Les Bilans 200.2 Flashcards

1
Q

Le bilan est :

A

La phase de recueil d’informations permettant d’évaluer une situation et l’état d’une ou plusieurs victimes.

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2
Q

Le bilan est constitué de 4 phases :

A
  • Le bilan circonstanciel, permet d’apprécier la situation dans sa globalité.
  • Le bilan primaire, qui a pour but de rechercher une détresse vitale.
    Le bilan secondaire, permet de compléter et d’affiner les données des 2 précédents bilans. Il est constitué par une partie systématique et une partie spécifique.
  • La surveillance permet de suivre l’évolution de l’état de la victime.
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3
Q

Le bilan circonstanciel permet de répondre aux questions suivantes :

A
  • Que s’est il passé ?
  • Pour quelle raison avez vous appelé ?
  • Existe-t-il un danger ?
  • Les secours sont ils suffisants pour le moment ?
  • Les informations initiales en ma possession sont elles correctes ?
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4
Q

Dès leur arrivée sur les lieux, les pompiers doivent :

A
  • Analyser la scène

- Rechercher succinctement les indices

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5
Q

L’analyse de la situation permet :

A

Identifier des risques évidents ou non et permet de prendre les mesures nécessaires pour protéger la victime, les intervenants et le témoins.

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6
Q

Le dégagement d’urgence (bilan circonstanciel)

A

Il consiste en un déplacement rapide d’une victime par les sapeurs pompiers pour assurer sa sécurité ou celle des autres victimes. Cette manœuvre doit rester exceptionnelle car elle peut aggraver l’état d’une victime atteinte d’un traumatisme.

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7
Q

Sécuriser la zone d’intervention :

A

Ces mesures visent à assurer la sécurité des victimes, des témoins ou des intervenants, pour cela il est nécessaire de :

  • Porter une tenue de protection adaptée
  • Éviter la création de risques supplémentaires
  • Protéger la zone avec des moyens adapées
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8
Q

Dans les situations où il y a plus de 5 victimes visuellement graves, les pompiers doivent :

A

Appliquer les principes de base du triage

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9
Q

Les secours complémentaires :

A

Ils doivent être demandés immédiatement, pendant le bilan circonstanciel, si les moyens engagés sont insuffisants.

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10
Q

Le chef d’agrès dispose, en se rendant sur intervention d’un certain nombre d’informations telles que :

A

L’adresse de l’événement
La nature de l’événement présumée
Le nombre de victimes

Le bilan circonstanciel lui permet de corriger ces informations et de les compléter

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11
Q

Déterminer la nature de l’intervention :

A
  • Analyser la scène

- Rechercher et analyser tous les indices permettant de préciser la nature et les circonstances de l’événement.

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12
Q

Identifier les risques et assurer la sécurité de la victime et de l’intervention :

A
  • Identifier les risques prévisibles
  • Assurer la sécurité de la victime
  • Sécuriser la zone d’intervention
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13
Q

Le bilan primaire :

A

Il a pour but de rechercher une détresse vitale qui menace immédiatement la vie de la victime et qui nécessite la mise en œuvre rapide de gestes de secours. Il s’agit d’un zoom sur la victime elle-même.

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14
Q

Le bilan primaire débute par :

A

L’observation rapide de la victime.

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15
Q

Le bilan primaire doit être :

A

Ordonné, rigoureux et répété dès lors qu’un changement de l’état de la victime est constaté lors de la surveillance, afin de détecter la survenue d’une détresse vitale initialement absente.

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16
Q

Qui effectue le bilan primaire en équipe ?

A

Le chef d’agrès

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17
Q

Quatre étapes chronologiques et indispensables du bilan primaire ?

A

1 - Sauvegarde immédiate (1ère mesures pour garder une victime en vie)
2 - Conscience
3- Respiration
4- Circulation

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18
Q

L’appréciation de la conscience, de la respiration et de la circulation entraine :

A
  • Des gestes de sauvegardes spécifiques (insufflation, RCP, position d’attente et mise sous O2)
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19
Q

À l’issue de l’évaluation rapide de la conscience, de la respiration et de la circulation…

A

Le chef d’agrès peut demander en urgence l’envoi immédiat d’un moyen médicalisé.

