developpement cognitif à l'âge scolaire Flashcards
piaget : stade opératoire concret
- la pensée est plus logique, flexible, organisée
- capable d’opérations (actions mentales, suivant la logique)
opérations au stade opératoire
- conservation (décentration, Réversibilité)
- Classification (problèmes d’inclusion réussis à 7-10 ans, tient compte de 3 relations en meme temps)
- sériation des 6-7 ans
- inférence transitive (sériation mentale un peu plus tard)
- raisonnement spatial (cartes cognitives)
limites de la pensée opératoire concrète
- pensent de façon logique et organisée quand l’information est perçue directement, apparente, concrète PAS abstraite
- ne maitrise pas toutes les tâches opératoires concrètes, pas un principe logique appliqué partout — maîtrise GRADUELLEMENT.
études récentes
- selon Piaget, tous atteignent le stade opératoire grâce au dev. cérébral, avec un envé assez stimulant
MAIS expérience, contexte, culture influencent la perforamance à ces tâches
(plus d’occasions = meilleure performance) - la recherche en traîtement de l’info explique la maîtrise graduelle des opérations et concepts logiques
- il faut adapter les tâches, pertinence culturelle
perspective du traîtement de l’info (Case)
- le dev. de la pensée opératoire est du à la capacité grandissante du traitement de l’info
- avec la pratiques, les schèmes cognitifs deviennent automatiques, ce qui libère la mémoire de travail
pensée logique
- au cours du primaire, la pensée logique est utilisée pour de plus en plus de tâches
- flexible
- organisée
- logique
progrès des fonctions executives
- vitesse du traitement de l’info
- capacité de MT
- stratégies mnémoniques
- attention
- planification
- auto-régulation
- théorie de l’esprit
— meilleure intégration de ces fonctions, soutient du dev. cortex pré-frontal, hérédité très déterminante, soutien de l’env
capacité de la MT
- myélinisation et élagage synaptique toujours en cours — traitement de l’info plus rapide, plus efficace
- différences individuelles prédisent le QI et la performance académique
- pauvreté (enfance) liée à la mémoire de travail (jeunes adultes) : impact néfaste du stress sur le cortex préfrontal et ses liens avec l’hippocampe
l’attention
à l’âge scolaire devient :
- sélective (sait inhiber distraction, sur quoi porter attention)
- flexible *selon la situation peut adapter son attention)
- plus contrôlée, plus efficace face à des distracteurs plus complexes
- planification : progrès pour tâches ayant plusieurs étapes, prévoit quoi faire quand
planification avancée
succès à partir de 9-10 ans
planification séquentielle
succès dès 4 ans
développement des stratégies de mémoire
1) répétition (prédite par la compétence langagière)
2) organisation (grouper items qui vont ensemble)
3) (à la fin de l’âge scolaire) élaboration = créer des liens là ou il n’y en avait pas
combiner stratégies = efficace
connaissances et mémoire
- la base de connaissances devient de plus en plus grosse, les réseaux hiérarchiques élaborés
- connaître un sujet permet de bien intégrer une nouvelle info
stratégies dans différentes cultures
- pays industrialisés : favorisent stratégies, parfois au détriment d’indices plus pratiques
- villages, peu de scolarisation : ne bénéficient pas d’un enseignement des stratégies qui leur semblent inutiles
théorie de l’esprit à l’âge scolaire
- plus élaborée, rafinée
- esprit = un processus actif (selectionne, transforme les infos)
- comprend lse processus cognitifs, le rôle des facteurs psychologiques sur la performance
- comprennent mieux d’où viennent les connaissances
- inférences mentales
- permet meilleure maitrise des fausses croyances
- enseignants font référence aux processus mentaux
prise de perspective
- dès 6-7 ans , les enfants sont conscient que les gens pensent aux pensées des autres, et que ces pensées de second ordre peuvent être erronées
- pensée recursive : «julie pense que marie pense..» contribue à la capacité de réaliser que deux personnes peuvent interpréter la même situation différemment
- pensée récursive solide augmente l’utilisation de la persuasion
activité cérébrale
- de plus en plus similaire à celle des adultes (lobes pariétaux, lobe temporal droit, cortex préfrontal)
l’auto-régulation cognitive
- mise en pratique des stratégies mentales
- se développe graduellement
- demande beaucoup cognitivement
- aident à developper l’auto-efficacité académique
- prédit succès scolaire
favoriser l’auto-régulation cognitive
- faire remarquer les aspects importants de la tâche
- suggerer des stratégies et expliquer leur efficacité
les habiletés cognitives nécessaires pour lire
- conscience phonologique
- discrimination visuelle
- rapidité en traitement de l’information
- vitesse dans le traitement de l’information
- habiletés de plus haut niveau (comprendre)
méthodes pur enseigner la lecture
- méthode globale : exposer à textes entiers, fonction communicative
- méthode phonétique : traduire symbole écrit en son, importante pour enfants ayant faible conscience phonologique
- combinaison = associée à de meilleurs résultats (décoder des nouveaux mots, sans perdre de vue l’objectif)
stratégies de lecture - but = comprendre
vers 7-8 ans , on passe d’apprendre à lire à lire pour apprendre
apprentissage des maths
- se base sur les connaissances informelles des nombres
- s’exercer
- comprendre le sens des nombres
- combiner les deux approches
QI devient plus stable à partir de…
6 ans
développement mental, QI
- corrèle avec performance académique, années de scolarité, prestige occupationnel
test de QI en groupe
- permet de tester grands groupes
- requiert peu de formation pour l’administrer
- utile pour planification éducative
- identifier les élèves nécessitant une évaluation individuelle
test de QI administrés individuellement
- les examinateurs ont besoin d’une formation et d’expérience
- identifier les jeunes à intelligence supérieure et ceux avec des problèmes d’apprentissage
Échelle d’intelligence de Stanford-Binet, 5ème Ed.
