Les principes de la communication Flashcards

1
Q

La communication peut être intentionnelle ou involontaire (V ou F)

A
  • Nous croyons seulement communiquer ce que l’on veut, alors que souvent nous communiquons sans en être conscients.
  • Même les comportements involontaires transmettent un message, comme les messages non verbaux.
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2
Q

La communication est inévitable (V ou F)

A
  • Il n’est pas nécessaire de parler pour communiquer.
  • Même un silence révèle un message.
  • Nous émettons constamment des messages par notre comportement non verbal.
  • Important: Les messages non verbaux ne sont pas toujours interprétés avec exactitude.
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3
Q

La communication est unique et irréversible (V ou F)

A
  • Unique, car la communication ne peut être jamais reproduite de façon identique.
  • Il est impossible de répéter le même évènement. On n’a jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression.
  • Irréversible, car on ne peut pas retirer ni effacer un message.
  • On peut clarifier un message en donnant des explications, mais ce qui est dit est dit.
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4
Q

Quels sont les types de communication?

A

La communication impersonnelle

La communication interpersonnelle

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5
Q

Qu’est ce que la communication impersonnelle?

A

Dialogue avec d’autres individus dans des situations d’échange d’information sans désir de développer ou d’approfondir la relation

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6
Q

Qu’est ce que la communication interpersonnelle?

A

Dialogue avec d’autres individus dans le but d’apprendre à les connaître, d’approfondir la relation afin de la maintenir.
Axé sur l’intérieur

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7
Q

Quels sont les 5 caractéristiques de la relation interpersonnelle et que veut ils signifier?

A

1- L’unicité: le développement de rôle et de règles uniques. On peut dire des injures à ses amis, mais pas à son patron. Politesse avec les personnes âgées.

2- Le caractère irremplaçable: aucune nouvelle relation ne sera tout à fait identique à une ancienne relation. Une relation amoureuse/amitié n’est jamais identique à la précédente.

3- L’interdépendance: la vie de l’autre a une influence sur la nôtre. Comme par exemple vivre les joies et les peines avec nos amis proches.

4- Le dévoilement: la quantité d’information personnelle révélée. Partager ses pensées, ses émotions, etc.

5- La compensation intrinsèque: le temps consacré à la relation est plus important que le résultat à obtenir. Le temps que l’on consacre à nos amis, à la famille et à notre amoureux est en soi une récompense.

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8
Q

La communication en petit groupe permet…

A
  • Permet d’interagir avec un petit nombre de personnes pour partager de l’information, de développer de nouvelles idées, de prendre des décisions, de résoudre des problèmes, d’offrir du soutien ou de se divertir.
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9
Q

La communication en grand groupe permet…

A
  • Permet d’informer, de divertir ou de persuader un auditoire, d’adopter certaines attitudes, valeurs, croyances qui l’amèneront à penser, à croire ou à agir d’une manière particulière.
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10
Q

la communication électronique (4)

A
  • Comprend les courriels, la messagerie instantanée, le clavardage, etc.
  • Favorise le réseautage: Facebook, Twitter, etc.
  • Ne remplace pas la communication face à face.
  • Facilite la communication pour plusieurs.
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11
Q

Les inconvénients de la communication électronique :

A

Des messages moins étoffés et plus pauvres.

  • Les messages non verbaux sont absents ce qui rend moins clair le message véhiculé.
  • Les messages sont, par conséquent plus difficiles à interpréter.
  • Il peut parfois être difficile de passer d’une communication électronique à une relation en personne.
  • La désinhibition; cette plateforme permet davantage de dévoilement, les gens ont tendance à émettre des messages sans tenir compte des conséquences.
  • Les gens ont tendance à être plus directs dans leurs critiques que s’ils étaient en présence de l’interlocuteur.
  • La permanence; les paroles s’envolent, les écrits restent. Le message peut être archivé, modifié, transféré ou encore utilisé hors de son contexte.
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12
Q

Les caractéristiques d’un communicateur compétent? (comportement)

A
  • Un large éventail de comportements; possède une variété de comportements qu’il peut adopter. (joueur, sérieux, etc.)
  • La capacité de choisir le comportement le plus approprié ; adapte ses comportements selon le contexte (environnement) de la communication, l’objectif de la communication et sa connaissance de l’interlocuteur.: Adaptation du langage
  • La capacité de mettre en pratique ses habiletés de communication
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13
Q

