Langage écrit Flashcards

1
Q

V ou F: Pour les enfants sans déficits majeurs, le développement du langage écrit sera majoritairement déterminé par les habiletés visuelles.

A

F: Pour les enfants sans déficits majeurs, le développement du langage écrit sera majoritairement déterminé par les habiletés phonologiques.

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2
Q

V ou F: La dyslexie est un trouble du langage écrit découlant de problèmes d’inversion visuelle des lettres sur la page.

A

La dyslexie est un trouble du langage écrit généralement secondaire à un déficit de la composante phonologique.

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3
Q

V ou F: Les habiletés en conscience phonologique permettent de prédire les habiletés en lecture et en mathématiques.

A

F: Les habiletés en conscience phonologique permettent de prédire seulement les habiletés de lecture. La conscience phonologique est donc spécifique aux habiletés en langage écrit.

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4
Q

V ou F: Des écarts dans l’efficacité à décoder le langage écrit (lire des mots) existent entre les enfants qui apprennent différentes langues (p.ex. anglais, allemand, français, portugais), et ces écarts bien que petits, persistent tout au long de la vie.

A

Des écarts dans l’efficacité à décoder le langage écrit (lire des mots) existent entre les enfants qui apprennent différentes langues (p.ex. anglais, allemand, français, portugais), mais ces écarts tendent à disparaître autour de l’âge de 10 ans.

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5
Q

Qu’est-ce que la conscience phonologique? Étayez votre réponse en donnant un exemple avec le mot « sapin ».

A

La conscience phonologique est l’habileté à comprendre, détecter et à manipuler les composantes sonores qui forment un mot. Ces composantes sonores peuvent être de différents niveaux : les syllabes (SA / PIN = deux syllabes), les rimes (sapIN rime avec mAIN) et les phonèmes, qui sont les plus petites unités de sens d’un mot (/s/apin est différent de /l/apin par seulement le premier phonème). La conscience phonologique est dont l’habileté à manipuler les syllabes et les phonèmes des mots.

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6
Q

Résumez brièvement la séquence générale du développement de la conscience phonologique.

A

0- L’enfant développe une conscience du mot (word-level) (prérequis qui ne fait pas précisément partie de la conscience phonologique)

1- L’enfant développe une conscience pour des unités phonologiques plus larges telles que les syllabes.

2- L’enfant développe une conscience de la division de certaines syllabes en début/rime (ex. p-arc, tr-ou).

3- L’enfant développe une conscience des phonèmes (ex. t-r-ou, p-a-r-c).

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7
Q

La conscience phonologique touche trois niveaux linguistiques (trois unités), la syllabe, la rime et le phonème. Donnez un exemple de ce qui pourrait être demandé à un enfant pour mesurer ses habiletés en conscience phonologique pour chacun de ces trois niveaux (plusieurs réponses possibles…!).

A
  1. Syllabe: Demander à un enfant combien de syllabes il y a dans un mot (p.ex. taper des mains en même temps), d’enlever la première syllabe d’un mot, de dire si une syllabe se trouve dans un mot (entends-tu “man” dans “manteau”?)
  2. Rime: Demander à des enfants de déterminer si deux mots rimes, ou de trouver le mot qui ne rime pas avec les autres parmi un choix, ou de trouver un mot qui rime avec un autre mot donné…
  3. Phonème: Demander à un enfant de trouver et corriger des erreurs dans la production des mots (une sarte au lieu d’une tarte)/demander combien de sons il y a dans un mot (chat = ch + a)/combiner des sons ensemble et dire le résultats (ch + a = ?) / demander si deux mots commencent par le même son ? / trouver un mot qui commence/termine par le même son qu’un autre…
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8
Q

Expliquez brièvement pourquoi la conscience phonologique est important pour l’apprentissage du langage écrit (discutez tant de l’identification de mot que de l’orthographe).

A

La conscience phonologique permet à l’enfant de détecter et de manipuler les sons des mots. La conscience phonologique, en interaction avec la transparence orthographique, permettra à l’enfant de décoder les mots « sons par sons », en lisant une lettre à la fois. Une profusion de littérature scientifique montre les liens entre les habiletés en conscience phonologique et celles en identification de mots chez les jeunes enfants et chez les adultes. Les enfants qui sont meilleurs en conscience phonologique auraient de meilleures représentations mentales des sons/mots, ce qui leur confère une base solide pour comprendre la correpondance entre une représentation phonologique et orthographique, et ainsi effectuer des opérations comme transformation un graphème (lettre) en phonème (son), et vice-versa (correspondance grapho-phonémique/phono-graphémique). En langage écrit surtout, les liens sont plus évidents. Il est possible de lire un mot de façon globale en un coup d’oeil (processus appellé «adressage»), l’écriture d’un mot se fait de façon séquentielle (son par son, ou groupe de sons par groupe de sons).

