosenman (1969) ont découverts une correspondance entre certains types de personnalité et leurs réactions au stress (cardio-vasculaire) ?

A

Ils s’intéressent aux problèmes de santé lié au stress et ont remarqué que le groupe ayant ces problèmes partageaient certains trait que l’autre groupe, qui en partageait d’autres.

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10
Q

Qu’est-ce que la personnalité de type A ?

A

«Un pattern action-émotion spécifique manifesté par les individus qui sont engagés dans une lutte quasi chronique afin de réaliser le plus rapidement possible un nombre illimité d’objectifs mal définis et ce, si nécéssaire, en dépit des obstacles ou de la volonté d’autres individus dans leur environnement.»

(Lien peut être fait avec caractéristique vulnérable au burnout)

Continuum de A, A-B, et B.

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11
Q

Comment s’acquis une personnalité de type A ?

A

La personnalité de type A s’acquiert dès le plus jeune âge et viendrait de l’habitude d’être récompensé pour des tâches bien réussies.

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12
Q

Quel types de personnalités ont des effets sur la santé ?

A

On pense aujourd’hui que les types A et C (ou certaines de leurs composantes) affecte la santé indirectement, en transitant par des processus d’évaluation et d’ajustement dysfonctionnels mobilisés face à des situations ressenties comme stressantes.

Type A vivent beaucoup plus de stress. Type C a aussi des problèmes de santé.

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13
Q

Quels problèmes sont associés à la personnalité de type A ?

A
  • Certains problème psychologique (stress)
  • Certains problèmes physiques (problème cardio-vasculaire, respiratoire et gastro-intestinaux…)
  • La colère et l’hostilité seraient relié aux problèmes cardio-vasculaire plus directement.
  • une méta-analyse de 25 études a démontré que ces deux émotions sont associées à un risque plus élevé de subir un infarctus du myocarde
  • Selon les statistiques, entre 50 et 70 % des gens sont de type A et seraient plus “stressés” -

Les vrais A seraient plus nombreux que les B, mais ce n’est pas aussi clair. Cela peut varier pour un individu d’un milieu à l’autre, soit dans les études, chez eux, dans les sports, etc.

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14
Q

Quels sont les caractéristiques de la personnalité de type A ?

A
  • La personnalité de type A est énergique, ambitieuse entreprenante, compétitive, impatiente, hyperactive, semble avoir un besoin de contrôle élevé, même sur l’incontrôlable.
  • Insécurité intrinsèque ou estime de soi “trop” basse
  • Elle cherche à maximiser l’utilisation de tout son temps (souvent un sentiment d’urgence), lutte contre la montre, a toujours l’impression de ne pas avoir fait assez par rapport à certaines tâches. Difficulté à se détendre et à se reposer.
  • Perfectionnistes, excessivement dévouées et impliquées dans leur travail.
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15
Q

Quel est le besoin de la personne type A ?

A
  • À la recherche de défis et d’action: Toujours besoin de se dépasser et tendance à se fixer (à elles-mêmes ou aux autres) des objectifs trop élevés par rapport à leurs capacités, ce qui les rends souvent déçus et insatisfaits
  • Elle s’impose des exigences extrêmement élevées
  • Tendance à répondre par l’hostilité et l’agressivité lors de revers (latente)
  • Les individus de Type A ne sont pas des personnalités pathologiques au sens psychopathologique
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16
Q

Comment est-ce que les types A réagissent aux situations stressantes ?

A
  • Les sujets de type A réagiraient aux situations stressantes par des affects où prédomine la colère et par des stratégies coûteuses et inefficaces (tenter à tout prix de contrôler la situation, d’être le meilleur, se fixer des objectifs trop élevé)
  • Ces efforts répétés seraient extrêmement nocifs physiologiquement.
  • Les études disponibles tendent à corroborer ces hypothèses.
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17
Q

Qu’est-ce que la personnalité type B ?

A
  • Le type B est à l’opposé du type A
  • La personnalité du type B est caractérisée par un faible besoin d’accomplissement de soi, l’absence d’agressivité et la tolérance à l’égard d’autrui (pas intolérant que d’autres sont plus performant que eux).
  • Les personnalités de type B sont plutôt patientes, décontractées et peu compétitives
  • Structure de personnalité qui rend peu probable les problèmes cardio-vasculaire
  • Sur un continuum, mixte de type AB.
18
Q

Qu’est-ce que la personnalité de type C ?