Les caractéristiques nécessaires au bon communicateur (8) et leur signification

A

Prise de conscience: On réalise qu’il existe une meilleure manière de communiquer.: S’améliorer en observant la communication des autres.
Maladresse: On fait des erreurs. Il faut accepter de mal paraitre pour s’améliorer
Conscience des compétences: On arrive à surmonter les erreurs et on acquiert des habiletés.
La complexité cognitive: Capacité d’un individu à envisager différents scénarios afin d’examiner une question sous tous ses angles.
L’empathie: Capacité d’un individu à se mettre à la place d’une autre personne, saisir son point de vue.
L’auto-observation: Processus qui consiste à surveiller attentivement son propre comportement et à le modifier en conséquence.
L’engagement: Le fait de s’investir dans une relation. Ne pas monopoliser la communication
Croire en sa réussite: Par-dessus tout, il faut être convaincu de sa réussite et consacrer du temps et des efforts à l’acquisition d’aptitudes à la communication. Cet apprentissage améliorera grandement notre qualité de vie et notre estime de soi.

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14
Q

Qu’est ce que le concept de soi?

A
Le concept de soi ou l’image de soi.
L’ensemble des perceptions et des croyances qu’une personne a d’elle-même:
-Ses caractéristiques physiques
-Ses états émotionnels
-Ses talents
-Ses préférences et ses aversions
-Ce que je pense de moi
Ces perceptions peuvent être réalistes ou non et correspondre ou non aux perceptions de notre entourage.
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15
Q

Qu’est ce que l’estime de soi?

A

L’appréciation personnelle des caractéristiques du concept de soi.
Elle indique dans laquelle mesure une personne s’aime et s’apprécie ou se déteste et se dénigre.
Jugement positif ou négatif qu’une personne porte sur son concept de soi.
Elle se bâtit au fil de nos réussites et de nos échecs.

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16
Q

Les 5 dimensions de l’estime de soi selon Mruk 2005

A

La compétence: Perception de notre aptitude à agir.: Dans quoi suis-je bon?
La valeur: Perception du degré d’appréciation des autres à notre égard (apprécié par ses collègues, aimé de certaines personnes).
La dimension cognitive: Perception de notre caractère et de notre personnalité (je pense avoir un bon sens de l’humour, je pense être généreux, etc.)
La dimension affective: Notre autoévaluation et les sentiments qu’elle engendre (je suis triste, en colère, heureux.): Comment je me sens par rapport a moi
La stabilité ou le changement: Notre stabilité par rapport aux difficultés et aux échecs (je m’en tire bien malgré les imprévus et les épreuves).
L’idée de qui l’on est n’est pas innée, elle s’acquiert tout au long de notre vie. Deux sources d’information se chevauchent pour développer le concept de soi:
-La conscience que l’on a de nous comme personne distincte des autres.
-Les messages envoyés de notre entourage sur la nature de notre être.

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17
Q

quels sont les stades du développement du concept de soi?

A
L'émergence du soi (0-2 ans)
La confirmation du soi (2-5 ans)
L'expension du soi (5-10 ou 12 ans) 
La réorganisation du soi (12-19 ans)
La maturation du soi (20 - 60 ans)
La permanance du soi (60 ans et plus)
18
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que le stade de l’émergence?

A
  • Ce qui domine durant cette période, c’est la distinction progressive entre ce qui fait partie de soi et ce qui est extérieur à soi.
  • Progressivement, l’enfant prend conscience que cette main ou ce pied est à lui, ce sont les premières manifestations du concept de soi chez l’enfant.
  • Au début du processus de développement d’une personne, le concept de soi est presque exclusivement corporel.
  • L’enfant est sensible aux bienfaits que lui procurent les contacts physiques avec les personnes qui prennent soin de lui.
  • L’enfant fait connaître ses besoins physiologiques et de sécurité par la communication non verbale.
  • À travers les contacts physiques dont il est l’objet, la manière dont il est pris, caressé, il reçoit déjà tout plein de messages sur lui-même. Ces messages l’informent sur sa valeur, sur l’importance qu’il a aux yeux de ses parents.
  • C’est à ce stade que se situe le début du développement de l’estime de soi.
19
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que le stade de la confirmation?

A
  • Cette période est caractérisée par des tentatives de l’enfant de confirmer l’authenticité des images qu’il a de lui-même.
  • Il utilise beaucoup les pronoms possessifs: J’ai une maison, j’ai une voiture.
  • Il est capable de reconnaître certaines capacités personnelles: Je sais compter jusqu’à 10.
  • Il se réfère à son entourage pour se définir: Je répare des voitures comme mon père.
  • L’enfant découvre l’existence des deux sexes.
20
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que l’expansion du soi?