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9
Q

Identifiez deux des défis auxquels font face les enfants francophones pour le développement de la conscience phonologique? Voici quelques mots afin d’orienter votre réponse.

A

1- Il est plus difficile de développer une conscience phonologique lorsque la langue inclut des structures syllabiques plus complexes que les C-V.

2- Il est plus difficile de développer une conscience phonologique lorsque la langue écrite possède des ambiguïtés telles qu’un même phonème écrit de plusieurs manières. (ex. ph VS f)

3- Il est plus difficile de développer une conscience phonologique lorsque la langue écrite possède des ambiguïtés telles que plusieurs prononciations pour une même lettre (ex. x).

(N.B. Les réponses 2 et 3 sont toutes deux des « ambiguïtés de l’orthographe ».)

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10
Q

Le langage écrit n’est pas une copie exacte de ce qui est dit à l’oral. En quoi le langage écrit diffère du langage oral? Nommez un élément qui distinguent le langage écrit du langage oral.

A
  • Les constructions syntaxiques sont plus complexes à l’écrit (les phrases sont plus linéaires à l’oral).
  • Le vocabulaire est plus soutenu/le registre est de plus haut niveau à l’écrit (vocabulaire plus riche, abstrait, complexe)
  • Le langage écrit est souvent décontextualisé/on ne peut réparer des bris de communication avec un texte contrairement à lorsqu’on parle à un interlocuteur, qu’on peut questionner. À l’écrit, aucune demande de clarification n’est possible.
  • Le langage écrit ne se développe pas aussi implicitement que le langage oral, il nécessite un enseignement explicite. Le simple contact avec du matériel écrit ne permettra pas à l’enfant d’apprendre le langage écrit.
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11
Q

Expliquez comment le lexique contribue au développement du langage écrit (plusieurs réponses possibles)

A

Le lexique influence la conscience phonologique: Plus l’enfant en vient à intégrer de nouveaux mots à son lexique, plus les petites distinctions entre les sons (phonèmes) d’un mot deviennent importantes, car elles permettent d’attribuer un sens complètement différent à deux mots (p.ex. moto, auto, photo). Ainsi, les habiletés de manipulation des constituants des mots (sons, morphèmes), nécessaires à la lecture de mot (décodage), se raffines avec la croissance du vocabulaire.

Le lexique influence la rapidité du décodage/identification des mots et de leur sens: La capacité à reconnaître, identifier et comprendre les mots écrit repose sur un lexique suffisamment riche et adéquatement structuré, mais également sur la capacité à accéder à des items dans le lexique (accès lexical - accès aux mots). Cela fait donc référence non seulement à la connaissance d’un mot, mais à la rapidité avec laquelle l’enfant parvient à accéder à sa représentation d’un mot et à son sens après l’avoir lu (ceci influence grandement l’efficacité en lecture). De façon générale, le vocabulaire/lexique d’un enfant influence largement son efficacité à décoder les mots. Parallèlement, c’est par la lecture que l’enfant acquiert du nouveau vocabulaire. Il y a donc d’abord une réciprocité entre vocabulaire et développement de la lecture.

Le lexique influence la compréhension de texte: Au niveau de la compréhension écrite (compréhension en lecture/de texte), les phrases écrites sont également plus denses au plan lexical qu’elles ne le sont à l’oral. Les types et catégories de mots utilisés sont différents (plus de mots de contenu). La facilité à accéder au sens des mots influence aussi la compréhension écrite.

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12
Q

Qu’est-ce que la métalinguistique (définir et donner un exemple d’un comportement métalinguistique).

A

La métalinguistique est un acte de métacognition (connaissance d’un individu à propos de ses propres processsus cognitifs). La métalinguistique réfère plus spécifiquement à l’habileté à réfléchir sur le langage, notamment l’habileté à manipuler les sons et le sens des mots, des phrases. La métalinguistique se divise elle même en plusieurs sous-catégories, comme elle fait référence à la conscience des différentes composantes du langage (phonologie, morphologie, syntaxe, lexique, sémantique, pragmatique, discours) et à la manipulation volontaire des unités qu’elles comportent. Il s’agit donc d’une réflexion consciente et volontaire sur les différents aspects du langage (conscience phonologique, conscience morphologique, conscience pragmatique, etc). On peut réfléchir sur le langage comme il s’agit d’un système arbitraire (les mots sont distincts des réalités qu’ils représentent) et systématisé (il comprend des règles, des conventions, sur lesquelles on peut réfléchir).

Les exemples de comportements métalinguistiques sont infinis…il pourrait s’agir d’un enfant qui se reprend/corrige en parlant lorsqu’il fait une erreur grammaticale dans une phrase, demande la définition d’un mot («Ça veut dire quoi le mot X ?»), qui trouve un synonyme à un mot, etc…

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13
Q

En quoi est-ce que la métalinguistique contribue au développement du langage écrit ?

