Les Parfaits Forts Et Faibles Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une forme faible du verbe?

A

Les formes faibles sont celles ou l’accent se trouve sur les désinences.

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Q

Qu’est-ce qu’une forme forte du verbe?

A

Les formes fortes sont celles ou l’accent se trouve sur le radical.

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Q

Quelle est l’évolution des parfaits forts?

A

Au MA les formes fortes au prétérit bcp plus nombreuses (comer : irreg a de nombreux tmp + entender)
— Ce n’est que bcp plus tard (norme) q le signifiants vt essayer de s’aligner sur des paradigmes
• Le vb irreg en lat ou MA vt etre refaits sur une conj irreg du prêt faible
• Réflexion analogique pour rentrer ds le paradigme

— Ils ont d’autres irrégularités
• Leur radical va etre diff au prêterit du rad de l’inf
• Diff vocaliques (poder : pUde
• Consonantiques (saber= suPe)
• Parfois meme les deux : querer + tener (quise/ tuve)

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4
Q

Pourquoi certains verbes sont refaits de façon analogique ?

A

Certains évoluent normalement (phonétiquement) : decir. D’autres non :
• SUPE (qui d’ailleurs connait plusieurs evolut° (SOPE)
• Refaits de façon analogiques en suivant modèle d’autres verbes
Raison du choix de ses verbes (vb fondamentaux)
• Les plus utilisés
• Périphrases verbales
• De nombreux linguistes : les ressemblance que présentent ces conj (deux modeles) = manifestat° physiques des particularités sémantiques (convergentes) qui vont produire pr ces 14 vb un physisme semblable
• Vb puissantiels / fondamentaux en raison du fait qu’ils déclarent ts qqch qui se présente comme un préalable à une act°. Querer/ saber/ ser … souvent ils constituent (SABER) préalable à l’idée de lire p. Ex. Ils se posent cme des vb de caractères fondamental
— Disent l’existence/ faire/ modalité
• Et dc ce caractère va faire qu’ils ont été rassemblés p/ une morpho semblable

• Les parfaits forts.
La sémiologie de l’espagnol, actuel distingue un peti nombre de verbes accentuts sur le radical au prétérit ( issu du PERFECTUM latin), aux personnes l et 3. Ils sont aujourd’hui au nombre de l6 (sans compter les verbes en -ducir et les dérivés imponer, convenir, etc.).
Au Moyen Age, les formes toniques au radical étaient beaucoup plus nombreuses, qu’elles fussent phonétiques ou analogiques

Là comme en d’autres endroits, la langue a tendu à privilégier le modèle faible:
LEGI - leí, APERUI - abrí, DEBUI -* debí.

Aujourd’hui, les formes faibles ne se démarquent pas morphologiquement du
présent : canto/ canté, como / comí, escribo/ escribi (et non plus escripse). Au contraire,
les formes fortes conservées manifestent encore, par leur double radical, le souvenir
du PERFECTUM (est-/ estuv-, pon- pus-, etc.).
On sait que les langues romanes n’ont pas retenu l’opposition aspectuelle de
l’infectum et du perfectum (non accompli vs accompli) : l’auxiliarisation de aver (infra)
a permis une nouvelle expression de l’aspect. L’espagnol, néanmoins, a retenu du
PERFECTUM une idée d’antériorité. Au cours des siècles, il a tendu à réserver ce radical
(ressenti comme le signifiant du PERFECTUM) aux verbes qui impliquent une
antériorité mentale par rapport aux autres verbes. C’est le cas des verbes d’existence
et des verbes puissanciels:

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5
Q

Pourquoi il y a-t-il réduction du nombre des parfaits forts au Moyen Âge?

A

En espagnol, le passé simple au radical fort est donc réservé aux verbes impliquant une antériorité mentale par rapport aux autres verbes.
Depuis le Moyen Age, la réduction du nombre de ces « parfaits forts » est très
pertinente : si escripse (évolution phonétique de SCRIPSI), rise (de RISI) n’ont pas survécu, c’est qu’ils décrivent des actions et non une existence, ou un mode d’action.
On relève de même aujourd’hui une forte tendance de la langue parlée à assigner
à andar des formes faibles (andó, au lieu de anduvo), dans des emplois où le verbe
n’est pas puissanciel.
Il était normal, au contraire, que le verbe puissanciel poder gardât le radical
fort (pude) et non le faible (podió, fréquent au Moyen Age).
On décrira ainsi le refus de cinxe (CINXI), au profit de ceñi (ceñir), celui de fuxe,
au profit de huí (huir), celui de crove, au profit de creí (creer): tinxe (teñir), mise
(meter), coxe (cocer) ont ainsi disparu.

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