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20
Q

L’approche et un examen rapide de la victime permettent de noter rapidement :

A
  • Son apparence et le contexte dans lequel elle se trouve
  • L’existence d’une détresse vitale évidente (OBVA, hémorragie, …)
  • Une suspicion de traumatisme du rachis dans le cas d’une victime blessée —> maintien tête immédiat et systématique
  • Sa position (retournement, PLS,…)
  • Son âge approximatif et son sexe
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21
Q

Lors du bilan primaire, le maintient tête mis en place n’est relâché que :

A
  • Après une immobilisation complète de la victime
  • Si des manœuvres de réanimation doivent être entreprises
  • Si on a rapidement la certitude qu’il n’y a eu ni chute ni traumatisme crânien.
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22
Q

Comment est réalisée l’appréciation de la conscience ?

A

En quelques secondes en posant à la victime des questions simples et en lui demandant d’exécuter des ordres simples adaptés à son état.

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23
Q

Si la victime ne répond pas et ne réagit pas :

A

Elle est inconsciente. Dans ce cas le matériel de réanimation doit être immédiatement préparé et mis en œuvre.

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24
Q

Si la victime répond ou réagit :

A

Elle est consciente et les réponses qu’elle va donner permettront d’identifier sa plainte principale.

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25
Q

Si la victime est inconsciente :

A

Assurer la libération des voies aériennes puis recherche de sa respiration sur 10 secondes au maximum.

26
Q

Si la victime est consciente :

A

Elle respire. Néanmoins, une appréciation visuelle et auditive de sa respiration permet de mettre en évidence une éventuelle détresse.

27
Q

Si la victime est inconsciente et ne respire pas :

A

Un recherche du pouls carotidien sur 10 secondes au maximum est effectuée.

28
Q

Le bilan primaire est différent selon l’état de la victime, on peut distinguer les 5 cas suivants :

A
  • La victime est consciente
  • La victime est inconsciente, respire et ne présente pas de signe de traumatisme
  • La victime est inconsciente, respire et présente des signes de traumatisme
  • La victime est inconsciente et ne respire pas
  • La victime est inconsciente ne respire pas et ne présente pas de signe de circulation
29
Q

Bilan primaire de la victime consciente :

A

Étape 1 : sauvegarde immédiate

Étape 2 : conscience :

  • Apprécier la conscience
  • Maintenir la victime dans sa position
  • Identifier la plainte principale

Étape 3 : respiration :

  • Faciliter la respiration
  • Étudier la respiration
  • Mettre la victime assise si détresse respiratoire
  • O2 si nécéssaire

Étape 4 : circulation :

  • Étudier la circulation
  • Allonger immédiatement si détresse circulatoire
  • O2 si nécessaire (détresse circulatoire -> O2 systématique)
30
Q

Lors du bilan primaire, l’appréciation de la respiration et de la circulation ….

A

Ne consiste pas à les évaluer précisément mais uniquement à rechercher l’absence de la respiration ou de la circulation, ou les signes d’une détresse évidente qui sont souvent visibles lors de l’interrogatoire de la victime.

31
Q

Une victime inconsciente est :

A

Une victime qui est immobile, qui ne répond pas aux questions et ne réagit pas à un ordre simple

32
Q

Bilan primaire d’une victime inconsciente qui respire sans notion de traumatisme

A

Étape 1 : sauvegarde immédiate

Étape 2 : conscience :
- Apprécier la conscience

Étape 3 : respiration

  • Retourner la victime si elle est sur le ventre
  • libérer les voies aériennes
  • Apprécier la respiration sur 10 secondes
  • Placer la victime en PLS
  • O2
  • Demander un renfort médicalisé en précisant le contexte
  • Surveiller en permanence et attentivement la respiration de la victime
  • désencombrer les voies aériennes si besoins (mise en PLS prioritaire)
  • protection contre froid chaleur intempéries

Étape 4 : circulation

  • Appréciation de la circulation si possible simultanément à celle de la respiration
  • Après la PLS l’appréciation de la circulation est complétée par la recherche du pouls radial.
33
Q

Bilan primaire victime inconsciente qui respire avec notion de traumatisme :

A

Étape 1 : Sauvegarde immédiate :

  • Dans le doute, toute victime inconsciente est considérée comme traumatisée.
  • Maintient tête

Étape 2 : Conscience
- Apprécier la conscience

Étape 3 : Respiration :

  • Retournement à 2 de la victime si elle est sur le ventre
  • Retrait du casque
  • libération des voies aériennes
  • Apprécier la respiration sur 10 secondes
  • Placer un collier cervical
  • Effectuer une palpation sommaire : permet de détecter un traumatisme évident, se fait en simultané de la pose du collier par un pompier disponible et ne doit pas retarder la mise en PLS, elle s’effectue de la tête aux pieds.
  • Placer la victime en PLS à 2
  • O2
  • Demander un renfort médical
  • Surveiller la respiration de la victime
  • Désencombrer les voies aériennes si nécessaire
  • Protection contre le froid, la chaleur, les intempéries.