- évalue les connaissances générales, le raisonnement quantitatif, le traitement visuo-spatial, la memoire de travail et le traitement de l’info
- de 2 ans à l’âge adule
Echelles d’intelligence pour enfants Wechsler IV
- mesure raisonnement verbal, raisonnement perceptuel, la MT, et la vitesse de traitement de l’info
- de 6 à 16 ans
théorie triarichique de Sternberg
- 3 intelligences inter-reliées
- les équilibrer pour reussir selon ses buts et ceux de la communauté
- 3 intelligences interagissent
intelligence analytique
= habileté de traitement de l’info
intelligence créative
= résoudre des problemes nouveaux
intelligence pratique
= mettre habiletés en pratique
types d’intelligence (Gardner)
- verbo-linguistique
- logico-mathématique
- musicale-rythmique
- corporelle-kinesthésique
- naturalisste
- interpersonnelle
- intrapersonnelle
théorie des intelligences multiples (Gardner)
- chaque intelligence a sa propre base biologique, son propre développement et une longueéducation est requise pour transformer le potentiel brut
- des individus très doués ont habiletés plutôt larges
- certaines intelligences ont des aspects en commun (inter et intrapersonnelles)
- attire attention vers habiletés non-évaluées par des test
expliquer les différences de QI
- certains groupes sout avantagés (éducation, prestige occupationnel)
- études génétiques expliqueraient 50% de la variance
- ces études surestiment la contribution de la génétique
- estimés plus grands si SSE élevé
l’effet de Flynn
- le QI agumente d’une génération à l’autre
- plus grands gains en raisonnement spatial
- l’étendue de cet effet est moderé par le degré de modernisation de la société
differences culturelles pour expliquer différences de QI
- plus le SSE est élevé, plus styles est similaire à celui utilisé en classe et lors des test QI
- si le style differe (famille vs test) : contribue à l’écart de performance des minorités et des faibles SSE
= biais culturel dans le contenu des test
menace du stéréotype
= peur d’être jugé sur la base d’un stéréotype négatif
- a partir de la 3ème année du primaire, les enfants sont plus conscients des stéréotypes surtout si ils font partie du groupe stigmatisé
- peut entraîner désengagement (autoprotection)
- suscite anxiété, qui interfère avec performance
auto-discipline
prédit l’amélioration du succès académique (mieux que le QI)
developpement langagier
- la conscience métalinguistique (penser au langage)
- récits plus organisés, détaillés, expressifs
- plus d’info
- connections (ensuite)
- adopte style des proches
- lien entre fréquence des repas en famille et langage / alphabétisation
vocabulaire
- x4 au cours du primaire (20 nouveaux mots par jour)
- mêmes stratégies qu’au préscolaire + analyse de la structure des mots
- lecture : vocabulaire diversifié, complexe, prédit taille du vocab. futur
- précision des mots, définitions
- saisir double sens de mots (métaphores)
grammaire
- voix passive
- mode infinitif
pragmatique
- communiquer clairement
- s’adapte à la situation, plus de précision
- comprend ambiguités
- théorie de l’esprit et expressions indirectes
ironie, sarcasme
compris vers 8 ans
façons d’apprendre 2 langues
- simultanément
- d’abord l’une, ensuite l’autre
si parents parlent les 2 langues tôt
- sépare les deux systèmes
- atteint mêmes étapes
- peut changer de codes = adaptatif, reflète contrôle déliberé des 2 langues
- bon niveau dans la 2ème langue aussi
enfants bilingues
- plus de matière grise dans aires langagières de l’hémisphère gauche
- plus d’activité cérébrale dans ces aires + dans le cortex préfrontal (inhiber, décider)
- bénéfices en attention soutenue et sélective, fausse croyance, raisonnement analytique, flexibilité, conscience métalinguistique, conventions
la taille des classes d’école
- les enfants (surtout faible SSE) de petites classees (13-17) de maternelle jusqu’à 3ème année, performent mieux en lecture et math que les enfants en plus grandes classes chaque année
- gains jusqu’en 9ème année, augmente probabilité de graduer du secondaire
- enseignants donnent plus d’attention individuelle, moins de discipline
- enfants ont une meilleure concentration, plus de participation en classe, attitude plus favorable envers l’école
classes constructivistes
- suivre et guider un enfant qui construit ses connaissances
- à la Piaget
- évaluer progrès face à lui même
- gains en pensée critique, maturité sociale et morale, attitude positive
- éleves et enseignants partenaires dans l’apprentissages
- enseigner selon la zone proximale de dev. de chacun
classes traditionnelles
- pression afin d’améliorer les notes, rétrécit contenue
- léger gain