Le trouble de stress post-traumatique Flashcards
bien évaluer les symptômes et les facteurs associés (6)
- Survol de l’événement traumatique
- Symptômes qui ont suivi
- Facteurs prédisposants
- Facteurs de maintien
- Comorbidité
- Attentes
lors du survol de l’événement traumatique, il est préférable de poser des questions ouvertes ou fermées
ouvertes
pourquoi il n’est pas suggérer de poser des questions fermées lors du survol de l’événement traumatique
- pcq si on pose des questions fermé ressemble à interogatoire de police, climat plus chaleureux
- pas suggérer des réponse à la personne, pas des oui et des non, question qui permettent le développement
est ce que le psychologue chercher à avoir une idée précise de l’événement traumatique dès la première rencontre
par rapport à évènement ne cherche pas a avoir une idée précise de ce qui c’est passé
demande la date de l’événement
survol léger de évènement
quels sont des exemples de facteurs prédisposants
avoir déjà vécu un évènement traumatique ou avoir des facteurs stressants avant l’événement
explique moi la métaphore du chêne et du roseaux
quel entre les deux est plus à risque d’avoir un ptsd
chêne vs roseaux
chêne : tient droit, personne très solide, offre souvent de l’aide aux autres
roseaux : plis facilement, vie davantage d’émotions à l’extérieur, émotions varie selon les obstacles défis à surmonter, se retrouve souvent la tête vers le bas
lors d’un événement traumatique, chêne sont plus à risque. roseaux pas la première fois qu’il a la tête en bas, on connait cette position , protège, plus facile de s’en sortir
qu’est ce qui nuit à la personne et qui peut être un facteur de maintient
- avoir à rester dans quelque chose par rapport à cet événement la ( aller souvent au poste de police, avoir des conséquences : perdre notre emploi, doit se battre)
- séquelle physique de l’événement
comorbidité de ptsd
chez la moitié des hommes, chance de développer une dépendance à une substance
Faire de la psychoéducation sur le TSPT (5)
- Les symptômes sont souvent des réactions normales à un événement
qui, lui, ne l’est pas. - Il est facile, a posteriori, de juger ses réactions.
- Les réactions dissociatives ne sont pas des signes de folie.
- Il se peut que l’entourage de la victime ait des préjugés.
- La démarche à entreprendre se fera en équipe
Il se peut que l’entourage de la victime ait des préjugés, pourquoi ?
préserver intact l’idée que nous ca nous arrivera pas , facon de distinguer la personne de nous, sophie ca lui est arrivé pcq elle est sortie tard a bu et moi je fais pas ca, ouff je suis rassurer
Travailler sur les affects reliés au TSPT
Le processus de gestion émotionnelle facilitera :(4)
- le ressenti des émotions
- l’identification et l’appropriation des émotions
- l’acceptation des émotions
- l’expression des émotions
qu’est ce qui est important par rapport aux émotions lorsqu’on travaille sur un ptsd
il faut que la victime ressente des émotions car autrement l’exposition pourra la mener à des épisodes dissociatif
qu’est ce que le psychologue peut nommer par rapport à son client lorsqu’il raconte son événement traumatisant
- nommer les observations que la personne fait dans son non verbale quand il parle de la situation, pas à toutes les fois 1x de temps en temps
- je vous demanderais de vous questionner sur si vous ressentez quelque chose dans votre corps
j’ai le droit de me sentir comme ça , quelle composante des affects
l’acceptation des émotions
je suis triste en ce moment parce que je ressent de l’anxiété , quel composante des affect
l’identification et l’appropriation des émotions
je dis comment je me sens à mon entourage, s’isoler si j’en ai besoin, écriture, quel composante des affect
l’expression des émotions
Travailler sur les pensées associées au TSPT (4)
- Identification des pensées
- Identification des distorsions cognitives
- Restructuration cognitive
- Exercice de la tarte d’attribution
exercice de la tarte d’attribution, explique
lister au départ (psy) ce qui aurait pu faire en sorte que cet événement est arrivé
