Hdéveloppement cognitif age prescolaire (ch 10) Flashcards
Erickson ; stade 3 (âge préscolaire 3-5)
- détermination,intentionalité
- initiative
- désire relever des défis, atteindre des buts
- développe diverses habiletés, participe
initiative
- à travers le jeu
- jouer permet de développer de nouvelles habiletés, cooperer, imiter les rôles familiers
- développer une conscience qui soit pas trop stricte
culpabilité
- le Surmoi trop strict, cause trop de culpabilité
- lié à des menaces, critiques, punitions excessives de la part des adultes
conscience de moi
- passe de physique (chez le bébé) à psychologique
- représentation mentale du ‘moi’ qui définit qui je suis , mes habiletés, mes attributs, mes attitudes et mes valeurs
- influence grandement le dev. socio-affectif
concept de soi préscolaire
- se décrit en se basant sur des caractéristiques observables
- 4 ans : comprend le sens de termes (traits)
- 5 ans : leur évaluation correspond à celle de leur mère (l’attachement sécurisant permet de se décrire de manière positive dès 5 ans) + les conversations parent-enfant élaboratives
qu’eset ce qui contribue au developpement d’un concept de soi positif
- attachement securisant (se decrivent de maniere positive a 5 ans)
- conversations parent-enfant elaboratives
- concept de soi qui persiste dans le temps (se projetter dans le futur)
- des 2 ans donner de l’information dans les conversations
variations culturelles pour le concept de soi
- chinois parlent plus de leurs mefaits (obligation sociale)
- US - minimisent mefaits, attributions positives (estime de soi)
emergence de l’estime de soi
= jugement qu’on porte sur notre propre valeur
- a l’age prescolaire : jugements plus specifiques que globaux, distinguent mal competences reeles vs desirees, se surestiment
developpement affectif : la comprehension des emotions
- s’ameliore avec dev. du langage, representations mentales, concept de soi
- des 4-5 ans juge cause des emotions
- interprete emotion a partir d’un comportement
- realise lien entre pensees et emotions
- aident a soulager les autres
- a du mal a interpreter signes contradictoires, se concentre sur 1 aspect
auto-regulation emotive
- le langage aide beaucoup
- srategies : limiter qte de stimuli, se parler, changer de but
- le controle volontaire predit cooperation
- apprennent a mettre un masque emotif
- temperament difficile : masque, inhibition plus difficile, anxiete, irritation, difficulte de bien s’entendre avec les autres, cibles de parentage inefficace
emotions reliees au concept de soi
- sensibilite accrue aux critiques eloges avec dev. du concept de soi
- honte (depression, aggression) c. culpabilite (niveau adequat –> ajustement social)
empathie
- empathie cognitive = comprendre emootion de l’autre, mene a l’altruisme
- empathie emotive = ressentir avec l’autre, risque de detresse personnelle, essaye pas de reconforter l’autre
relation avec les pairs
- pairs = occasion d’apprendre, dev. habiletes soociales
etapes de jeu (en ordre mais aussi en mm temps)
1) jeu solitaire - frequent
2) jeu parallelle - utilise pour se joindre aux autres , se reposer
3) jeu associatif (activites separees, mais echanges)
4) jeu cooperatif (but commun)
maturite cognitive du jeu
- jeux fonctionnels (0-2 ans) : mouvements simples et repetittifs, avec ou sans objet
- jeux constructifs (3-6 ans) : creer ou construire qq chose
- jeux faire-semblant (2-6 ans)
– on s’inquiete si jeu repetitif, immature, sans but
sociabilite
- enfants inhibes : observent longuement (surprotection parentale, controle excessif du jeu)
- enfants impulsifs : jeu solitaire repetitif
- certains preferent jouer seuls meme si sociables
- jeu socio-dramatiques : filles > gars
- jeux de bagarres : gars > filles
variations culturelles pour la sociabilite
- s’exprime differement selon la culture
- jeu de role moins encourage dans villages que dans lesv villes
premiers amis
- changent frequemment
- amis a la maternelle contribuent à l’ajustement social et académique (base sécurisante)
- seulement un quart nomment un meilleur ami qui les a aussi nommés meilleur ami
- un an plus tard moind d’un tiers ont le meme meilleur ami
resolution de pb sociaux
= generer et mettre en pratique des strategies pour resoudre des pb et que les deux partis soient satisfaits
- beaucoup d’amelioration dans la periode prescolaire
- de 2 a 4 ans , augmentation dans les emotions positives et les comportements pro-sociaux lors des negociations
- persuasion, compromis, strategies alternatives des 5-7 ans
crick et dodge resolution de pb
- notice social cues
- interpret social cues
- formulate social goals
- generate possible problem solving strategies
- evaluate probable effectivness of strategies
- enact response
influences parentales sur relations avec les pairs
- directe : organise activites formelles, modele, donne conseils
- indirecte : attachement, securisant, communication sensible et riche emotivement
le sens moral
= distinguer le bien du mal, s’accomoder aux besoins des autres
- siggnes chez les petits : a 3 mois preferent le personnage gentil, a un an et demie s’attendent a un partage juste, a 2 ans juge son propre comportement et celui des autres
moralite a l’age prescolaire
1- controle externe (adultes)
2- standards, principes internes
perspective psychanalytique sur le developpement de la morale
- la conscience se forme en s’identifiant au parent du meme sexe
- dev. moral est complete vers 5-6 ans (enfant obeit au surmoi afin d’eviter la culpabilite)
- motive par la peur de la punition ou de perdre l’amour parental
- si l’amour parental est conditionnel : associe a culpabilite excessive (diminue conscience)