Étapes 4 : Circulation :
- L’appréciation de la circulation se fait si possible en simultané de la respiration par la prise de pouls carotidien.

34
Q

Bilan primaire de la victime en arrêt respiratoire :

A

Étape 1 : Sauvegarde immédiate

Étape 2 : Conscience
- Apprécier la conscience

Étape 3 : Respiration

  • Retournement si sur le ventre
  • Retrait du casque si présent
  • Libération des voies aériennes
  • Apprécier la respiration sur 10 secondes (pas de respiration)
  • Pratiquer 5 insufflations s’il s’agit d’un nouveau-né, d’un nourrisson, d’un enfant ou d’un noyé

Étape 4 : Circulation

  • Appréciation si possible en simultané avec la respiration par la prise de pouls carotidien —> s’il existe un doute la victime doit être considérée en arrêt cardio-respiratoire.
  • Débuter immédiatement une ventilation artificielle
  • Demander un renfort médicalisé
35
Q

Cas du sapeur pompier isolé en présence d’une victime en arrêt respiratoire :

A
  • Retournement d’urgence seul si nécessaire
  • Retrait du casque seul
  • Alerte immédiate dès la découverte du seul arrêt respiratoire sauf dans les cas particuliers du noyé, du nouveau-né, du nourrisson, de l’enfant pour lesquels 10 insufflations sont pratiquées au préalable.
36
Q

Bilan primaire de la victime en arrêt cardiaque (sauf nouveau-né à la naissance)

A

Étape 1 : sauvegarde immédiate
Étape 2 : conscience :
- Apprécier la conscience : la victime ne répond pas et ne réagit pas

Étape 3 : respiration :

  • Retourner la victime si elle est sur le ventre
  • Retrait du casque
  • Libération des voies aériennes
  • Apprécier la respiration sur 10 sec max —> arrêt respiratoire
  • Pratiquer 5 insufflations s’il s’agit d’un nouveau-né, d’un nourrisson, d’un enfant, d’un noyé

Étape 4 : circulation :

  • Appréciation sur 10 sec du pouls carotidien simultanément à l’appréciation de la respiration —> absence de pouls
  • Débuter une RCP
  • Demander un renfort médicalisé
  • Demander un engin de prompt secours
37
Q

ACR en sapeur pompier isolé :

A
  • Retournement d’urgence seul si nécessaire
  • Retrait du casque seul
  • Alerte immédiate dès la découverte de l’ACR sauf dans les cas particuliers du noyé, de l’enfant, du nouveau-né, nourrisson pour lesquels 5 insufflations et 5 cycles de RCP seront pratiqués au préalable.
38
Q

Le bilan secondaire est constitué de 2 parties :

A

Une partie systématique

Une ou plusieurs parties spécifiques

39
Q

Le bilan secondaire sert à :

A

Affiner et compléter les données recueillies lors des bilans circonstanciel et primaire

40
Q

Le bilan secondaire est effectué :

A
  • Pour permettre au médecin coordinateur d’évaluer l’état de la victime, et si possible, de poser un diagnostic lorsque les bilans circonstanciel et primaire ne permettent pas de le faire.
  • En attendant un moyen médicalisé, une fois les geste de secours d’urgence réalisés, afin d’affiner et de compléter les donnés recueillies au cours des bilans circonstanciel et primaire.
41
Q

Le bilan secondaire permet :

A
  • Une prise en charge adaptée de la victime

- La préparation d’une éventuelle médicalisation des secours

42
Q

La partie systématique du bilan secondaire doit comporter la recherche des éléments suivants :

A
  • Interrogatoire de la victime (PQRST, MHTA)
  • Éléments neurologiques (score de Glasgow, PCI PCS)
  • Éléments respiratoires (FAR, SpO2, présence de dyspnée)
  • Éléments circulatoires (FAR, tension d’un côté)
  • Éléments communs à toute les détresses (pâleurs, sueurs)
  • Éléments lésionnels
  • Éléments divers (température)
43
Q

La partie spécifique du bilan secondaire a pour but :

A

De compléter les signes généraux de la détresse puis de rechercher les signes particuliers des différentes pathologies ou atteintes lésionnelles envisagées lors de l’examen de la victime. C’est le rôle du chef d’agrès.