faire ensuite un pourcentage à chaque aspect
but : personne ne se blâme pu de manière excessive et vision réaliste
Faciliter la détente et l’apaisement (3)
- Relaxation musculaire
- Respiration diaphragmatique
- Autres
- Cibler la diminution de l’évitement ( 3)
- L’évitement renforce l’anxiété
- L’anxiété est désagréable, mais pas dangereuse
- Exposition in vivo
qu’est ce qu’on prépare par rapport à l’exposition in vivo
Préparation d’une hiérarchie d’exposition
l’exposition in vivo est aussi utilisé dans quel trouble
aussi pour trouble agoraphobique (tpa) personne qui évite des endroits
Préparation d’une hiérarchie d’exposition, comment la faire
liste les endroits, et pour chaque endroit éviter, on va prendre l’endroit éviter et décortiquer en 10 étapes de la moins difficile à la plus difficile
comment décortiquer en 10 étapes
déterminer la plus facile, changer un élément à la fois, tellement de combinaison possible que ca va permet de construire les 10 étapes, à la fin c’est la situation la plus difficle
lors de la première exposition à l’événement, le psychologue est présent pour s’assurer de quoi
la première fois, le psychologue y va pour être sur qu’elle ne fait pas d’évitement cognitif
combien de fois la personne doit s’exposer à l’événement stressant
4-5 x par semaine
il y a deux conditions pour que le patient puisse quitter les lieux, lesquelles
soit être exposé 45 minutes ou que son anxiété diminue de moitié , flexible
lors de l’élaboration des 10 étapes, qu’est ce qui est important que le psychologue demande à son patient car celui-ci dissimule souvent cet élément
craint attaque de panique, veut garder des objets qui peuvent les sécurités, ne le dit alors pas au psychologue pour ne pas s’en départir. Psychologue doit demander directement au patient pour identifier dès le début ces objets
quand est-ce que le patient peut passé à une autre étape
fait une étape jusqu’à temps qu’il ne ressent pu d’anxiété, après va à la prochaine étape
comment savoir par quels endroits commencé
qu’est ce qui motive la personne ou qu’est ce qui lui nuit plus , pour choisir le premier endroit dans lequel on travail
comment favoriser la digestion émotionnelle du traumatisme
faire une exposition en imagination en préparant un enregistrement audio
accompgner dans le visionnement dans son film d’horreur
demander a la personne de nous raconter ce qui c’est passé, on va reprendre plusieurs fois ce qui c’est passé
d’une scéance à l’autre, on va augmenter la difficulté en posant à la personne des questions précises sur ce qui c’est passé, ce qu’il entend sur ce qu’il ressent
a un moment , la personne pourra nous raconter avec le plus de détail au je au temps présent avec tous ses sens, pourra alors vivre comme si on était présent lors de la scène
quand ca va être très calire on va l’enregister, et la personne va devoir écouter la scéance de 15 à 30 minutes en boucle son fil d’horreur à chaque jour
quelle sont les différentes expositions à faire face durant la thérapie
- Exposition aux sensations
- Exposition in vivo
- Exposition cognitive
- Exposition en imagination
On peut envisager la fin du traitement si (4)
- les symptômes ont significativement diminué et si le diagnostic de
TSPT ne peut plus être posé - la victime peut parler de l’événement traumatique sans se sentir
submergée par sa détresse - les comportements d’évitement n’interfèrent plus avec le
fonctionnement quotidien de la victime - les distorsions cognitives les plus significatives ont été modifiées
Existe-t-il des interventions particulières pour diminuer la fréquence et l’intensité des cauchemars lier au ptsd
oui
chercheurs qui on formé un groupe avec des personnes qui font des cauchemars
demandait d’écrire leurs cauchemars et de remplacer la fin en quelque chose de positif, et a la suite de la semaine doit le lire pendant une période de 15-20 minutes
peu importe ce que les gens changeait dans leur cauchemar ( car ils avaient mal compris la consigne), cela diminuait la fréquence et l’intensité