A
  • Le type C serait marqué par la difficulté de verbaliser des émotions (la colère, la peine ou l’hostilité). Réprimer les émotions, quand ça fonctionne pas.
  • Il correspondrait davantage à un sujet «faussement non-anxieux».
19
Q

Quels sont les caractéristiques de la personnalité type C ?

A
  • Façade agréable
  • Plaisante
  • Patiente
  • Non assertive
  • Coopérative
  • Introvertie
  • Obsessive
  • Passive
  • Résignée et placide
  • Soumise
  • Conformiste
  • Etc.

Cette façade agréable serait maintenue au prix d’effort constant.

20
Q

Quels sont les problématiques des type C ?

A
  • Ils seraient particulièrement sensibles à des situations de séparation et de perte
  • Ils développeraient à la fois des sentiments d’impuissance-désespoir face aux événements, mais aussi des stratégies de suppression des émotions
  • De nombreuses études montrent que les types C auraient un risque supplémentaire en matière maladies cancéreuses (lien avec immunitaire)
  • Infection, rhumatisme, allergies, troubles cutanés.
21
Q

Qu’est-ce que la personnalité de type D ?

A
  • Le type D, type de personnalité inhibent leur expressivité émotionnelle de façon systématique (affectivité négative)
  • Elles se caractérisent aussi par l’inhibition sociale qui en découle (introversion sociale)

Semble un facteur de pronostic défavorable pour les patients :

  • Dépression
  • Risque cardio-vasculaire : (mortalité passant de 7% à 23%)
  • En meurt beaucoup plus
22
Q

Quel est l’origine de la théorie du lieu de contrôle ?

A
  • Appartient en premier lieu à la psychologie clinique
  • Plus particulièrement à l’école cognitivo-comportementale
  • Un trait relativement stable à travers les situations. Il y a aussi quand même une notion de trait malléable, moins que d’autres ressources.
  • Également à l’origine de la théorie de l’apprentissage social

Rotter en 1954 se demande pourquoi les renforcements positifs, tels que les récompenses et les félicitations, sont des motivations importantes chez certaines personnes et n’ont aucun effet sur d’autres ?

23
Q

Quels sont les conclusions de Rotter sur le renforcement et le lien de contrôle ?

A

Les personnes sensible au renforcement ont généralement tendance à s’attribuer les causes ou le contrôle des évènements.

On dira de ces personnes qu’elles ont un lieu de contrôle plutôt interne (LCI).

À l’opposé, les personnes insensibles aux renforcements ont tendance à attribuer la cause et le contrôle de ce qui leur arrive à des facteurs extérieur à eux-mêmes, comme la chance ou le destin. Ces individus ont un lieu de contrôle qui est plutôt externe -

La personne mets plus d’effort puisque de mettre des efforts a de l’influence. Le renforcement fonctionne puisque la personne pense réellement que ses actions ont des conséquences.

24
Q

Qu’est-ce que le lieu de contrôle ?

A

Est un sentiment caractéristique diffèrent chez chacun et relatif à la croyance irrationnelle de maîtriser ou non son existence.

Une croyance généralisée de l’individu quant au rôle de sa conduite sur le cours des évènements.

25
Q

Que veut dire d’avoir un lieu de contrôle interne ?

A
  • Croire que les événements qui surviennent dépendent de nous (de nos comportements, nos habiletés, nos efforts)
  • Incite à mettre plus d’effort pour améliorer la situation, ce qui fait que l’on ressent moins de stress.
26
Q

Que veut dire d’avoir un lieu de contrôle externe ?

A
  • Croire que les événements qui surviennent dépendent d’agents extérieurs (les autres individus, le hasard)
  • Percevoir la situation comme incontrôlable augmente le stress

Il s’agit souvent de catégories de situations indépendantes d’une situation précise.

27
Q

À quoi sert l’attribution causale ?

A

Attribution causale importante, permet de se préparer pour la prochaine fois. Le lien de contrôle interne va vouloir changer quelque chose. L’attribution causale renforce le LOC.