A

La métalinguistique est essentielle au développement du langage écrit. Le langage l’écrit constitue un autre code langagier qui permet de représenter le langage oral. Ce code est arbitraire et systématisé lui aussi, et répond à des conventions qu’il faut maîtriser (et sur lesquelles il faut réfléchir, observer, des quelles il faut prendre conscience) pour devenir un lecture-scripteur compétent. Il faut être capable de se demander si l’on respecte les règles de conjugaison/grammaire de la langue, si telle ou telle phrase pourrait être plus claire lorsqu’écrite ou formulée différemment, d’ajouter des marqueurs de cohésions et mots pour rendre le texte plus facile à suivre, de réfléchir sur sa propre compréhension d’une phrase (je ne sais pas de qui/de quoi on parle, mais la présence du pronom “ils” ou d’un “s” indique qu’on parle de plusieurs personnes/éléments).

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14
Q

Les habiletés nécessaires à la lecture et à l’écriture commencent à se développer bien avant l’apprentissage formel du langage écrit. Expliquez.

A

Les habiletés nécessaires à la lecture et l’écriture commence à se développer graduellement, au cours de la petite enfance et bien avant l’entrée des enfant à l’école (avant l’apprentissage formel de l’écrit). Pendant cette période, ils acquièrent une multitude d’habiletés et font plusieurs apprentissages qui favoriseront le développement de l’écrit. Trois habiletés préalables à la lecture et l’écriture sont développées au cours de la petite enfance: l’intérêt envers l’écrit, la conscience de l’écrit et la connaissance alphabétique. Certaines de ces habiletés sont fortement prédictives de performances ultérieures des enfants à l’écrit. Comme les performances à l’écrit demande de bonnes performances en langage oral, il est aussi raisonnable de croire que tous les apprentissages que les enfants font sur le plan des sons, des phrases et des mots à l’oral contribuent grandement à leur préparation pour l’apprentissage formel du langage écrit.

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15
Q

Dans vos lectures, on réfère aux compétences de base et aux compétences de haut niveau en langage écrit. À quoi ces deux niveaux réfèrent-ils ?

A

Les compétences de base: identification de mots (lecture de mots isolés) et orthographe (écriture de mots isolés).

Les compétences de haut niveau: compréhension de lecture (compréhension de texte) et production de texte.

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16
Q

Bien que toutes les composantes du langage (phonologie, morphologie, syntaxe, lexique, pragmatique) ont un rôle à jouer dans l’identification de mots et l’orthographe, quelle composante langagière est à l’avant-plan ou au coeur de ces habiletés ?

A

Les habiletés phonologiques (sons) est la plus intimement liée au langage écrit, comme les habiletés en lecture et écriture reposent d’abord et avant tout sur un bon traitement phonologique (habiletés de consciences phonologiques bien développées). Le traitement phonologique et la conscience phonologique sont largement reconnus comme étant les habiletés centrales dans le développement de l’identification de mots et d’orthographe.

17
Q

Expliquer comment la morphologie joue un rôle dans l’identification de mots.

A

Au début, l’enfant lit des mots en se basant sur la phonologie (la suite des sons dans le mot). Puis, plus l’enfant se familiarise avec le langage écrit et est exposé à des mots écrits, plus il en vient à lire les mots en utilisant la morphologie (groupe de lettres/groupe de sons). Par exemple, le mot “danseur” est d’abord lu son par son (d-a-n-s-e-u-r), ensuite l’enfant apprend que “eu” et “an” sont des graphies qui produit un son particulier (d-an-s-eu-r), mais ultimement, l’enfant comprend que la graphie “eur” fait référence à “quelqu’un qui fait quelque chose (danseur, patineur, coiffeur, etc), donc il lit les mots en attribuant de l’importance à la morphologie (plus petites unités de sens d’un mot, eur = personne qui fait, dans-eur). Ceci favorise l’accès rapide au sens des mots. La conscience de ces unités morphologiques est particulièrement apparente à l’écrit (plus qu’à l’oral).

18
Q

La compréhension de textes est généralement plus difficile que la production de textes.

A

Faux. La lecture d’un texte peut se faire de façon plus séquentielle, sans aller-retour pour bien comprendre (généralement). L’écriture d’un texte demande plus de révision, de restructuration et de réflexion. Son exécution est plus longue et exigeante sur le plan cognitif. Est-il plus facile de lire une page dans vos lectures ou de produire une page de texte qui résume votre compréhension de la matière ? Vraisemblablement, vous répondrez que c’est plus facile de lire le texte que d’en produire un :)

19
Q

Pourquoi est ce que la composante pragmatique du langage (qui renvoie aux conventions et règles de conversation, aux fonctions du langage, aux intentions de communication et à l’utilisation du langage comme outil social) contribue à la compréhension et à la production de texte ?

