Impressions et attributions Flashcards
La formation d’impression se fait en une fraction de seconde. Dans quelles situations faisons-nous aussi des analyses plus approndies? (3)
1- Quand on est motivé à connaitre une personne
2- Quand on a plus de temps
3- Quand on a beaucoup d’informations
Les biais confirmatifs constituent une étape à part dans la formation d’une impression. Dans quel contexte les utilise-t’on?
On les utilise après une première impression dans les situations où on a de fortes croyances envers une personne/groupe de personnes. Rôle: servent à conserver nos croyances intactes.
Pourquoi la formation d’impression se fait aussi rapidement?
C’est une question de survie. Nos ancêtres devaient pouvoir reconnaitre rapidement si une personne/objet était une source de danger.
Vrai ou faux? Le comportement d’une personne dans son contexte est habituellement le premier (et parfois le seul) indice menant à une première impression.
Faux; il s’agit plutôt de l’apparence physique
Comment perçoit-on un regard maintenu?
Comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.
Vrai ou faux? Des informations à partir du toucher peuvent faire partie de la formation d’une impression.
Vrai; par exemple, la force/fermeté avec laquelle on serre la main de quelqu’un.
Qui suis-je? Jugement (inférence) porté sur une personne,
une situation, un événement, selon les informations disponibles.
Une attribution
Qu’est-ce qu’une hétéro-attribution?
Une attribution faite pour les autres, attribution de l’observateur (on juge les autres).
Quels sont les 3 types d’attribution possibles?
1- Attribution causale
2- Attribution dispositionnelles
3- Attribution de responsabilité
Qui suis-je? Mon but est de déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir.
Attribution dispositionnelle
Vrai ou faux? Dans la théorie des inférences correspondantes de Jones et Davis, moins il y a d’effets distinctifs, plus c’est difficile d’avoir une attribution précise.
Faux; plus il y a d’effets distinctifs, plus c’est difficile d’avoir une attribution précise.
Qui suis-je? Dimension d’information de la théorie de la covariation oùle comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes.
Consensus
Mise en situation: Roxanne se saoule la gueule dans un 4 à 7 de psycho-neuro, genre vraiment intense. Elle a la réputation de boire dans n’importe quel contexte social (bar, soirée jeux de société). Toutefois, elle ne boit jamais autant que ce soir. Est-ce le consensus, la distinction et la constance sont faible ou élevé pour décrire le comportement de Roxanne?
1- Le consensus est élevé, car tout le monde boit au 4 à 7. Le comportement de Roxanne ne difffère pas vraiment de celui des autres.
2- La distinction est faible, car Roxanne a ce comportement par rapport à d’autres entités (elle boit pas juste au 4 à 7).
3- La constance est faible, car c’est la première fois qu’on voit Roxanne aussi saoule à un 4 à 7.
Plus un comportement défie les normes sociales, plus on l’attribue à des dispositions _____________ (internes ou externes?).
Internes
Qui suis-je? Tendance à attribuer une influence plus importante aux personnes qui sont perceptiblement en évidence.
Saillance perspective
Qui suis-je? Tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec
les principes théoriques usuels.
Biais d’attribution
Vrai ou faux? Un biais d’attribution signifie nécessairement qu’on fait une erreur.
Faux; lorsqu’on a recours à un biais, ça augmente le risque d’erreurs.
Vrai ou faux? Le biais de responsabilité injustifiée se produit davantage lorsque les conséquences ne sont pas très graves.
Faux; plus souvent lorsque les conséquences sont graves. En effet, on peut avoir recours à ce biais pour se prétéger, se faire croire que, comme c’est la faute de la personne, cet évènement ne peut pas nous arriver à nous. Donc, les conséquences nous font peur, sont graves.
Vrai ou faux? On utilise le bais d’attribution fondamentale lorsqu’on explique nos propres comportements.
Faux; ce biais se produit lors d’une attribution faite par l’observateur envers le comportement d’autrui.
Qu’est-ce que le biais rétrospectif?
Biais qui explique le recours au biais de responsabilité justifiée. Consiste en une fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle, ce qui nous amène à surestimer le fait qu’un évènement passé aurait pu être anticipé. “J’aurais pu le prédire que ça lui arriverait”. “Je le savais”.
Vrai ou faux? Le biais de complaisance est surtout nuisible.
Faux; à petites doses, il permet de protéger notre estime de soi. Toutefois, si on le fait trop, on assume pas nos fautes et on ne s’améliore pas.
Quel biais est utilisé dans cette situation?: Je n’aimais pas vraiment les travaux d’équipe au cégep, car j’ai l’impression que j’en fait toujours plus que les autres. C’est mon travail qui donne une bonne note aux autres.
Le biais égocentrique. J’exagère dans mes souvenirs la part que j’ai pris dans une tâche/ activité collective.
Jumelé à une perception positive de soi, explique biais complaisance