A
  • À l’école, l’enfant apprend à connaître de nouveaux amis, de nouveaux adultes, de nouvelles tâches, de nouvelles règles, de nouvelles connaissances comme la lecture et l’écriture.
  • De nouvelles images se présentent à lui, images issues de ses interactions avec ses pairs, avec ses professeurs dans toutes sortes d’activités.
  • L’enfant acquiert à ce stade, la capacité de préciser ses goûts et ses intérêts; il apprend ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas à travers ses activités physiques et scolaires.
  • Ses interactions lui procurent des rétroactions sur ce qu’il est capable de faire, sur ce qui lui cause des difficultés, sur ce qu’il n’a pas le droit de faire, etc.
21
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que le stade de la réorganisation? (3)

A
  • Sur le plan cognitif: Les pensées ne portent plus seulement sur le concret, mais intègrent le monde des hypothèses et des possibilités.
  • Sur le plan corporel: L’adolescent se préoccupe davantage de son allure générale, se questionne sur la normalité de sa croissance.
  • La relation avec les pairs: Il se démarque de plus en plus du milieu social conventionnel que représente la famille. Il veut devenir différent, devenir lui-même. Pour y parvenir, il s’identifiera à ses amis. Il passe du statut dépendant de ses parents à celui d’adulte autonome. Il apprend à mieux se connaître, à choisir ses propres façons de faire, ses propres goûts et ses propres valeurs.
22
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que le stade de la maturation?

A
  • Cette période engendre énormément de stress: Carrière, conjoint(e), enfants, etc.
  • L’adulte fait face à plusieurs choix et décisions à prendre.
  • Ces événements peuvent mener à de sérieuses remises en question obligeant la personne à reposer la question de son identité et viennent forger le concept de soi de l’individu.
  • Ces changements ont aussi un impact sur les autres: Enfants, conjoint(e), cercle d’amis.
23
Q

Dans le dev. du concept de soi, qu’est ce que le stade de la permanence du soi?

A

Période de restructuration qui se divise en deux phases:

  • Première phase; la personne remet en question ce qui était important pour elle dans le passé, elle met alors l’accent sur ce qui est primordial au regard de sa nouvelle situation. Son identité et son estime de soi peuvent être ébranlées par le statut de retraite ou de personne âgées.
  • Deuxième phase; phase de récupération et réorganisation au cours de laquelle le concept de soi se stabilise à nouveau. Les nouvelles valeurs acquises à travers la remise en question sont ainsi intériorisées.
24
Q

Quels sont les moyens par lequel le concept de soi se développe ? ( 2- 2)

A

Le jugement réfléchi; le processus par lequel une personne développe son concept de soi à partir de la façon dont elle croit être perçue par les autres.
Le concept de soi est le résultat de messages reçus tout au long de notre vie.
Message négatif; tu ne peux rien faire de bien, tu m’énerves, va jouer ailleurs, etc.
Message positif; tu es adorable, tu es une belle et bonne personne, tu es gentille, etc.
Ces messages sont le miroir à travers lequel nous apprenons à nous connaître.

25
Q

Qu’est ce qu’une personne déterminante?

A

-Personne dont les opinions influencent particulièrement une autre personne.
-La famille forme le groupe le plus évident de personnes déterminantes.
Autres personnes pouvant jouer ce rôle:
Les stimulateurs et les détracteurs

26
Q

qu’est ce qu’un stimulateur?

A

Personne qui contribue positivement à l’image de soi par son attitude non verbale et son expression verbale. Par exemple de l’encouragement, des compliments, des sourires, des câlins, etc.

27
Q

Qu’est ce qu’un détracteur?

A

Personne qui nuit à l’image de soi par son attitude non verbale et son expression verbale. Par exemple, un ton brusque, un regard menaçant, des agressions physiques, des commentaires humiliants, etc.
Une même personne peut à la fois jouer le rôle de stimulateur et de détracteur.

28
Q

Quelle est l’importance de bien s’entourer?

A

On peut modifier son image et son estime personnelle en changeant la nature des relations que l’on fréquente. Ainsi, si l’on souhaite acquérir une estime positive de soi, il est préférable de s’entourer de gens qui nous motivent et nous encouragent à devenir la personne souhaitée. En somme, il vaut mieux s’entourer de stimulateurs que de détracteurs.

29
Q

Qu’est ce que la comparaison sociale? (5)

A

Processus par lequel une personne bâtit son image de soi en se comparant à celles qui l’entourent.