A

La production d’un texte est d’abord et un acte de langage. Ce n’est pas seulement du langage oral “traduit à l’écrit”, il a ses propres conventions et règles. Les habiletés sociales du lecteur contribuent à sa compréhension d’un texte (ou à la production d’un texte). Plusieurs textes nécessitent des inférences sociales (qu’est-ce que le scripteur a voulu dire içi, pourquoi est-ce que le texte est présenté de telle façon, qu’elle est l’intention ou l’objectif derrière ce texte). La fonction ou l’intention derrière le message écrit qu’on veut véhiculer influence la façon dont il sera écrit (vos notes personnelles ou textos envers vos amis ne sont pas écrites de la même façon qu’un courriel destiné à votre enseignant, du moins, je l’espère!) Aussi, les texts écrits doivent être particulièrement clairs et cohérents, comme aucune réparation de bris de communication (que la pragmatique permet à l’oral) n’est possible avec un texte. Le scripteur qui rédige un texte doit donc se mettre à la place du lecteur pour bien se faire comprendre (donc, ceci implique un peu la théorie de l’esprit que vous connaissez maintenant!)

20
Q

Pourquoi est-ce que la connaissance des différents types de discours (discours narratif, informatif, explicatif, descriptif, argumentatif,…) facilite la compréhension de textes ?

A

Cette connaissance réfère à la compréhension des schèmes (schèmes d’événements ou scripts, schèmes de contenu, schèmes de récit), qui sont des représentations de structures internalisés par les individus. Par exemple, un schème d’événement comme un anniversaire, connu du lecteur, facilite la compréhension de la progression des idées dans un texte qui parle d’un anniversaire. Un schème de récit sont des canevas qui se répète souvent d’un texte à l’autre (situation initiale, événement déclencheur, actions, buts, etc). Ces connaissances facilitent grandement le lecteur à traiter des informations nouvelles, car elles offrent un cadre cohérent dans lequel insérer ces nouvelles informations. Si on sait qu’on fait face à une histoire narrative, on est plus attentifs à certains éléments saillants de l’histoire (ce qui pourrait devenir un élément déclencheur, les personnages principaux, les buts/actions posées, le dénouement, etc).

21
Q

Nommez deux autres habiletés cognitives (non-langagières) qui influencent le développement du langage écrit (possibilité de quatre), et expliquez pourquoi elles l’influence.

A
  1. La métacognition
  2. Les fonctions exécutives
  3. L’attention
  4. La mémoire

Pourquoi: voir les pages 84 à 89 de St-Pierre et al.

22
Q

Qu’est-ce que le principe alphabétique ? Donnez un exemple avec le mot “ sapin “.

A

Alors que la connaissance alphabétique réfère à la connaissance de la forme et du nom des lettres, le principe alphabétique lui réfère au fait que les lettres et les groupes de lettres dans les mots écrits entretiennent des liens systématiques et prévisibles avec les sons contenus dans les mots oraux. P.ex, le phonème (son) « f » peut être représenté par deux graphies en français soit « ph » ou « f ».

Exemple avec sapin: le groupe de lettres /in/ dans sapin fait le même son que le groupe de lettres /ain/ dans main ou que le groue de lettre /aim/ dans faim. La lettre “s” correspond au son /sssss/ dans sapin, mais aussi au son /z/ dans d’autres mots (ciseaux).

23
Q

Associez les phrases suivantes à l’habileté métalinguistique correspondante:
J’écris un courriel à une collègue avec qui j’entretiens une relation amicale. Finalement, je choisis d’ajouter notre superviseure à l’échange, et je révise le courriel pour changer le ton et rendre les mots et phrases plus appropriées.

A

Conscience pragmatique

24
Q

Associez les phrases suivantes à l’habileté métalinguistique correspondante:
Le mot “verre/vert/vers/ver” a plusieurs sens différents, selon la façon dont on l’écrit et selon le contexte.

A

conscience lexicale/sémantique

25
Q

Associez les phrases suivantes à l’habileté métalinguistique correspondante.:
Un enfant entend les mots “ skieur” et “skieuse” et comprend que skieur fait référence à un homme qui fait du ski, alors que skieuse fait référence à une femme qui fait du ski, comme le suffixe -eur et -euse ont été ajoutés à la fin du mot, et que cela ressemble à d’autres mots comme coiff-eur, coiff-euse, courr-eur, courr-euse.

A

Conscience morphologique

26
Q

Associez les phrases suivantes à l’habileté métalinguistique correspondante.: .
En lisant la phrase “Il la lui donna”, l’enfant analyse l’ordre des mots pour comprendre le sens: c’est le garçon qui donne quelque chose à la fille.

A

Conscience syntaxique