44
Q

La surveillance permet :

A

De suivre l’évolution de l’état de la victime. Le chef d’agrès en est responsable.

45
Q

La surveillance doit être :

A

Permanente

46
Q

Le sapeur pompier doit durant la surveillance :

A
  • Parler à la victime, en lui expliquant ce qui se passe pour la réconforter et évaluer l’évolution de ses plaintes et les signes constatés lors des bilans
  • Apprécier son état de conscience
  • Contrôler la qualité de la fonction respiratoire (FR, dyspnée, SpO2)
  • Contrôler la qualité de la fonction circulatoire (FC, PA toutes les 5 à 10 min)
  • Contrôler l’efficacité des pansements (reprise hémorragie), des immobilisations, l’absence de complications vasculo-nerveuse aux niveaux des extrémités
  • Surveiller l’évolution de la douleur
  • Contrôler l’efficacité de la protection thermique (contact cutané ou thermolecteur)
47
Q

La transmission du bilan : il s’agit d’un échange verbal entre le chef d’agrès et la coordination médicale qui à pour but de :

A
  • Apporter un avis médical
  • Définir les modalités de la prise en charge de la victime
  • Disposer d’un conseil technique
  • D’effectuer un contrôle de l’activité
48
Q

La victime est laissée sur place si :

A
  • Son état ne nécessite pas de soins particuliers
  • Un médecin généraliste ou la police est dépêché sur place
  • Elle refuse son transport en milieu hospitalier contre l’avis du médecin coordinateur
  • Elle est décédée
49
Q

La victime est hospitalisée :

A
  • Avec un moyen non médicalisé BSPP ou associatif
  • Avec une ambulance privée
  • Avec un moyen médicalisé
  • Contre son gré
  • Exceptionnellement par un moyen personnel
50
Q

Les chefs d’agrès, ne possédant pas les connaissances médicales permettant un diagnostic et un pronostic, ne doivent pas….

A

Proposer à la victime de rester sur place ou l’évacuation par une ambulance privée avant le contact à la coordination médicale.

51
Q

À tout moment, le chef d’agrès peut exiger, s’il le juge nécessaire d’être mis directement en contact avec …

A

Le médecin coordinateur

52
Q

Il existe 2 types de bilan (régulation) :

A
  • Les bilans normaux (non-urgents)

- Les bilans urgents

53
Q

Cas de non-contact à la coordination médicale :

A
  • Il ne s’agit pas d’une victime
  • Différent familiale sans notion de blessé ni d’agitation incontrôlable
  • Absence de personnes impliquées
  • Brancardage
  • Renfort médicalisé présent sur les lieux
  • Contusions, plaies simples et brûlures simples
  • Entorses (EVS < 4 ou EN < 7)
  • Fracture simple (EVS < 4 ou EN <7)
  • Relevage de personne impotente
  • Décès certain
  • Crise épileptique unique chez un épileptique connu
  • Crise de spasmophilie ou tétanie chez un patient ayant ce type d’antécédents
  • Ivresse simple marche possible
54
Q

La procédure de non-contact est soumise à 3 conditions :

A
  • Réalisation impérative d’un bilan complet
  • Réalisation des gestes de secours adaptés
  • Acceptation par la victime de son transport en milieu hospitalier
55
Q

Victime laissé sur place =

A

Contact à la coordination médicale, hormis décès certain

56
Q

2 modes de transmission de bilan :

A
  • Téléphone

- Éventuellement par radio

57
Q

Transmission téléphonique via :

A
  • Téléphone de service dans les engins : 112 urgent ; 18 non urgent
  • Téléphone public ou privé : 01-58-57-51-00 urgent ; 01-58-57-51-02 non urgent
  • Poste interne RATP via 68-118
58
Q

La transmission radio est réservé au cas d’urgence ou de défaillance téléphonique, selon 3 procédures :

A
  • Normale
  • Urgente
  • Pour une demande d’une ou plusieurs ambulances de réanimation.
59
Q

Pour le médecin coordinateur, le chef d’agrès sur intervention est :

A

Ses yeux et ses oreilles

60
Q

Les différents items du bilan secondaire doivent être :

A

Recherchés, hiérarchisés et transmis en fonction du trouble ou de la détresse principale.

61
Q

Cas où les quines VSAV peuvent aider à la prise de médicaments :

A
  • Convulsions hyperthermiques de l’enfant
  • Asthme
  • Douleurs thoraciques coronariennes et/ou insuffisance cardiaque
  • Allergies
  • Diabète
  • Épilepsie