En lien avec le LOC quand un sujet voit une situation n’étant pas totalement déterminé par lui, c’est alors perçu comme le résultat de la chance, du hasard, du destin….

  • LOC = à priori… AC = à postériori
  • Psychologie sociale
  • Afin de mieux comprendre et prédire leur environnement, les individus tentent régulièrement d’identifier les causes responsables d’événements physiques et de comportements sociaux

L’attribution causale est un processus cognitif qui consiste à rechercher les causes pouvant expliquer l’apparition des évènements.

28
Q

Comment se fait l’attribution causale ?

A
  • Le processus d’attribution permettrait à un individu de donner encore plus de sens à une situation, pour la comprendre, l’expliquer et s’y adapter
  • Concerne essentiellement des comportements et des états émotionnels spécifiques. C’est du cas par cas, mais il y a des tendances pour les individus.
  • Les individus peuvent expliquer un comportement de deux manières : l’une dispositionnelle et l’autre situationnelle
29
Q

Quels sont les 4 biais d’attributions principaux ?

A
  1. L’erreur fondamentale d’attribution (biais de disposition) la personne plus que la situation, surtout pour du négatif. C’est lorsque nous faisons des attributions sur les actions d’une autre personne, nous risquons de trop insister sur le rôle des facteurs dispositionnels, tout en minimisant l’influence des facteurs situationnels.
  2. Le biais d’autocomplaisance est la tendance à expliquer ses réussites par des facteurs internes (ses efforts, son intelligence), mais ses échecs par des facteurs externes (son manque de chance, la difficulté de la situation).
  3. Le biais acteur ou observateur est la tendance générale à recourir à des explications internes pour expliquer les
    comportements observés chez autrui, et à recourir à des explications externes pour expliquer son propre comportement -
  4. Le biais de confirmation d’hypothèse est la tendance générale à relever tous les détails ou informations qui nous permettent de confirmer nos hypothèses plutôt que de les infirmer -
30
Q

Que dit Bandura sur l’autoefficacité ?

A

Dans la théorie de l’apprentissage social Bandura définit l’auto-efficacité comme la confiance globale en ses capacités de produire un niveau adéquat de performance

L’auto-efficacité personnelle est abordée dans une perspective cognitive comportementale.

Croyance des individus en leur capacité à mobiliser les ressources nécessaires pour maîtriser certaines situations et y réussir.

31
Q

Comment les gens évaluent-ils leur efficacité ?

A

Les individus évaluent leur efficacité sur la base de leurs expériences antérieures de succès ou d’échecs dans une activité donnée, mais aussi de l’observation des expériences d’autrui (Directe et vicariant).

32
Q

Comment distingue-t-on le Locus de contrôle et l’auto-efficacité ?

A

Le LoC renvoie plutôt à un trait de personnalité, le Auto-E fait référence à la capacité que le sujet se donne afin de faire certains comportements.

Plus malléable puisque c’est une question de ressources interne et externe.

33
Q

Comment est-ce que le sentiment d’auto-efficacité affecte le changement de comportement ?

A
  • L’auto-efficacité est un mécanisme puissant dans les processus de changement personnel influençant fortement la façon d’agir, de penser et de ressentir des personnes
  • Les gens qui se perçoivent inefficaces ont plus de difficultés à provoquer des changements dans leur environnement même si celui-ci comporte des opportunités intéressantes
  • Règle générale, les gens évitent des situations qu’ils perçoivent comme exigeant des capacités excédant les leurs alors qu’ils s’engagent dans des situations qu’ils croient pouvoir assumer ou maîtriser efficacement.

Peu d’auto-efficacité mène à plus d’évitement. Travailler avec la personne pour voir dans le passé se quelle a réussi.

34
Q

Quel est l’impact de l’auto-efficacité ?

A
  • Posséder un sentiment de contrôle sur son environnement et se fonde majoritairement sur les ressources internes de la personne et sur ses expériences antérieures.
  • L’auto-efficacité est une ressource personnelle qui protège l’individu contre les difficultés ou événements stressants de la vie en ayant une influence positive sur les comportements de coping, ce qui favoriserait un mieux-être sur le plan psychologique
  • Impact favorable sur le stress (santé et bien-être) -
35
Q

Quelles sont les 4 sources d’information permettent aux individus d’acquérir un certain degré d’efficacité personnelle pour un comportement donné ?