- la punition et la menace sont associes a un moins bon dev. moral chez l’enfant (moins de culpabilite aux transgressions)
discipline inductive
- facilite le dev. moral
- apres mefait souligne l’impact du geste pose sur l’autre, fait remarquer la detresse, explications avec chaleur, insister
- efficace des 2 ans
- associe a moins de mefaits, a plus de confessions, plus de reparations et plus de prosocialite
- motive les enfants a se conformer aux principes moraux
- plus efficace chez les enfants empathiques
- enfants inhibes : strategies douces suffisent
- enfants impulsifs : strategies douces inefficaces - relation positive, fermete et induction
theorie de l’apprentissage social - les modeles
- caracteristiques des bons modeles : chaleur, sensibilite, competence, pouvoir , coherence entre ce qui est dit et ce qui est fait
- a 3 ans le desir d’imiter predit le comportement
- avoir eu des modeles prosociaux est lie a la prosocialite
- impact surtout aux bas ages
effet des punitions
- pb de sante mentale
- modele d’aggression
- entraine colere, focalise sur sa propre detresse
- apprend a eviter l’adulte qui punit
- renforcement pour l’adulte
- risque de transfert intergenerationnel
alternatives a la punition corporelle
- time out
- retrait des privileges
- relation positive
- strategies positives
consequences diffferentielles des punitions corporelles
- chez afro-americains, des comportements diffciles ne predisent pas la punition
- pas relie aux problemes externalises futurs
- approbation culturelle, contexte chalereux
- sens : pour mon bien
- impact negatif si parent froid, rejetant
perspective cognitivo-développementale
- enfants = penseurs actifs (qui se plient à des règles sociales)
- dès l’âge préscolaire, posent des jugments moraux , basés sur des concept de juste et d’équité
- ont un raisonnement rigide (mentir = toujours mal )
imperatifs sociaux vs conventions sociales
- observations –> degagent du sens de leurs experiences
- pairs réagissent fortement apres une offense morale, adultes soulignent les droits/sentiments des victimes
- apres la violation d’une convention sociale, les pairs réagissent moins fortement, les adultes demandent l’obéissance, sans explications
l’acquisition des stereotypes sexuels
= association à l’un ou l’autre des sexes (conforme aux stéréotypes culturels)
- genre = une des premières catégories formées, avant même d’étiqueter correctement son propre sexe (vers 2 ans)
- des que les catégories sont créées, comportements et activités y sont associés
- croyances deviennent fortes et rigides entre 3 et 4 ans
perspective evolutionniste sur les stereotypes sexuels
- fonction adaptative :
- hommes : competition partenaire (dominer)
- femmes : soins aux enfants (etre sensiblej)
hormones
- plus d’androgène prénatal : animaux - jeu plus actif, moins de soins, les filles ont des préférences plus masculines
- moins d’androgènes prénatal: garçons ont des choix et comportements plus féminins
famille, stereotypes sexuels
- perçoit bébé différemment, attentes
- types de jouets offerts
- pire pour les garçons, pire chez les pères
- utilisation d’énoncés référant au genre est plus grande chez les mères de 2-4 ans, à 6 ans, c’est les enfants qui en font plus
enseignants, stereotypes sexuels
- filles davantage encouragées à participer aux activités structurées (obéir aider)
- garçons : inventer, s’affirmer,mener. reçoivent plus d’attention, d’éloves, de désapprobations
- attentes = les garçons vont moins bien se conduire
pairs meme sexe, stereotypes sexuels
- plus il y a de jeu avec le meme sexe, plus l’acquisition des rôles est accentuée
stereotypes sexuels dans les médias
- emissions télé contiennent moins de stéréotypes sexuels reliés à la carrière mais les femmes sont encore jolies, victimisées, hommes dominants
- les stéréotypes sexuels sont tres présents dans les dessins animés et les jeux vidéos
- contribuent aux croyances quant aux rôles et comportements associés aux hommes et aux femmes
identité sexuée
- image de soi relativement féminine ou masculine
- identité masculine ou androgyne : meilleure estime de soi, meilleure adaptation
comment se developpe l’identité sexuée ?
- théorie de l’apprentissage social (acquiert comportements puis les organise en une image de soi)
- théorie cognitivo développementale (acquiert constance du genre qui guide le comportement)
constance du genre
1) identité du genre (étiqueter propre sexe, celui d’autrui)
2. stabilité du genre (dans le temps)
3) cohérence/continuité du genre
- théorie cognitivo-dev. : impact de la constance du genre sur l’identité sexuée est faible, à quel point on endosse les stéréotypes influence plus
théorie du schéma du genre
- comment les pressions sociales et les cognitions de l’enfant affectent ensemble les rôles sexuels
- tôt, l’enfant remarque les préférences stéréotypées et les organise en schémas du genre qui lui permettent d’interpreter le monde
- des qu’on identifie notre propre sexe, on sélectionne les schémas qui y correspondent et on les applique à soi-même
- utilisation : le schéma est un filtre pour traiter l’information, motive à se conformer et guide le comportement stéréotypé
conséquences du traitement de l’information par le schéma du genre
- distorsion de la mémoire pour les comportements sexuels incompatibles (a vu un infirmier, se souvient avoir vu un docteur)
- ajoute propres preferences au biais stéréotypés pensant que les autres aiment les memes choses que soi
aspects importants des pratiques parentales
- acceptation, chaleur
- cadre
- soutien de l’autonomie
catégories de Baumrind
- démocratique : chaleur + cadre
- autoritaire : distance rejet contrôle psychologique, cause anxitété hostilité dépendance
- permissif : chaleur + peu/ pas de requêtes