  • Permet d’évaluer son infériorité ou sa supériorité; suis-je beau ou laid, intelligent ou lent.
  • Permet de déterminer si elle est semblable ou différente des autres (ex: Un garçon qui aime jouer avec des poupées, etc.)
  • Le groupe de référence avec lequel la personne se compare joue un rôle important dans l’élaboration de sa propre image.
  • Ces comparaisons influent positivement ou négativement sur le concept de soi.
30
Q

La comparaison sociale est subjective car…

A

De l’information périmée (information sur soi qui est n’est plus valide).

  • Une rétroaction déformée(ex: Des parents trop critiques ou des enseignants maladroits).
  • L’importance accordée à la perfection et les attentes de la société (les mannequins, le perfectionnisme, les superhéros, etc.).
31
Q

Le concept de soi résiste aux changements car…

A
  • Les gens sont généralement réticents à réévaluer (à la baisse ou à la hausse) leur concept de soi.
  • Il y a aussi le conservatisme cognitif, qui consiste à la tendance humaine à privilégier l’information qui confirme son concept de soi. Fréquenter les personnes qui approuvent ce que l’on croit être.
  • Un concept de soi inexact peut nuire au développement personnel.
32
Q

Qu’est-ce que l’autoréalisation des prophéties?

A

Phénomène qui survient lorsque les attentes d’une personne à l’égard d’un évènement contribuent à créer les conditions mêmes qui provoquent cet évènement.
Nos prédictions peuvent influer sur notre comportement et celui des autres au point d’accroître la probabilité que survienne cet événement.

33
Q

Le processus d’autoréalisation des prophéties se déroulent en 4 étapes, quelles sont elles?

A

1-La personne a une attente envers elle-même ou les autres.
2-Elle se comporte en fonction de cette attente.
3-L’attente se concrétise.
4-L’attente originale est renforcée.
Exemple: Lors d’une entrevue d’embauche, si on a une bonne opinion de soi, on adopte une attitude positive, ce qui peut nous valoir le poste. Ce résultat renforcera l’autoévaluation positive.

34
Q

Qu’est ce que les prophéties auto-imposé?

A

Nos attentes influencent notre comportement: Par exemple, se préparer psychologiquement à jouer mieux qu’à l’habitude dans un sport.
L’attente d’un échec amène souvent à échouer: Je ne réussirai pas, cela ne fonctionnera pas, etc.

35
Q

Qu’est ce que les prophéties imposées?

A

Les attentes et les comportements d’une personne influencent les actions d’autres individus. Par exemple, un enseignant qui donne de l’attention, encourage et accorde plus de temps à un élève, cet élève réussira probablement plus que les autres.

36
Q

Quels sont les différents soi? (3)

A

Le soi perçu (personnel):
Le soi idéal:
Le soi présenté:

37
Q

qu’est ce que le soi percu?

A

C’est l’image qu’une personne a d’elle-même, la représentation mentale de ce qu’elle croit être.

38
Q

Qu’est ce que le soi idéal?

A

Ce qu’une personne souhaite être

39
Q

Qu’est ce que le soi présenté?

A

: La façon d’être d’une personne telle qu’elle veut être perçue par les autres. L’image publique qui consiste au rôle dans lequel une personne apparaît à quelqu’un.

40
Q

quels sont les aptitudes en communication? (6)

A

Mettre en pratique ses aptitudes à la communication:

  1. Être honnête: En exprimant honnêtement ses émotions, on encourage l’autre personne à faire de même. On montre que l’on se soucie d’elle suffisamment pour partager nos sentiments avec elle.
  2. Être tolérant: En exprimant ses émotions, on indique à l’autre que les émotions sont acceptables. Il ne faut pas censurer ses émotions ni déterminer celles que l’autre personne a le droit ou non de ressentir, mais plutôt s’intéresser à l’être entier.
  3. Être clair: Lorsqu’on partage ses émotions et ses perceptions avec quelqu’un, cela permet de les clarifier.
  4. Favoriser l’entente: L’expression des émotions constitue l’une des meilleures stratégies pour surmonter les difficultés et résoudre les conflits de manière productive.
  5. Prôner le respect: En verbalisant ce que l’on ressent, on indique à l’autre la manière dont on veut être traité. Au contraire, en gardant le silence, on encourage l’autre à persister dans un comportement que l’on désapprouve.
  6. En parlant au je, vous mettez l’accent sur vos propres sentiments. Vous empêchez l’autre personne de se sentir visée ou pointée. Une personne est plus facilement sur la défensive si on lui parle au tu.