A
  1. L’expérience active de maîtrise est une des sources les plus influentes sur la croyance en l’efficacité personnelle car elle est fondée sur la maîtrise personnelle des tâches à effectuer.
  2. L’expérience vicariante ou l’expérience indirecte consiste en un apprentissage qui repose sur le phénomène des comparaisons sociales, c’est-à-dire sur l’observation -
  3. Persuasion verbale signifie qu’à travers des suggestions, des avertissements, des conseils et des interrogations, les participants peuvent être amenés vers la croyance qu’ils possèdent le potentiel pour effectuer avec succès le comportement
  4. Les états physiologiques et émotionnels jouent un rôle dans le sentiment d’efficacité personnelle.
36
Q

Qu’est-ce que l’impuissance apprise ?

A
  • Ressource pathogène…
  • Ou impuissance acquise ou résignation acquise
  • Seligman 1975 Learned Helplessness
  • Le concept de résignation acquise est à l’origine, par le modèle animal
  • Comportement acquis suite à des expériences d’échecs répétés, comportement se traduisant par l’abandon de tout effort pour modifier la situation.
37
Q

Quels liens peuvent-être fait avec l’impuissance apprise ?

A
  • En lien avec le locus…
  • En lien avec le contrôle perçu (incontrôlabilité)
  • Ce ne sont pas les évènements indésirables en eux‐mêmes qui créent des sentiments d’impuissance mais la perception d’une absence de contrôle sur ces évènements (interprétation).
  • Impact défavorable sur le stress (santé et bien-être).
  • “Précurseur” de la dépression.
38
Q

Qu’est-ce que le concept de capital psychologique ?

A
  • Le concept “capital psychologique” (PsyCap ou capsy : Luthans, Youssef & Avolio, 2007) tente d’expliquer comment quatre ressource clés de l’individu l’amène à adopter des comportements (organisationnels) positifs
  • S’est développé dans le champ de recherche du comportement organisationnel positif.
39
Q

Quels sont les 4 ressources psychologique du capital psychologique ?

A

L’espoir, l’optimisme, sentiment d’efficacité et résilience.

40
Q

Quel est la théorie sur l’espoir de Snyder et al. (2005) ?

A

L’espoir est vu comme une ressource psychologique (personnelle) définie en tant que «reflet de la croyance selon laquelle l’individu pense pouvoir trouver ses voies (pathways) efficaces pour atteindre ses objectifs et trouver la motivation nécessaire pour utiliser ces voies»

  • Défini comme un «un état de motivation positive qui repose sur un sentiment de réussite dérivé de manière interactive de l’agentivité (prendre le contrôle le pouvoir) et de la détermination des chemins à emprunter » .
  • Défini comme un «état émotionnel positif fondé sur une logique interactive tirée du succès » .
41
Q

Quel sont les trois composantes de l’espoir ?

A
  1. L’agentivité : un état cognitif dans lequel les individus sont capables d’établir des objectifs et des défis atteingnables dans une volonté de les réaliser avec toute leur énergie et leur détermination (goals thinking)
  2. La planification des moyens pour atteindre les buts : réfèrent aux parcours que nous prenons pour arriver au but souhaité et aux habiletés individuelles nécessaires pour y arriver. La perception qu’à un individu de ses propres capacités à trouver des voies qui le conduiront vers ces buts. (pathway thinking)
  3. Avoir la motivation suffisante pour mettre en œuvre des stratégies (agency thinking). C’est la composante motivationnelle de l’espoir.
42
Q

Quel est la différence entre l’espoir trait et état ?

A

L’espoir-trait est la ressource personnelle qui correspond à la disposition globale de l’individu à l’espoir quelle que soit à la situation.

C’est une ressource stable qui ne change pas avec le temps.

A l’opposé, l’espoir-état correspond à l’espoir que ressent la personne dans une situation donnée et qui est donc fluctuant.

Les personnes qui ont de l’espoir sont plus active pour atteindre leur but utilisent davantage des stratégies pour composer avec les difficultés.